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Une porte bien ouverte

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 23/09/2022

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‌‌Le coup classique. Mylène venait de sortir de son appartement pour aller au cinéma après avoir claqué la porte lorsqu'elle s'aperçut qu'elle avait oublié ses clés à l'intérieur. Coincée sur le palier ! Et on était dimanche. Impossible de faire venir un serrurier. Ne pas s'énerver. Réfléchir. Le jeune voisin avait un balcon proche du sien. Et elle avait heureusement laissé une baie vitrée entrouverte. Peut-être pourrait-il la laisser tenter le coup. Elle sonna à sa porte, sans trop d'illusion. Miracle, il ouvrit. Torse nu et en short, où une petite bosse apparaissait. Elle lui expliqua l'affaire, demandant s'il pouvait la laisser escalader son balcon pour entrer chez elle.

- Vous rigolez ? Je m'en charge, c'est trop dangereux pour vous, lui dit-il en regardant ses escarpins et sa tenue de ville.
Il la fit entrer et elle eut le temps d'apercevoir son ordinateur où une vidéo porno était en cours de diffusion. Le jeune homme se faisait donc du bien quand elle l'avait dérangé. Ce fut pour lui un jeu d'arriver dans son appartement mais Mylène l'observa avec une boule au ventre. Et s'il tombait du troisième étage à cause d'elle ? Heureusement, il n'en fut rien. Elle se précipita dans le couloir pour revenir à sa porte d'entrée, ouverte par le jeune homme, rigolard. Elle s'excusa platement de l'avoir dérangé, sans faire évidemment allusion à l'activité qu'elle avait interrompue.
- A votre service madame, lui dit-il avec un clin d'oeil.
Et il rentra chez lui.

Sur le chemin du cinéma, Mylène se mit à penser. Le garçon aurait pu être son fils, mais elle n'avait pas été insensible à son torse glabre et musclé et surtout à la bosse sur son short. Elle l'avait parfois croisé, bonjour bonsoir, rien de plus, lorsqu'il partait au travail ou en revenait. Elle l'avait trouvé mignon mais bien au-delà de sa sphère de quinquagénaire. N'empêche qu'ils avaient au moins un point commun : ils vivaient seuls. Elle divorcée, lui célibataire, sans doute. Et aussi, c'était l'enseignement de cette mésaventure de clé, en mal de relations sexuelles. Si le garçon éprouvait le besoin de se palucher en regardant un site porno, c'est qu'il n'avait pas de copine. Et le pire, c'est qu'il lui arrivait d'en faire autant, elle, Mylène, faute de mâle dans son plumard. On avait beau la trouver élégante, racée, toujours bien fringuée, agréable à regarder avec sa chevelure auburn et ses jambes fines (et parfois pour certains son fessier rebondi), elle dormait beaucoup plus souvent seule qu'accompagnée. Encore était-ce par un vieil amant qui roupillait plus qu'il ne la baisait. Et de moins en moins souvent d'ailleurs.

Le film ne chassa pas son trouble. Et lorsqu'elle revint chez elle, elle ne put s'empêcher de sonner chez son jeune voisin. Cette fois, il était habillé. Il allait sortir. Elle lui confia que pour le remercier, elle aurait aimé l'inviter à dîner ou, à défaut, à prendre un verre chez elle.
- Je vais voir des potes mais promis, je dîne avec vous ce soir, lui dit-il, enjoué. Ne vous tracassez pas pour la cuisine.
Ravie, Mylène s'organisa pour le dîner. Elle avait quelques plats cuisinés surgelés dans son congélateur qui feraient l'affaire. Elle réfléchit à sa tenue et une longue réflexion s'amorça. Pas question de se louper. Elle décida que son ensemble veste-pantalon n'était pas approprié. Elle sortit une mini-jupe de son dressing et un boléro sans manches histoire de mettre ses membres en valeur. Mais mini jupe taille basse, pour laisser voir la ficelle du string qu'elle ne manquerait pas de porter, ou taille haute pour masque son petit ventre ? Et le boléro, avec ou sans soutif ? Finalement, elle opta pour l'érotisme maxi : visibilité du string et pas de soutif, ce que permettaient ses seins menus. La jupette serait serrée pour mettre son popotin bien rond en valeur. C'était son atout sexuel majeur, ses amants le lui avaient assez dit. Surtout ne pas paraitre vieille. Maquillage et queue de cheval complétèrent la tenue. Et last but not least, une crème vaginale dont elle s'enduisit le sexe et l'anus. Car elle savait d'expérience que son partenaire voudrait sodomiser son beau cul. On voit l'état d'esprit : elle avait envie de baiser et peu importait que ce blondinet aux yeux bleus, peu sexué, n'entrât pas dans ses canons érotiques habituels, plus "mâles". Une bite reste une bite. Et celle-ci promettait d'être tonique. L'essentiel était d'être prête au cas où, par une heureuse conjecture, le garçon aurait envie d'elle, ce qui était loin d'être gagné. La différence d'âge...
*****
Ce que Mylène ne savait pas, c'est que le garçon, prénommé Jefferson, dit Jeff, avait raconté l'histoire à ses potes, en omettant toutefois de préciser l'âge de sa voisine. Son auditoire en bavait des ronds de chapeau, persuadé qu'il allait baiser. L'intéressé émettait cependant quelques doutes, ce qui ne l'empêchait pas de triquer à la pensée. Car si la voisine n'était pas de première jeunesse, elle n'en avait pas moins alimenté ses fantasmes quand il l'avait rencontrée sur le palier de son immeuble. Avec ses cheveux voluptueusement lâches, son cul moulé dans pantalon ou jupe, ses belles jambes et son regard coquin, il lui trouvait un côté chienne et s'étonnait juste qu'elle ne fût pas accompagnée. Il ne s'était certes pas mis sur les rangs, elle lui paraissait inaccessible mais quand il regardait une vidéo porno avec une femme mûre, il pensait aussitôt à sa voisine. Comment se comportait-elle au lit ? Voilà pourquoi il envisageait ce dîner en sa compagnie avec une vraie tension dans son pantalon. Bien loin de se douter qu'elle aussi avait chaud entre les cuisses...

Lorsqu'il lui ouvrit la porte, il ressentit un petit choc. Il la trouva non seulement rajeunie mais aussi franchement sexy. Il regretta de n'être qu'en jean baskets mais il n'avait guère d'alternative dans son armoire. Il la regarda évoluer dans son appartement, mouvante sur ses escarpins, jambes et bras nus, et remarqua d'emblée l'absence de soutif et la ficelle du string au-dessus de sa jupette. Comment l'interpréter ?
Ils prirent l'apéritif sur une table basse et pendant qu'elle l'interrogeait sur son travail, il répondit mécaniquement en détachant difficilement les yeux de la paire de gambettes qui lui faisait face, découvertes jusqu'à mi-cuisses, et aperçut même l'étoffe noire du string quand les genoux s'écartèrent fugitivement. Mylène savourait la scène en même temps que son martini. La bosse sur le jean prenait de l'ampleur. Ils passèrent à table. Elle éluda quelques maladresses du garçon qui parla de sa mère, ce qui renvoyait l'hôtesse à sa différence d'âge. Elle l'interrogea sur sa vie sentimentale et il lui apprit qu'il n'avait pas de copine. Elle répondit qu'elle n'avait pas non plus d'homme dans sa vie depuis son divorce cinq ans plus tôt. De fil en aiguille, ils en arrivèrent à parler sexe. Ils s'avouèrent mutuellement n'avoir pas fait l'amour depuis un bail. Et Mylène de conclure, en se levant, s'étirant et le rejoignant :
- Et si on rattrapait le temps perdu tous les deux ?

La rapidité de sa conversion, du convenu à l'invitation sexuelle, le stupéfia. Elle n'était décidément pas banale, la voisine, et franchement chaude. Elle s'assit sur ses genoux, l'enlaça et l'embrassa. Elle sentait la dureté du pénis sous ses fesses.
- Tu as envie de moi et j'ai envie de toi. Viens, on va dans ma chambre.
Elle le prit par la main jusqu'au lit où ils basculèrent en s'embrassant et se pelotant. Elle n'avait pu résister à l'envie de voir son pénis et elle le dégagea avec habileté. Le minet trompait son monde. Il était sacrément bien monté. Il vit la moue appréciative suivi d'un commentaire flatteur.
- Tu as ce qu'il faut où il faut. J'espère que tu ne vas pas t'emballer. Je ne suis pas la femme du quart d'heure.
Elle voulut éteindre la lumière mais il l'arrêta.
- Non, je veux te voir à poil. Je te trouve belle.

C'était inattendu mais elle vainquit sa réticence à se montrer nue face à ce corps de jeune homme sans défauts. Et d'ailleurs, elle en profiterait aussi. Et c'est dans le plus simple appareil qu'ils entamèrent leurs ébats.
La splendide érection méritait un hommage buccal. Elle s'empara du gland plantureux tout en lui offrant sa chatte à lécher. Le 69 était pour elle la meilleure des entrées en matière avec un nouvel amant. Elle prolongea le moment à dessein. Il léchait bien et elle interrompit parfois sa succion pour gémir. Son sexe était devenu un brasier. Seule une lance bien dure pouvait envisager de l'éteindre. C'est pourquoi elle interrompit l'exercice pour fourrager dans sa table de nuit et en extraire un préservatif qu'elle posa avec un geste doux et sûr. Puis elle enfourcha le jeune homme et vint s'empaler sur lui avec précaution pour ne pas brusquer ses chairs intimes trop longtemps sevrées. Mais quand il fut totalement engagé en elle, elle ferma les yeux et savoura l'introduction avant de faire aller et venir son bassin. Elle avait dénoué ses cheveux et Jeff découvrit la femelle en chaleur qu'il conjecturait, pointes de seins dures, abdomen mouvant dans une peau d'albâtre piquetée de taches de son, langue entre les lèvres et yeux brillants posés sur les siens. Ils baisaient.

Pour Mylène, le moment était particulièrement délectable. Elle se rendit compte très vite qu'elle avait sous-estimé le potentiel érotique du jeune homme. Il n'en était pas, à l'évidence, à sa première baise. Sauf qu'elle était sûrement la plus âgée de ses conquêtes et il s'agissait de lui montrer qu'il n'avait pas perdu au change. Le volume et la raideur de ce qui occupait son antre intime lui procura d'emblée des sensations qu'elle croyait enfouies à jamais. Elle en profitait en se tordant les hanches, en se mettant sur ses pieds pour allonger l'érection et faire claquer leurs peaux, en basculant en arrière les bras en appui derrière elle, tout pour que cette bite, cette jeune bite, la visite au plus profond d'elle-même. Ce n'était pas tous les jours fête.

Sous elle, le jeune homme était subjugué par le spectacle qu'elle lui offrait. Aucune meuf de son âge ne lui avait témoigné un tel plaisir. Et après tout, ce corps mince et charnu à la fois, malgré quelques imperfections, valait bien celui des filles grassouillettes ou maigrichonnes qui avaient fait son ordinaire. Et en plus, elle causait. Elle évoqua les positions qu'ils allaient prendre, l'adjura de durer, célébra sa bite et suite à une levrette particulièrement ardente, lui proposa même de "l'enculer", texto. Jamais il n'aurait cru que son élégante voisine pût être cochonne à ce point. Il entra entre ses fesses avec plus de facilité qu'il l'aurait cru grâce à la crème dont elle s'était enduite et quand elle cria, en pleine extase, "ah tes couilles sur ma chatte", ce fut plus fort que lui : il explosa dans son rectum. Il s'aplatit sur elle, rincé, pendant qu'elle bavait sur le drap. Puis elle se releva et courut aux toilettes. Elle en revint toujours aussi nue, l'embrassa et entama une conversation post coïtum.

- Tu es doué pour l'amour, mon petit Jefferson. Tu m'as vraiment fait jouir. J'en avais vraiment besoin. Et toi ?
- Moi aussi. Cela faisait au moins six mois que je n'avais pas baisé. J'en avais marre de m'astiquer.
- Oui, j'ai vu que tu regardais du porno. Et ça t'arrive souvent ?
- Tous les jours ou presque.
- Eh bien, le porno, tu l'as fait avec moi. C'est mieux non ?
- Ah oui, tu es un coup en or. Je ne l'aurais pas cru à te voir.
- Tu ne connais pas encore très bien les femmes. Beaucoup pensent au sexe sans le dire.
Elle regarda le pénis flappi de son jeune amant, le cajola, l'embrassa et lui souffla :
- J'ai encore envie, tu sais ? Je ne suis pas rassasiée. Je vais ranimer ta flamme. Viens, on va aller devant ton ordinateur et tu vas choisir une vidéo qu'on va regarder ensemble. Trouve celle qui t'excite.

Un peu surpris, Jefferson accompagna sa nouvelle maitresse dans son salon et se brancha sur son site habituel. Il isola une sextape dévoilant un couple d'une quarantaine d'années dont c'était visiblement la première expérience. Assis dans son canapé à côté de Mylène aussi nue que lui, il observa les préliminaires des deux exhibitionnistes et dès l'accouplement, sa queue commença à se redresser, encouragée par la main de la quinquagénaire qui ne perdait pas non plus une miette des ébats sur écran. Elle les commenta en jaugeant l'érection de l'homme et jugea que la femme ne simulait pas :
- Regarde son visage, ça ne trompe pas, elle prend son pied, son mec remue bien son cul.
Elle écarta les cuisses, invitant le jeune homme à la caresser. Et c'est en se masturbant mutuellement qu'ils poursuivirent la vision de la sextape. L'homme était assis sur son sofa et sa femme le chevauchait en regardant la caméra, dos à lui. Jefferson bandait maintenant franchement et Mylène lui dit :
- On va faire pareil. Je vais venir sur toi et on va les regarder en baisant. Ce sera comme un plan à quatre.

La situation était particulièrement jouissive. Mylène dansait sur la queue de Jefferson, en appui sur ses pieds, les mains sur ses genoux. La frénésie de sa croupe le subjuguait. Cette femelle avait vraiment le feu au cul. Il tordit le cou pour pouvoir visualiser en même temps la vidéo que le dos de sa partenaire cachait en bonne partie. Elle multipliait les "mmmhhh", les "oohhh" et les "ahhhh", signes qu'elle jouissait autant que lui de la situation. En proie à un orgasme, elle se raidit, s'immobilisa et couina. Elle se releva, légèrement échevelée, les joues rosies par le plaisir.
- Tu me tues ! lui dit-elle, tout en considérant l'érection intacte de son jeune amant, qu'elle célébra aussitôt :
- Tu as encore envie de moi, hein ? Regarde les, dit-elle en montrant le couple sur la vidéo, on va faire pareil.

L'homme besognait maintenant sa femme allongée sur le sofa, un pied sur le dossier. Mylène prit la même pose et ils se remirent à baiser, tantôt se regardant les yeux dans les yeux, tantôt jetant un oeil sur l'écran, comme pour vérifier qu'ils étaient toujours "dans le ton". Quand la femme agitait ses pieds, en l'air ou croisés dans le dos de l'homme, Mylène faisait de même. Jefferson, grâce à son éjaculation précédente, se sentait capable de durer, de résister aux ruées de sa partenaire qui, en d'autres circonstances, l'auraient déjà fait gicler. Sans parler de ses multiples injonctions et satisfecit, qui satisfaisaient son égo de jeune mâle. Jamais une fille n'avait autant vénéré, loué et célébré sa queue.

Ils abandonnèrent provisoirement la vision de la vidéo quand le couple tourna le dos à la caméra, l'homme prenant la femme par derrière tandis qu'elle s'appuyait sur le dossier du sofa. Ce fut pour Jefferson l'occasion d'admirer le dos mouvant de Mylène, et pour elle de lui palper les couilles en glissant une main entre ses jambes. Il résista à l'envie de la sodomiser à nouveau car il savait qu'il ne pourrait plus résister à l'éjaculation. C'était d'ailleurs ce qui s'était produit sur la vidéo. L'homme n'avait pu résister à l'emballement fessier de la femme. Ce que constatèrent les deux voyeurs, désormais désunis.
- Viens, tu vas me finir au lit, décréta Mylène.
Ce fut dès lors un final plus classique. Jefferson pénétra la quinquagénaire en missionnaire et se laissa emporter par la houle de son ventre, de ses fesses, de ses cuisses, de ses pieds jusqu'à ce que son visage se torde de plaisir dans un cri guttural. Ses ongles griffèrent les fesses du jeune homme qui explosa en s'arrachant les reins. Ils avaient joui ensemble. Un final grandiose à l'image de ce coït totalement réussi, quoique asymétrique par l'âge. Cette fois, elle demeura au lit, l'emprisonnant pour qu'il reste avec elle. Et il finit la nuit dans son lit.
*******
Ce fut le début d'une liaison assez particulière. Ils se montrèrent assez peu ensemble mais se retrouvaient de temps à autre, tantôt chez l'un, tantôt chez l'autre, pour assouvir leurs désirs et leurs besoins sexuels. Mais au bout de quelques semaines, Mylène montra une certaine lassitude, due moins à l'absence d'envie que d'une fatigue générale. Ce blondinet insatiable était un voleur de santé. Elle l'incita un jour à "trouver une copine de son âge", tout en précisant que ça n'induisait pas une rupture totale : "tu pourras venir me voir quand tu voudras, juste un peu moins souvent, je n'ai pas ton âge, tu sais", lui avait-elle avoué sans dire qu'il l'épuisait. Mais il avait compris. Il suivit son conseil et trouva une Aurélie aimant le cul, qu'il présenta à sa maîtresse. La jeune fille, fûtée, comprit la situation et ne s'en offusqua pas. Elle lui proposa même un jour un "plan à trois", et ce fut une nouvelle expérience, cependant provisoire. En effet, tout se termina quand Jefferson et Aurélie décidèrent de vivre ensemble et donc de trouver un appartement plus spacieux que le studio du jeune homme. Ils déménagèrent et Mylène vit partir son jeune amant, la boule au ventre et sans illusion pour la suite. C'était comme si un nouveau tournant marquait sa vie. Mais elle se consola en se disant qu'au fond, c'était l'évolution naturelle des choses. Et elle rappela son vieil amant, qu'elle avait délaissé pendant toute cette séquence.
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Histoire de Micky

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Commentaires du récit : Une porte bien ouverte

Le 25/09/2022 - 12:45 par DBHB24
Beau récit.
Le 23/09/2022 - 21:30 par OlgaT
Et bien voilà une étourderie qui a eu d'heureuses conséquences!

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