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Vengeance heureuse d'un cocu 13

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Lue : 1552 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 09/08/2015

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L'après-midi, les femmes ont voulu essayer les vêtements de Marie, nous leur avons demandé de défiler devant nous, toutes les trois n'ont fait aucune difficulté à nous contenter, Marie a une garde-robe impressionnante, entre ses vêtements personnels achetés de nos deniers, ceux récupérés à Lucien et ceux de notre client, quand elles repartent dans la chambre pour se changer, entre hommes, on se dit qu'on a de la chance, Annie et Marie se ressemblent beaucoup, la copine n'a pas le physique aussi avantageux, mais elle est largement plus que baisable comme il dit.

Cet essayage de jupe et robe dure quand même deux heures, quand elles arrivent ensuite en dessous, Annie et Marie ont la même taille, la copine est plus grande, et par conséquent plus large, elle garde ses propres bas, mais les strings et soutifs sont justes, Marie m'a timidement testé voir si comme lui avait dit Annie, que je serais d'accord pour qu'elle se montre ainsi devant son mari, rassuré, elle a suivi le mouvement, Annie passe prés de son mari qui la touche aux fesses, je fais la même chose en moins "osé", me contentant des cuisses, Marie passe ensuite et il lui fait comme j'ai fait sa femme.

La copine passe, il lui dit, "pas de jalouse", elle répond, j'espère bien", il lui met la main aux fesses, j'en fais de même, elle fait juste un petit cri de complaisance, quand elles se changent, je lui demande un coup de main pour pousser la table basse, en s'asseyant, il me dit, "pas besoin de faire genre avec Annie", je lui dis, "alors avec Marie non plus", quand elles reviennent, on leur tripotent les fesses, les seins, toutes les trois y ont droit.

Avant de passer à côté de nous, elles partent de trois mètres avant, Annie et Marie arrivent avec une démarche très sensuelle, la copine les copie, mais on voit de suite le manque de pratique, son mari me dit, nos femmes, elles sont montées sur roulement à billes, j'adore le mari d'Annie, quand il dit une chose, il est naturel, ça plaît, ou ça plaît pas, mais il le dit en face, sans intermédiaire, et aussi de façon très explicite, une fois dans un resto, un groupe derrière Marie et son mari parlait très fort et dérangeaient autant ceux derrière eux que nous.

Peu patient, il nous dit de nous boucher les oreilles, et avec sa voix qui porte, s'amuse à répéter tout haut et très fort, les mêmes paroles que le type derrière, après la deuxième phrase, le type dit à un de ses copains, "c'est de ma gueule qu'il se fout", il répète cela aussi, le type lui demande "t'a un problème", il lui répond, "oui, mon problème, c'est ta grande gueule qui me postillonne dans l'oreille, alors tu baisse le volume où on va discuter plus fort ailleurs.

Un autre lui dit, "tu veux dire quoi par là", en se levant et faisant face, son mari répond "hé bien moi si avec ma télé, je n'arriverais pas à baisser le son avec le bouton, avec un grand coup de savate, j'y arriverais toujours, et quand il y en a pour un, il y en a pour six" (allusion à ceux présents a la table).

Les types se sont regardés, ils m'ont regardé (je souriais), se sont regardés à nouveau, puis se sont mis à manger en silence, à la fin de leur repas, quand ils ont demandé l'addition, le mari d'Annie a dit au serveur, "les cafés, c'est pour moi", les types se sont regardés sans rien dire, ne comprenant pas, Annie leur a dit, "quand les gens sont intelligents, ils leur payent le café", ils ont dit timidement, "merci", puis sont partis, ironiquement son mari me dit, "tu vois, le dialogue, il n'y a que ça de vrai", sur le même ton, j'ai répondu, "c'est surtout quand ils m'ont vu moi, qu'ils se sont calmé".

Nous étions donc en train d'assister au défilé de nos femmes en faisant balader nos mains sur elles, ce qui ne les dérangeaient pas le moins du monde, quand le mari d'Annie, nature comme toujours, me demande s'il peut utiliser la chambre d'ami, je lui dis, "ici, tu n'a pas besoin de demander, tu veux, tu te sers", Annie disait "non, tu es fou", mais il l'a emmenée de force, ou plutôt c'est ce qu'elle voulait faire croire, en fin de compte, il n'a pas eu ce qu'il voulait, Annie me dit ici en écrivant, qu'il a juste eux une pipe, car elle était un peu irritée, en sortant, il me dit en rigolant, "'mais, tu me l'as usée", en moi-même, j'étais fier.

Ils sont partis, sauf la copine ou Marie lui a demandé, si elle ne voulait pas manger là, elle a dit non, Marie me dit "insiste", elle répond "vous voulez peut-être vous retrouvez en tête à tête, je lui dis, "on y est, être ensemble est-ce qui compte, aller ne discute pas, reste, je te promet de ne pas rester tranquille", ce faisant, je lui attrape un sein, elle se recule un peu, Marie rigole et lui dit de venir à la cuisine avec elle pour faire un gâteau, elles ont parlées et Marie lui a dit qu'elle savait pour elle et moi.

À l'apéro, Marie m'a dit qu'elle lui avait dit, j'ai répondu, que je l'aimais bien, mais que celle que j'aime la plus au monde, c'est Marie, elle a répondu, c'est pour cela que je vous aime bien, vous êtes comme Annie et son mari, elle dit à Marie, "si tu n'en veux plus, tu me le dis, moi, je le prends, ça me changera des cons que j'attire habituellement, Marie lui dit, "non, je le prête, mais je le garde pour moi", je dis à la copine, "comment veux-tu que je me sépare d'une femme comme cela, et en plus, je suis fou d'elle, j'aime les femmes et surtout, j'aime ma femme".

Ce soir-là, j'ai loupé ma soirée, est-ce que j'étais encore sous le charme de la nuit passée avec Annie, étais-je repus sexuellement, comme un imbécile, je n'ai pas capté la situation, j'avais à la maison deux femmes, la mienne qui insiste pour que reste une autre femme alors qu'elle ne m'avait pas eu la nuit passée, toujours est-il que je n'ai pas assuré à ce moment là, mon cerveau était gelé.

Quelques jours passent, la copine à Annie, est encore tombée sur un plouc comme elle dit, un midi, elle m'appelle pour m'inviter à déjeuner, bien sûr, j'accepte, je paie puisque je suis remboursé, elle a un regain de colère dans sa voix, dans ses paroles, je passe l'après-midi avec et le soir, elle me dit qu'elle regrette de m'avoir fait perdre du temps, je lui dis qu'avec elle, je n'ai pas l'impression de perdre du temps, et lui demande si elle veut rester à la maison dîner, elle refuse, j'insiste en disant, que si elle cuisine, ça la changerait.

Elle cuisine bien aussi, elle ne sera pas seule et Marie n'aura pas à préparer le repas, de plus elle l'apprécie bien puisqu'elle lui avait dit de rester manger un soir, je lui montre ou tout se trouve et machinalement sans même m'en rendre compte, je l'embrasse dans le cou en lui tenant les hanches, je m'excuse en disant que j'ai fais cela machinalement, elle me dit que je peux continuer, alors, je m'y remet et la caresse, et quant un homme caresse une femme, il y a une réaction érectile.

Je me pousse en lui disant, que je vais avoir du mal à me conduire en gentleman, elle me dit "oui et elle ne va pas tarder, elle est trop gentille pour que je lui fasse une vacherie dans le dos", je lui rappelle qu'elle le sait, elle me dit, qu'elle le sait aussi, qu'elles en ont parlé le soir où j'étais avec mon cadeau d'anniversaire, le plus beau de ma vie, elle me dit "moi aussi….. ", je sens sa gène, je lui dis, ca veut dire quoi, elle se défend, je repose la question, j'insiste plusieurs fois et elle me dit que ce n'est pas à elle de le dire.

Quand Marie arrive, elle est surprise de me voir déjà rentré, elle voit la copine, elle sourit puis son sourire s'estompe, j'ai compris que derrière moi la copine a fait un signe, Marie est contrariée, elle me demande pardon en disant qu'elle ne savait pas quoi faire, là, c'est moi qui deviens sombre, je dis, bon, dites-moi maintenant, j'ai un faux sourire, car intérieurement, ça commence à me gâcher ma soirée.

La copine dit qu'elle n'a pas voulue que se soit elle qui me le dise, sans rouspéter, je dis bon, ça suffit, dites-moi et comme ca je saurais, Marie me dit que le jour de mon cadeau, elle a été dormir avec elle, ça, je le savais et en moi-même, je me dis que le mari d'Annie, après m'avoir rassuré au téléphone est revenu voir les filles et qu'eux se sont fait un cadeau, je n'étais pas jaloux de ça, mais qu'elle ne me l'ai pas dit, me vexait.

J'ai un coup de cafard, plus par la cachotterie que par ce qui s'est passé, elle continue en me disant qu'avec la copine, pour discuter, voyant que Marie avait aussi un petit pincement, de m'avoir laissé avec Annie.

Elle lui a dit de venir avec elle dans le lit, pour continuer à discuter et que fatalement, elle ne finit pas sa phrase, mon sourire revient, je bande, et Marie finis de raconter en disant, qu'elles ont couchées ensembles, elle me serre dans ses bras en demandant pardon, je dis de quoi, et là, elle me dit qu'elle voulait me le dire le soir ou la copine est restée, mais comme je n'ai pas essayé de la tripoter, elle a eu peur que je n'approuve pas, je lui ai dit, "mais Marie, avec une autre femme, tu fais comme tu as envie, je ne serais jamais jaloux d'une autre, d'un autre oui, mais pas d'une femme.

Et c'est là qu'elles me disent, que comme je n'étais pas enthousiaste la dernière fois, elles ont pensé que je l'aurais mal pris, j'ai dit, ça s'arrose, j'ai sorti une bouteille de champagne et des verres en disant, je vais faire la moyenne, là, je suis très très enthousiaste pour compenser, Marie avait retrouvé le sourire, me demandant si je lui pardonne, je lui ai répondu "tu n'as rien à te faire pardonner, par contre tu peux me traiter d'imbécile ne pas avoir été suffisamment enthousiaste".

Sur le canapé, entouré des deux femmes, j'étais sur un nuage, j'ai dit à la copine, "tu manges là et tu dors la aussi", sans lui laisser le temps de répondre, Marie dit, "tu pourrais lui demander si elle veut", je lui dis, "si tu reste, c'est pour elle, moi, c'est secondaire", après manger, la douche, un film télé où on se tripotait, puis avant la fin, les deux femmes se sont caressées, seules dans la chambre.

Elles m'ont appelés ensuite, je les ai baisés en alternance, dés que le plaisir montait, je passais à l'autre et ainsi de suite, j'ai joui en étant sur le dos, Marie sur moi et sur le dos aussi, je lui saisissais les bras et la copine lui bouffait la chatte en la maintenant aux cuisses, sans bouger, rien qu'avec l'ondulation de son plaisir, quand elle a joui, je me suis laissé aller.

Le lendemain matin, la copine me demande de la rejoindre dans la chambre d'ami, après l'avoir bien chauffée, baisée, je l'ai sodomisé dans la même position de la veille, moi sur le dos, elle de dos aussi et Marie qui venait d'arriver, l'a sucé, j'ai joui de la même manière, on a été se laver, Marie m'a demandé si je pouvais les laisser seules à nouveau.

Je lui ai dit, tu m'appelles quand tu veux, elle ne se retenait pas, je les ai entendu jouir plusieurs fois, j'avais envie de les rejoindre, mais je les ai laissées, quand elle m'a appelé, Marie disait " vite, on veut une bite", obéissant comme je suis, j'ai accouru, comme j'avais déjà donné mon jus la veille, j'ai pu tenir honorablement, elles m'ont fait plaisir en me suçant toutes les deux, cela n'est pas plus jouissif, mais très excitant à voir.

Avec Marie, nous avions une complicité totale, je ne voyais plus mes copines éphémères, je me réservais pour mes femmes régulières, Marie, la copine, Annie et la femme de l'effleureur qui me servait de vide couille pendant mon voyeurisme (c'est ainsi qu'elle se disait).

Un jour, mon client m'appelle au boulot en me demandant si je peux parler, c'était le cas, il me dit avec l'humour qu'on a développé depuis, "voilà, j'ai mon compte en banque qui déborde de partout et la banque me demande de faire quelque chose, puis-je emmener Marie faire du shopping pour lui acheter quelques babioles dont seules les femmes ont le secret", je lui dis oui, en lui demandant d'arriver le vendredi soir, je lui ferais la surprise.

Le vendredi soir, il arrive au moment ou Marie m'annonce qu'Annie et la copine viennent pour nous inviter au resto, je suis gêné vis-à-vis de lui qui nous dit qu'il peut revenir demain, quand elles arrivent, comme je m'en doutais, Annie dit, "oui, on va même vous enfermer à la cave, aller pas d'histoire, vous suivez", on a été au resto fruit de mer, Annie l'a prit de court pour payer l'addition a sa place, en profitant lorsqu'elle a été aux toilettes pour prévenir le serveur.

Il me regarde en disant, "Henri, dites quelque chose", je lui dis "les femmes, c'est nous qui les baisons au propre, mais c'est elles qui nous baisent au figuré", il annonce à Marie le but de sa visite, Annie dit, "décidément, on a tous les mêmes idées, mais vous pouvez venir aussi", il répond," je vais faire des envieux, trois femmes aussi jolies pour moi tout seul", Annie dit, " ça ne sera pas gratuit, vous nous paierez le thé demain, ça vous apprendra".

Marie me dit que la copine n'était pas prévue dans notre lit, elle est donc repartie avec Annie, le client a eu sa dose de Marie le soir, le lendemain, elles sont venues manger à la maison puis ils sont partis tous les quatre, j'ai été faire un billard pendant ce temps, à 18 heures, ils arrivent les bras chargés, Marie avec un autre tailleur, une autre robe du soir, un pull, les autres femmes, elles avaient une robe du soir, Annie me dit, "Henri, toi qui es diplomate, dit à ce monsieur qu'on ne peut pas accepter".

J'ai joué les juges, entendant chacune des partis, lui, il dit, "cela n'est pas gratuit, elles doivent accepter mon invitation à dîner de ce soir", la copine dit "ont auraient accepté sans les robes", il réponds, "justement, ce n'est pas pour vous faire plaisir à vous, mais à moi, dites leur Henri le bonheur que j'ai de côtoyer ces adorables personnes", je dis aux filles, "pour que je puisse juger en toute impartialité, allez vous habiller avec les objets du délit.

Elles allaient y aller quand il leur dit, "attendez, les robes, c'était pour me faire plaisir, ça s'est pour me combler de joie", il leur tend les paquets qu'il avait dans un sac, en les donnant à chacune d'elle, en disant," n'ouvrez pas ici, allez dans la chambre", dedans, un ensemble de soutifs, string, bas et porte jarretelle, Marie le connaissant, fut à moitié étonnée, les deux autres ne comprenaient pas, il n'était pas avec elles, quand elles étaient à ce rayon.

En fait, il a été voir la patronne et a dit, "je suis chargé par leur mari, de leur acheter sans qu'elles le sachent, un ensemble complet, ne pouvant me permettre de m'immiscera dans leur choix, pouvez vous espionner ce qu'elles aimeraient dans ce qu'elles regardent et préfèrent, puis les mettre séparément dans un paquet ensuite".

Devant cette manne, la patronne avait monopolisé deux vendeuses pour le satisfaire, les filles ne savaient pas comment il avait fait, elles refusèrent, mais il leur dit, "ce n'est quand même pas moi qui vais les mettre", Annie lui dit, "bien, on prend, mais vous allez nous le payer", elle dit aux filles de venir et à moi de préparer le champagne, pendant qu'elles se préparent, je lui dis qu'il n'aurait pas du.

Il me dit, "Henri, j'ai passé une superbe journée, cela n'a pas de prix, si la semaine prochaine, je dois dépenser le double pour la même chose, je n'hésite pas", je lui dis, "j'ai vu l'air d'Annie, préparez-vous à un retour de bâton", je veux bien dit-il.

Le champagne est dans les verres, les amuse-gueules sur la table, le client jubile, il est heureux de vivre dit il, on entend les femmes rire, quand elles reviennent, contre toute attente, toutes les trois sont en sous-vêtement, même moi, je les regarde avec avidité, je bande aussitôt, il me dit, "comme retour de bâton, je suis même prêt à un retour de tronc d'arbre", les filles prennent des poses ensembles, elles font des jeux de jambes, des regards de braise.

Annie me dit ici, qu'elle avait déjà conversé avec lui, relatant sa vie morose avant de nous connaitre, sa joie quand il était avec elles au shopping, au restaurant, sa joie de les combler, ses moyens ne servant qu'à faire plaisir et se faire plaisir, Annie se sentait gênée d'en profiter, mais de ne pas en profiter, l'aurait rendu malheureux.

Elles s'assoient à côté de lui, Marie, elle, est derrière lui, derrière le canapé, ses mains autour de son cou, les deux autres lui tiennent la main et lui caressent le torse, tout haut, il dit, "Henri, je suis mort, je suis au paradis, ou alors je rêve, faites que je ne me réveille jamais", elles mettent sa main sur leur cuisse en disant, "vous sentez comme c'est doux avec les bas", je lui dis, "c'est toujours les mêmes qui ont les gonzesses", Marie me dit, mais non, je suis là moi, pendant qu'on prend l'apéritif, à tour de rôle, elles vont à la douche et s'habiller puis retourne à la salle de bains pour se faire belle comme elles disent.

Pendant le moment où nous sommes seuls, il me dit être gâté au de là de ce qui est imaginable, les filles reviennent en même temps et disant "ont vous plaît", moi, je siffle et lui, il fait, vos robes me paraissait laides dans le magasin, mais la, elles rayonnent, nous partons au restaurant ensuite, nous avons attendu un peu pour avoir une voiture à 6 places, Marie et moi devant, lui, derrière au milieu où chacune a pris sa main et l'a posé sur leurs cuisses

. Le maître d'hôtel nous a reconnus et nous a de suite donné une table, l'apéritif que l'on ne prenait pas d'habitude nous a été offert, Annie dit à sa copine, regarde, tu vas peut-être trouver un mec ici, elle répond, "oui, ben moi les bourrins, je commence à en avoir ras le bol, je prends des vacances", la soirée s'est bien passé, nous sommes rentrés à la maison et on a bu 2 bouteilles de champagne en dansant avec une lumière tamisé.

Annie s'était bien amusée, j'ai téléphoné à son mari en expliquant que je ne voulais pas qu'elle conduise, j'avoue que j'aurais pu demander au client de la ramener ou de lui appeler un taxi, mais je voulais la garder, me donnant raison, je lui dis de venir manger demain à la maison, il me dit, "venez plutôt vous".

J'ai mis les deux filles ensembles dans une chambre, le client dans la sienne en disant que Marie n'était pas trop en état de venir, il a très bien compris en disant qu'il n'y a aucune obligation et qu'il est très content de la soirée ou il a pu avoir les mains baladeuses avec toutes, le lendemain, il s'est levé de bonne heure pour apporter les croissants et préparer le petit-déjeuner à tout le monde,

Une fois levé, la copine dit, "ça y est, j'ai tout compris, c'est un homme comme ça qu'il me faut, il nous accompagne au shopping, il nous paie des vêtements de qualités, les dessous qui vont avec, il nous paie le resto haut de gamme, et en plus, il nous amène le petit-déjeuner au lit, vous venez de quelle planète Mr ….". Il leur répond," vous n'avez que ce que vous méritez, vous êtes belles, charmantes, gaies, souriantes, joyeuses, et en plus de cela, les maris d'Annie et Marie sont sympathiques.

Après leur douche, toujours pour le remercier, elles n'ont pas arrêté de le solliciter en allant le voir en string et se faisant attacher le soutif dans le dos ou remonter une fermeture soit disant coincer, je lui dis, "vous voyez, ici, c'est le bagne", il répond, "oui, mais je mérite perpète", Annie et la copine sont parties 90 minutes avant nous, pour préparer, Marie après me l'avoir demandé, elle l'a emmené dans la chambre, il m'a demandé si cela ne me dérangeait pas, je lui ai dit qu'ici, c'est Marie qui décidait de ses envies.

Il me la chauffée pendant plus de 20 minutes, elle m'a appelé, je lui ai fait ce qu'elle aime, être sodomisée et avoir la chatte bouffée en même temps, j'ai beaucoup de mal à lui tenir les bras, lui, il lui tient les cuisses, pendant ces moments là, quelques secondes avant de partir, elle devient super vulgaire, "bouffe ma chatte, je suis votre pute, bourre moi le cul, là, là, ouiiiiii, haaaaaaaa, je jouis, haaaa, bouffe, bouffe, dit, elle en ondulant du bassin pour frotter sa chatte sur sa bouche.

Comme je me retenais, il lui a mis un gode dans la chatte, la vibration a eu raison de moi, j'ai joui sans bouger, sauf pendant que j'éjaculais, Marie également, a jouit à nouveau, il lui frottait le clito en même temps, nous nous sommes ensuite préparé pour les rejoindre, le client n'a pas pu s'empêcher de passer chez un fleuriste, le mari d'Annie, l'a remercier en disant qu'il n'aurait pas du, il lui a répondu, "quand vous aurez mon âge, vous comprendrez que ce que j'ai reçu hier vaux bien plus que le peu que j'ai donné, la très bonne compagnie de trois charmantes femmes comme ça, ça n'a pas de prix.

A l'apéro, le mari d'Annie dit, "je n'ai pas vu, ce que vous leur avez acheté", Annie dit, "venez, on va lui montrer", elles ont été s'habiller puis on défilées comme la veille, et comme la veille, elles sont revenues avec juste leur dessous, le client lui dit, "pour voir cela, je suis prêt a recommencer le shopping", comme la veille encore, elles se sont mise à portée de main, le mari d'Annie l'a tripoté, puis, quand elle passe devant le client, il n'ose pas et son mari lui dit, "allez y toucher, c'est vous qui l'avez payé".

Timidement, il touche et voyant qu'il ne s'occupe pas de lui et qu'elle se laisse faire, il devient plus entreprenant, il caresse ainsi comme la veille, les trois femmes chacune leur tour, moi, j'en fais autant, nous étions aussi invités le soir, mais le client avait un rendez-vous le lendemain, et a du partir après manger, les filles se sont jetées à son cou en se frottant à lui, le mari d'Annie lui a dit, si vous passez dans le coin, sachez qu'ici, il y aura toujours une chambre pour vous et une assiette.

Il est parti larmoyant, la semaine suivante, le mari d'Annie recevait un carton de champagne et un carton de vieux porto, son apéritif préféré, à moi, il ne m'en apportait plus, car je n'avais plus de place pour le stocker, il en ramenait au coup par coup, pour remplacer ce qu'on avait consommé quand il était là.

Il aimait bien les trois filles, mais c'était surtout de Marie dont il était "amoureux", il me disait, elle pourrait me mener par le bout du nez, je me laisserais faire, et elle n'en profite même pas, en plus d'être content de ce qui se passait en dehors du boulot, il était content également du travail que je supervisais, car je n'étudiais plus de projets, je supervisais, je conseillais, je dirigeais.

Plusieurs fois, il a monopolisé Marie pour du shopping, elle lui disait qu'il était inutile d'acheter, cela était très rare, elle revenait souvent les bras chargés, elle aimait faire les magasins avec lui et lui aussi, ils ont recommencés toutes les trois en l'emmenant faire du shopping, Annie l'a eu cette fois-ci, elles ont achetées des nuisettes sexy et elle l'a devancé à la caisse.

Tout était arrangé d'avance, le mari d'Annie absent, sans être gaies par l'alcool cette fois, elles ont dit qu'elles restaient dormir, pour avoir le petit dej avec croissant, je prépare les slows pour continuer la soirée, dans la salle de bains, Annie dit à Marie, "je peux emprunter ton collier", elle dit "oui", elle lui dit ensuite, je vais le dire à ton client en disant que tu est d'accord, tu aura juste à lui faire signe que tu veux bien, mais fait le discrètement, je t'expliquerais plus tard", Marie ne comprend pas, mais ne cherche pas non plus

En fait, Annie connaissait la relation du client avec Marie, elle savait pour les attouchements très poussés, puisqu'elle en avait profité à son insu, elle dit au client en douce, "j'ai demandé à Marie d'avoir les mêmes avantages qu'elle en dansant, et elle est d'accord, elle m'a tout dit, le client s'étonne et veut dire quelque chose, elle lui fait chut en mettant son doigt sur sa bouche et fait signe à Marie en prenant le client à témoin, Marie fait signe oui de la tête, croyant répondre pour le collier.

Le client se dit, elles sont complices et elles sont d'accord, il dit à Annie, "vraiment pareil", elle hoche la tête en souriant puis dit tout haut "éteignons la lumière, faisons plus intimes", il lui a caressé les seins et comme elle se laissait faire, il lui a mis la main sur le sexe, puis à l'intérieur.

Je dansais avec Annie et la copine, il dansait avec Annie et Marie, quand Annie s'est retrouvée sans cavalier, elle a retiré son string pour son tour de danse avec nous, tripotée par lui, puis par moi le tour suivant, Marie savait que je tripotais les deux autres, mais ne savais pas que le client tripotait Annie, nous n'avons jamais rien su de cela.

Ici, Annie raconte : après plusieurs danses, d'être tripotée ainsi, au bout d'un moment, l'excitation monte, au lieu de faire celle qui subissait la caresse sans bouger, j'ai montrée que j'étais prête à jouir, en le serrant, en l'attirant, en murmurant "encore, plus vite, comme ça, oui", il m'a senti jouir quand je l'ai serré encore plus fort, à la fin, à un moment seuls, je lui ai dit que j'avais menti, que Marie ne savait rien, et de ne pas le dire, ça sera un secret, il s'est senti bête, mais m'a souri ensuite.

Un jour de la semaine, un nouveau client arrive, il est reçu par mon chef, celui-ci lui dit, "bonjour Mr Henri", il lui dit que ce n'est pas lui et demande à me voir, disant qu'il a été envoyé par mon client et qu'il devait avoir à faire avec moi, j'ai senti une pointe de jalousie de mon chef qu'il n'a pas montré, j'ai rattrapé le coup en disant qu'il était la partie commercial et moi la technique, ce qui était vrai, mon chef n'est pas une ordure, et je voulais qu'il continue de m'avoir a la bonne.

Mon client m'envoyait ceux qu'il connaissait, mon fichier en chiffre d'affaires dépassait celui du représentant le moins "rentable", et je n'avais que les clients incertains, j'ai donc demandé comme ils avaient, une prime sur le chiffre d'affaires ramené, quand je suis rentré dans le bureau du directeur pour cette négociation.

Je savais que cette prime, je l'aurais eu, il ne pouvait pas me la refuser, mon gros client demandait Henri, un autre arrivait, j'ai eu presque la même prime qu'eux, les représentants étaient au SMIC plus prime, ayant déjà une base plus importante, mon salaire mensuel moyen avoisinait celui de mon chef.

J'invite tout le monde chez Annie, car c'est plus grand chez eux, en petit comité, coucou, l'effleureur, la copine d'Annie, mon client, et 5 autres couples, évidemment, on danse à la fin de la soirée, Annie insiste pour qu'on reste dormir, on accepte et au lit, Marie me dit que de plus en plus, son mari s'enhardit quand il danse avec, je lui demande si elle aime ou pas, elle répond en me serrant, en disant "tu le sais bien", je lui dis, alors laisse toi aller à ce que tu aime.

Le client aurait pu nous ramener, il ne boit pas beaucoup, mais c'était voulu, le lendemain, le mari d'Annie veut nous emmener Marie et moi, Annie dit, on y va tous, faisant mystère sur là ou on va, nous y allons tous.

La veille, le mari d'Annie me demande seul à seul, "si je te demandais de me prêter du fric là pour lundi, tu pourrais combien ", je lui dis, "10 plaques", il me dit, "et si c'était une question de vie ou de mort pour Annie", je dis, "je vend tout et je fais un emprunt", il m'arrête et dit, "non sans rien vendre, là de suite en liquide juste en vidant tes comptes", je dis, " en me saignant, j'arriverais à 15", je demande pourquoi, il répond, "je te dirais cela un autre jour, mais ne t'inquiète pas, ce n'est pas pour Annie", comme il n'est pas soucieux, je ne m'en fais pas.

On fait 5 km et on va visiter un ancien atelier en principal avec à l'arrière du terrain, une dépendance vide, bien situé, belle vue, rue tranquille, il nous décrit des travaux à faire, des modifs, il échafaude des plans pour transformer en habitation, je lui demande s'il compte déménager, il me demande," pourquoi, l'endroit ne te botte pas ", je dis, " l'endroit si, mais tu va en passer des heures à remettre en état et aménager tout ça", après avoir visité, on retourne chez eux.

Il me fait venir dans son bureau et me montre des plans, des comptes, et me dit voilà, si l'endroit vous plaît à tous les deux, voilà ce que tu peux avoir, Annie avait pendant ce temps expliqué à Marie le projet, tous ensembles, on se retrouve sur la table et on parle argent, il me met l'argent que je lui ai annoncé, une copine présente me parle de financement, les copains me prêtent à eux tous, une somme plus importante de ce que j'ai déjà, je n'ai jamais su qui avait prêté combien, je sais simplement que cela démarrait à 5 000 francs.

Avec lui, tout paraissait simple, il jonglait avec les centaines de milliers de francs, Marie était super emballée, elle était déjà en train de choisir la couleur des rideaux, j'étais aussi dans un rêve, mais inaccessible, car si l'achat était dans mes possibilités de crédit, c'était un atelier vide, nu, sans confort, comme il s'attendait à ce que je dise cela, il me présente une dizaine de devis d'artisan ou dedans, je vois coucou pour l'électricité, l'effleureur pour la plomberie, les autres ne me sont pas vraiment connu sur le coup.

En fait, tous étaient des copains, des connaissances, des débiteurs en service, une copine qui était là, travaillait à la banque, elle m'a donné plein d'explications de financement où j'étais largué complètement, j'ai demandé une semaine de réflexion, Marie planait, la copine, me faisait l'article, Annie me disait, que si son mari me le propose, c'est que c'est réalisable, le client ne disait rien, je lui dis juste que pour lui ça ne changeait rien, c'est à la même distance en moins chiant pour la route à faire, pour Marie, peu de changement.

Le WE suivant, je dis, "bon, je suis indécis, je suis en bascule, alors argumentez", ils l'ont fait, j'ai dit oui, ils ont tous éclatés de joie, moi, je me voyais monter sur l'échafaud de l'endettement, c'est trois mois après, au notaire que j'ai vu que je me suis fait "baiser", c'est pour cela, que ce jour-là, Annie était venue avec nous, elle m'a tenue la main pour signer, Marie elle, signait sans savoir, quand on s'attend à avoir des traites de 10 000 francs et qu'on signe pour la moitié en mensualité et presque la moitié aussi en durée, c'est une bonne surprise, mais on se demande ou est l'erreur.

La facture de l'effleureur avait disparue, celle de coucou avait presque un zéro en moins, les autres avaient baissées entre 50 et 70 %, le mari d'Annie connaissait le vendeur qui a fait un bon geste, les travaux de démolition de ce qu'il fallait remplacer ont commencée au bout d'un mois et demi, avant même de signer, les matériaux étaient entreposés au RDC.

Quand les maçons ont commencés, l'un d'eux m'a remercié comme s'il me devait quelque chose, alors que c'est moi qui lui doit de travailler pour des cerises, Annie me dit que c'est le père de la stagiaire que j'ai fais prendre à la boite et qui a été embauché ensuite, sans toi, elle était dans la merde, j'en ai pas su plus a l'époque.

Au fil des semaines, Annie me disait " Tient, celui qui pose les baies vitrées, Marie a fait embaucher sa sœur, lui, là bas, il devait se faire briser les genoux, mon mari est arrivé et se sont les types qui marchent avec des béquilles maintenant, lui encore, là, quand un huissier est arrivé, on a fait un chèque pour ses dettes, il a pu se refaire, nous rembourser et maintenant ça roule pour lui.

L'autre-là, il sortait de prison, il ne voyait plus sa gosse, on lui a trouvé du boulot et maintenant, il l'a aux vacances et une semaine sur deux, ça c'était la partie visible de l'iceberg, je lui dis, oui, mais c'est à vous qu'ils doivent quelque chose, pas a moi, Annie me dit, ils le doivent à nous et nous, on te doit le très grand service que nous à rendu, on te sera redevable encore.

Quand nous avons eux besoin de vous, vous avez répondu présent, hé bien eux aussi, ils sont présents maintenant, tout comme nous, tu crois qu'il ne préfère pas être ici à travailler à l'œil, qu'avoir les genoux brisés et passer sa vie dans un fauteuil, tu penses que l'autre était mieux sans boulot et sans sa gosse, et là, tu crois que cela aurait plu au père de voir sa fille dans un parloir, Henri, à part coucou, l'effleureur et un autre, ici, tu ne leur dois rien, c'est eux qui te doivent quelque chose, et là, ils te le rendent.

Une fois installés, dans la première semaine, le couple dont la copine travaillait à la banque qu'Annie avait invité chez nous, on allait prendre l'apéro, elle me sort un document, et me demande si je le reconnais, je dis, "oui, dans 5 ans, je devrais commencer à payer le remboursement de ce prêt", elle dit, "oui, tient le 2eme exemplaire que tu as signé est la aussi", je lui demande comment ça se fait que c'est elle qui la, elle me regarde bizarrement et me dit, "regarde", elle passe les documents sur une flamme et les crame, les autres rigolent, mais Marie et moi surtout, nous ne comprenions plus rien.

L'explication est qu'on a été "victimes" d'un complot entre Annie et le client, qui a déboursé une très grande partie de la somme à notre insu, ce prêt, c'était lui, les papiers signés étaient des vrais, mais faux, non enregistrés, la dépendance allait être remise en état également et avec Annie, on parlait de ce que la copine y serait locataire, elle paierait un loyer chaque mois, bien inférieur à celui qu'elle avait, ici, elle aurait plus grand, c'était neuf, il y avait un petit jardin, un endroit pour se garer et notre proximité sans être chez l'autre.

Ensuite, le client, à sa demande, nous louera pour sa société, cette dépendance, la copine lui donnera l'argent, à nous, il nous fera le chèque, on déduirait les intérêts d'emprunt, ajouté à cela d'autres acrobaties dont on n'a pas voulu me dévoiler, à savoir aussi, que l'argent que la copine lui verserait, en fait, servirait aux cadeaux qu'il fera à Marie et aux deux autres femmes parfois.

Lorsque la copine de la banque avait brûlé ces faux papiers, le mari d'Annie nous dit, "alors, tu va lui faire quoi à ton client", je dis que ça me met mal à l'aise, il est trop gentil, Marie dit, "il a donné tout ça", il me redemande si je vais l'étrangler ou le remercier, a ton avis lui dis-je, il dit, "remercier alors", bien sûr que je répond, il se lève, éteint et rallume la lumière trois fois, trois minutes après, le client apparaît dans la pièce, attendant notre réaction.

Marie se jette à son cou en pleurant, il profite de cet élan de Marie pour la serrer dans ses bras, ensuite, il me regarde pour savoir ma réaction, je le devine, je lui dis en hochant la tête, "à part merci beaucoup, que puis je dire d'autre", on se fait une accolade, il me dit qu'on a les amis qu'on mérite, je dis à Marie, Montre lui sa chambre pendant qu'on boit à sa santé, il va chercher ses affaires puis revient.

Marie l'emmène à sa chambre en lui disant que c'est une chambre équipée et qu'il n'a pas intérêt à aller a l'hôtel quand il vient sur Paris, seuls dans la chambre, il a embrassé Marie sur les seins en la tripotant, elle lui a dit vivement ce soir, le couple de la banque est rentré après le repas, ils avaient un chien en appartement, pour faire plaisir au client, le mari d'Annie dit," une petite danse romantique pour fêter cela".

On savait ce que cela voulait dire, sans qu'il y ait eu consultation, le client a eu droit aux seins de toutes les filles en dansant, elles lui ont chuchoté, qu'il pouvait se permettre quelques libertés supplémentaires, quand il a commencé, il a dit comme là, elles ont dit, tant qu'on ne dit pas stop, vous pouvez continuer, il faut dire que depuis la première fois où il avait payé des robes, elles lui ont été reconnaissantes, alors ce soir-là, ça ne l'a pas empêché de remettre la main à la poche lors d'autres shopping où c'est lui qui leur demandait.

Plusieurs fois, Annie l'avait eu, un soir, elle lui pique son portefeuille, le laissant à la maison, une autre fois, elle lui laisse le portefeuille, mais retire la CB et laisse son chéquier à la maison, une autre fois, au shopping, ou elles n'ont rien acheté, elle avait vu avec Marie, un costume pour lui, dans le genre qu'il met habituellement, Annie a bon goût, les filles lui font l'article et comme il ne sait pas leur dire non, il achète, il sort sa carte et le code est refusé deux fois, Annie lui dit, attendez, je le connais votre code.

Il est étonné, elle lui prend l'appareil des mains, elle fait le code et cette fois, ça passe, elle l'avait mis dans son portefeuille à la place de la sienne sans qu'il s'en aperçoive, quand elle lui a rendu, elle a échangé à nouveau les cartes et lui a rendu la sienne, en faisant ses comptes, il s'est aperçu de la supercherie, avec Annie, on a partagé cet achat, la copine voulait aussi participer, mais connaissant sa situation, on a dit une autre fois.

Mais rien ne servait de vouloir l'empêcher de payer, la fois d'après, c'était pire, souvent, il me prenait à part pour que j'intervienne auprès des filles, disant, "Henri, vous savez bien que je fais cela autant pour moi que pour elle", je lui disais, "oui, mais mettez-vous aussi à leur place, ça les gêne aussi qu'on leur paie tout le temps, ça leur fait plaisir, mais ça les gêne, que vous payez ou ne payez pas, vous aurez les mêmes privilèges".

Il a été souvent invité aussi par Annie, ou son mari lui a dit qu'il était toujours le bienvenu ici, la copine nous avait aussi invité tous ensemble, Annie, a appris par la suite, qu'elle avait fait un petit emprunt pour cela, avant d'emménager chez nous, elle était toute seule pour payer un appartement où ils étaient deux avant, elle n'y arrivait pas, le repas avait été copieux et surtout très onéreux, en plus, elle nous avait prêté 10 000 francs.

Aussi quand Annie nous a demandé comme on en avait parlé, si par la suite, on pouvait lui louer la dépendance quand elle sera faite, on a dit oui aussitôt, avec Marie, on lui a proposé de venir habiter avec nous, en insistant, elle a dit oui, elle a pu rendre son appart, qui a trouvé d'autre locataire aussitôt, elle a insisté pour payer une participation, ce qui fait que l'argent prêté a payé en parti son séjour, elle a pu ainsi se refaire une santé financière.

Un jour sur deux, chacune faisait la cuisine, le soir au lit, j'étais heureux comme tout et Marie aussi, quand le client était là, j'allais avec elle, pendant que Marie allait avec lui, nous faisions cela en silence, même quand il était là, elles se mettaient en nuisette sexy ou juste en dessous, agrafant les soutifs ou remontant les fermetures éclair des jupes.

On a mis 7 ans malgré un imprévu, pour rembourser tout le monde, ainsi que le prêt principal, sauf le client, l'autre prêt était bidon, le client ne venait pas plus souvent, qu'une fois par mois, sauf quand on l'appelait pour l'inviter, nous ou Annie, entre la décision d'achat et notre emménagement, il s'est passé neuf mois, Marie et Annie, allait toujours chez l'effleureur, moi à mon vélo, ou avec sa femme quand j'emmenais Marie, on recevait toujours des clients à la maison.

L'imprévu, c'était la boite de Marie qui fermait, elle délocalisait plutôt, elle n'a pas suivi et n'a pas cherché de boulot, le client l'a embauché à mi-temps, pour qu'elle ait ses points de retraite, en lui donnant du travail quand même, elle travaillait toujours avec moi pour les repas d'affaires, a ma boite, j'avais négocié un mi-temps également, ce qui correspondait à la moyenne annuelle de ce qu'elle gagnait déjà.

Elle avait les comptes de l'effleureur, de coucou et de 2 autres copains artisans, ils ont été remboursé de cette manière, Marie payait les fournisseurs, réclamait aux clients en retard, quand les experts comptables venaient, ils trouvaient en elle quelqu'un qui comprenait ce qu'ils disaient, elle travaillait plus, elle gagnait bien plus également, le boulot lui plaisait, notre bureau était aussi équipé que celui de l'entreprise, payé par notre client qui lui récupérait la TVA.

Le 1er étage était l'appartement avec 4 belles chambres, un très grand bureau, une très grande salle avec coin salon, une cuisine assez grande aussi, un dressing raisonnable et les commodités, le RDC a été aménagé en salle des fêtes, quand des copains qui nous avait aidés, en avait besoin pour une fête, mariage ou autre, on leur prêtait gracieusement et avec plaisir.

Avec Annie, on se voyait plus souvent, j'ai avoué à Marie que je voyais Annie pour des parties sans pénétration, elle le savait, Annie lui avait dit qu'un jour, je le lui dirais en preuve d'amour, elle me dit la même chose que je lui avais dit, que si elle, après l'effleureur ou le client, elle était plus excitée avec moi, qu'avec Annie, je l'étais plus aussi, je n'allais plus voir mes copines éphémères, je ne voyais qu'Annie, sa copine, des fois Olga quand elle venait à la maison après un largage par son mec du moment, me demandant même, si elle ne venait pas exprès pour ça, Hélène venait aussi, mais c'était rare et la femme de l'effleureur.

Je n'ai jamais atteint la moitié de mes 100 femmes baisées, mais je m'en foutais, Annie à elle seule même sans pénétration, les valait toutes, j'avais celles citées régulièrement (Marie, Annie, sa copine), et puis un jour, devant tous les amis, j'ai redemandé Marie en mariage, même Helene est venue à la cérémonie, j'avais même voulu inviter Lucien, mais Marie et Hélène ont dit non, qu'il lui rappelait des mauvais souvenirs.

Helene n'en parlait jamais, puis en le lui demandant, elle nous dit que depuis que son associé est parti, ça a été la dégringolade, il peine à payer la pension des enfants et ne peux plus payer la sienne, en échange, elle a accepté la part sur la maison, il dégotte quelques filles des fois qui foutent le camp dés qu'elles s'aperçoivent qu'il est fauché.

Parfois, j'ai envie d'aller le voir pour lui dire que c'est grâce à moi qu'il a tout perdu en me piquant Marie, mais quand je vois la vie merveilleuse que j'ai maintenant grâce a lui, je suis plus à le plaindre, voire même à presque lui demander combien je lui dois pour les bijoux et vêtements qu'il avait déboursés, mais heureusement la haine que j'ai toujours, est la plus forte.

Lucien a tuer en moi le mouton que j'étais, il a fait de moi un gagneur, un combattant, quelqu'un qui ose, même si j'ai été un peu kamikaze parfois, il m'a rendu Marie plus amoureuse, il m'a permis d'avoir Annie, je suis monté en grade dans la hiérarchie des amis du couple Annie, accédant au plus haut niveau, il m'a permis aussi d'avoir une bonne promotion à mon travail ainsi qu'un bon boulot où je suis libre de mon temps, cela m'a permis de connaitre d'autres personnes, grâce à cela, nous avons une maison que l'on n'aurait jamais pu avoir.

Niveau sexuel, à Marie et à moi, nous avons multipliés par 2 voir 3, nos orgasmes, nous sommes bien plus amoureux que nous l'étions avant, notre façon de voir les choses a complètement changé, Marie à ses plaisirs avec l'effleureur, le client et notre locataire que l'on partage bien souvent, je rentre à la maison à n'importe quelle heure de la journée, Marie travaille (seule), certains des clients des repas d'affaires que l'on reçoit à la maison ont gagnés beaucoup en privilèges, comme je cite 5 paragraphes ci-après.

À leurs yeux, je passe pour l'ingénieur compétant, mais aveugle qui ne pense que boulot, Marie pour l'ingénue qui a peur que son mari ne se fâche avec le client et qui lui cache les gestes très déplacés que celui-ci se permet parfois, Marie ne résiste que très faiblement, cela se passe quand je fais les photocopies du contrat signé.

j'ai deux cameras (camouflée), une qui prend la salle et une autre qui prend le salon, je reçois le client toujours à mon bureau quant il arrive pour la première fois, il voit ainsi la porte de la pièce et ensuite la porte du couloir, en entendant la première porte du bureau, il sait que je ne verrais rien en sortant, il a le temps de reprendre sa place et Marie aussi, j'interviens quand le moment me semble venu ou que Marie me fasse un signe codé, tous les deux, nous adorons cette complicité et ces moments-là.

Il arrive que l'on sorte ensuite pour aller danser et suivant le client, qu'Annie nous accompagne, elles se laissent tripoter, mais que très modérément, je ne pense pas que cela m'apporte des contrats supplémentaires, mais les clients sont plus souples, moins chiant, et surtout, ils reviennent, mon client disait qu'être reçu chez un couple, même sans la chance que lui, il a, c'est préférable à un restau avec une call-girl.

Quand elle est à la maison, Marie n'ouvre jamais à personne, certains clients, des fois reviennent en journée, du bureau, une caméra permet de voir qui sonne au portail, la femme de l'effleureur, Annie et la copine ont les clefs de chez nous, la femme de l'effleureur est arrivé une fois pour voir Marie, quand l'un d'eux était là, il la connaisse comme bonne, elle leur dit, "ils ne sont pas là, ils sont partis travailler, parce que le client, c'est moi qu'il demande soit disant.

Avec Marie, à force, on repère les clients joueurs, vicieux et les clients trop sérieux ou imbus d'eux-mêmes, les clients joueurs se contentent de promener leurs mains le plus loin possible, les autres se disent, "je suis mieux que lui, elle va me tomber dans les bras", avec Marie, on se fout d'eux sans qu'ils s'en doutent, certains demandent s'ils peuvent retirer la cravate, je dis oui, ils retirent trois boutons à leur chemise ou alors mettent en avant leur pratique sportive, certains ont un manche à balai dans le cul, zéro humour.

En principe, je juge au premier contact et s'ils ne me plaisent pas, le repas d'affaires est au resto, les autres viennent à la maison, mais je ne suis pas infaillible, certains passent entre les mailles du filet, mais il arrive aussi que certains rendez-vous resto, viennent à la maison la fois suivante, car le type d'un abord froid, se révélait être sympathique.

Marie adorait ces soirées repas d'affaires où elle se faisait peloter, elle avait arrêté de faire celle qui avait un peu trop bu, on avait trouvé un moyen, celui de la copine que je déteste qui avait passé l'après-midi avec elle, quand j'étais de dos plus loin, elle sortait de dessous le coussin du canapé, un foulard de femme et le camouflait à toute vitesse en regardant si je l'avais vu, j'allais au bureau et elle lui disait, vous n'avez rien vu surtout, c'est une copine qu'il déteste et qui a passé l'après-midi ici, s'il le découvre, il me passe un savon.

Sur les clients qu'on jugeait joueur, ça fonctionnait quatre fois sur cinq, les plus timides disaient, "et si je lui disais moi", Marie effrayée répondait "non surtout pas", lui, "vous me donnez quoi si je ne vous dénonce pas", elle disait un autre apéro, lui "non, je préfère autre chose", elle disait "quoi", lui, il approchait sa main sur son genou, le saisissait, elle tout bas disait "arrêtez", mais, sans se pousser, elle disait plusieurs fois "non", mais tout bas, certains allaient plus loin que d'autres.

Il y en avait même qui mettait le foulard dans leur poche en la menaçant avec le sourire, d'aller me le porter dans le bureau, elle le rattrapait et il la tripotait debout a l'angle du mur, il mettait le foulard en arrière, elle essayait de l'attraper et pendant ce temps, il lui mettait la main dans son soutif, d'autre lui tripotait juste le genou, une seule fois, j'ai dû intervenir, le type l'aurait presque prise debout direct sur le mur, oubliant ou il était, ce client-là n'est plus jamais venu à la maison.

Ceux qui revenaient, pour la plupart continuaient d'abuser de ce qu'il savait, sur l'ordi, on avait un tableau Excel avec le nom du client, sa Sté, et son comportement, il y en a eu plus, qui ont voulus la toucher que demander à voir sa culotte ou ses seins, avec Marie, à chaque nouveau client, on pariait sur ce qu'il allait faire, on l'écrivais sur un bout de papier et une fois parti, on comparait ce que j'avais prévue et ce qui s'était passé.

Il y avait aussi ceux qui voulaient l'embrasser sur la bouche, elle se tournait en disant, " ha non, tout mais pas ça", à ces mots, ils en profitaient", Marie serrait les genoux, les types tentaient de mettre leurs mains entre ses cuisses, certains y arrivaient très furtivement, malgré tout, tous étaient plus hardis à leur deuxième visite.

On n'a jamais revue Madame, malgré ses coups de téléphone où elle disait ne pas nous oublier, jusqu'au jour où nous n'avons plus eu de nouvelle, petit à petit la femme de l'effleureur a perdu en libido, sans se concerter, on a beaucoup espacés nos petits jeux, l'effleureur a arrêté avec Marie et aussi Annie de ce qu'elle me dit maintenant, j'ai profité un mois après, de retirer mes cameras perso pendant leur absence, j'ai voulu les réutiliser, mais elles n'étaient plus d'actualités.

Et puis comme on s'y attendait, que ça arriverait un jour, mon client nous a quittés, il nous a fait des énormes bonnes surprises, cela est perso, ensuite, le repreneur a continué à nous faire travailler, évidemment, Marie a été licencié, et on ne touchait plus son loyer, Marie a été très affectée, Annie et la copine aussi, on s'est déplacé à l'enterrement, il avait raison concernant ses neveux, des vrais rapaces.

Marie a hérité officiellement, comme eux, de pas-grand-chose, l'état a piqué la plus grosse part, du moins de ce qu'il n'a pas pu faire autrement, sa maison hypothéquée exprès et un peu d'argent sur ses comptes, avec Marie, nous avons eu une enveloppe chacun avec deux lettres, que le notaire nous a remis, à lire tous les deux chez nous a-t-il précisé, sur la première, il nous remerciait pour ce qu'on lui avait apporté et demandait de remercier les amis aussi, et sur l'autre, une véritable déclaration d'amour à Marie, qui à sa lecture, a pleuré comme une madeleine.

Il est vrai qu'on lui a donné beaucoup, mais lui-même n'a pas été en reste, Marie a pleuré pendant deux semaines, et nous n'avons pas eu de rapport pendant un mois environ, mais elle en a mis trois pour redevenir comme avant, pendant une semaine, j'étais triste, Marie me disait d'aller voir la copine, qu'elle n'avait pas envie, on câlinait, mais elle me repoussait en me demandant d'attendre, Annie à ma demande, l'a remplacée à quelques repas d'affaires soft au resto.

La vie continuait, j'avais mon trio avec la copine et Marie, j'avais Annie à 90 %, accessoirement Olga et Hélène, Marie avait nos clients des repas d'affaires pour les attouchements qui parfois étaient assez poussés, même si cela était furtif, elle avait la copine, soit seule, soit avec moi, elle avait aussi le mari d'Annie qui la doigtait en dansant et la faisait jouir des fois, elle avait aussi parfois les séances au cinéma, une fois un type lui plaisait, une fois dehors dans un endroit tranquille, je lui ai fait signe qu'il pouvait sortir une capote, Marie a accepté aussi, mais elle n'a presque pas pris de plaisir, j'ai su pourquoi et elle me la dit également, nous nous connaissons bien.

Marie n'aimait pas être une vache qu'on emmène au taureau, elle aimait être bousculée, qu'on l'oblige comme le font les clients des repas d'affaires, seulement voilà, cela n'était pas possible, mon client disparu a été une exception, il y avait un feeling et si on avait refait pareil avec d'autres, cela aurait fini par se savoir.

Notre maison était remboursée, on avait un pécule confortable, tout était redevenu comme avant, du moins presque, le pécule en question était pour Marie, avec, elle aurait pu me laisser, tomber et vivre confortablement sans moi, quand je lui ai dit que c'était son argent, elle a dit, non, c'est le nôtre en me serrant contre elle.

Et puis comme tout ne dure pas, mon directeur est parti en retraite et a été remplacé par un autre bardé de diplôme et bon à rien, Marie a été licenciée, mon chef, prés de la retraite, n'a rien pu faire, comme j'étais trop payé par rapport aux autres, j'ai négocié mon départ, je me suis mis à mon compte avec un autre collègue, j'ai emmené avec moi mes clients, car je n'avais pas de contrat d'exclusivité.

J'avais un revenu similaire, je travaillais plus, mais j'avais moins de transport, je me louais le RDC, Marie était au SMIC comme comptable, au début, nous avions pas mal de boulot, mais le problème était qu'on devait s'agrandir, ce qui posait les soucis de locaux beaucoup plus cher en loyer, embaucher une structure non-productive.

Cela demandait une prise de risque pour pas-grand-chose de plus, on a opté pour un associé supplémentaire, ce qui avait l'avantage de ne payer qu'au SMIC avec des primes lorsque l'argent était rentré, Marie était à temps plein, mes associés savaient qu'ils lui devaient les contrats obtenus, ils ne savaient pas le reste.

Si le relationnel marchait bien grâce à Marie, notre travail aussi, nous gardions les nouveaux clients pour la qualité de nos études qui nous faisaient connaitre à d'autres, quand je démarchais chez un client que je savais avoir travaillé pour lui sur un projet, je le lui signalais, en récupérant timidement ainsi un petit projet puis un plus gros une fois terminé.

Peut être un ou deux ans après, un midi en ouvrant le courrier, je trouve un CV, il se trouve que celui qui m'a viré à plus ou moins coulé la boite et s'est fait remercier, j'ai envoyé une réponse en disant que notre société n'a pas les moyens d'embaucher les bons à rien diplômés et qu'on lui conseille l'administration pour pouvoir survivre, je n'ai pas eu de réponse.

À suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Vengeance heureuse d'un cocu 13

Le 20/08/2015 - 18:38 par annizette
merci a Arsène et merci aussi à ceux qui mettent des note positive, ça encourage à terminer l'histoire qui tire à sa fin, encore 4 je crois, j'ai le brut, il faut que je mette en clair. Marie et Henri sont en vacances, je suis seule à travailler la dessus, nous sommes des puristes tous les deux, si une action que l'on a décrite comme se passant un mercredi et qu'après certitude d'un souvenir, cela s'était passé un jeudi, même si cela ne change en rien l'histoire, il me demande de re écrire le texte quand même.
Le 20/08/2015 - 17:29 par arsenne
Bonjour Annizette. Vraiment mais vraiment c'est une belle histoire qui m'a excité terriblement.J'espère qu'une suite est en écriture ... Cdt arsène

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