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Vacances sexuelles pour des soignants partie 5

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Lue : 662 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/11/2020

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C’est le mercredi dans les rues d’A…, je faisais quelques courses, que j’ai croisé le couple, qui ne m’a d’ailleurs pas vu. Au centre de la ville, se trouvait une immense place, dont une partie donnait sur des ruelles louches. Assez curieusement, si le reste de la place était totalement neutre, cette partie, sans doute parce qu’elle était boisée, était une sorte de no man’s land, sur laquelle ne s’aventuraient que les gens qui étaient dans le franchissement des limites.
Je laissais mon regard glisser sur ces quelques bancs. Il n’y avait absolument personne à cette heure. Sauf eux, installés surf un banc, un à droite, un à gauche, encadrant une magnifique trans blonde, dont on n’aurait pas pensé, au premier abord qu’elle avait une quéquette entre les cuisses, parce qu’elle n’avait pas grand chose de masculin. Pourtant, c’était bien une queue d’homme, d’une dimension respectable que le mari et la femme se partageaient, en la léchant en même temps.
—Je crois qu’ils auront découvert le meilleur du département sans avoir besoin de nous, j’ai dit à ma femme en rentrant, en lui racontant ce que j’avais vu.
Ils avaient décidé de partir le dimanche matin, au terme de ces deux semaines.
—On aura passé deux semaines ensemble, vous avez changé pas mal de choses pour nous, sans vous en rendre compte, et on voudrait se séparer sur quelque chose de beau. On vous a préparé un repas fin pour ce soir.
Et c’est vrai qu’on avait voulu faire les choses bien, avec un repas plus raffiné qu’à l’ordinaire, du champagne, du foie gras en entrée, et des crevettes flambées au porto et un magnifique gâteau qu’avait fait ma femme. On avait aussi fait le choix de s’habiller autrement. J’avais mis un beau costume, et ma chérie avait opté pour une robe rouge que je ne lui avais jamais vue encore, qui la collait comme une seconde peau et mettait en valeur ses charmes. Mais eux non plus n’étaient pas en reste, et lui avait choisi un magnifique smoking, sans doute loué dans l’après-midi, tandis qu’elle avait également opté pour une robe qui mettait ses charmes en avantage.
Je crois qu’on était à peu près sur la même longueur d’ondes. C’est-à-dire qu’ils savaient qu’on les avait fait venir parce qu’on voulait basculer sur du sexe une dernière fois, et nous on savait où on voulait aussi en venir. Les surprendre, c’était une évidence.
On venait de finir le dessert et le champagne nous avait fait perdre les contours de la réalité à tous les quatre quand ma femme s’est levée et approchée de Sandra pour prendre sa bouche d’un baiser vorace. Sans nul doute, son époux ne s’attendait pas à ce que je vienne vers lui. Je ne l’ai pas embrassé, je suis tombé à genoux devant lui et j’ai sorti sa queue de son pantalon, avec en moi le souvenir de mes années d’adolescence où je vivais avec une règle, celle de la bisexualité. Mais ce n’était sans doute pas la première fois qu’un homme prenait sa queue dans sa main, et il semblait aimer ça, à en juger par la vitesse avec laquelle son sexe s’est rempli de sang, aussi énorme que le jour où je l’avais vu se faire sodomiser par sa femme.
Ca a évolué très vite. Mon épouse a attrapé un sac en papier rouge, qui était posé sur la table, et elle l’a tendu à Lola.
—C’est un cadeau. Je sais que tu en as déjà plusieurs…Espérons que tu n’as pas celui-là. Sinon, je le garderai. On s’en servira mon mari et moi. J’ai choisi exactement celui que je souhaitais que tu utilises sur moi.
Lola a ouvert le paquet que contenait le sac . Un gode épais et long. Je me suis demandé s’il avait été moulé, comme c’était parfois le cas, c’était en tout cas ce que disaient les pubs, sur une queue d’acteur porno. On aurait dit que non, la queue était trop lisse,même si on lui avait rajouté, au bout, un énorme gland. En tout cas, avoir ça dans le ventre, c’était indéniablement être remplie. Muriel m’avait caché qu’elle avait acheté ce gode. Il était vrai qu’on ne s’était pas concertés, avec simplement la décision de faire de cette soirée un moment vraiment intense.
Elle l’a tendu à Lola, qui s’en est harnachée, avec des gestes qui trahissaient son habitude. Mon épouse s’est pliée en deux au dessus de la table, s’offrant à Lola, qui, avec une expression avide, s’est approchée d’elle, la queue de plastique à la main. On a regardé Frank et moi, curieux et malsains. Lola a baladé la queue de plastique sur le cul cambré de mon épouse, dans son sillon, venant appuyer sur sa muqueuse anale, sans y pénétrer, avant de glisser jusqu’à sa vulve, toute gonflée, ses lèvres dilatées d’excitation. Elle a fait rentrer la queue de plastique lentement, centimètre après centimètre, et mon épouse a gémi longuement. Elle a bien fiché trois quarts de la queue en elle avant de s’arrêter.
—Dis moi ce que tu veux…Je reste comme ça, je bouge…?
—Je veux que tu fasse aller et venir la queue en moi…C’est la première fois que j’en utilise une, et je ne pensais pas…Que ça serait aussi bon…
Lola n’allait pas louper une telle opportunité. Elle s’est mise à faire bouger la queue de plastique dans le vagin de mon épouse, qui s’est tordue en gémissant, prise au piège de son plaisir. Ca m’a troublé, autant de voir le gode énorme rentrer en elle, la fouiller que de saisir ce plaisir qui la tordait.
J’avais envie de plaisir moi aussi. Des souvenirs remontaient en moi, que je n’avais pas ravivés avant ce moment. La verge de plusieurs garçons rentrant en moi, au moment de l’adolescence. J’aurais sans doute continué dans cette voie si je n’avais pas rencontré celle qui devait devenir mon épouse, pour qui j’avais éprouvé un véritable coup de foudre, au point de renoncer à mes pulsions les plus profondes. Mais je n’avais vraiment renoncé à cette partie de moi-même.
J’ai attrapé un préservatif, et je l’ai fait coulisser le long de la queue dilatée. Sans doute que, lorsque je l’avais vue, le premier jour, j’avais pensé, au fond de moi-même, sans jamais vraiment me l’avouer, qu’elle serait pour moi avant qu’il ne parte.
Je suis venu me placer au dessus du membre dilaté, et je l’ai attrapé, le sentant chaud et épais au bout de mes doigts. Je me suis laissé tomber dessus. La queue a glissé en moi, m’a rempli. Ca a été tellement fort que j’ai joui, balançant des traits de sperme dans tous les sens, sous les yeux des deux femmes qui nous jetaient un regard malsain. Il est rentré totalement en moi, et j’ai su que dans les jours, les mois qui viendraient, je voudrais à nouveau me faire remplir par une queue d’homme et sentir son sperme jaillir en moi.
Pendant que les deux filles échangeaient leurs rôles, Lola enlevant de gode de sa ceinture, Lola s’équipant, il m’a fouillé, en me soulevant. J’avais l’impression enivrante que sa queue n’était pas seulement plantée dans mon rectum, mais qu’à chaque nouveau mouvement, elle s’enfonçait encore plus profondément en moi, jusqu’à me remplir tout entier. Les filles, dans un désir sans doute de se rapprocher de nous, se sont positionnées dans une position semblable, Mon épouse assise, et Lola sur elle. Je pensais que Lola allait guider la queue de plastique vers son vagin, mais elle l’a amenée vers les plissements de son anus, qui l’ont absorbée…
C’est comme cela que nous avons tous joui. Sandra en frottant son sexe comme une forcenée, pendant que Lola la fouillait, mouillant avec abondance, trempant sa main, ses chairs, et le sol, et moi la queue figée dans une érection douloureuse pendant que Frank me faisait aller et venir sur sa queue qui grossissait en moi, jusqu’au moment ou il a libéré un torrent de sperme, le crachant longtemps, jet après jet, en harmonie avec le second orgasme qui m’a saisi, amorcé après que sa jouissance ait commencé, me faisant moi aussi éjaculer à n’en plus finir.
Ce n’était que le début, et nous avons été au bout de la nuit, et de nos jouissances. Une cérémonie d’adieu.
Ils sont partis le lendemain matin, et on s’est bien rendus compte que, même si nous ne les regretterions pas du tout, ils avaient bouleversé une sexualité que nous croyions épanouie, pour nous ouvrir de nouveaux horizons.
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Histoire de JamesB

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