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Vengeance heureuse d'un cocu 12

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Lue : 4197 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/08/2015

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Ce jeudi donc, je suis déjà en place, le lecteur aussi, il arrive comme à chaque fois, Marie en manque sexuel arrive a son tour, a l'heure, elle est comme d'habitude, souriante, ils échangent des banalités, moi qui suis pourtant habitué à elle, je bande en la voyant arriver, je me dis qu'est-ce que ça doit être son prof, échauffement toujours, puis vient la barrer, au premier exercice, je me dis, c'est bon, elle ne tiendra pas, il le voit aussi qu'elle est déjà excitée, se dit-il qu'aujourd'hui, elle n'a pas été comblée, surement, il ne change pas sa ligne habituelle.

Elle se frotte bien plus d'elle-même, lui, il l'encourage, la complimente, lui dit, " voilà, tu es dans le ton, bien comme ça, tu as compris l'esprit de la danse, c'est suggestif pour celle qui danse et ceux qui regardent", arrive enfin une position, celle de l'araignée retournée, ce nom m'est resté, en plus de sa compétence comme prof que je ne lui retire pas, il a de l'esprit.

L'araignée retournée, c'est en appuis sur ses bras en arrière et les genoux pliés, les cuisses et le corps a l'horizontale, la barre entre les cuisses sur le sexe, elle fait une dizaine d'ondulations, puis il vient la soutenir en tenant son dos, je la vois qui commence à perdre pied, il lui dit, "de continuer autant qu'elle veut", elle est foutue, je bande, je devrais appuyer sur un des boutons de télécommande, mais j'ai envie qu'elle continue.

Elle s'active sur la barre, il lui dit, "si vous voulez que je vous aide, vous me le dites", elle ne dit rien de suite, puis après encore quelques ondulations, il passe sa main sous son dos et l'autre sur la barre, il lui touche le sexe sans qu'elle puisse lui dire non, elle jouit instantanément en lui pressant sa main entre la barre et son sexe, lui criant son plaisir, je tiens la télécommande prête pour agir dés qu'elle se laissera faire, mais elle se calme, soulagée, elle dit, "non, non, je m'excuse, je n'aurais pas du", elle se relève en disant, "zut zut zut", j'attends le moment pour appuyer.

Mais lui, rassurant, lui dit, "mais tu n'as rien fait de mal", elle dit, " si, quand même", il dit, "tu as eu une envie, tu t'es soulagée, je t'ai aidée, mais il ne s'est rien passé, maintenant, tu vas mieux, alors on reprend, tu n'es pas la première à qui cela arrive, aller, on reprend, tu ne vas pas laisser tomber alors que tu es douée", elle s'apprêtait a partir, mais finalement, elle reste, le cours se poursuit sans incident, lui, il se frotte comme a chaque fois.

À la fin, elle lui dit, "pour tout à l'heure je...", il répond, "il ne s'est rien passé tout à l'heure, ou alors je ne me rappelle plus", ils sortent ensuite, comme ils ont tardés, je sors en vitesse de ma cachette pour ne pas faire le cours suivant avec une autre discipline, je sors avant Marie et on se retrouve à la maison comme si de rien était, je ne lui en veux absolument pas pour ce qui s'est passé, bien au contraire, ma confiance en elle a augmenté d'un cran.

Le soir, je lui dis que mes soucis de boulot se sont arrangés, notre partie de sexe fini, Marie, en me câlinant me pose des questions, je vois aussitôt où elle veut en venir, elle commence petit et comme je sais où elle veut aller, je lui donne l'occasion d'aller sur ce terrain, elle ne me parle pas de ses cours de danse, ni de son prof, mais me parle des séances au cinéma, me demandant comment cela se fait-il que de jouir par un autre, que cela ne me dérange pas, de le soulager manuellement non plus, je lui dis que le plaisir qu'elle prend ne me dérange pas, ni même si elle branle quelqu'un, que ce qui fait mal, c'est si quelqu'un la pénétrait avec son sexe, surtout à mon insu.

Elle fait celle étonnée en disant, "alors si je comprends bien, je vais voir un type, il me masturbe le clito, me fait jouir, moi, je le branle, et cela ne te dérange pas", je lui dis, "en gros, c'est un peu cela, mais est-ce que toi Marie, tu vas résister si le type est plus pressant et veut te pénétrer, au ciné, je suis là, j'empêche cela par ma présence et par l'environnement, mais si tu es seule avec un type qui t'excite par ses caresses".

Voulant la rassurer sur son attitude avec son prof, je lui dis, "maintenant imaginons, je dis bien imagine, car ce n'est pas possible d'aller aussi loin, tu prends le métro, un type te tripote, te fait jouir même, toi, tu le masturbes, hé bien, tu n'as même pas besoin de me le dire si tu ne le veux pas, si un mois après on vient me montrer des photos où tu n'as eu et fait que cela, je ne t'en voudrais même pas, maintenant si tu le suce ou qu'il te pénètre, là oui, pas dans le métro bien sûr, mais en sortant et allant dans un coin tranquille ou à l'hôtel".

Marie me dit, "en fait, si j'allais prendre des cours à la piscine, le maître nageur me tripote, me chatouille à me faire jouir, moi, je le masturbe avec les mains, et pour toi, il ne s'est rien passé, si par exemple, je te le disais, et que la semaine d'après, je te dis que j'y retourne pour la même chose, tu ne dirais rien", je dis, " voilà, c'est exactement ça, mais a savoir que tu risquerais de rechuter comme avec Lucien".

"Mais pourquoi tu me poses ces questions, tu comptes prendre des cours de natation", elle répond ", j'ai dit piscine comme j'aurais dit gymnastique", disant encore que c'est pour connaitre mieux ma vision des choses, ne voulant pas être découverte, elle me dit ensuite qu'elle m'a demandé tout ça parce qu'elle croyait que mes pannes sexe venaient du fait qu'elle avait été dans le lit avec mon client, faisant celui qui la croit, je lui dis, "tu as vu ce soir, cela n'a rien à voir, au contraire".

Le vendredi, petit tour chez l'effleureur, je dis à sa femme que je suis fatigué et que j'ai mon vélo à faire, je lui fais un clin d'œil pour lui faire comprendre que si c'est pour une pipe vite fait, je veux bien me sacrifier, elle dit ok, je lui dis, je vais voir ce que j'ai à faire et je reviens, en fait, je regardais si des fois, elle parlait de la danse avec lui, comme il la tripotait, je dis non, si elle en parle, ça sera a la fin, je retourne me faire sucer, elle suce très bien, il y a une différence entre celles qui suce pour faire plaisir et celle qui suce par plaisir, elle ne demande rien en échange, pas de câlin pas de sexe, c'est juste une option, elle n'en parle pas plus une fois fini.

Le samedi, je fais un billard, on me dit que je ne viens plus aussi souvent, l'effleureur ne dit rien, Marie elle, est à la danse, le mercredi soir, je prétexte de la fatigue, cela ne l'étonne pas puisque la veille, nous avons fait l'amour, le jeudi, je suis en place, j'ai même eu peur de ne pas pouvoir y aller, car on m'a tenu la jambe dans le couloir, j'ai pu être prêt à temps, il arrive, elle aussi, échauffements puis les exercices commencent.

C'est elle qui la première entame le sujet, elle dit, "voilà, j'aime mon mari et je ne veux pas le tromper, je ne lui ai rien dit, cela ne le dérange pas qu'on me tripote, s'il n'y a pas de pénétration sexuelle, donc c'est pour ça que je suis revenue aujourd'hui", il lui dit, "mais c'est parfait, je peux donc te tripoter", elle dit, "ça, tu le faisais déjà", il lui dit, "oui, mais maintenant, ça va être plus flagrant puisque je peux", il lui attrape les seins, elle se laisse faire, il se frotte le sexe, il bande, je le vois d'ici, elle se dégage en souriant et dit, " je suis là pour apprendre à danser"

Il n'insiste pas, maintenant, il n'a plus à faire de cinéma, tout est clair, il la met sur plusieurs positions à la barre, lui fait faire les exercices faciles qui ne prêtent pas trop a confusion, puis crescendo, il enchaîne ceux plus hard, arrivé au même contexte que la semaine précédente, celle qu'il attendait, celle que j'attendais et que Marie attendait aussi de ce que je vois, elle se frotte le sexe sur la barre comme il lui demande, mais là, elle n'est pas aussi excitée comme la semaine dernière, elle cherche la même chose

Elle arrête et lui dit, "on va mettre les choses au clair, tu me donnes les cours comme tu fais, tu "m'aides" comme jeudi dernier, mais si tu me pénètres, je me laisserai surement faire et j'aurais surement un plaisir grandiose, je demanderais peut-être à être baisée, mais je le dirais à mon mari ensuite quoi qu'il arrive, car si je lui dis, il ne me dira rien, par contre a celui qui aura abusé de moi, j'en doute", il répond, "c'est le supplice de tantale ton trip", elle lui dit, "en principe, il vient me chercher tout à l'heure, si tu veux faire connaissance ou juste le voir".

Le type est décontenancé, il répète avec le geste, "si je te touche comme ça le sexe et qu'il t'arrive comme la semaine dernière", elle dit, "Je ne lui dis rien", "et touchant les seins", " je ne lui dis rien", "et si tu me demandes de baiser et que je le fais", "Je le lui dis", "même si tu me supplies de te baiser", "oui, je lui dirais".

"J'y gagne quoi alors, à part te tripoter, elle est où ma récompense", une branlette, c'est le maximum dit elle," Ha quand même, donc, je peux toucher à tout avec mes mains, mais pas avec mon sexe, qui lui n'a droit qu'a tes mains", "voilà, tu as tout compris, si tu me pénètres, je lui dis que j'ai fait une bêtise et après, advienne que pourra", entendant cela, je ne vois pas bien ou elle veut en venir

Il lui dit, "on commence quand", elle répond, " la semaine dernière, mais que les jeudis", il défait ses boutons, passe sa main, elle gémit, il s'active avec ses doigts en disant, "depuis le temps que j'en ai envie", elle répond, "et moi donc", finissant par jouir, après cela, elle se lève et dit, "on continue", il répond, "et ma récompense", juste avant de partir dit elle, "allez, on reprend ses cours"

Il la frotte en disant, ça, je peux, elle dit, oui, mais en restant pro, il demande, "si par exemple, je veux vous embrasser dans le cou", elle répond, "uniquement pendant notre moment détente", partout dit-il, non, pas sur la bouche répond-elle, partout ailleurs, je peux dit-il, elle dit oui, il lui dit que le deal parait honnête

Elle répond, "pour sceller notre pacte, accompagne-moi quand je sors", le cours se poursuit, et avant la fin, elle le masturbe à moins de 2 mètres de moi, ils se sont rapprochés, car plus ils sont en biais par rapport à la vitre de la porte et moins on les voit, il la tripote en même temps, il lui dit, " tu ne pourrais pas mettre une tenue plus............ Adaptée"

Elle lui répond, "et je fais comment pour me la procurer, il dit, "si je t'en amène une", elle dit, "oui, je te la rembourse, mais pas quelque chose qui attirerais tout les types ici et attention, ça reste entre nous, car si tu te vantes a tout le monde, je...," non t'inquiète pas, personne ne saura rien, je n'ai pas envie d'être viré non plus", il finis par jouir

Après cela, Marie dit," aller, je me change et tu me suis, ha tient, pendant qu'on y est, on va passer un test sida", il répond "oui, ça serait bien" une fois sortis, je récupère le matériel, j'attends que Marie repasse, lui, il la suit, je me dis que l'effleureur l'attend dehors, quand il revient, je ressors quand il est passé, je sors doucement dehors, personne.

J'accélère le pas et plus loin après l'angle d'une rue, je vois une masse qui parle à Marie, ce n'est que quant ils se serrent la main et qu'il me croise en face sur l'autre trottoir que je le reconnais, celui qui a fait les photos de Lucien et Marie, l'effleureur l'avait surement envoyé chercher Marie parce qu'elle a du dire qu'il l'ennuyait, sur que maintenant, le prof va avoir le trouillometre au maxi, en fait, Marie lui avait dit que c'était son mari.

le photographe avec Marie m'avait plus qu'étonné, je n'ai pas pu assister a leur rencontre dehors quant elle l'a vue, le soir, je téléphone a l'effleureur, j'ai sa femme, après avoir arraché la vérité, elle me dit qu'il est l'hôpital depuis lundi, je veux y aller, mais elle dit non, j'ai pensée a une bagarre ou il aurait perdu, mais non, une chaudière fonte qui a glissé en remontant d'une cave, Marie s'inquiète aussi et comprend pourquoi l'effleureur n'a pas pu venir.


On prend des nouvelles, ça va mieux, mais il est dans le plâtre, comme il ne veut pas qu'elle nous le dise, on ne peut pas y aller, le WE, on s'essaie un ciné, mais rien d'intéressant, le mercredi, je vais me faire sucer par la femme de l'effleureur, je la sodomise même, je me dis que si on a un espion qui nous surveille, et qu'il voit Marie et vois avec qui je la trompe, il dira, lui c'est direct l'asile.

Le jeudi arrive, en arrivant à la salle, je regarde toujours si elle est vide, et je ne distingue pas nettement, c'est flou, je passe mes doigts, rien, je les passe de l'autre côté et mon doigt est gras, je comprends que son prof a flouté la vitre, je m'installe en me disant qu'il faut que je sois plus prudent, je fais cela comme si c'était normal, je suis prêt et j'attends.

Ils arrivent, elle est déjà habillée, il dit, "je voulais que tu mettes ça", elle prend et dit "tourne toi", elle vient s'habiller prés de moi, j'ai directe une érection, elle est en soutif a paillette et culotte aussi, sans rien dessous, je la connais pourtant et je ne peux faire que" wouaaaaa", tout comme lui, il fait, elle dit, " tu as vu mon mari", il dit, " pour ne pas le voir, il faudrait être aveugle, il a dû tomber dans une marmite étant petit".

Marie dit "alors", il répond, "pour te baiser, et bien ne compte pas sur moi, je n'ai pas envie de faire le Romain, mais si pour le reste, ça reste entre nous", elle dit, " je te le promets et te le jure", il lui dit qu'il n'a pas encore le résultat du test, Marie lui dit qu'elle non plus, que ça sera pour la semaine prochaine.

Mouvement d'échauffement comme toujours, il mate plus, ensuite quelques figures où il se frotte puis lui dit, "mais, s'il rentre ici", elle lui ment, en disant qu'il travaille et ne sait pas quelle salle est-ce et qu'il ne rentrera pas, si j'avais un doute, je ne te dirais pas que tu peux, mais boulot d'abord, ils enchaînent les figures puis vient le travail à la barre, la différence par rapport à avant, c'est les termes employés qu'il teste petit à petit "lève ton cul, roule tes miches, colle ta chatte a la barre, tu aime hein" elle répond un, "oui" qui en dit long.

Je me rends compte que je viens de mettre Marie en situation de faiblesse, encore une fois, je joue avec le feu, mais j'y prends grand plaisir, je suis un voyeur, un candauliste, j'aime voir Marie prendre du plaisir et j'aime qu'elle en prenne, elle aussi aime cela, ajouté à ça, j'aime également la monter d'adrénaline que me donne mes indiscrétions, espionner Marie, son comportement avec d'autres pour les comparer a ceux qu'elle me donne.

Son prof devient vulgaire avec, je sais qu'elle adore cela, il va s'en rendre compte aussi et va la dominer, elle enserre la barre, lui, il attrape la barre d'une main sous elle, elle se laisse glisser dessus, sentant sa main sous le fin tissus, elle ondule dessus, il lui attrape un sein et l'embrasse dans le dos, il dit, attend et s'en va fermer la porte, elle dit, "non", il répond que c'est pour ne pas être surpris, viens là, il met Marie nue, disant qu'elle est bien foutue, il a bon goût, le mot est faible.

Il lui fait l'inventaire, " très belles jambes, très belles cuisses, beau cul, belle chatte, une superbe chute de reins, un ventre plat, des belles formes de hanche, une peau douce, des seins magnifiques, des épaules sublime, et pour couronner le tout, un visage d'ange avec de beaux yeux, des lèvres sensuelles et un sourire qui déstabilise", je le dis aussi, mais tout le monde le dit, chacun suivant ce qu'il voit d'elle, les copains à la plage quand elle est seins nus disent pareils, si je devais me décrire, je dirais tout le contraire.

Il colle Marie le dos à la barre, elle sourit en le laissant faire, il la masturbe, lui embrasse les seins, elle gémit, il la doigte à toute vitesse, lui arrachant des cris de plaisir, des oui encore, je bande, j'ai envie de me toucher, puis quand elle crie, il dit "tu aimes ça salope, ho pardon", elle dit "non-continu", continuer quoi, à te masturber avec mes doigts ou te dire salope", elle dit les deux, elle est collée le dos a la barre, lui, il a son coude sur un sein et la main sur l'autre, ce qui la maintient droite le long de cette barre.

Il accélère le mouvement en disant, "elle aime ça, la petite salope, hein, tu aimes ça", dans ces moments-là, Marie aime aussi s'humilier, elle répond "oui, j'aime ça, j'aime être ta salope", pendant qu'il s'active et la traite, Marie approche de l'orgasme, ses râles se font plus grave, moins espacés, puis il n'y en a plus qu'un seul, celui de l'explosion, elle crie sa jouissance, je bande de l'entendre, il l'embrasse, suce ses seins

Il lui dit de se mettre à 4 pattes, elle le fait aussitôt, il lui dit de venir plus par là (vers moi) là ou on ne voit pas de la vitre de la porte, elle y va à 4 pattes, il va pour la sucer puis dit, "la langue, ça compte pour la pénétration", elle dit," non, que ton sexe que tu ne dois pas", il la suce, elle gémit a nouveau, je vois la tête de Marie de face, elle prend du plaisir.

Il doit lui mettre un doigt sur l'anus, car elle dit oui, en avançant ses fesses ver lui, il pénètre de ses doigts, je le devine à sa tête, il retourne avec son autre main dans sa chatte, il l'a traite à nouveau et après plusieurs secondes, elle jouit encore, il la met sur le dos puis l'embrasse partout.

N'y tenant plus, il s'assoit sur son pubis sans mettre son poids et lui demande de le soulager, le pauvre, elle n'a pas beaucoup à travailler, à sa demande, il lui met tout sur les seins, en moi-même, je ne le critique pas, j'ai fait la même chose, j'ai dû la sortir en vitesse de mon pantalon pour ne pas le tacher, j'ai tout mis dans les mouchoirs.

Ils se sont vite rhabillés, et le cours a fini à l'heure, elle lui demande s'il ne peut pas venir 1/4 d'heure plus tôt le jeudi, pour avoir son heure de cours entière, même plus dit il, puisque la salle est libre une heure avant, elle dit non a cause de son boulot.

Il demande, "et j'aurais quoi comme récompense", elle dit, "je verrais", il fait, "humm" en lui mettant la main aux fesses, il lui demande, "il n'y a que mon sexe qui n'a pas droit de rentrer, sinon avec tout le reste, je peux", elle dit oui et s'en va

Je suis content de cette séance, ma confiance en Marie est méritée, elle a trouvé un moyen pour que son prof réfléchisse avant de se laisser emporter par son envie, il faut dire que le soit disant mari qu'il a vus, n'a rien de comparable avec moi, j'avais vu une photo de lui a la plage, a part 70 kg de muscles en plus, par rapport a moi, c'est tout ce qu'il a, mais cela fait toute la différence.

Le vendredi, je m'arrange pour que Marie passe seule à l'hôpital, disant de lui dire que moi, je ne le sais pas qu'il y est, elle y va une demi-heure, je me doute qu'elle le purge, pendant ce temps, sa femme me fait pareil avant de partir, Marie est tellement bandante qu'il est difficile de se retenir de jouir, avec une pipe en fin de journée, le soir, j'assume plus, elles se croisent en chemin, Annie a l'heure où je lui raconte ici, m'informe qu'elle faisait pareil aussi, elle allait le purger le mardi ou mercredi.

Le WE, on le passe avec Annie et son mari, lui, il est comme moi, il aime bien les femmes habillées sexy, alors quand nous invitons ou sommes invités, c'est comme si nous allions à une soirée chic, le midi chez eux et le soir dans un resto dansant, discutant avec lui, je voyais comme lui, nos femmes se faire tripoter par leur cavalier.

Il me dit, "regarde les, elles sont à leur affaire", je dis, "oui, elles aiment cela danser", "se faire reluire plutôt, de vraies sapoles, mais heureusement, on se ferait chier avec des bigotes", qu'il répond, avec lui, tourner autour du pot, il ne sait pas faire, je réponds, "oui aussi", je sais que cela ne le dérange pas du fait qu'il emmène sa femme chez l'effleureur, mais je ne peux pas le lui dire.

Il dit ensuite, "eux, ils foutent le feu, et nous, nous jouons les pompiers", entendant cela, je ne sais quoi dire, car il ne parle pas que d'Annie, mais de Marie aussi, la danse suivante, il me dit, "viens, on se prépare, on invite nos femmes, on échange, tu prends la mienne et moi la tienne", une fois la danse en cours fini, il a attrapé Marie, mais moi un type plus imposant m'a devancé, m'empêchant presque de passer pour prendre Annie, qui heureusement en voyant nos tables vides et voyant son mari avec Marie a compris que je venais danser aussi, elle a dit au type, "désolée, j'ai une réservation prioritaire".

Le type m'a regardé de haut en ne comprenant surement pas, nous avons chacun tripoté la femme de l'autre, mais de façon correcte quand même, nous avons fait trois danses ensembles puis une quatrième avec chacun sa femme et cette fois de façon plus câline, le dimanche, nous avons fini les restes de la veille avec des voisins, ce fut très soft, Annie me l'avait demandé.

Le mardi, mon client me demande si ce WE, nous pouvons le recevoir, je lui dis oui, de cette façon, il vient a la boite pour le 2eme projet en cour, mercredi, pipe avec la femme de l'effleureur et le jeudi, je viens 1/4 d'heure plus tôt, prêt a la salle dans mon cheval de Troie (d'arçon), j'espère qu'ils se rappellent du ¼ d'heure en plus, soulagement quand je le vois arriver avec un sac, et Marie ensuite, elle n'a pas trainée, sortie du boulot, douche et direct ici pour gagner ce 1/4 d'heure, elle met la tenue qu'il lui a ramené, la même que la dernière fois, échauffements, figures, contrairement aux fois d'avant, les figures sont moins hard.

Il se frotte quand même, il lui fait faire les exercices à la barre, mais sans autant chercher à l'exciter comme avant, l'heure étant presque arrivée, il dit, "encore 10 minutes et je m'occupe de ton petit cul", de sa main, il lui met sur son sexe, elle répond, " cinq alors, je veux me doucher avant", je reconnais là l'hygiène de Marie, encore quelques figures et enfilant sa tenue plus sage, elle va à la douche, il dit, " j'y vais aussi", je me dis, pourvu qu'il n'aille pas dans les douches, mais la petitesse de celles-ci me disent qu'ils ne seraient pas a leur aise.

j'ai raison, il revient en premier, elle arrive à son tour, ils viennent prés de moi, car le sol est recouvert de mousse, comme la ou je suis, c'est ajouré, j'ai toujours peur qu'on me découvre, elle lui dit, "voilà, pendant 15 minutes, je t'appartiens complètement sauf ce que tu sais", elle se donne a lui, il a tenu sa promesse de cours supplémentaires, il embrasse son cou, elle dit, " pas de suçon surtout", il embrasse, caresse, l'a déshabille, lui chatouille le clito, puis de son sac, il sort un gode, disant, ça, ce n'est pas mon sexe, Marie sourie et dit, "ce n'est pas le sexe, donc je ne dirais rien".

Ensuite, il lui dit, mets-toi comme ci, mets-toi comme ça, elle obéit sans discuter, il lui a demandé de se masturber, de se sodomiser avec le gode, quand elle est comme ça, il la suce, elle est remplie de plaisir, j'adore la sentir comme cela, peu importe celui qui lui donne ce plaisir, il lui donne trois orgasmes avant d'être branlé par elle, ce prof que je n'aimais pas trop au début, me plaît bien maintenant.

Il la respecte, le jeudi suivant, je prends sur moi et je n'y vais qu'au moment de la douche, je me planque dans une douche et quand j'entends l'eau couler, je sors et m'enferme dans ma cache, car resté plus d'une heure, ça ankylose, je ne vois comme cela, que le moment hard, qui ressemble a peu de détail prés, au jeudi d'avant, je profite de ses bienfaits aussi, car au lit Marie est super excitée.

Le jeudi suivant je n'y vais pas, le jeudi d'après oui, rien n'a changé, ça se passe de la même façon, j'alterne comme ça une semaine sur deux puis une sur trois, a un moment, elle m'a semblé moins excitée un soir, le jeudi suivant, j'y vais tout le cours, mais non, rien, tout est pareil, sauf que le gode n'est plus le même, l'autre a du rendre l'âme, cela se passe ainsi jusqu'à la fin juin, j'y vais pour le dernier jour, après le cours, douche, ils reviennent, il dit, "c'est notre dernière fois", elle dit, "oui, profitons en".

Tout se passe pareillement que dans les débuts, sauf a la fin, ou là, je vois Marie qui lui dit, en étant lui sur le dos et elle dans l'autre sens qui lui attrape le sexe, " tu as été sérieux toute l'année, ça mérite une récompense", et Marie le prend en bouche, il dit, " non", Marie lui dit, "la pipe, je ne le dirais pas", il dit, " c'est sur", elle dit, " oui",

Je lui avais dit non sur ce genre de chose, mais bon, c'est leur dernier jour, il a été honnête avec elle, je laisse faire, il la suce et la gode, il se retient, attendant qu'elle jouisse aussi, puis tous les deux se laissent aller en même temps, ensuite, comme le temps lui est compté, elle s'en va de suite en lui faisant juste un baiser furtif sur les lèvres, lui, il dit, "tu sais où je suis", elle ne répond qu'avec un sourire.

J'ai eu dans l'idée de leur permettre de coucher une nuit ensemble, mais elle n'aurait pas compris pourquoi, à aucun moment, je n'ai pas été jaloux du plaisir qu'elle a eu, ni de la voir, se faire tripoter, j'ai été content que Marie me demande en sous-entendu, ce qu'elle avait envie et qui ne me faisait pas souffrir, le soir, elle était encore plus excitée.

Revenons sur le déplacement de mon client, il est arrivé le vendredi, il a couché à la maison, Marie l'a rejoint, je n'ai pas mis le micro, le samedi, il a demandé s'il était possible qu'Annie se joigne a nous avec son mari, mais il n'est pas très restau, il lui a dit qu'elle pouvait le laisser là tout seul, j'ai dit à mon client le restau qu'il fallait pour qu'Annie dise oui, un restau fruit de mer, le mari d'Annie est très cool avec elle, elle est très libre.

il a voulu aller danser ensuite et Annie lui a dit, ok, mais chez nous tous les quatre, Marie sait que je tripote Annie, mais pas de façon aussi poussée, on danse en changeant de femme, avec la lumière de cuisine seulement, ensuite, je dis, aller plus intime encore et j'éteins la lumière, a la fin d'un slow, Annie dit à Marie, "on va aux toilettes, laissez la lumière éteinte".

Ne sachant rien de cela à l'époque, je laisse Annie raconter : je me mets le parfum de Marie, et dans le noir, quand nous revenons, je dis, "on se mélange au hasard, personne ne parle", nous avons la même taille, le même genre de robe sauf la couleur.

À sa voix, j'ai su ou était le client et j'avais poussé Marie vers Henri, je danse avec le client qui croit que je suis Marie à cause du parfum, il m'a mis la main aux seins, je me suis laissé faire, il m'a caressé le sexe aussi a travers le tissu, j'avais déjà deviné la relation particulière, maintenant, j'en étais certaine.

Je profité de la situation, me faisant caresser intimement par lui, le client ne s'en est pas aperçu, du moins, je n'ai jamais eu d'écho là-dessus, ni de lui, ni de Marie, je ne saurais jamais s'il s'en est douté et a joué le jeu, ou a-t-il vraiment cru qu'il avait eu Marie deux danses de suite, on a dû faire une dizaine de danses.

J'écris maintenant au nom d'Henri : une fois Annie partie, Marie et lui ont été se coucher ensemble puis elle m'a rejoint, je ne mettais plus le micro, je lui donnais Marie pleinement et entièrement, au lit comme en sortie.

Quand je n'allais plus à ses cours de danse, ce fut dur au départ, mais je m'y suis fait, et j'ai eu raison, j'allais chez Olga, elle était plus bandante que la femme de l'effleureur, mais elle était plus chiante aussi, ces moments de danse ou Marie était seule avec lui, je baisais soit Olga, et des fois, la femme de l'effleureur, soit rarement une connaissance presque par "obligation", j'avais voulu faire des séances avec Olga et la femme de l'effleureur, mais Olga n'a jamais voulu innover, c'était une routinière du sexe, un dépannage occasionnel, un bon coup de temps à autre.

Avec mes copines éphémères, je n'étais pas assez intime avec pour proposer cela, mes meilleurs moments étaient les orgasmes eus séparément, mais ensemble avec Annie que j'enflammais en l'embrassant partout sauf là ou hélas, je n'avais pas le droit, ça aurait détruit notre amitié disait-elle, peut être avait-elle raison, Annie me dit que maintenant, qu'elle aimait quand c'est moi qui lui demandais ces moments, et moi à l'époque, je ne voulais pas la forcer a cela, pour ne pas être lourd, si j'avais su.

l'effleureur est sorti de l'hôpital, mais a été long à se remettre, tous les mois ou presque mon client venait, il se passait la même chose, il ne se passe rien d'autre jusqu'aux vacances, l'effleureur a bien dégusté, il ne peut plus s'occuper du billard, on les a rejoints et passé une semaine de vacances avec Annie et son mari, son mari et moi avons eu les mains baladeuses lors de jeu dans l'eau, un soir, j'ai failli demander aux femmes de nous faire une danse érotique, j'ai pu me rattraper aussitôt, je suis censé ne rien savoir.

C'est en septembre que Marie a repris le billard, quand je l'emmenais le soir, comme je m'occupais de la femme de l'effleureur, je savais les jours où ils ne voulaient personnes, le chef de Marie ne me dit rien, l'effleureur et sa femme ne seront pas là, donc c'est une séance avec Annie, en effet, j'arrive bien en avance et la lumière s'allume, le billard est transformé.

Annie arrive, se met en tenue de pute, soutif se dégrafant sur le devant et culotte avec kraft sur les côtés, ensuite elle est attachée, les pieds en l'air, main attachées en arrière, genoux écartés et attachés, je vois qu'il lui met le walkman et le masque qui la plonge dans le noir, je sais que sa femme va arriver, ce qui ne tarde pas, elle est en tenue "sexy", porte jarretelle, bas noir, soutif (B), cheveux attachés.

Elle martyrise de bonheur Annie avec les godes que son mari lui apporte, elle la suce, elle la caresse, quand je demande maintenant à Annie, si elle ne se doutait pas de qui lui prodiguaient ces plaisirs, après plusieurs discussions et mes argumentations, elle finit par me dire que oui, qu'elle savait que c'était elle, pas au début bien sûr, mais bien avant que je ne découvre ce qui se passait au billard.

Elle suçait très bien, je lui confirme aussi, quand elle l'a deviné, les fois où elles étaient ensembles, elle a essayé de la faire se dévoiler en la troublant lors d'essayage de sous-vêtement, en la frôlant, en se faisant frôler, mais jamais elle n'a succombé, cela la gênait d'avouer qu'elle était bi.

Après avoir comblé Annie, pendant que l'effleureur la bourrait en même temps, elle s'en retourne avec lui là haut, il revient peu après, il la détache et lui enlève tout, il l'a pénètre, la lime un peu sans orgasme, il lui dit de se rhabiller, lui tend un masque avec ouverture pour les yeux, il remonte et revient avec 2 jeunes, genre minet du 16 eme, entre 20 et 25 ans, costard dépassant le SMIC

Annie dit, "hé non, j'avais dit qu'un seul", elle prend un coup de martinet, elle redit, "mais je ne veux pas de ces deux puceaux", l'effleureur comptait quelques billets qu'ils lui avait donné, l'un deux répond, "hé soit polie mémère", l'effleureur donne le martinet à celui-ci en disant " tient montre lui qui est l'homme", il lui en met un coup sur les cuisses, l'effleureur dit, "avec un peu plus de conviction quand même, mais pas trop non plus, sinon son mari va le voir".

Il y avait mille francs qui correspondait à la danse a la barre, ils avaient juste dit, on juge, si elle plaît, on paie, si elle ne plaît pas, on s'en va et si elle plaît vraiment, on donne deux fois plus pour une heure dispos sans tabou, l'effleureur a dit, "60 mn, sans tabou ok, mais elle n'embrasse pas sur la bouche", il répond, "elle suce au moins", "il dit oui, uniquement embrasser que c'est proscrit, et de garder son masque, c'est notre contrat".

Le but de tout ça était que les types vexés la forcent, elle dit, "je danse, mais c'est tout, je ne veux pas de leur sale patte sur moi", le plus virulent dit, "t'inquiète, tu vas en redemander", l'effleureur dit, " ta gueule salope", le jeune lui met un coup en même temps, en comptant le deuxième paiement, l'effleureur dit, "elle signe un contrat et après elle veut changer les termes", il lui montre l'enveloppe et dit, " bien messieurs, elle est a vous 60 mn a partir de maintenant, top chrono".

"Si elle n'obéit pas, vous savez quoi faire, ne vous inquiétez pas, elle fait la prude, mais vous verrez genre salope, c'est du top si on sait manier le martinet, elle aime ça, mais attention, pas de marque qui ne parte pas dans l'heure, et pas sur le visage, montrez-lui qui est l'homme, servez-vous, de toute façon, pour moi s'est payé, alors prenez en pour votre fric", il met la musique pour la danse en route et les laisse.

Une fois seuls, Annie descend du billard et fait celle voulant partir, elle prend plusieurs coups des deux qui lui disent de remonter, elle dit d'arrêter, puis elle remonte, aller danse salope dit-il, Annie fait sa danse, moyen au début, fait sciemment, elle prend une série de coups de martinet et il lui dit, si ça nous parait pas assez excitant, on t'en remet d'autres, puis après une autre série, Annie dit, " bon, je danse, mais c'est tout", il dit, " d'accord".

Annie s'applique, le spectacle est devenu beau, elle leur fait un show bandant, ils se touchent d'ailleurs, en la touchant aussi par moment, mais comme ils sont de chaque côté, en se poussant de l'un, elle tombe sur l'autre, une fois la danse finie, il dit "allonge toi là, repose-toi", puis la caresse, elle leur dit, "bas les pattes", les coups retombent et il dit, "c'est nos mains ou le martinet".

Annie sur le dos, il défait le soutif en brandissant le martinet, tourne-toi dit-il, elle se met sur le ventre et lui met plusieurs coups en disant maintenant, tu fais ce qu'on demande ou le temps qu'il reste, c'est avec des coups que tu le passeras, en même temps qu'il disait cela, elle recevait plusieurs coups de martinet, une fois "rassasiée", elle dit.

" Non, d'accord, ne frappez plus", il sort son sexe en disant, "suce", elle dit, " non, pas ça" et reprend un coup, non, oui, je suce dit-elle, elle en reprend un où il dit, suce mieux que ça, les puceaux aiment bien être sucés, Annie se défend quand l'autre lui attrape le sexe après avoir retiré la culotte, celui qui se fait sucer dit de lui tenir les jambes de l'autre cote du billard.

Après lui avoir mis la barre entre les jambes, elle est à plat ventre jambes tirées, elle prend ainsi plein de coups de martinet sur les fesses, je vois Annie prendre les coups, les bras en croix, elle ne fait rien pour se débattre de trop, quand elle en a assez, elle dit, arrêtez, je ferais tout ce que vous voudrez.

Ensuite tout a été comme voulaient les types, elle a été prise par l'un, puis par l'autre, et par les deux ensembles à la fin où ils ont joui en elle, Annie a joui également, ensuite, elle les a sucés pour qu'ils rebandent et chacun l'a baisée ou enculée suivant ce qu'il n'avait pas eu la fois d'avant, Annie n'opposait plus aucune fausse résistance et les flattait, à juste titre de ce que je voyais, une fois fait, il restait moins de cinq minutes, l'un est monté pour dire qu'ils y allaient.

l'effleureur est venu voir Annie qui a levé le pouce, il les a raccompagné, il a dit à Annie ensuite qu'ils ne regrettaient pas leur fric de ce qu'ils avaient dû dire, la sodomisant ensuite, il l'a remercié pour l'enveloppe, il gardait donc tout, Annie me dit qu'à l'époque étant artisan, il ne touchait presque rien du temps ou il ne pouvait pas travailler et ses économies fondaient, elle n'a rien pris d'autre que le plaisir, les types étaient prêt à revenir en laissant passer quelque temps, Annie se rhabille, j'en profite pour filer.

Fin octobre, je demande à Annie si on peut déjeuner ensemble, je suis prés de là où elle travaille, elle me dit oui, mais qu'elle mange chez elle avec la femme d'un copain, que j'ai déjà vue chez Annie, je veux la laisser tranquille, mais elle me demande de venir, elle me dit que la copine a le morale dans les chaussettes, nous mangeons tous les trois.

Elle raconte ses déboires, on l'écoute, quand Annie doit partir travailler, elle me demande ce que je fais, étant maître de mon temps, je dis rien de spécial, elle me demande de lui tenir compagnie, c'est une belle femme, comme Helene, comme Lucette, un peu plus jeune, plus grande, de ma taille.

Je reste avec elle, elle se confie, je l'écoute, je lui demande si elle veut manger à la maison, elle dit non, je la raccompagne chez elle, elle me remercie d'être restée avec, qu'elle comprend ce que Marie et Annie me trouvent, je lui réponds qu'elles sont bien les seules, elle s'approche pour la bise et veut pour m'embrasser sur la bouche.

Je lui dis, ça serait avec plaisir, mais je n'aime pas profiter de ce genre de situation, que je ne veux pas être celui avec qui on regrette d'avoir cédé a une pulsion de vengeance, me remerciant encore, elle rentre chez elle.

Le couple se remet ensemble quelque jours après, nous sommes invités avec Annie et son mari dans la foulée, on rend chacun son tour l'invitation, j'avais raconté à Annie lors d'une jouissance mutuelle, le moment du au revoir dans la voiture et de ma réaction, ironiquement, elle me dit, "elle n'est pas assez belle pour toi", je lui dis, "elle est trop belle pour moi plutôt, son copain, c'est un con, mais que je n'aimais pas profiter de la détresse des autres, j'en ai suffisamment bavé moi-même pour savoir ce qu'on ressent".

Elle me dit que je suis un type bien, que j'ai bien fait, au printemps, le couple se sépare à nouveau et définitivement, elle n'a plus la même tristesse, on mange un soir chez Annie tous les cinq avec elle, mais toute seule, pendant un moment seuls tous les deux, Annie me dit, tu aimerais la mettre sur le dos celle-là, je réponds, "je suis un homme, celui qui dirait non, ne pourrait être que gay", la semaine suivante, Annie me demande si je veux venir manger avec elle, chez elle, me disant que c'est pour une séance comme j'aime, j'y coure.

Chez elle, Annie est avec cette copine, je lui fais part de mes regrets que ça n'ait pas continué avec son copain, mais elle me dit que non, que maintenant, elle l'a oublié, plus besoin de consolation, elle me remercie pour la fois où j'étais resté avec l'après-midi, on prend le café sur le canapé et au moment de s'en aller, Annie me dit, "tu fais quoi cet après-midi," je dis, " rien que je ne puisse annuler, pourquoi".

Elle s'habille et en partant me dit, "alors console la plus à fond que la première fois", me disant que ça fait deux semaines qu'elle fait ceinture, je lui fais "chut", et quand je la rejoins, elle me dit, "Annie m'a dit que tu pouvais m'aider et que je te plaisais", Annie lui avait répété ce que j'avais dit lors de notre séance orgasme.

La première fois, elle était triste, là, elle était lucide et n'obéissait pas à un désir de vengeance, elle m'a littéralement violée, si, si, la première nanoseconde, à la deuxième, je ne suis pas resté inactif, la fougue du baiser passé, je lui ai dit que j'allais me doucher, car je n'aime pas sentir, Annie lui avait tout dit, au retour, elle était déjà dans la chambre d'ami prêté par Annie, elle avait déjà prise sa douche avant midi, comme je l'ai déjà dit, comme tout mec, on veut que la première fois avec une femme, passer pour un champion, (que personne ne rigole).

Je m'y suis appliqué avec ce que j'avais, l'inondation de son entre cuisses m'indiquait que je n'étais pas aussi nul que cela, je lui ai quand même donné cinq orgasmes en jouissant moi-même deux fois en 3 heures, ses deux premiers ne comptent pas, en étant en manque de deux semaines, il y avait du rattrapage, au moment de la pénétrer, j'ai voulu mettre une capote, elle me dit, j'ai passé un test à cause de mon connard, Annie l'a vue, c'est dans mon sac, je lui ai fait confiance.

Annie m'a beaucoup éduqué, elle disait, les femmes au lit, aiment les hommes vicieux, pervers et qui se servent sans nous le demander, c'est ce que je faisais toujours avec les femmes, là, j'ai fait la même chose, baise, sodo, elle disait non mais en restant dans la même position, alors hop, dans le petit trou, j'ai testé une tape sur la fesse puis une plus forte, puis plusieurs ensuite, après cela, elle sur le ventre, moi, dessus, limant lentement, gémissant à chaque coup de sexe.




Je lui dis qu'elle aime ça, et comme le client avec Marie, je lui dis, que c'est une cochonne, je lui demande si c'est une cochonne, elle dit non, je donne un coup de rein plus violent et repose la question, elle redit non, je recommence et elle dit oui, je redonne un coup et je dis, peut être même plus, elle répond oui encore plus, comprenant que je peux tout me permettre, je n'hésite plus pour notre plus grand bonheur.

Une fois crevés tous les deux, nous avons discuté, elle avait dit à Annie que c'était dommage que j'étais avec Marie, sinon elle se laisserait bien faire par moi, Annie lui a dit qu'elle pouvait sans avoir de remords, qu'on était assez libre, me disant aussi qu'elle a apprécié notre premier après midi et que j'ai été très bien, qu'un bourrin en aurait profité, qu'elle était vraiment mal ce jour là, elle a voulu me remercier, et ne le regrette pas.

En fait, Annie m'avoue maintenant qu'a cette époque, en discutant avec, elle disait, "j'en ai marre de ces bourrins de foire, qui me prenne que pour une poupée gonflable, Marie a bien raison de ne pas s'arrêter à cela, son mec au moins, ce n'est pas un crevard qui saute sur tout ce qui a des seins, la bite pleine et la tête creuse, j'te jure, mes godes ont l'air plus intelligent", Annie lui a dit qu'elle lui en reparlera et c'est ce qu'elle a fait.

Je lui dis qu'elle aurait pu avoir mieux pour la contenter, disant qu'une grosse bite, c'est un plus, mais que ca ne fait pas tout et que si l'occasion se représente avec moi, elle ne la refusera pas, je lui ai dit que je répondrais présent, comme il était bientôt l'heure ou Annie nous a dit être tranquille, qu'après son mari pouvait arriver, nous nous sommes quittés après avoir remis de l'ordre et refait le lit, en rentrant le soir, je l'ai dis à Marie qui pour toute réponse m'a embrassée.

La semaine suivante, Annie m'a encore invité en me disant qu'il n'y a pas de piège cette fois-ci, j'ai répondu que pour ce genre de piège a con, je saute dedans a pied joints, nous avons eu un moment câlin, Annie aimait ces moments-là autant que moi, on s'évadait, on discutait, elle était dans mes bras, nous étions nus, elle était assise devant moi, ne gardant que son string, rien que la tenir dans mes bras me suffisait.

Je l'embrassais dans le cou, tout ce qui était a ma portée de bouche, elle me parlait de la copine, de Marie, je ne trouvais rien de bizarre a cela, un prochain récit répondra à ce dialogue, bien sûr après avoir câliné, discutés, nous avons fini par jouir ensemble, Annie voulait que je l'appelle quand j'en avais envie, mais je lui disais que j'en avais toujours envie, elle me dit qu'alors, elle m'appellerait elle-même, je lui ai répondu qu'il n'y avait ni jours ni heures qui me dérangent.

En novembre, un jeudi, le chef de Marie m'appelle en me disant qu'elle prend son après-midi, je réponds que oui, je le savais, son chef m'avait à la bonne, j'étais celui qui pouvait régler ses soucis de racaille, il me gardait sous le coude, au cas où, a savoir que je ne réglais rien, mais connaissais ceux qui le pouvaient, la femme de l'effleureur me confirme leur absence ce jour, et je dis, tant mieux, je préfère vendredi pour les rassurer, le mercredi soir, je laisse Marie tranquille, prétextant un coup de fatigue comme a chaque fois que je sais qu'il se prépare quelque chose.

J'arrive à l'heure où je sais qu'ils décident, Marie descend avec l'effleureur, la scène est la même qu'avec Annie le mois d'avant, attachée, yeux bandés, walkman, sa femme arrive et martyrise Marie comme pour Annie, est-ce parce que c'est nouveau pour elle, ou parce qu'elle n'a pas eu de sexe la veille, Marie est hystérique, elle jouit comme une folle.

Elle hurle de plaisir, je reconnais qu'elle suce admirablement bien, mais là, Marie est déchainée, elle en redemande, elle guide, l'effleureur fait arrêter sa femme de sucer et tout fort, il dit, "va-y gueule salope", sa femme recommence à la sucer, la fouiller, la goder, je compte trois orgasmes au total dont un en même temps qu'elle pendant que l'effleureur la baisait.

Comme toujours, elle remontait l hautà, l'effleureur lui retirait tous ses liens et accessoires, Marie se blottit a lui en disant que c'était super, qu'elle a eu beaucoup de plaisir, lui, il dit, "bien, maintenant, je vais voir si tu sais être reconnaissante, met les affaires de pute là", elle s'exécute puis en lui disant de mettre le masque avec les yeux, lui dit, "j'ai des amis qui vont arriver", Marie dit ha non, elle prend plusieurs coups de martinet puis il dit, "attend-moi-la", elle attend et je vois arriver les trois mêmes que pour Annie.

j'en reconnais surtout un, il dit à Marie de grimper et danser en prenant un coup en même temps, il met la musique et Marie danse, mais sans conviction, il donne des martinets aux autres, ils sont autour de la table, il arrête la musique et dit," allez, on lui montre qu'elle a le choix, nous faire bander ou se faire fouetter", la pauvre Marie fait le tour de la barre, mais les coups pleuvent, échappant a l'un pour en prendre par un autre, je sais qu'elle aime cela aussi, mais au bout d'un moment ça chauffe, elle dit, " je danse, je danse".

l'effleureur lui dit "vient là", il met sa main entre les cuisses et dit, "c'est bon, cette salope mouille", il remet la musique et là, elle donne vraiment le meilleur d'elle-même, les types doivent se régaler, elle a eu des bons cours, j'aimerais être l'un d'eux, mais il parait que danser pour son mari, cela ne fait pas l'ambiance, une femme qui danse pour son mari se sent ridicule, mais pour un autre, cela l'excite et elle est plus motivé, l'ivresse de la fête.

E lle a des mains aux jambes, aux fesses, je ne vois pas son visage, mais elle n'a plus la même attitude qu'au début, elle est prise par l'excitation, en pensant cela, je regarde en même temps ce qu'elle fait, après sa masturbation sur la barre ou l'un lui touchait les seins et l'autre en face les jambes, elle est sur les pieds prés de la barre ou elle se tient et le fessier vers le bord du billard ou un des trois lui met la main sur le sexe et ou elle se masturbe sur cette main.

L'effleureur dit, " c'est bon, cette salope est a vous", Marie veut dire quelque chose, mais il brandit le martinet, je connais le corps de Marie, contrairement à quand c'est Annie, là, je regarde plus son comportement, j'y vois qu'en fait Marie se sent mieux seule avec les trois types, à croire qu'elle avait peur de montrer a l'effleureur son comportement avec eux, Marie se comporte comme une salope, le masque la rend anonyme, elle se donne complètement aux types, la danse fini, c'est elle qui prend les initiatives, retirant soutif et culotte.

Elle se montre sans pudeur et obéie à la moindre demande, elle leur demande de la faire jouir, Marie a eu trois orgasmes à nouveau, l'un baisait, les deux autres la tripotaient partout, chacun l'a prise à son tour, elle a joui une dernière fois en se godant à sa demande, mais le type l'avait bien préparé avant, une fois fini, ils continuaient de la tripoter et elle se laissait faire en souriant.

Elle leur dit, j'espère qu'on se reverra, l'effleureur arrive, regarde et les types lui disent au revoir, après les avoir raccompagnés, quand il redescend, il dit à Marie de s'essuyer et il la sodomise de suite sans ménagement appuyée sur le billard, regardant cela, j'ai joui en me touchant a peine, Marie a déjà été comblée.

Une fois que j'ai éjaculé, mon esprit pense différemment, je me dis que je donne ma femme a des inconnus, je sors et traine jusqu'au soir comme d'habitude, le soir, je dis que je suis fatigué et comme elle aussi, elle me le dit et propose une pipe que j'accepte, je me venge le lendemain soir où on fait l'amour, Annie me dit que cela l'excitait et c'était moyen agréable de rendre service, de plus, il n'était pas chien, ni profiteur, je m'en suis rendu compte bien plus tard.

J'ai loupé des après-midi chez l'effleureur surement, car Marie était plus câline après ces séances, elle n'a jamais été aussi câline que depuis qu'elle m'a trompé, plusieurs fois, elle a voulu me dire pour chez l'effleureur, pour être rassurée que chez lui, c'était son jardin secret, ces séances chez lui étaient la seule cachoterie qu'elle me faisait, mais c'était à ma demande.

Un vendredi, Annie veut manger avec moi, je lui demande si elle ne préfère pas un autre jour, elle me dit non, vient, après je ne pourrais plus, je déjeune avec, à table, je vois bien que ça ne va pas, je ne la reconnais pas, je lui demande ce qu'il y a, elle dit, rien, elle se force à sourire et je le remarque, après le repas, elle me demande d'aller chez elle, je la suis, on est au salon, et là, elle me dit.

"Bon, tu as remarqué que je n'allais pas bien, voilà pourquoi…. (long silence, respiration), je quitte mon mari, ou plutôt on se quitte, cela fait plusieurs semaines, on faisait en sorte que cela ne se remarque pas, mais c'est décidé, je sais tes sentiments pour moi, tu sais les miens pour toi, que dirais-tu si je te disais que je veux vivre avec toi".

Je suis estomaqué, je lui dis qu'ils ne peuvent pas faire ça, qu'ils s'aiment, elle me redemande, nos mains se prennent, je dis que son mari est quelqu'un de bien, qu'il l'aime, je me sens mal dans ma peau, dans ma tête, tout n'est que calcul, vivre avec Annie, le rêve suprême, je soupèse le bon, le mauvais, c'est-à-dire quitter Marie, elle s'en doute, me disant, que Marie m'a trompé avec un autre, sans la débiner, mais en lançant contre elle, des petits pics la discréditant.

Dans ma tête, ça pédale à toute vitesse, Annie croit que je réfléchis, en fait, j'aime Marie certes, mais je ne l'aime plus de la même façon qu'avant Lucien, avant je l'aimais comme une épouse, maintenant, je l'aime comme une amie, comme une femme qui est à mon service, prête à tous mes caprices sexuels.

Je sais qu'avec mon physique, que jamais je ne retrouverais une femme comme elle, cela restera toujours un mystère, même encore aujourd'hui, j'ai des sentiments pour elle, mais ils ne sont plus aussi forts qu'avant, je l'aime plus qu'une autre, mais moins qu'Annie, quand on tord une barre de fer, on aura beau la redresser, il y aura toujours une trace qui montrera qu'elle a été tordue.

Si au début, ma colère était dans le sens ou un autre que moi avait profité de son corps, par la suite, ce n'était plus l'acte lui-même, mais qu'elle avait pu faire cet acte qui me rongeait et cela a répétition, mon amour pour elle n'est plus pur comme il l'était, c'est un amour recollé, si elle me quittait, je souffrirais, mais moins que j'ai déjà souffert, avec Lucien, j'ai perdu la femme que j'aimais, maintenant, je ne perdrais qu'une femme complice de mes jeux.

Je ne veux pas dire que je ne l'aime plus du tout, je l'aime beaucoup encore, seules les raisons de cet amour ont changé, je l'aime parce qu'elle m'aime, parce qu'elle est très belle, parce qu'elle est de bonne compagnie, qu'elle m'est soumise, et je l'aime d'amour aussi malgré tout, pour l'heure, je suis confronté à un choix, Annie ou Marie, entre une Ferrari ou une Maserati, entre un lingot d'or d'un kilo, ou deux de cinq cent grammes.

Au moment où je raconte et ou Annie écrit, elle apprend cela, mon choix a été fait pour les raisons que j'énonce ci-après et qui n'auraient pas été appréciées de Marie, a ce moment-là, je ne voulais pas d'épouse, je voulais ce que j'avais, une femme qui fasse ce que je demande, j'avais goûté aux joies de la débauche sexuel et ne voulais pas y mettre un terme.

Ensuite, Annie était au-dessus de mes moyens, et dans tous les domaines autres que financier, car nous avions le même train de vie, son mari était plus démerdard, plus costaud, plus courageux, plus habille, plus intelligent, plus ceci, plus cela, même si j'avais des qualités qu'il n'avait pas, c'était aussi le cas dans l'autre sens, et si on additionnait les plus, c'est lui qui gagnait haut la main, Marie et moi, c'était une grosse erreur, Annie et moi, ça aurait été une très grosse erreur.

Si je devais revenir en arrière avec l'expérience que j'ai, jamais je n'aurais courtisé Marie, du moins, jamais je ne me serais marié avec, j'avais toute la panoplie du cocu à venir, aveuglé par l'amour à l'époque, plus lucide aujourd'hui, déjà, j'ai dans ma tête l'idée que je gâche la vie a Marie qui aurait pu avoir un type riche comme crésus, au lieu d'un type comme moi, et si en ce moment Annie me dit qu'elle quitte son mari, il en est de même pour elle.

Annie et Marie me font penser à un dessin avec une bulle où on voit une femme super sexy avec une superbe poitrine sous son chemisier, qui dans l'encadrure d'une porte d'un bureau dit, "bonjour, je viens pour un essai comme secrétaire", et dans une autre bulle, le patron la voyant répond, "pas besoin, vous êtes embauchée tout de suite".

Quand elle a commencé dans sa boite, Annie était rentrée en remplacement d'une femme enceinte comme secrétaire, quand celle-ci est revenue, elle a accepté une promo de chef de service, elle accompagnait ensuite son employeur aux repas d'affaires avec les fournisseurs principalement et sans coucher avec, rien qu'avec son sourire, sa voix, sa présence, elle obtenait des tarifs plus qu'avantageux, comme j'ai aussi avec Marie, avec les clients, même avec ceux ou rien ne se passe.

Pour pouvoir que soit écrit ce qui suit, Annie, après m'avoir mis une petite claque, écriera sa pensée aux deux paragraphes suivants, car elle n'est pas d'accord, je décide de dire non à Annie, cela me coûte énormément, dire non à celle que l'on aime, dire non à son fantasme, non à son rêve, mais je suis lucide, Annie, c'est une Rolls et moi, je ne suis qu'une traban, Annie est une formule 1, moi, je suis une dodoche, je suis conscient, je ne m'aligne pas sur la piste de départ.

Annie : qu'il est bête ce Henri, il croit que toutes les femmes n'aiment que ce qui brille, il croit qu'on se laisse toutes avoir par une voiture pourrie ou la peinture vient d'être refaite et qui brille, bien sûr qu'il y a des femmes comme ça, mais nous ne sommes pas toutes des connes, Henri, c'est quelqu'un de très bonne compagnie, de drôle, c'est quelqu'un qu'on ne peut qu'aimer, il n'a pas les muscles, mais il a le courage, il l'a démontré plusieurs fois, sexuellement, il est loin d'être nul.

C'est quelqu'un sur qui on peut compter, quelqu'un qui n'est pas profiteur, quelqu'un qui donne, qui se donne, il dit qu'il n'est pas beau, mais il n'est pas laid pour autant, et puis intérieurement, il est magnifique, il sait consoler, il sait écouter, il sait être honnête sans blesser, il sait faire plaisir, et comme on en est aux confidences, il y a plus de la moitié des copines que nous connaissons tous les deux qui m'ont dit, "elle en a de la chance Marie", Henri, c'est un homme qu'on ne peut qu'aimer.

Voilà, Annie m'a sur embellie, c'est son point de vue, pas le mien, même si je suis d'accord sur certains points autre que physique, mais pour le moment, mon cerveau est en surchauffe, elle me propose plus que tout l'or du monde, et moi, je cherche le moyen de refuser, elle me fait une déclaration d'amour, elle argumente pour qu'on se mette ensemble.

Mais à chaque fois, je la contre, même quand elle me parle de Lucien, je mets sa faute sur moi en disant que je n'ai pas su me montrer suffisamment amoureux d'elle, à la fin, je dis presque en pleurant, je suis désolé Annie, j'aime trop Marie pour la quitter, je serais trop malheureux et te rendrais malheureuse aussi, je me lève pour partir, les yeux larmoyant, car refuser cette proposition me coûtait

Annie se lève aussi, son air triste qu'elle avait depuis midi a disparu, elle sourit et me dit, Marie a de la chance de t'avoir, je réponds, non, c'est moi qui en ai d'être avec elle, souriante toujours, elle vient vers moi et m'embrasse sur les lèvres, je la repousse en disant non, qu'il ne faut pas, je sens une présence derrière moi et sursautant, car surpris, je vois son mari et Marie, je regarde Annie qui sourit encore plus, Marie se jette sur moi en pleurant en disant des "je t'aime" me serrant dans ses bras.

Le mari d'Annie me tapote sur l'épaule en me souriant, je dis, "quelqu'un m'explique", Annie me dit que Marie avait peur que je la quitte, qu'elle demandait sans cesse ce qu'elle devait faire pour que cela n'arrive pas, alors là, je le lui ai prouvé, Marie me serrait dans ses bras, j'adore ses marques d'affection, son mari vient vers moi et nous dit, ma femme ne se trompe jamais quand elle dit qu'un type est bien, je lui dis, "oui, mais c'est elle qui m'a embrassé sur la bouche", il dit, "c'était prévu", j'embrasse Marie.

Allant vers Annie en lui disant qu'elle m'a bien eu, a mon tour, je l'embrasse sur la bouche en disant," puisque c'était prévu", son mari en plaisantant dit, 'hé là, je n'aurais pas dû dire que c'était prévu ça", même Marie souriait, elle avait découvert qu'entre elle et Annie, c'était elle que je choisissais, j'étais quand même déboussolé, je venais de "repousser Annie", j'avais peur maintenant pour nos orgasmes ensembles, son mari dit a Marie, "vient, vous mangez là ce soir, on va faire quelques courses".

Dés que la voiture est partie, je lui dis, "tu m'as bien eu", je te connais bien dit elle, je lui dis, " imagine que je t'aurais dit oui, car tu sais, ca se joue vraiment sur le rasoir les sentiments", elle s'approche de moi en disant qu'elle le sait aussi, mais qu'elle savait que j'aimais Marie plus que tout, disant qu'elle m'a trompée et que la colère passé, je l'ai gardé et que je lui autorise d'autres hommes, je réponds, "d'autres, non, un autre", elle me dit," oui si tu veux", elle me dit ici, qu'a l'époque, elle savait aussi pour l'effleureur et pour le client, elle l'a su comme moi j'ai su pour elle, par le parfum de Marie sur la tenue de pute de l'effleureur.

Annie s'approche de moi et m'embrasse, je lui demande penaud, si je ne l'ai pas déçue ou vexée, elle me répond que c'est en lui disant oui qu'elle l'aurait été, on s'embrasse comme deux amants, elle me dit, qu'entre nous, ça continuera pareillement, si je le souhaite, je réponds, que je serais un idiot de vouloir arrêter, je l'embrasse à nouveau sur les lèvres, elle se laisse faire quelques secondes puis me dit de ne pas abuser.

Comme ils étaient partis juste le temps qu'Annie me donne des explications et se fasse pardonner de m'avoir piégé, nous n'avons pas "joué" ensemble, elle m'a promis une autre fois, je ne lui en ai pas voulu, cela avait rassuré Marie, et en plus, j'avais goûté pleinement les lèvres d'Annie, nous avons passé une très bonne soirée, bien manger et bien danser dans la pénombre, Marie était heureuse, son mari aussi, Annie me dit ici, que je l'avais "touché", la semaine suivante, j'ai eu ma récompense avec Annie, Marie était encore plus amoureuse, et beaucoup moins jalouses, elle se disait à juste titre, que si j'avais dit non à Annie par amour pour elle, elle n'avait rien à craindre des autres.

Nous avons fait Noël avec le client où celui-ci a gâté Marie, un tailleur jupe courte de qualité supérieure encore à ceux de Lucien comme cadeau, et pour la soirée, il avait déjà acheté une robe du soir, des chaussures, des sous-vêtements, j'ai eu droit à un carton de vins comme l'année d'avant (pommard, gevray chambertin, château Margaux), et une semaine avant, 24 bouteilles de champagne nous étaient livré.

Lui n'avait eu qu'une bouteille de très vieux whisky comme cadeau, j'ai rouspété, mais il nous a dit, "mes cadeaux n'ont aucune valeur par rapport à ce que vous me donnez, et comme si cela ne suffisait pas, en plus, j'ai Marie, cela a une valeur intrinsèque, il adorait faire du shopping avec elle, si Marie avait voulu, elle aurait pu lui faire acheter la lune, il disait que même sans le coté sexe, sa présence était un bonheur pour lui, j'avais tous ses contrats au boulot, c'est moi-même qui faisait faire des devis sur son nom, chez la concurrence pour être dans les tarifs, s'ils avaient su cela à la boite, j'aurais eu des ennuis.

Quand ils faisaient du shopping, c'est Marie qui prenait sa voiture, elle me disait que pour payer, ce n'était même pas la peine, et qu'il était très correct, il ne restait pas prés de la cabine d'essayage, il agissait comme un père, des fois, Marie essayait un vêtement et ne le prenait pas pour le prix trop élevé, il disait à la patronne en douce, la robe là, vous ne dites rien et vous la mettez dans le carton sans que cela se voie, il lui payait le coiffeur avec toutes options, manucure, pédicure, salon de beauté.

Au réveillon, il caressait Marie comme toujours, façon amoureuse mais pas sexuelle, baise main, bise dans le cou, après le repas vers minuit ou cette fois, on a ouvert nos cadeaux, il a demandé à Marie d'essayer son tailleur, elle s'est fait un plaisir de le faire, il était émerveillé et je le comprenais, de nous voir baver, elle nous a fait un striptease sans trop danser, juste en se trémoussant, nous dévoilant ses dessous.

Le soir au lit, Marie me disait qu'il était comme une machine, programmé que pour son plaisir, elle rentre dedans et la machine ne se met en marche que pour elle, je l'entendais jouir malgré les deux portes de nos chambres, je ne mettais plus le micro depuis longtemps, ils ne se retenaient plus, je bandais d'entendre et je n'éprouvais aucune jalousie, j'étais heureux qu'elle prenne du plaisir.

Elle me rejoignait et je la soulageais, moi également, le matin notre déjeuner était prêt, le midi ont fini les restes, après le repas, Annie appelle pour nous demander si nous voulons venir, je lui dis qu'on a notre client, elle dit et alors, obligez le à venir, il a dit ne pas vouloir déranger, je lui ai dit, il faut qu'on vous oblige a venir, le soir, il n'a pu s'empêcher d'arriver avec un bouquet qui a eu du mal a rentrer dans la voiture.

Ils avaient fait une soirée fruit de mer, langouste, huître, crevettes rose, le client était gêné du repas royale, disant a Annie et son mari que la prochaine fois qu'il revient, qu'ils ne pourront pas faire autrement que d'accepter une invitation de sa part, son mari lui dit, je vous laisserais ma femme, moi, vous savez, ce n'est pas vraiment mon plaisir, le client dit que ça le gêne.

Son mari, avec humour dit, "comment ça, ma femme vous fait honte", il répond, " la dessus, ça serait plutôt le contraire", il répond, "si vous êtes ami avec Henri, c'est que vous devez être un type bien, et il n'y a qu'avec les types bien que je laisse aller ma femme", rajoutant a voix basse, "en leur permettant même quelques privilèges manuels".

Après cela, nous avons tous dansés dans la pénombre, il a fait toutes les danses, au début, il n'a pas trop osé toucher Annie, c'est elle qui lui a presque demandé, il a dit qu'il ne voudrait pas fâcher le maître de maison, encouragé par elle, il a finalement prit sur lui, timidement au départ puis plus fermement ensuite.

En février, le mari d'Annie a eu un très gros problème (autre que santé et finance), que je ne citerais pas ici, par respect de la vie privée, Annie était dans tous ses états, moi Henri, hé oui, je l'ai sorti de ce très mauvais pas, en me mouillant beaucoup comme on dit, c'est la seule fois où je trouve que j'ai vraiment fait acte de courage, contrairement à la bagarre où je n'ai eu que de la chance, ils m'ont remercié, surtout son mari.

J'ai été étonné que les semaines qui ont suivi, qu'Annie ne m'a pas appelé pour notre petit plaisir à deux, je l'ai su à mon anniversaire, ou Marie les avait invité, j'ai eu un cadeau de Marie, et une bonne bouteille d'eux, au moment de partir, je vois son mari s'habiller et Marie aussi, mais pas Annie, j'avais la tête de quelqu'un qui ne comprenait rien à ce qui se passait, son mari chante "happybirdaytoyou", mon vrai cadeau, en accord avec eux trois, c'était une nuit complète avec Annie.

Pensant à une plaisanterie, J'ai voulu dire non, ils m'ont dit que je n'avais pas le choix, Marie me dit, bon anniversaire mon amour, son mari me dit, concernant cette nuit-là, demain, je ne demanderais aucun détail de ce qu'il se sera passé, bon anniversaire mon vieux, ils sont partis, je me suis dit, il me donne sa femme et va prendre la mienne, on discute, elle fuit le sujet, nous sommes sur le canapé, enlacés, ils avaient prévu cela, ¾ d'heure après, Annie me fait téléphoner à sa copine qui me passe Marie et ensuite, elle me fait téléphoner chez elle, à son mari, m'assurant ainsi, qu'ils ne sont pas ensemble.

Annie me dit, voilà, je suis toute à toi sans limite, je lui dis "sans limite", elle dit, oui, mais tu sais ce que je t'ai dit une fois, mais aujourd'hui, il n'y a que toi qui décides, elle passe à la douche et m'apparaît en déshabillée super sexy, je vais à la douche à mon tour et avant de la rejoindre sur le canapé, je la regarde, je n'arrive pas à croire ce qui m'arrive, mon plus grand fantasme qui m'attend à disposition, avec en plus, l'aval de son mari et de ma femme.

Je suis comme dans un rêve, j'ai peur que mon réveil sonne, peur d'être mort et au paradis, peur que se soit une farce, je la rejoins sur le canapé et la touche partout pour être sûr que je ne rêve pas et je me dis, que si c'est le cas, en attendant, je profite de ce rêve, on avait mis la télé pour se dire qu'on a la nuit, mais l'appel des sens est le plus fort, Annie gémit sous mes caresses et moi, je bande a mort.

Ne voulant pas passer pour un crevard, je me calme, j'approche mes lèvres des siennes, je lui fais un bisou sur les lèvres qu'elle me rend, je lui en refais un autre, elle me fait pareil, nos lèvres se collent, elle ne bouge pas, elle me fait languir, je lui fais sentir ma langue par à-coup, elle sourit, puis elle ouvre sa bouche, nos langues s'enroulent, nous sommes d'accord sur le terme, nous nous dévorons, la fougue calmée, nous allons dans la chambre d'ami, elle me dit que Marie a autorisé notre chambre, mais Annie et moi préférons celle d'ami, cela est symbolique.

Comme à chaque conquête, je mets mon plaisir en standby, un seul et unique but compte, donner à ma partenaire le plaisir qu'elle attend, montré que je ne suis pas ce que j'ai l'air, lors de nos jeux avec Annie, j'étais contraint à une limite, Annie jouissait de son côté, moi du mien, mais là, c'est moi le chef d'orchestre, le chef de chantier, le maître d'œuvre, le seul responsable de ce qui arrivera de bien ou de mauvais, ma réputation est en jeu, je dois la défendre a tout prix, ou du moins, ne pas la ternir plus qu'elle n'est.

Après l'avoir agacé de désir en l'embrassant sur tout le corps, sur toutes ses zones érogènes où je me régalais autant qu'elle, à chaque baiser entre les cuisses, je remontais de plus en plus vers son puits d'amour qui débordait déjà, Marie et Annie se ressemblent en dimensions, les seules différences sont l'odeur de leur peau, la réaction aux caresses et le goût de leur cyprine, et accessoirement à ce moment-là, l'envolé de l'orgasme, dû au nouveau partenaire que j'étais pour elle, Annie me serre fermement la tête avec ses cuisses et se frotte son sexe sur ma bouche, je peine à respirer, mais je reste ainsi sachant qu'elle, elle est submergée par son plaisir.

Une fois libéré et que j'ai pu reprendre ma respiration, j'embrasse à nouveau Annie, à Olga et les filles éphémères rencontrées, je les baisais, mais à Helene, Marie et là Annie, je leur fais l'amour, c'est toute la différence entre prendre du plaisir avec une femme et donner du plaisir à une femme, je ne suis pas quelqu'un pour qui une femme vient pour mon physique, je pars avec un handicap que je dois rattraper.

Combien de fois, attablé à la terrasse d'un café, j'ai entendu des plus jeunes dires entre elles en parlant de l'un ou de l'autre " il ne ressemble pas a schwarzy ou a robert Redford, mais" il a d'autres qualités ou alors le reste est pire, je m'efforce de l'éviter le pire, je n'ai pas besoin de cela sur mon CV peu glorieux, mais pour l'heure, je ne peine pas, Annie me donne une pêche d'enfer, je la bois comme un soiffard, je la mange comme un crevard, je ne la goûte pas, je la dévore.

Si mes lèvres étaient un tampon encreur, de couleur noire, elle ressemblerait à une Sénégalaise, aucun centimètre carré n'a été épargné par mes baisers, elle me dira qu'elle n'a connu ça, que dans les débuts avec son mari, elle me demandera une fois terminé, si je ne viens pas de faire 20 ans de prison sans voir de femme.

Pour l'heure, mon but est de renouveler l'exploit, son premier orgasme est dû au syndrome du nouveau partenaire que je suis pour elle, c'était la première fois que mes lèvres goûtaient son sexe, frissonnant à nouveau sous mes caresses, je la retourne et m'occupe avec ma langue de son petit œillet, lorsque nous nous concertons au moment où j'écris ici, elle est d'accord avec moi pour dire qu'à l'époque, elle voulait me faire plaisir, en se donnant a moi comme cadeau, elle l'avait fait à la demande de son mari qui l'avait proposé à Marie, pour avoir son accord.

Annie le voulait aussi, mais avec une appréhension, elle a joui une première fois dans ma bouche en étant incapable de se retenir, elle me donnait son corps, mais là, au moment où je passe ma langue sur son anus, elle me donne son âme, elle ne subit plus ma caresse, elle la réclame, elle m'encourage, lors de nos orgasmes ensembles, on ne parlait pas, on criait quand on jouissait seulement, alors que là, on converse, du moins, elle seule parle, moi, j'avais la bouche pleine, elle gémit, Annie est une amante formidable, tout comme Marie, elle se donne sans condition à son partenaire.

Ma langue la fouille, par moment, je passe en dessous lui lécher le clito et remontre ma langue en passant sur ses lèvres intimes, après cela, je lui pince le clito entre mes doigts, elle est très réceptive, très sensible, la caresse lui est insupportable, elle me retient ma main qui la fouille ; par peur qu'elle se doute de quelque chose, je n'ose pas lui proposer de l'attacher afin d'aller plus loin dans son excitation, s quedé je la touche, elle m'arrête quand le plaisir devient trop fort, attachée, elle n'aurait pu que dépasser cette limite.

Une fois que je sens qu'elle est prête, je la replace comme la première fois, sur le dos, mes bras sous ses cuisses, lui tenant fermement les poignets et je lui bouffe la chatte, pinçant son clito avec mes dents, je peine à la tenir, le plaisir décuple ses forces, j'étais presque à bout de forces à la tenir quand d'un coup, ses muscles se relâchent, elle ne bouge plus son bassin, elle me serre la tête avec ses cuisses et sans se retenir de crier comme la première fois, elle lance un "haaaaa, je jouis, je jouis, haaa ouiiiii, ensuite son étreinte des cuisses se relâche un peu et elle se frotte frénétiquement le sexe sur ma bouche.

Nous reprenons notre souffle en nous enlaçant, en nous embrassant, nos corps se touchent au maximum, à ce moment-là, je peux le dire maintenant, mais quand Annie m'a demandé de vivre avec, dans la balance, ce ne sont pas les femmes elles-mêmes qui m'ont fait prendre ma décision, il y avait surtout Marie que j'aurais rendu malheureuse et Annie qui se mettait avec moi par dépit et qui méritait mieux que moi (Annie, n'approuve pas cette dernière phrase).

Dans un contexte autre qu'une séparation, choisir entre Annie et Marie, serait aussi difficile qu'une mère qui aurait à choisir d'abandonner l'un de ses deux enfants, tout à mes pensées d'être avec Annie, nus dans un lit, l'un contre l'autre, je me souviens d'une parole de son mari qui disait," quand des types comme nous, on a des femmes comme les nôtres, il ne faut pas les enfermer, on doit leur donner ce qu'elles attendent, faire en sorte de leur être indispensable et que nulle part ailleurs, avec d'autres, elles n'auront la liberté qu'on leur laisse, sinon, on aura droit qu'a des gravos" .

Il disait aussi que les femmes les plus faciles, sont celles qui ont un mari jaloux, plus le mari est jaloux et plus elle succombera facilement, à l'époque, je ne comprenais pas le sens de ses paroles, Maintenant que je sais presque tout du couple d'Annie, je comprends mieux ses certitudes, disant que "si tous ses cocus préférés se tenaient par la main, ils formeraient une ronde qui encerclerait son pavillon terrain compris.

Une fois reposé, je submerge à nouvelle Annie de baiser, en une nuit, je dois rattraper plus de dix ans d'envie d'elle, elle me dit la même chose, mais je ne la crois pas, comment peut-on avoir envie de moi, elle est le jour et je suis la nuit, en elle tout est beau, en moi, il faut chercher longtemps, à l'intérieur peut-être, je suis respectueux, à l'écoute, serviable, gentil, Annie tient a dire courageux, je lui dis, ou fini le courage et ou commence l'inconscience.

Annie commence à nouveau à onduler sous mes caresses, je la prépare a me recevoir, car moi, a force de me retenir, la bête commence a vouloir vomir son venin, contre toute attente, elle me dit, en me serrant dans ses bras, "attend, si tu me baises, rien ne sera plus pareil entre nous", je dis comment ça, elle me dit qu'on passera comme un cap, qu'il y aura quelque chose de casser entre nous, Annie me fait peur, je lui demande si elle ne voudra plus me voir, elle dit, pas à ce point, mais ça sera un peu ça.

À l'époque, elle ne m'a pas expliqué aussi en détail qu'aujourd'hui, elle me dit, fini les orgasmes sur le canapé, les attouchements continueront bien sur, nous ne serons plus amis pareils, je sens qu'elle me dit qu'elle regrette, je me sens très mal, pensant qu'elle me subit, elle sent mon malaise et dit ce n'est pas ce que je me doute que tu penses, voilà ce que je te propose, pas de pénétration, et les prochains câlins sur le canapé se feront comme maintenant, je lui dis que c'est tentant, mais……, elle ne me laisse pas finir et m'attrape le sexe en disant, "avec un petit avantage en plus, elle descend, puis me prend en bouche, l'extase suprême, je lui dis non, mais au bout de 5 ou 6 succions où je tentais de la faire arrêter, je suis foutu, je dis, "ho non, merde" et lui jouis dans la bouche.

Je lui baise lentement la bouche pour tout donner, pour me vider complètement, un fois fini, j'ai honte, je lui dis que je vais chercher une serviette, elle me dit pour quoi faire, Annie m'a avalé mon sperme, sachant qu'elle ne le fais pas a ceux que je vois, je suis heureux, je lui dis, "si j'ai bien compris, si je te pénètre, nous ne recommencerons plus et si je ne te pénètre pas, on recommencera pareil que ce qu'on a fait ces dernières heures", elle dit oui, je lui dis qu'il n'y a pas à réfléchir, je gomme la pénétration, puis je lui dis, mais toi, tu en a besoin d'être pénétré, elle dit, il y a des jouets, je la dévore, de savoir que je profiterais encore de ce corps merveilleux.

Elle me dit, on dort un peu, je dis oui, elle se tourne, j'en fais de même afin de ne pas être collant, elle me demande si je fais la tête, je dis "non pourquoi", elle répond, "tu pourrais me prendre dans tes bras", elle n'a pas eu besoin de le répéter, comme cadeau d'anniversaire, nos concubins avaient tapé fort, j'ai été plus que gâté, je n'aurais échangé celui-ci pour rien au monde, le matin de bonne heure, j'étais encore collé sur elle, le temps d'émerger et me rappeler la situation, une érection m'arrive et j'entends Annie dire, "toi, tu es réveillé", à savoir qu'il n'y a aucun prodige à bander quand on est avec Annie, ni même Marie.

J'ai voulu attaquer de suite, mais elle a voulu aller à la douche avant, je l'ai suivi et je l'ai savonné, j'ai peiné pour me contenir et attendre d'être à nouveau au lit avec elle, je me suis à nouveau régalé de son corps, je lui ai donné deux orgasmes avec ma bouche puis me rappelant ce qu'elle m'a dit, j'ai sorti un gode en disant, voilà un jouet, je lui ai redonné deux autres orgasmes avec le gode, un dans sa chatte et un autre avec le gode dans son anus, on a fini en 69, moi sur le dos, ou elle a juste pris un peu de plaisir de ma langue, elle m'a sucé et si j'ai mis plus longtemps à venir que la veille, ce fut trop rapide aussi.

Nous avions quartier libre jusqu'à midi ou Annie devait préparer le repas, je lui ai apporté le petit-déjeuner au lit, et a onze heures, a force de se câliner à chaque fois qu'on se croisait, j'ai eu droit a une autre fellation, Annie était crevée et n'a pas voulue s'irriter les parties intimes, en plaisantant, je lui dis, "désolé, je ne me rends pas compte de ma force", elle m'a répondu a l'époque, car elle ne pouvait pas le dire, "ne te sous-estime pas", aujourd'hui comme je sais tout de leur couple très libertin, elle me dit, que si elle devait, comme moi mettre des notes, que je dépasserais largement la moyenne alors que d'autres mieux gâtés par la nature, en sont loin.

Quand le mari d'Annie sonne, j'ouvre en bas et embrasse Annie sur la bouche, je lui ouvre la porte de la maison ensuite, en entrant, il me dit en souriant, "je viens récupérer ma femme, il m'en reste au moins", ils se sont embrassés, je n'ai même pas eu de pointe de jalousie, Annie n'était pas a moi, peut être dix minutes après, Marie arrive avec la copine d'Annie, Marie me saute au cou, on s'embrasse fougueusement, je suis content de la voir, la copine demande à Annie si la nuit n'a pas été trop courte, il comprend que je suis étonné, il me dit, "oui, elle est au courant, mais personne d'autre que nous cinq ici".

Je sors le champagne en apéro, et je dis, je lève mon verre à toi, un véritable ami qui m'a donné sa plus grande richesse, me faisant le meilleur cadeau que je puisse rêver, je lève mon verre à toi Annie, qui m'a donné ce cadeau et je lève mon verre à Marie, la femme que j'aime, qui m'a permis de réaliser mon rêve, j'espère que je serais toujours à la hauteur de votre amitié, et de ton amour, nous avons parlé de tout sauf de notre nuit, je tentais d'apercevoir des signes de jalousie sur son mari, mais rien, il était souriant, je ne les savais pas libertin, triolisme, échangisme à cette époque.

Annie m'avait dit, "pour lui, être cocu, c'est ce que je ferais dans son dos, pas ce qu'il m'autorise", sans lui répondre, je me disais, "il a raison, avec Lucien, ça m'a fait mal, mais pas avec les autres que je lui autorise", Marie me serrait dans ses bras, m'embrassait par moment, je pourrais presque croire que j'ai rêvé, si avec Annie, je n'avais pas échangé quelques regards complices.

À suivre.
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Histoire de annizette

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