ACCUEIL > Exhibition > Récit : Une Formation Réussie (2)

Une Formation Réussie (2)

+17

Lue : 1186 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/03/2021

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Lundi 14 septembre 2009

Ce matin en m’éveillant j’entends les bruits discrets de Christophe qui s’en va car il commence plus tôt que nous. Guidée par des bruits d’eau, je trouve Stéphanie à la salle de bains. Elle est en train d’entrer sous la douche et ne proteste pas quand je lui propose de la prendre avec elle pour gagner du temps. Je reste assez sage en la savonnant dans le dos sans trop insister sur ses fesses. Elle me rend la pareille, puis nous nous faisons face.Là je n’hésite pas à lui frotter légèrement les tétons de mes mains mousseuses de savon. Je n’insiste toutefois pas trop car de son côté elle s’abstient de toucher mes seins. Je note toutefois que même après le rinçage et le séchage, elle a toujours les bouts qui pointent.

Chacune rejoint ensuite sa chambre pour procéder à l’habillage. Je décide de faire comme à mon habitude : pas de sous-vêtement en bas et un soutif sans bonnets en haut. Par-dessus ça, juste une jupe assez courte et un chemisier coloré et pas trop transparent. des escarpins bas et ouverts complètent ma tenue.

Je retrouve ma collègue à la cuisine où nous prenons le petit-déjeuner avant d’y aller. Elle a opté pour un ensemble pratiquement identique au mien avec une robe légère et pas trop échancrée.

La journée se passe très bien. Le contenu de la formation est intéressant, bien porté par les intervenants et c’est aussi l’occasion de retrouver des collègues d’un peu toute la France et de faire la connaissance de certains que nous n’avions jamais vus.

En rentrant à la maison, nous n’avons qu’une hâte, c’est de profiter un peu du soleil et de la piscine. Nous nous mettons toutes deux à poil directement sur la terrasse. Stéphanie est surprise en découvrant les particularités cachées de ma tenue :
— Oh, dis donc Anna, t’avais pas mis de culotte ?
— Ben non, j’en mets pratiquement jamais, ou parfois des strings.
— Et ton soutif, il est un peu spécial, non ?
— Ben oui, ça me permet d’être à l’aise tout en faisant croire aux gens autour que j’en porte un grâce aux bretelles et à l’armature qui se devinent à travers le chemisier.

Bon, elle n’insiste pas et nous plongeons et restons un petit moment dans l’eau avant de sortir pour nous sécher et nous offrir aux rayons du soleil. Une fois installées sur le dos et après s’être chacune badigeonnée d’huile solaire, je laisse un temps de calme avant d’attaquer la conversation :
— Dis donc, je vous ai entendus la nuit dernière. Ça a l’air d’aller fort entre vous.
— Ben en fait, pas tant que ça sur ce plan-là.
— Ah bon, pourtant vous aviez l’air de bien vous éclater.
— Oui, mais ça faisait un bon moment qu’il se passait rien. Mais hier soir…
— Oui ?
— Hier soir, on t’a entendue. C’était bien un vibro que tu utilisais ?
— C’est ça, pour pas perdre le rythme quand j’ai pas mon mari sous la main.
— Eh bien ça, plus peut-être le fait de te voir à poil toute la soirée, ça l’a bien excité.
— Tant mieux si ça vous a aidés. Et toi, ça t’a excitée ?
— Euh oui, un peu quand je t’ai entendue te faire plaisir.
— Donc, ça te dérange pas si je recommence ?
— Euh, non, évidemment.

Du coup, je me mets à me caresser doucement la fente sous ses yeux. Elle ne s’attendait certainement pas à ça et met un temps à m’interpeller :
— Euh, mais qu’est-ce que tu fais. Arrête…
— Ben quoi, tu m’as dit que ça te gênerait pas.
— Euh, oui, mais là, maintenant, devant moi ?
— Allez, me dis pas que tu le fais jamais. surtout si Christophe te touche plus.
— Oui, ça m’arrive de le faire.
— Alors, vas-y, on est entre nous. tu vas voir comme c’est bon de le faire ensemble.

Et je continue ma branlette en la regardant. je constate que ses tétons pointent maintenant bien. Finalement son excitation prend le dessus. Elle s’allonge bien à plat et commence à m’imiter. j’exagère un peu mes soupirs et je l’entends rapidement gémir elle aussi. Du coup je ne me prive pas de me faire jouir tout en exclamant mon plaisir. Elle me suit peu après et ne retient pas ses râles.

Je laisse passer un moment mais pas trop pour ne pas faire retomber son excitation, puis je me mets sur le ventre en lui demandant de me passer l’huile dans le dos. Elle sort de sa torpeur et vient se mettre à côté de moi pour me rendre ce service. je sens ses mains onctueuses qui parcourent mon corps des épaules aux reins, puis qui s’occupent un peu des fesses sans s’y attarder avant daller jusqu’à mes chevilles? Malgré mon appel pas si discret que ça en écartant mes jambes, elle ne va pas jusqu’à s’égarer vers ma vallée intime.

Je lui propose de lui rendre la pareille et elle va s’allonger sur son matelas. Contrairement à elle, je m’installe à cheval sur ses jambes. J’attaque sobrement par ses épaules puis je descend en appliquant ma technique bien rodée de progression dans l’intensité du massage. Je vais sans trop insister jusqu’à ses chevilles, puis je remonte le long de ses cuisses en m’infiltrant le plus possible vers son entre-jambes sans le toucher. Enfin je ne me prive pas de m’attarder sur ses fesses que je malaxe plus que de nécessaire tout en lui parlant de ce qu’il vient de se passer :
— Alors, tu vois, t’as bien aimé, non ?
— Oui, je reconnais que c’était bon. Même si c’était la première fois que je le faisais devant quelqu’un.
— Et là, mon massage te plait ?
— Oui, ça fait du bien.
— Alors laisse-moi continuer…

Je m’aventure maintenant entre ses deux globes et atteins sa rondelle avec mes doigts bien lubrifiés. Elle se cabre un peu et proteste :
— Euh, Anna, là tu me touches un peu trop loin…
— Mais non, laisse-toi aller, tu vas apprécier, tu verras !

Elle abdique car je ne sens plus de résistance quand je descends jusqu’à sa fente bien humide où je trouve son clito bien dur. Du coup, plus de retenue, je le lui branle ouvertement d’une main, insérant les doigts de l’autre main dans ses deux orifices. Elle halète fortement, puis se lâche dans un bel orgasme foudroyant. Je la laisse respirer en allant sagement me remettre sur le ventre sur mon matelas à côté. Un silence réparateur s’établit pendant que les rayon du soleil nous lèchent la peau.

C’est dans cette position que Christophe nous trouve en arrivant. Il ne sait pas ce qu’il vient de se passer et s’empresse juste de se mettre nu lui aussi pour piquer une tête dans la piscine. Stéphanie me fait comprendre par le regard de ne pas lancer la conversation sur tout ça. je lui répond de la même manière et ça la rassure.

Plus tard, elle profite que nous sommes à la salle de bains pour revenir sur le sujet :
— Dis Anna, j’aimerais autant que Christophe soit pas au courant.
— Pourquoi, ça l’exciterait pas ?
— Si, justement. Et ça risque de mettre de la gêne.
— T’as pas aimé ?
— Euh, oui, c’était vraiment bon. Et c’était la première fois pour moi.
— Pour moi non, comme tu dois t’en douter !
— Oui, j’imagine.

Sur ce, nous prenons à nouveau notre douche ensemble, mais cette fois je vais plus loin que ce matin et elle s’abandonne à mes caresses. Une fois qu’elle est bien partie sous mes doigts qui branlent son clito, je prends sa main et l’attire entre mes jambes pour me rendre la pareille. Elle hésite un peu, puis emportée par le plaisir que je lui procure, elle finit par s’y mettre elle aussi. Nous restons assez silencieuses, et le bruit de l’eau qui coule est assez fort pour masquer nos ébats.

Je la persuade de rester complètement nue contrairement à la veille et elle me suit. C’est au tour de Christophe de profiter de la place laissée chaude. Stéphanie est assez rassurée de voir qu’il n’a l’air de se douter de rien. Il revient et a décidé finalement, vu notre exemple, de rester lui aussi à poil.

Comme hier, après le dîner nous nous posons dans le canapé pour regarder un film et je me place à nouveau au milieu. Les deux grosses différences, c’est d’abord que nos peaux sont directement en contact. Et ensuite que cette fois je ne reste pas sagement spectatrice. vers la fin du film, je laisse ma main vagabonder un peu sur mes seins avant de descendre caresser mon ventre. Un e fois que je sens que j’ai ferré Christophe, je continue en envoyant tranquillement mes doigts vers ma fente où ils commencent à s’activer paresseusement, comme négligemment.

Je contrôle sur ma gauche l’expansion de la bite de mon voisin qui essaie de masquer ça. Mais ma voisine de droite a aussi remarqué ma manœuvre et met un frein à cette séquence en me disant :
— Euh, Anna, si tu pouvais ne pas faire ça ici devant nous…
— Oh, oui, pardon. C’était machinal, J’ai tellement l’habitude à la maison…
— Euh, peut-être, mais ça gêne peut-être Christophe.
— Je sais pas si ça le gêne, mais visiblement ça l’excite aussi, pas vrai Christophe ?
— Euh oui, excusez-moi, j’ai pas pu retenir une érection.
— C’est pas grave, on en a déjà vues toutes les deux, non ?
— Oui, mais quand même…
— Dans tous les cas, c’est de ma faute. Et c’est naturel, pas besoin de la cacher !

Sur ce, le film se termine dans l’indifférence générale vus que ce qu’il se passe hors écran est beaucoup plus intéressant. Christophe en profite pour dire qu’il va se coucher et se lève en gardant toutefois ses mains en coupe devant son sexe tendu qu’il plaque contre son ventre. Il s’éclipse et Stéphanie m’apostrophe :
— Me dis pas que tu l’as pas fait exprès…
— C’est vrai, j’avoue. Mais au moins, tu vas encore en profiter dans pas longtemps.
— Oui, vu comme ça…
— Et franchement, c’est toujours amusant de voir un mec bander et être gêné pour ça.
— Oui, je dois dire qu’il avait l’air de pas savoir où se mettre.
— Alors, rigole toi aussi, et va vite te servir du résultat de mes actions.

Elle se lève donc et je la suis vers les chambres. Au passage, je lui mets une main sur la fesse et descends mes doigts juste assez pour sentir qu’elle mouille bien :
— Et ne me dis pas que ça t’a pas excitée, tu es trempée.
— OK, je peux pas le nier. Bonne nuit à toi aussi !

J’appelle d’abord Ber pour lui faire part de mes avancées, puis on se fait une petite visio pour une branlette réciproque avant de dormir. A côté, j’entends que ça y va très fort. Je vais pouvoir aller plus loin demain.


A suivre…
17 vote(s)


Histoire de Hannapurna

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Une Formation Réussie (2)


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :