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Une premiére experience d'exibitionnisme: version 2 Un bel hollandais

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/04/2022

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PREMIERE EXPERIENCE D'EXHIBITIONNISME
VARIATION 2 : un bel hollandais



Introduction

Nous sommes un couple dit “reconstitué” (comme cela se dit aujourd’hui) d’une quarantaine d’années à l’époque de cet épisode. Ma compagne, Hélène est une femme agréablement faite qui possède trois singularités qui la distinguent de beaucoup d’autres femmes.
La première, c’est une vraie rousse à la peau laiteuse parsemée de petites taches de rousseur, aux poils pubiens broussailleux et colorés qui laissent entrevoir une jolie et large fente ornée de petites lèvres roses très fines.
La seconde, une paire de fesses bien rondes et charnues dont on remarque aisément la proéminence sous les plis de la jupe de son tailleur. Qu’elle soit habillée ou nue ses rondeurs font l’objet de quelques coups d’œil gourmands des hommes qui la croisent, mais pas seulement.
La troisième, une belle poitrine bien proportionnée dont les seins sont généreux et opulents. Bien galbés, ils ont une forme généreuse et une douceur agréable au toucher.
J’admire la chute de ses reins et me régale à la vue des rondeurs de son derrière lorsque nue elle prend le soleil allongée lascivement sur la plage.
Souvent nue car ma compagne et moi même pratiquons le naturisme depuis de nombreuses années.
Cette année là, nous avions pris une semaine de vacances dans un centre naturiste situé dans le sud de la France dans un endroit sauvage en bordure d’une belle rivière.
Pour nous, ces vacances représentaient une parenthèse dans notre vie trépidante de citadin et l’occasion de se retrouver, nous qui vivions encore séparément, de renouer avec des moments de bonheur et de plaisir partagés dans la chaleur et la quiétude de l’été au sein d‘une nature sauvage.


Première partie: une rencontre fortuite


Cet après midi là, nous avions décidé de partir nous promener et trouver un endroit tranquille pour se baigner. Quittant notre mobile home dans le plus simple appareil avec juste un petit sac à dos contenant nos serviettes de plage, un livre et une bouteille d’eau nous suivons la rivière par un sentier ombragé sur plusieurs centaines de mètres.

Nous cheminons tout nus, en toute liberté. Ma compagne marche devant, sa croupe altière ondule au gré des anfractuosités du chemin. La vision de ce spectacle provoque en moi une montée d’adrénaline et des pensées obsédantes.
Il fait chaud mais la présence de l’eau nous apporte un peu de fraîcheur. Nous marchons maintenant depuis une dizaine de minutes lorsqu’un bruit me fait sursauter et brusquement me retourner . J’aperçois un homme de forte stature, non loin de nous, au contour du chemin.. Aussitôt, il s’éclipse derrière un bosquet d‘arbustes. Sans doute cet homme nous suit-il depuis le départ de notre périple.
Hélène semble inquiète et soucieuse, elle se demande ce que veut cet homme et pourquoi il nous suit. Je la rassure en lui disant qu’il s’agit sans doute d’un voyeur qui cherche un couple à mater.
On nous avait dit à la réception du centre que des voyeurs venaient par ici en remontant la rivière pour mieux observer les femmes nues qui se dorent offertes aux rayons du soleil sur les petites plages et le soir venu les ébats de quelques couples exhibitionnistes cachés dans les futées. On nous avait dit de repousser les intrus et de les signaler aux gardiens.
Contrairement aux voyeurs textiles tel que nous les qualifions entre naturistes, souvent habillés ou en maillot de bain, notre suiveur est complètement nu à l’exception d’une paire de basket aux pieds.
Arrivés à cette petite retenue d’eau que nous avions découverte lors d’une précédente promenade nous décidons de nous y arrêter. Il n’y a personne pour troubler la quiétude de l’endroit sauf peut-être l’inconnu qui nous suit à distance épiant nos moindres gestes et aiguisant ma curiosité.
A cet endroit la rivière y est plus large et plus profonde, un muret de pierres forme une retenue qui donne naissance à une petite cascade blottie dans un écrin de verdure.
Notre sac posé sur le sable et nos baskets ôtées, nous entrons dans l’eau, surpris pas sa fraîcheur. Nous faisons quelques brasses, la sensation est agréable de l'eau sur nos corps nus. Rapidement la natation fait place aux jeux amoureux des caresses que l’on se promulguent dans l’eau. Nos mains courent sur nos corps nus et mouillés, nous cherchons à nous échapper de furtives étreintes. J’attrape ma compagne par la taille et fait semblant de vouloir la noyer et profite de la situation pour glisser ma main dans la raie de ses fesses, les rires fusent dans de grands éclats d’eau.

Notre inconnu, qui a un instant disparu, nous épie, tout proche, à demi caché par les feuillages. Je fais semblant de ne pas l’apercevoir, devinant sa probable stratégie de rapprochement. Je fais remarquer, à Hélène la disparition du curieux ce qui semble la rassurer quelque peu. Tout en l’entraînant vers le muret de pierres je me demande si je n‘ai pas tord d‘offrir au regard lubrique de cet homme les rondeurs subjectives de ma compagne. Mais l’idée que celui-ci puisse se régaler en observant nos ébats érotiques et fantasmer sur nous m’excite tout en m’inhibant car je me demande comment ma compagne pourrait accepter le fait qu’un homme autre que le sien puisse ainsi la désirer. J’ai peur de voir la situation dégénérer en esclandre, en drame et en frustration si ma compagne s‘aperçoit que je l‘offre ainsi en spectacle à un inconnu.
Mais l'envie de jouer et de transgresser est plus forte.

Nous nous installons donc sur les pierres plates du muret, assis l’un près de l’autre, silencieux, profitant pleinement de cet endroit charmant, ombragé et si discret.
Je prends ma compagne dans mes bras et l’étreins tendrement, l’embrassant avec fougue. Nos respirations sont devenues plus rapides, nos mains glissent sur nos corps encore mouillés provoquant la montée d’un désir commun. Nos bouches s’étreignent et nos langues se mêlent avec gourmandise. Nos corps se pressent l’un vers l’autre, mes mains caressent le bas du dos de ma compagne et je sens la pression de ses gros seins sur ma poitrine.
Mon sexe se tend à l'extrême, droit comme un cierge vers ma compagne amusée.

Hélène très excitée me suce et me mordille la pointe des seins tout en caressant d’une main ferme au geste lent mon sexe tendu au gland maintenant complètement dégagé du prépuce. Je suis aux anges.
Entre deux caresses sur la hampe de ma verge elle me prend délicatement mes bourses dans sa main, les soupèse et les tord doucement. Elles sont dures et bien pleines.

A mon tour je lui embrasse ses opulents seins dont les pointes auréolées et dorées durcissent sous ma langue. Je les mordille tendrement provoquant un petit cri de plaisir tandis que les doigts de ma main droite glissent sur son ventre pour aller se perdre dans la broussaille flamboyante de son pubis.
Son souffle s’accélère, s’échappant par saccade de sa bouche entre ouverte. Elle a abandonné les caresses de ma verge prise par le vertige de son propre plaisir. Les yeux mi-clos, la tête penchée en arrière, les mains accrochées aux pierres du muret je la sens partir, glisser dans le nirvana du plaisir.
Sans m’arrêter de caresser et de couvrir de baisers les seins de ma compagne, j’observe la judicieuse progression de notre voyeur. Il est maintenant à peine à quelques mètres de nous, au bord du muret, bien en face, accroupi, masqué par quelques grandes herbes. Il ne peut pas ne pas savoir que je le vois et lui ne peut rien manqué du spectacle que nous lui offrons.

De me savoir et voir observé en pareille situation m’excite au plus haut point, me donnant l’envie soudaine d’exposer l’anatomie la plus intime de ma compagne aux yeux de ce lubrique voyeur.
Je l'aperçois, je le sens, je l'imagine déjà se caressant le sexe, bandant à la vision du spectacle que je vais lui offrir.

Deuxième partie: du plaisir à l'orgasme

Ma main glisse entre les cuisses d' Hélène puis par un jeu subtil de caresses et de pressions de mes doigts j’écarte délicatement celles-ci. Maintenant mes doigts fouillent la naissance de sa fente écartant les poils fauves qui la recouvrent partiellement.. Spontanément, elle écarte un peu plus les cuisses afin que mes doigts agiles découvrent un clitoris gonflé et durci par le désir. Aussitôt, je le caresse avec délicatesse prodiguant une légère pression de mon pouce sur la peau qui forme son capuchon. Ma compagne échappe un bruyant râle de plaisir et entrouvre encore plus largement les cuisses, cherchant une position plus confortable, légèrement inclinée en arrière, les cuisses relevées. Ainsi offerte, son minou rosé orné de ses fines lèvres, légèrement entrouvert apparaît en pleine lumière. Afin de permettre à notre observateur de ne rien manquer du spectacle je me décale légèrement de côté lui dégageant totalement la vue.
J’observe rapidement sa réaction car il est maintenant debout les yeux rivés sur l’intimité humide de mon amie et tient son sexe dans une main, un sexe à première vue aux proportions remarquables.
Je n’ose imaginer ce sexe impressionnant pénétrer violemment dans cette jolie petite
chatte si délicatement offerte.
Cet instant de trouble passé, je poursuis ma petite besogne accélérant les caresses sur ce clitoris qui gonfle et durcit à loisir sous mes doigts. Je ne pense plus à mon plaisir égoïste, trop préoccupé par celui de ma compagne qui maintenant pousse en continu des râles de contentements, tout aussi préoccupé d’offrir au regard de mon voyeur le corps vibrant de celle-ci sous l’emprise de mes intimes caresses.

Soudain, Hélène, entre deux râles de plaisir me murmure à l’oreille: “ j’ai l’impression que quelqu un nous observe”. Puis elle reprend:”il est parti le grand blond qui nous suivait”. Je ne réponds pas tout de suite de peur de briser le charme de la situation. Après un cours instant de réflexion je réponds: “ je ne sais pas mais si il est par ici, il est bien caché” dis-je benoîtement, ajoutant aussitôt:” je te trouve très belle quand tu jouis sous mes caresses, cela est très excitant pour qui veut en profiter, tant mieux si on peut en faire profiter un inconnu”. Puis entre deux râles, Hélène minaude: “Moi aussi je commence à trouver cette idée très excitante”.

Elle ne pouvait imaginer à ce moment là combien la situation devenait intense, chargée d'émotions contradictoires entre plaisir de partager et pudeur.
Maintenant, mes doigts glissent le long de ces fines lèvres jusqu’à l’entrée de son vagin mouillé. Mon index palpe l’entrée de l’orifice dans un mouvement circulaire sans vraiment y pénétrer. Je sais qu’Hélène apprécie ce type de sollicitation.

Ne tenant plus, ma compagne enivrée par la jouissance me saisit la main m’invitant à enfoncer au plus profond de son intimité ce doigt qui titille l’entrée de sa grotte humide. Je m’exécute en l'enfonçant profondément, elle me crie aussitôt un ordre impératif:” branle moi, fais moi jouir “. A peine mon doigt engouffré dans le tréfonds de sa fente qu’elle est prise de tressaillements, son corps entier ondule au rythme des petits cris aigus qui sortent du fond de sa gorge. Ses cuisses se sont largement ouvertes.
J’enfonce mon doigt au plus profond de ses entrailles tout en pratiquant un mouvement de va et vient d’abord lent puis plus rapide. Je sens ma compagne au bord de l’orgasme, j’accélère le mouvement en glissant un second doigt, son orifice se dilate légèrement sous la poussée de ses intrus. Son vagin est tout détrempé, mes doigts couverts de son suc intime entrent et ressortent de la cavité avec vigueur. La jouissance de ma compagne atteint des paroxysmes elle ne retient plus ses cris rauques et puissants qui sortent du fond d’elle. De sa position d’équilibre instable elle parvient à libérer une main et se caresse les seins avec volupté. De la paume de sa main elle presse un sein tout en serrant entre ses doigts un téton gonflé qui rougit sous la pression. Ma main libre la rejoint et exécute un mouvement similaire sur l’autre sein et son téton tout en maintenant la pression de mes doigts dans son minou. Son plaisir est ainsi décuplé. Je la sens prés à exploser comme un volcan en éruption.

Notre voyeur inconnu est tout prés, si près qu’il peut nous toucher. Il semble savourer cette scène car il a du mal à contenir son souffle, bousculé par la vision de cette femme en transe, la fente maintenant largement ouverte offerte à la pression de mes doigts et dont les fines lèvres sont recouvertes de mille gouttelettes de suc intime. Et afin qu'il puisse pleinement profiter de la scène je retire régulièrement ma main de l'entre-cuisse de ma compagne pour lui offrir la plus belle vision.

A peine sorti de l’ombre notre bel inconnu vient s’asseoir à nos cotés, près de ma femme qui prit par l’intensité du plaisir que je lui prodigue ne s’aperçoit de rien. Je fais signe à notre inconnu de ne rien faire, de ne rien dire et de ne pas bouger.
J'ai soudain peur que sa précipitation mette en périr ce délicieux moment et qu'il veuille profiter lui aussi de la situation sans y avoir été intimement invité. D'un geste de la tête je l'invite à apprécier le spectacle sans en bouleverser le déroulé

Je perçois maintenant son sexe tendu, il me semble encore plus gros et plus grand, se terminant par un gland tuméfié en forme de champignon, sa hampe est veinée et épaisse. Il doit bien mesurer une bonne vingtaine de centimètres de long.
Il le tient dans sa main comme on tient un gros gourdin, le caressant fermement.

C’est à ce moment que ma compagne saisie d’une violente et irrépressible contraction qui secoue tout son corps ressert violemment ses cuisses sur ma main, emprisonnant mes doigts dans son vagin contracté, tout en poussant un long et puissant cri de plaisir. La jouissance est sans réserve. La pression est si forte que mes doigts semblent brisés. Je n’ose les retirer de peur d’anéantir l’enchantement de ce moment.
Hélène reste sans réaction comme tétanisée par le plaisir, elle reste inerte, penchée en arrière, la tête totalement renversée, les yeux clos, la bouche ouverte. Ses cuisses tiennent fermement ma main prisonnière. Elle savoure avec extase ce moment de total abandon.

Troisième partie: un nouvel orgasme

Un sentiment de satisfaction m’envahit. Je suis heureux de lui avoir offert tant de plaisir surtout de cette manière car il y a longtemps que je ne l’avais aussi bien branlée et qu‘elle n‘avait autant jouis ainsi.
Pendant de longues minutes le silence règne, pesant, Hélène semble avoir perdu connaissance. Puis elle relâche l'étreinte libérant ma main torturée.

Ouvrant maintenant les yeux elle pousse soudain un cri strident de surprise et amorce un mouvement de recul à la vue de notre inconnu qui est assis à côté d'elle. Je m'attends à un esclandre violent, des cris et à des injures à l'attention de notre bel étranger. Mais rien, pas un mot, elle le regarde fixement en lui souriant benoîtement .
C'est alors que notre bel étranger, sans un mot, pose délicatement une main sur sa poitrine. Ma compagne ne réagit pas, prisonnière des sentiments diffus et confus dont elle est envahit après ce premier orgasme.
Toujours envahie par l'extase de ce moment de bonheur, elle ne prête nulle attention à notre inconnu qui enhardit par l'absence de réaction intensifie la pression de ses caresses sur la pointe de ses opulents seins. Hélène finit par sursauter, surprise de trouver là cet homme impétrant.
Mais alors , plutôt que de rejeter l'initiative téméraire de notre inconnu, elle l'invite d'un petit signe de tête à peine perceptible à poursuivre la découverte de son corps.
Je suis sidéré par pareille réaction, à la fois curieux de connaître la suite et un peu angoissé par ce que je redoute. Les sentiments contradictoires se mélangent dans ma tête chamboulée.
Poursuivant, notre beau téméraire fait glisser sa main sur le ventre de ma compagne tout en lui embrassant les pointes durcis de se seins gonflés par le désir.
Profitant de l'audace de notre étranger mais ne voulant pas lui laisser seul l'avantage, je prends l'initiative de changer de place et de me positionner dans le l'eau devant le muret et face à ma chérie qui m'offre ainsi une vue panoramique sur son entre cuisse..
Je glisse ma tête entre ses cuisses largement ouvertes et applique ma langue sur l'objet de son plaisir et fouille avec application sa fente mouillée.
Toujours penchée en arrière elle s'offre totalement au plaisir que lui prodigue les caresses de ma langue qui poursuit à un rythme régulier les passages sur son clitoris gonflé et tendu et les fines lèvres ourlées de son minou.
J'accentue le léchage par un mouvement de la langue pénétrant dans l'entrée de sa grotte sucent le suc intime qui s'en écoule abondamment.
Hélène tout à son plaisir émet un râle continu ponctué de petits cris de jouissance qui m'indiquent les endroits les plus sensibles à mes coups de langue.
Repu par l'exercice de léchage qui a rempli ma bouche d'une aigre saveur, je reprends ma place auprès de ma chérie cherchant à contrôler l'attitude de mon voisin. .
Très excitée par nos nombreuses sollicitations, Hélène agite son bassin en un mouvement ample et aérien nous invitant à redoubler nos palpations intimes. Maintenant, notre ami lui caresse le creux des cuisses. Aussitôt, elle lui offre sa bouche qu'il embrasse avec empressement et délectation, tout en caressant le pubis poilu de madame, les doigts pris dans son épaisse toison.
Quant à moi, je poursuis mon investigation en enfonçant profondément un doigt dans sa chatte détrempée déclenchant un cri roque de jouissance. Hélène revient vers moi en m'embrassant goulûment tandis que notre ami fait rouler sous son index son clitoris gonflé et tendu, sorti de son capuchon, près à exploser.
Hélène jouit pleinement nous embrassant simultanément sans retenu, nous léchant les lèvres, nous mordillant.
Sa position inconfortable et instable ne lui permet pas une réelle liberté de mouvement, aussi nous en profitons pour couvrir son corps de baisers et de caresses.
Au comble de son désir, Hélène saisit la main de notre inconnu et l’entraîne vers l'entrée de son vagin où déjà mon indexe œuvre sans discontinuer. Je le retire laissant notre nouvel arrivant y glisser un doigt épais dirigé et poussé, au plus profond de son intimité par la main experte de ma compagne. Ce qui provoque immédiatement un surcroît de plaisir exprimée par des plaintes et cris successifs.
Hélène se trémousse au rythme de ces caresses intimes. Notre inconnu en profite pour aventurer un deuxième doigt épais dans son vagin détrempé.
Au paroxysme de son plaisir, ma compagne cri sa jouissance sans retenu. Ne voulant pas laisser notre étranger seul maître du jeu, j'introduis également en forçant un doigt, puis deux dilatant un peu plus l'entrée du vagin d'Hélène qui râle comme une désespérée. Et ensemble, mon ami et moi, nous engageons un va et vient lent puis de plus en plus rapide arrachant du fond des entrailles de ma compagne des hurlements stridents. L'orgasme est torride et sonore, dans un tremblement qui secoue tout son corps, Hélène éructe et referme avec puissance ses cuises sur nos mains piégées dans son ventre.
Pendant de longues minutes qui nous semblent durer un siècle, le silence règne pesant.
Hélène qui semble avoir perdu toute notion du temps finie par relâcher son étreinte et libérer nos mains torturées et nos doigts engourdis gluants de tout l'abondant écoulement de son suc intime marqueur de l'intensité de sa jouissance.

Épuisée mais totalement ravie, Hélène se laisse glisser dans l'eau de la petite retenue, rafraîchissant ce corps encore brûlant de passion.
Abandonnés sur notre muret de pierres nous observons Hélène qui s'asperge le ventre, les fesses et la vulve d'eau, prenant soin de faire disparaître toutes les traces liquides de son plaisir. Mon ami et moi trouvons la situation plaisante à regarder jusqu'à ce que ce dernier s’intéresse de près à mon sexe en érection, en me saisissant la queue et la caressant avec volupté, tout en cherchant à m'embrasser.
Surpris d'une telle attitude choquante je repousse ces avances et lui demande de s'en aller.
Sur le moment je ne comprends pas son agissement après ce que nous venons de vivre et partager avec ma compagne.
Celle-ci qui n'a rien manquée de la scène, et trouvant la situation cocasse revient vers nous.
Elle semble décider à s’intéresser un peu à nous et à nos sexes toujours en érection.

Accroupie dans l'eau face à nous qui sommes assis sur le muret, nos sexes tendus vers le ciel, Hélène se saisit de ma bite et commence à branler ma hampe durcie. Elle décalotte mon gland rougi et l'embrasse avant de le lécher puis de l'engloutir dans sa bouche. Avec quelques coups de sa petite langue, elle m'abandonne pour s'occuper de mon voisin dont elle saisit la queue deux fois plus volumineuse que la mienne pour jouer avec ce gros et long membre qu'elle tripote avec volupté, le léchant ainsi que son gland majestueux en forme de gros champignon.
Ensuite, elle revient vers moi afin de poursuive sa besogne avec la reconnaissance de tout ce que l'on a fait pour elle.Elle me lèche et me suce avec application, sa langue est vive, sa succion est forte. Maintenant, c'est tout mon membre qui disparaît dans sa bouche. Je n'en peux plus, je me retiens depuis trop longtemps.

Alors j'explose dans le fond de sa gorge dans un grondement de soulagement et de jouissance. Je me libère et de ma bite s'échappe un long trait de sperme épais qui va lui tapisser la bouche Hélène qui n'apprécie pas son goût particulier le recrache aussitôt.
Je me sens soudain vidé, sans ressort, épuisé par tant d'émotions.

Hélène qui a lâché mon sexe débandant poursuit avec application et méthode la fellation de mon voisin qui littéralement se pâme de plaisir. Cependant elle n'ose pas enfourner dans sa bouche un si volumineux membre, alors elle le lèche de sa base à son extrémité et suce son volumineux gland tout en malaxant d'une petite main maladroite ses imposantes couilles.

Ce qui convient parfaitement à notre ami qui tortille des fesses et approche de la libération orgasmique. Hélène sentant monter le plaisir de celui-ci et venir l'éjaculation, dont quelques gouttes de liquide séminal coulant sur sa langue en sont les prémisses, recule mais ne peut totalement éviter le puissant jet de sperme, sorti droit de ce gland tuméfié, qui vient s’écraser sur ses seins.
Très émoustillée d'avoir ainsi provoqué de telles réactions et fière d'avoir vider les couilles de ses admirateurs empressés, épuisée par tant de plaisir et par l'intensité de ce que nous lui avons prodigué, Hélène se laisse aller dans l'eau fraîche de la rivière au gré du courant jusqu'à la petite plage où sont posées nos quelques effets.

Après avoir échangé quelques mots en anglais avec notre ami qui n'est plus un inconnu, je prends congés et je rejoins ma compagne qui s'est assoupie sur sa serviette.

Quelques jours plus tard, alors que nous faisons quelques courses dans le magasin d'alimentation du centre naturiste, nous tombons nez à nez au détour d'une gondole avec notre ami « l'inconnu à l'accent nordique ».
La surprise est totale, il est avec sa petite famille, sa femme et sa petite fille et pousse le chariot de courses. Ils sont totalement nus. Pas de doute c'est bien lui
Il feint de ne pas nous voir , nous reconnaître. Hélène qui n'a pas sa langue dans sa poche comme on a pu le remarquer, leur barre le passage et avec un large et avenant sourire l'apostrophe avec un grand bonjour en anglais et entame la conversation. Notre bel ami est très mal à l'aise face à la situation et gêné il finit par nous présenter sa famille, sa femme Irène, sa fille Lola de 8 ans . Sa femme est une belle blonde nordique à la peau laiteuse, élancée, grande et mince, bien faite. Je la détaille du pied à la tête, devant Peter, car c'est comme cela qu'il se prénomme, ce qui semble un peu l'agacer. Irène se rend compte que je la mate sans s'en offusquer. Peter nous présente comme des amis français rencontrés sur les bords de la rivière avec lesquels il apprécie converser. Tout en échangeant quelques mots avec sa femme en flamand ,il dévore Hélène des yeux en cherchant au travers du paréo qui la ceint à retrouver les formes qu'il a aimées caresser.
Après un échange de quelques banalités nous nous séparons en espérant nous revoir un jour ou l'autre, ici ou ailleurs.
A la sortie de la supérette, j'entoure ma compagne et lui susurre à l'oreille : « tu imagines la partie carrée que nous aurions pu faire ensemble avec eux ».
Hélène soupire « elle est très belle sa femme et très attirante, son mec aussi est très bandant » .

Août 2018.
DOLBACH.
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Histoire de DOLBACH

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Commentaires du récit : Une premiére experience d'exibitionnisme: version 2 Un bel hollandais

Le 17/12/2022 - 21:18 par Trial
Décidément j'adore ta façon de raconter, merci

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