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Une soirée découverte

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/01/2024

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Franck n’avait jamais ressenti un tel plaisir. Il se caressait frénétiquement, respirait très fort. Là, face à lui, dans le salon à peine éclairés, moi, Iris, sa femme et Mike, mon amant faisions l’amour sur le canapé. Jamais il n’aurait pensé qu’une pareille scène puisse lui procurer une telle jouissance, jamais il n’avait vu une chose de si sublime. Son sexe était dur et sensible. Ses yeux se posaient avec amour sur mon superbe corps. Il ne m’avait jamais autant aimée, admirée, presque idolâtrée. Qu’elle est belle, devait-il se dire… Il jeta un instant un regard sur Mike, son ami depuis dix ans, au corps de jeune trentenaire, fan de rugby, et comprit pourquoi celui ci était si apprécié des femmes. Il était beau, brun, des yeux bleus sublimes, un sourire d’ange et ingénu, des fesses fermes et musclées et un sexe gros et long.
Mon mari se demandait combien de ses potes m’ont déjà baisées.
Cela devrait le révolter de ne pas savoir, mais au contraire, il ne se rappelait pas avoir autant bandé. Je lui promis qu’un jour, je lui raconterais mes soirées libertines, ou comment j’ai dû m’offrir pour boucler certaines affaires.
En attendant, il regardait sa petite femme brune se faire baiser en levrette. Mike me prit les deux mains et les tint derrière mon dos, le visage plaqué contre le rebord du canapé. Il savait que cela m’excitait et voulait montrer à mon mari qu’il me possédait. Ses coups de rein se faisaient plus puissants et rapides. Les fesses cambrées, le visage rougi et grimaçant de plaisir, je gémissais de plus en plus fort. La queue glissait dans ma chatte, me donnant ce plaisir exquis que je ressentais lors des pénétrations profondes. Je criais et suppliais.
- Vas-y baise moi comme une chienne.
Mes seins fermes, parfaitement dessinés durcissaient. Il me tenait toujours fermement et tirait même fort sur mes bras. Il me relâcha et attrapa mes beaux cheveux longs et lisses, ce qui me fit se cambrer d’avantage, puis me claqua plusieurs fois les fesses.
- J’adore te baiser et fesser ton cul de petite salope devant ton mari.
Puis se tournant vers Franck.
- Tu as vu comme ta chérie aime ça ?
Franck se caressa de plus belle en gémissant à son tour et répondit.
- Elle adore ça, elle est si belle quand tu la baises, je suis si fier d’elle.
Je me sentais possédée et adorais ce vocabulaire cru. Depuis maintenant deux ans, j’avais goûté au plaisir de multiples amants, plusieurs par mois…mais Mike était un de mes préférés… Le fait que Mike était un ami de nôtre couple n’y était pas pour rien. Cela me faisait mouiller d’autant plus.
Je voyais mon époux se masturber et cette exhibition conjugale me rendait plus perverse, cochonne, et folle de désir alors que l’idée lui avait semblé trop immorale au début. Je me sentais belle, irrésistible pendant l’amour. J’avais longtemps caché mon appétit sexuel que mon éducation bourgeoise réprimandait, mais ma nature, ce démon qui sommeillait en moi, avait pris le dessus et je ne pouvais plus me passer de mes amants, et du plaisir que ma chatte me donnait. Plus j’en avais, plus je me sentais une femme forte.
Mike, lui, sentait sa queue de plus en plus dure et sensible à la douceur de la petite chatte trempée de la femme de son pote.
Décidément il adorait faire l’amour aux femmes à l'orée de la quarantaine, et j'étais totalement son genre. Une belle brune avec des hanches bien galbées, un très joli visage, de grands beaux yeux noisettes et peut être les plus beaux seins qu’il ait jamais vus. J'étais une de celles avec laquelle il s'éclatait le plus, et complètement folle de sa bite. Je ne me contentais pas d'accueillir la pénétration, je m’empalais sur lui, comme si ma vie en dépendait…et devant son mari en plus !
Cette grande bourgeoise, issue de la haute, qui avait un peu méprisé, lui l’artisan ébéniste, lors de nôtre première rencontre, était devenue depuis une importante directrice dans une société d’assurances… mais surtout une droguée de sexe, accro à Mike et aux hommes en général, trompant mon mari pratiquement à chaque soirée qu’il avait pu passer avec moi. Il n'était pas rare qu'il ne me surprème en train de tailler une pipe à un inconnu, sur un coin de terrasse.
Mike était très heureux car ma transformation était un peu son œuvre, et quelque part sa vengeance sociale. Comme à chaque fois, Il avait eu un peu de mal à me convaincre, mais j'avais fini par céder et avais demandé à Franck de jouer le rôle du mari voyeur… Nôtre couple se montrait d’ailleurs encore plus enthousiaste que ce que Mike pouvait rêver. Il est vrai qu’ils étaient libres sexuellement et que déjà, j'avais de l’expérience… Et Mike n’y était pas pour rien. Il me rappela la soirée où je m’étais tapée deux mecs de son équipe de rugby.. Ses équipiers lui en parlaient encore et réclamaient de nouveau une soirée « avec ta copine MILF nympho»…l’idée excitait Mike qui me pénétrait plus durement encore…
Il hurla et jouit une première fois dans le préservatif, sa bitte bien profond en moi. Je criais et esquissais un sourire en me mordant les lèvres, lorsque que je sentis Mike éjaculer en moi. J'oubliais mes employés, sauf les plus beaux, dont certains me donnaient du plaisir au bureau. J'éclipsais ma vie de bosseuse à succès, dans les bras et les queues de mes amants. Je ne pensais qu'à la jouissance que ma chatte prise par un bon calibre, les caresses et les baisers des mâles.
Ma crise de la quarantaine, je l'avais éteinte dans le sexe, au point de ressentir une addiction. J'étais devenu une " vrai salope" comme certaines femmes qui critiquaient toutes épouses fidèles et bien rangées.
J'étais parfois encore un peu déchirée entre la honte et la fierté. Mon éducation sticte revenait me hanter de temps à autre/
" Je suis une salope, j'ai trop besoin de queues " me disais-je.
Mike haletait en souriant et, sans se retirer, s'allongea sur le lit, la queue tendue.
Je m'y empalais dessus, et me baisais moi-même, offrant mes seins à sa bouche. Je fis signe à mon mari de s'approcher, tout en chevauchant mon amant.
- Amène-moi mon sextoy, dis-je à Frank.
Au son de ma voix essoufflée, mon mari ne put s'empêcher de jouir. Je souris, et lui fis un clin d'oeil.
- Tu as raison Mike, mon mari adore être cocufié.
Frank me sourit en retour. Il se leva, chancela jusqu'à la petite table ou je gardais mes jouets, et m'en amena un. Je le pris, et embrassais goulument mon mari.
- Rassis-toi, lui ordonnais-je.
Je me penchais sur Mike, l'embrassais à pleine bouche longuement, en continuant à ranimer sa queue, par des va et vient de ma petite chatte. Puis je me redressais et, tout en poursuivant mes ondulations sur mon amant, je mis en matche mon sextoy, et le frottais contre mon clitoris. L'effet fut immédiat. Je me cambrais, le bout des seins dressés et me mis à jouir. Mike se redressa, me caressa les seins durcit par le désir.
J'hurlais et sentais l'orgasme monter en moi. Je renversais ma tête en arrière, explosais de bonheur et de plaisir, les yeux fermés, ma chatte coulant sur Mike. Je ne pouvais plus m'arrêter de jouir, extasiée, doigtant mon petit bouton avec le sextoy, jusqu'à n'en plus pouvoir.
Épuisée je m’allongeais sur Mike et l’embrassais longuement.
Tous deux regardions Franck qui jouissait de nouveau…
Cette soirée commençait bien. Franck se rapprocha de nous, me donna un tendre baiser, et tapa dans la main Mike.
- Merci vous deux, quel pied...
- Merci à toi Frank, c'est super sympa de me laisser baiser ta femme. Tu prends du plaisir maintenant à te faire cocufier régulièrement, et d'y assister.
D'entendre ces paroles, je vois que mon mari se sent humilié. Ne faisant rien pour apaiser les choses, Mike poursuivit.
- Ta femme est insatiable, je ne vais pouvoir tenir des nuits entières. Aussi, il est possible que j'emmène un ou deux mecs la prochaine fois, car d'après Iris, il es hors de question que tu participe, juste assister. Tu resteras l'éternel cocu.
- Tu te contenteras de te branler mon chéri, ajoutais-je.
Mon adorable mari accepta le deal proposé par Mike. Il a compris très rapidement que j'avais besoin de rencontres pour permettre à mon corps d'exulter. J'en avais besoin pour l'équilibre de mon esprit, mais aussi pour supporter la pression de ma vie professionnelle, et pouvoir accéder à mes fantasmes.
Directrice dans une agence, mes fonctions m'obligeaient à une tenue, et une attitude très stricte dans mon travail.
Frank avait compris cela, et c'est avec bonheur qu'il me fit découvrir les joies et les plaisirs du candaulisme. Pouvoir préparer mon corps à recevoir, mais aussi à donner, sans préjugé.
Pouvoir préparer mon corps à devenir un garage à bites et un puits à sperme, le temps d’une soirée, l’excite au plus haut point. Pour cette séance, Mike et Frank avaient passé une petite annonce sur un site, mettant une belle photo de moi, allongée entièrement nue sur le lit, dans une position très suggestive.
Les réponses n'ont pas tardé à arriver sur le PC de Mike, et c'est lui qui choisi mes partenaires, avec ses propres critères.
Pour ce soir là, c'est moi-même qui ai choisi ma tenue. Une lingerie fine, faite de soie et de dentelles, provoque déjà chez moi, une intense excitation.
J'admire dans le miroir, mon superbe corps. Mes seins mit en valeur par un affriolant soutien-gorge, mes bas noirs bordés d'une large dentelle blanche, rehausse le cuivré de ma peau. Quant à mon string fendu, il laisse apparaître une chatte parfaite, intégralement épilée, prête à recevoir des queue inconnus.
Frank et Mike me félicite pour ma beauté, et m'encourage en m'embrassant.
Mike a choisi de me bandé les yeux, avec l'approbation de mon mari.
Il ajoute qu’il ne me donnera aucune indication, mais qu’il avait choisi lui même avec soin mes amants d’un soir. Ils ne parlent qu’un français approximatif, et travaillent tous deux, sur le même chantier. Ils ne sont pas rentrés chez eux depuis des mois, et n’ont pas vu, n’y touché une femme depuis longtemps.
Me faire baiser par deux inconnus affamés de sexe, que je ne verrais même pas, ne me rassure qu’à moitié. Mais je fais une confiance aveugle à Mike...et à Frank qui doit surveiller ça de très près.
Mariée avec bonheur depuis dix ans avec un homme libertin, mon mari adore me voir baiser avec d’autres mâles, mais là, m’offrir à deux inconnu, c’est la première fois. Va-t-il le supporter.
Mike s’approche de moi, me murmure à l’oreille de me mettre à quatre pattes, d’écarter mes cuisses, qu’il va me préparer pour une levrette. Délicatement, il a introduit deux doigts dans ma chatte, et les aller et venir.
« Ils te mettrons certainement plus gros que ça ».
Mike est gynécologue, et c’est toujours ainsi, qu’il mesure mon taux d’excitation.
Avec ses doigts.
Ainsi préparée, je me sens chienne.
J’entends des pas lourds provenant du couloir, puis la porte s’ouvrir. J’entends leur respiration saccadée quand ils montent sur le lit.
J’entends leurs souffles et reconnais le bruit des bites qu’on branle. Je peux même sentir les premiers effluves de ces queues tendues, prêtes à décharger.
Ils se lancent de suite dans les ébats, avec très peu de préliminaire, si ce n’est une visite rapide de mes orifices.
Les deux homme, morts de faim, m’impose des choses outrancières. Tandis que l’un me sodomise, l’autre se fait sucer. Pas de préservatif, aussi je sens leu chair à vif sur mon corps. Je refusais de me faire prendre en double, mais devant leur insistance, et leur force, je fus obligé de me soumettre. Je m’empalais sur la queue de celui qui s’était allongé sur le sol, tandis que l’autre se vautrait sur mon dos, et pénétrait mon petit trou. Je n’eus même pas la force de hurler, mais prenais un énorme plaisir dans cette confrontation à trois.
A quatre pattes, les yeux bandés, offertes, je ne peux me fier qu’à mon odorat, mon ouïe, et aux sensations sur ma peau, dans ma bouche, ma chatte, mon petit trou, pour les différencier.
La sensation de mes seins qui s’agitent sous leurs coups de queues m’excite. Je sens les mains rugueuses de ces hommes, avides de mon corps de bourgeoise, le parcourir dans de vicieuse caresses, jusqu’à l’orgasme. Ma jouissance atteint des sommets extrême, et je ne pourrais jamais assez remercier Mike, de m’avoir fait découvrir ce plaisir si particulier.
Plus tard dans la soirée, tu me diras que tu leurs à dit, qu’ils devaient se montrer brutal, sauvage avec moi. Ce qui expliquerait leur manque de douceur, quand ils caressaient mes seins, leurs mains qui agrippaient mes hanches, pour me pénétrer d’un violent coup de reins.
Je sentais l’odeur forte de ces calibre qui caressaient mon corps, mon visage, s’attardaient dans mes mains, ou ma bouche, le temps que je les fasse cracher, ou que ma chatte soit enfin libre pour prendre le relais, alors que leur sperme bien chaud, s’engouffrait avec lenteur dans mes orifices.
Aveugle de leurs mouvements, je ne pouvais qu’anticiper ce qui se passait. Tous mes sens étaient en alerte.
Je ne vous entendez pas, mais savais que vous étiez là, veillant à ce que tout se passe bien, mais je savais que vous leur donniez des consignes muettes avec vos mains. Quand je sentais l’un des mâles glissais sous moi, tandis que l’autre attrapais mes hanches, je m’imaginais aisément que l’un de vous deux, levant la main droite, fit un signe en levant deux doigts.
Ils comprirent alors, que vous leur demandiez une double pénétration.
Cette situation les rendait fou, chacun voulant être le premier à me sodomiser. Alors, chacun leur tour, ils se passaient le relais. Je sentais leur queue bouillante fouiller ma chatte, mon petit trou, puis venaient se vider et se refroidir dans ma bouche. Mon corps n’était que souillure de sperme, de sueur.
Je levais mon visage vers vous, sans vous voir. Puis, vous m’avez ôté le bandeau. Mes amants d’un soir étaient partis. Le calme était revenu.
Délicatement, vous me meniez à la salle de bains, et vous occupiez de me faire la toilette, en douceur...et profondeur.
D’un geste, tu as congédié Mike. Il était trois heures du matin. Tu voulais à tout prix, que je finisse la nuit dans tes bras.
Tu m’as allongée sur le lit, et nous avons fait l’amour, doucement, délicatement.
Mike, sur le départ, m’a-t-il entendu jouir ?












































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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Une soirée découverte

Le 17/01/2024 - 22:20 par OlgaT
Le bonheur d'avoir un mari candauliste!

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