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Vengeance heureuse d'un cocu 14

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Lue : 2030 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 08/09/2015

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Et puis un jour, le ciel me tombe sur la tête, la boite ou travaille Annie, fusionne et ferme l'agence, elle accepte une petite promo en province, je savais que cela arriverait, puisqu'ils en parlaient de quitter la région parisienne qui devenait invivable, nous les avons aidé à déménager, nous y allions tous les 15 jours, eux venaient tous les 15 jours en décalé, et puis la chance, ma chance, sa boite a voulu qu'ils aient besoin d'elle, pour revenir deux ans sur paris pour mettre en place un nouveau service.

Ils avaient déjà vendu leur pavillon, elle a eu un super appartement de fonction tout frais payés, une autre belle promo et une offre royale qu'elle ne pouvait pas refuser comme elle dit, cela a donné d'ailleurs naissance à une histoire érotique peu banale qui lui est arrivée, qu'elle n'est pas encore certaine d'écrire dit-elle, son mari avait trouvé des chantiers assez loin, ils se voyaient BCP moins.

La bonne nouvelle, c'était qu'en semaine, Annie était plus dispos pour moi, son mari étant souvent absent, elle était délaissée sexuellement, nous nous voyons de deux à trois fois la semaine, suivant les retours de son mari, la mauvaise nouvelle, c'est que nous ne nous voyons que très peu en soirée et que ces deux années-là, nous ne nous sommes presque pas invités mutuellement le WE, c'était uniquement en semaine et le midi.

Sachant que c'était un répit de deux ans, avant l'échéance, j'ai cherché sans en parler, à me délocaliser également, cela n'a pas été trop difficile, beaucoup de clients avaient moins de route ou autant, mais sans les bouchons, ceux sur Paris voyaient avec mes associés et quelques-uns se déplaçaient le WE, on faisait des WE d'affaires.

Les WE d'affaires, pour le plus grand nombre, consistaient l'été, à aller à la piscine, à chahuter dans le petit bain avec Marie pendant que je faisais souvent des longueurs dans le grand, parfois, je n'y allais pas, le client y allait avec Marie et lui payait en plus de la piscine, une collation en sortant.

En apprenant cela ici, Annie me regarde d'un air interrogateur, j'avoue que, quelque fois, je les ai suivis, hé oui, on ne se refait pas, chronométrant le temps entre le moment où ils entrent, prennent les tickets, se change et entre dans l'eau, je faisais pareil pour la sortie, c'était un peu plus long, ce qui était normal, le client plus rapide, l'attendait dans le hall, j'avais la casquette jeune de banlieue, des lunettes aux verres normaux et un jogging.

Dans le bain, les mains des clients étaient bien baladeuses, et ils étaient bien embêtés pour sortir de l'eau, quand ils sortaient, c'était à la dernière minute et en lui tournant le dos, ils allaient à la douche, une fois, ils regardaient de mon côté, j'avais fait un signe à des personnes plus loin, détournant tout doute, mais me reconnaître dans mon déguisement était impossible, j'avais mis ma voiture bien plus loin, je les surveillais au salon de thé où ils discutaient, puis ensuite, je les suivais sur le retour, coupant a un endroit où je les attendais a la maison, il n'y a jamais eu de temps d'attente, ils arrivaient deux à trois minutes après moi.

On voulait aller dans leur coin, mais on ne voulait pas être collant, j'avais émis cette hypothèse comme ça en plaisantant, mais quand le mari d'Annie nous a dit, " pourquoi vous ne quittez pas Paris vous aussi", Annie citait aussi d'autres copains qui venaient dans la région également.

Mais là ou j'ai été heureux, c'est la fois ou passant devant une agence, et qu' Annie et lui ont dit, lorsque qu'on regardait une fermette sur une vitrine, qui était à un peu plus de 10 km, son mari a dit, "oui, mais elle est loin" et Annie a rajouté, "oui ,il ne faut pas dépasser 5 km", après ça fait loin.

Pendant ces deux années, Annie était moins disponible, à part certain WE, elle avait un jeune colocataire qui l'occupait beaucoup, son mari faisant des déplacements, ils se voyaient moins, il a profité de ces deux années pour gagner plein de fric en faisant des chantiers en déplacement.

Quand elle avait fini sa mission à paris, j'étais prêt, mon associé louait notre maison, avec Marie, on a eu un coup de cafard de la quitter, c'était la maison de l'amitié, je revoyais les copains qui y travaillaient pour rendre habitable, chacun dans leur domaine.

Je voyais mon client dans sa chambre, mais la vie est courte, on a regardé vers l'avenir, et l'avenir pour nous, c'était Annie et son mari, autant les femmes se ressemblaient, autant son mari et moi, nous n'avions rien en commun, mais on s'entendait bien sur l'essentiel, et on se complétait.

Lui, très intelligent, moi un peu instruit, il frappe d'abord et pose les questions ensuite, moi, je pose les questions en évitant de me faire frapper, je me rappelle la fois ou un arbre était tombé dans un chemin de promenade chez nous, je l'avais signalé au propriétaire du bois, qui avait répondu "et alors", je lui avais dit qu'il m'empêchait de passer et qu'il pouvait passer chez nous pour le couper.

Il avait répondu," je ferais cela quand j'aurais le temps", en se promenant tous les quatre un dimanche, le mari d'Annie me demande pourquoi je ne l'ai pas fait enlever, je lui raconte ma rencontre avec ce voisin pas commode, le lendemain l'arbre était dégagé, sans me le dire, le mari d'Annie à été voir ce voisin et le lui avait rappelé en étant surement plus convaincant.


Environ trois mois après qu'Annie soit revenus en province, les travaux dans notre petite propriété étaient terminés, nous étions à 2 km de chez eux par un chemin et 4,5 km par la route, l'effleureur et coucou nous avaient fait la plomberie et l'électricité, ils venaient du mercredi soir et repartaient le lundi matin, les gravats étaient mis dans le chemin entre nos maisons, on pouvait ainsi rentrer soit à pied soit en quad, et même en voiture en roulant doucement.

Le mari d'Annie avait travaillé les WE avec des copains à lui, le soir, il faisait le maitre d'œuvre, il a fait refaire certains travaux de Sté ou d'artisan, quand il n'avait pas sur place de copain qu'il connaissait, j'ai eu deux procès en cours sur le sujet, j'avais mis le paiement à la caisse des dépôts et consignation afin de ne pas être catalogué de mauvais payeur, j'ai gagné les deux procès, bien évidemment, je payais les copains qui travaillaient, même le mari d'Annie, leur tarif étaient déraisonnablement bas.

La copine d'Annie, triste de se retrouver seule, elle venait tous les mois l'hiver, et tous les 15 jours le reste de l'année, elle a fini par craquer grâce à un autre connard comme elle dit, un samedi, juste avant midi, elle arrive à l'improviste, souriante au début, puis d'un coup se met à pleurer, à chaque fois qu'elle avait un mec, elle y croyait, je me suis souvent demandé si les types n'étaient pas jaloux de l'amitié qu'on entretenait tous ensemble, il faut dire qu'elle nous appelait très souvent le soir.

Elle a donc viré son "connard", elle nous a dit qu'elle comptait nous rejoindre, nous avons beaucoup discuté, et moins de deux mois après, elle arrive, elle avait pris une année sabbatique, et avait, si on le souhaitait, trouvé un nouveau locataire à sa place, en la personne de notre deuxième associé

J'étais content, car quand elle a demandé de voir pour une location dans le coin, Marie, d'elle-même, sans me consulter lui a dit, "ici, ta chambre est prête", le soir même, nous avons fêté cela. Même Helene vient en vacances des fois avec ses enfants, le mari d'Annie les emmène à cheval ou en quad.

Quand je suis avec Hélène, Marie rejoint la copine, Annie m'apprend qu'à l'époque, Helene avait dit à Marie que je l'aimais toujours et comment faire pour me récupérer, elles s'étaient parlé à mon insu, solidarité féminine.

En vacances, j'avais proposé à Marie, des aventures avec d'autres hommes, mais elle n'avait pas voulu, me disant, que si c'est pour me faire plaisir, elle le faisait, mais n'en avait pas envie, le but était que cela lui plaise à elle avant tout, alors il n'y a jamais rien eu, sauf qu'un jour, nous n'aimons pas la foule, alors plutôt qu'être sur le sable, on préfère les endroits moins fréquentés.

Quand je raconte cela, Annie me dit, qu'elle aussi a joué de cette façon et que son mari, tout comme moi, a horreur d'avoir les mains grasses avec le sable qui se colle dessus

Ce jour donc, dans les rochers, on avait mis nos paillasses ainsi que le parasol, on était à 2 mètres d'un type qui avait sa serviette et qui matait Marie discrètement, elle met sa crème et me demande de lui en mettre dans le dos, je lui dis non, pas ça, on plaisantait en argumentant chacun notre point de vue, le type a coté, voyant que nous jouons sur les mots, qu'on le regardait par moment en souriant, nous dit.

"Monsieur dame, moi, si vous voulez, il y a des corvées qui ne me rebutent point et comme je suis très serviable", avec Marie, on se regarde et dans la fraction de seconde, on s'est tout dit, je dis au type, "on ne voudrait ni déranger ni abuser", en approchant, il dit, " aider mon prochain est une joie pour moi", après avoir échangé d'autres phrases d'humour, je lui dis, "et bien, faites votre BA".

Marie lui donne la crème, il étale dans son dos, il n'abuse pas beaucoup au départ, et fini assez vite, elle lui dit, "n'ayez pas peur de bien frictionner pour que je sois bien protégé", je dis au type, "mais oui, vous bâclez là, il faut frictionner, aller, je vous laisse à votre corvée", je vais voir la mer, je monte sur un rocher à côté, qui surplombe l'eau.

Elle lui dit, allez travailler, le type jette un œil sur moi, un sur ce qu'il fait, elle lui dit, "ne vous occupez pas de lui, mais de moi, il ne vous demandera pas de lui en mettre aussi", vous croyez dit-il, elle lui confirme, il continue à lui étaler la crème et en la massant, elle fait "humm, j'adore être massée, oui là, les épaules aussi et le dos", l'attache du soutif de bain roule sous ses mains, elle lui dit, "si vous restez sage, vous pouvez défaire le nœud".

Il défait le nœud, et la masse, il redemande, si je ne vais rien dire, elle lui répond, "tant que moi, je vous dis de continuer, sauf si vous en avez marre", que non dit-il, il continue, elle lui dit, "je suis bien là, je suis sur un nuage", le type continu et sa main gagne à chaque descente sur les reins, elle ne dit rien, et il continue, de ma position, je ne me retourne que très peu et je ne vois pas tout, elle m'a raconté après.

Une fois sa main sur le haut des fesses, comme elle ne disait rien, il a demandé s'il devait faire les jambes, elle lui dit, "oui, faites-moi les jambes aussi", il n'a pas commencé, des types sont venus s'installer à côté d'eux et il n'a pas pu continuer, je suis revenu vers eux, Marie s'est réajustée en faisant celle qui ne voulait pas que je voie son maillot défait, on a pris congé en disant que le coin est tranquille, qu'on reviendra surement demain.

Comprenant l'invitation, nous nous sommes retrouvés le lendemain, il nous demande si on connaît le rocher des….., je dis non, il propose de s'y rendre, c'est a 10 minutes de marche, on le suit et en effet c'est plus tranquille et ça à l'air jolie comme endroit, Marie me dit, "bon, je profite que mon crèmeur" est là pour le faire travailler, je dis, "le pauvre, moi je vais me promener pendant ce temps, et vous, vous me la surveillez, qu'elle ne parle pas aux garçons".

Je m'éloigne et reviens par le dessous des rochers, entre deux rochers, là ou j'avais vu un "trou", le point de vue n'est pas terrible mais tranquille, je dois être à une vingtaine de mètres d'eux, il vient juste de finir son dos et s'occupe de ses jambes, je raconte ici ce que j'ai vu et ce qu'elle m'a raconté.

Elle est sur le dos, tenant son soutif dont elle avait défait l'attache derrière, il caresse ses jambes puis les cuisses, étalant la crème, Marie commence à réagir aux caresses de cet inconnu, surtout quand il remonte assez haut sur les cuisses, elle lui dit, "ça doit aller, mettez-moi-en sur le ventre maintenant", il est à genoux, il se déplace et lui étale sur le ventre puis sur le cou, sa main descend lentement à chaque passage.

Comme elle ne dit rien, il a tôt fait de repousser le soutif, sans le rattraper, elle dit, vous ne vous embêtez pas", il répond qu'il est consciencieux, qu'il ne voudrait pas trahir ma confiance en la protégeant mal, elle dit, "mais si je ne veux pas moi", sur le ton de la plaisanterie, il lui dit, "attention, votre mari vous a confié à moi, demandant que je vous surveille, que dirait-il, si je lui disais que vous avez parlé à des garçons, hein", elle lui dit, "non, ne faites surtout pas ça", bien dit-il, je vois que vous devenez raisonnable.

Disant cela, sa main maintient un sein et l'autre descend sur son bas-ventre, il lui dit, "n'est-ce pas que vous allez être raisonnable", elle répond, " oui, mais ne lui dites pas que j'ai parlé aux garçons", comprenant le jeu, il s'enhardit, sa main passe sous son slip et il lui caresse le sexe en disant, "si vous êtes raisonnable, je ne dirai rien, "Marie lui répond, "oui, je serais très raisonnable", il passe cette fois sa main dans le slip et la doigte, l'encourageant à continuer, elle a joui sous ses caresses.

L'endroit ne permettait pas plus, son orgasme passé, elle lui a dit de venir à califourchon, elle lui a sorti son sexe et l'a masturbé pendant qu'il tripotait ses seins, tu mets tout sur mes seins lui a-t-elle dit, et tu étales, j'en ai profité pour revenir par là où j'étais arrivé, il avait éjaculé et caressait ses seins quand je suis arrivé, il a voulu se pousser, mais elle lui a dit, "continuez, je vais lui dire", étonné, il n'a pas le temps de répondre.

Elle me dit, Monsieur a eu la gentillesse de me mettre de la crème partout, c'est bien aimable que je réponds, Marie dit, "j'ai même vidé son tube", je dis en voyant son air indécis, "ça vous a plu, ça lui a plu, alors ça me convient", nous sommes retourné à la plage ou Marie s'est juste baignée avant de rentrer, on s'est revue les cinq autres jours restant où il ne mettait que la crème le jour et ou il la tripotait la nuit après le repas du soir que nous prenions tous les trois.

Il avait sa purge, puis le dernier jour, j'ai dit à Marie que si elle en avait envie, qu'elle pouvait lui donner satisfaction, il l'a baisé, je l'ai entendu jouir, mais pas plus qu'avec moi, rien à voir avec ce que l'effleureur ou ses "invités" lui donnaient, je lui ai fais remarquer une fois seuls, et elle me l'a avoué, de n'avoir que très peu jouit, à d'autres vacances, on recommençait les mêmes jeux avec d'autres, mais on évitait de "s'attacher" avec le coquin comme cette fois-là.

Trois mois après, la fois ou la copine s'était faites larguer, elle trouvait du boulot par chez nous, mon associé était effectivement intéressé par l'appartement de la dépendance et a emménagé, avec cette copine, voulant préserver notre intimité et aussi la sienne, il y avait un vieux bâtiment en ruine, les copains sont revenus travailler pour des clopinettes, elle ne voulait pas trop grand pour elle toute seule, un petit 70 m² a été vite aménagé en moins de 6 mois, on s'est battu pour le loyer, on n'en voulait pas et elle le voulait, on lui a donc pris 150 € par mois.

Elle était pour notre plus grand plaisir, plus chez nous que chez elle, n'y allant que pour nous laisser en repas d'affaires et deux jours par semaine pour nous laisser seuls, de temps à autre, elle trouvait un copain, hélas pour elle, elle n'attirait que les "brèles" comme elle disait, aussi beau que con et ils étaient pas mal, soit un jaloux, soit un coureur qui revenait presque avec la capote collée au sexe en plus du parfum qui n'était pas le sien, celui qui semblait le mieux, lui piquait du fric.

Une fois, un autre encore, était jaloux, mais des rapports d'amitiés que l'on avait, il a voulu déménager, il lui a dit, c'est eux ou moi, elle lui a dit, c'est eux, il est parti comme un malade et a failli rentrer dans une borne d'angle en partant, il faut dire que le clan, Annie, Marie et elle, sont très complices, s'attaquer à l'une, c'est avoir les autres sur le dos.

Nous n'avions plus de rapport ensemble quand elle était avec quelqu'un, afin de ne pas être ceux qui lui auraient gâché sa vie, mais dés qu'il était largué, c'était la fête le soir, nous étions presque un ménage à trois qui dure encore aujourd'hui.

Deux ans après, coucou, puis l'effleureur sont venus nous rejoindre, pour habiter dans la région aussi, j'ai pu avoir la chance de les remercier de ce qu'ils m'avaient donnés, en les aidants financièrement à s'installer le temps qu'ils vendent leur maison.

Dans notre univers des copains, tous n'ont pas eu cette chance, l'un deux, sa femme était très superficielle, vénale, c'était un copain venu du côté de coucou, elle le quitta peu avant qu'on parte, il a été trois ans dans l'alcool, puis coucou l'a recueilli à la campagne, s'il arrêtait la picole, cela a été dur, mais il y est arrivé, coucou ne rigole pas, souvent, il venait "m'emprunter" 50 €, et comme c'était pour payer un cadeau pour coucou ou sa femme, ou encore le coiffeur, ou se vêtir décemment ou quelque chose d'utile, je lui donnais.

Malgré que je savais qu'il ne me les rendrait surement jamais, je m'en foutais complètement, il faisait partie de ceux qui ont travaillés gratuitement et m'ont prêtés pour la maison en région parisienne, d'autre lui donnait des habits, en tout cas, coucou disait qu'il ne buvait plus du tout, et nous avons pu le constater lors des fêtes, mais il a été détruit par cette femme, disant que s'il devait se remettre avec une autre un jour, ça ne pourrait être qu'avec un clone d'Annie ou de Marie, j'avais pensé à la copine, mais ils n'allaient ensemble.

Avec l'arrivée d'internet, je ne me déplaçais presque plus à paris, les nouveaux clients que j'avais, qui venaient de la part de ceux qui était déjà venue, ne disait pas ce qui se passait ici, sauf une fois, ou l'un disait avoir été mis au courant du déroulement des repas d'affaires, il lui a clairement indiqué, en disant en même temps qu'il lui attrapait doucement le genou, elle disait, "que faites vous" en se poussant, il répond, en le prenant plus fermement "aller, vous vous laissez faire d'habitude", Marie ne se poussait que modérément.

C'est Marie la plupart du temps, qui décidait si le client lui plaisait ou pas, cela se faisait avant le repas d'affaires, elle l'apercevait au bureau d'étude et suivant la conversation, c'est elle qui disait, "vous ne préférez pas venir à la maison plutôt, ça sera plus convivial", je disais, "oui, bonne idée" en le regardant, je vantais ses talents de cuisinière, les clients acceptaient facilement.

Ce client, venu avec un projet important, l'air strict, ne passant pas le filtre repas maison, je ne lui propose que le resto, il dit venir de la part d'un client qui lui venait à la maison, dure de dire non, je lui dis, "si vous préférez, pas de soucis", ce soir-là, il arrive avec un bouquet, au repas, il est strict aussi, on parle boulot.

Quand il parle, il est sec, ses mots portent et sont précis, il sait ce qu'il veut, il a un coté très autoritaire. Il est compétant, chaque phrase est pesée et juste, il est objectif également dans ses discours, froid, mais pas glacé, il a de l'humour, pince sans rire, assez cultivé, par moment, j'avais l'impression que le contrat était acquit et à d'autre, que ce n'était pas le cas.

Son visage était imperturbable, seuls ses mots trahissaient son état d'esprit, il avait réponse à tout, et le comble était qu'il avait raison, dans le travail s'entend, car nous ne parlions jamais des sujets qui fâchent comme la politique ou religion, il faisait de l'équitation et avait un bon niveau de pratique et de connaissance sur le sujet, on l'avait constaté plusieurs mois après, on lui avait proposé de monter chez Annie, qui nous avait dit qu'il était très bon cavalier.

Son allure ressemblait à celle de Steed (chapeau melon et botte de cuir, mais sans le melon ni les bottes), sauf qu'il était plus mince, le style anglais à l'extrême, c'est pendant que je vais chercher un document dans le bureau, qu'il lui annonce savoir ce qui se passe, n'étant pas resté longtemps, cela n'a pas été plus loin, en revenant, Marie me fait le signe que le client a entrepris quelque chose, nous ne retenions pas ceux qui restaient raisonnables.

Le café fini, c'est lui qui demande à voir des réalisations déjà faites, confirmant qu'il sait, je vais pour y aller, mais il dit, "si madame sait utiliser l'ordi, je préfère que vous jetiez un œil là-dessus en attendant", il me donne un cahier des charges d'un autre projet, sachant qu'il sait, je fais un signe discret à Marie qui l'emmène à l'ordi, dans le bureau, il y avait aussi une camera que je regardais pour intervenir.

Dans le bureau, Marie s'assoit, le type prend la chaise, mais ne se met pas à côté, "vous pouvez approcher" dit-elle, il dit, "non, voilà, soyons direct, Mr ……… (Un client coquin qui avait entrepris Marie) Nous sommes très bons amis et je vous rassure, il ne l'a répété à personne sauf à moi du fait d'une grande amitié qui nous lie, je vous rassure également, nous ne sommes pas gays pour autant".

Marie, prise sur le vif balbutie des, "mais, je, non, je", il la coupe en lui disant, "ne vous inquiétez pas, je ne le répéterais à personne non plus, même si vous refusez ma demande", elle lui demande, "quelle demande," que vous me montrez vos seins dit-il", elle refuse, il insiste, elle gagne du temps pour savoir ce que j'en pense, voyant que je n'arrive pas, elle comprend que je suis ok.

Lui donnant le pouvoir de décider, pendant qu'il continuait d'argumenter jusqu'au moment où il lui dit, "bon écoutez, on perd du temps, allé, montrer moi vos seins", devant son ton autoritaire, elle lui dit, "d'accord, mais vite fait", allez, dit-il, Marie baisse sur ses épaules, les bretelles de sa robe, je vois à son air, qu'elle fait la tête de celle qui fait cela pour éviter de faire des histoires, mais je sais aussi qu'elle adore cela.

Ses bretelles sont tombées, mais elle retient encore sa robe pour se cacher, il lui dit d'un ton qui laisserait croire, qu'elle doit le faire, "alors, vous me les montrez vos seins, dépêchez-vous", Marie sait que je mettrais moins de 5 secondes entre ma décision d'intervenir et mon intervention à claquer la première porte, chaque attente qu'elle fait, c'est pour me laisser le temps d'agir.

Sa robe tombe sur ses genoux, elle est assise, allez dit-il, j'ai dit les seins, pas les dessous, elle le dégrafe lentement, puis elle la dans la main, bien dit-il, mettez vos bras en arrière, Marie s'exécute, j'étais certain qu'a ce moment-là, elle était super excitée, elle me l'a confirmée le soir même.

Il continue en disant, "restez comme cela, maintenant, remontez votre robe, que je vois aussi vos cuisses", Marie allait dire quelque chose, mais il ne lui en laisse pas le temps et dit, "allez faites, on n'a pas beaucoup de temps, allez", Marie me disait aussi que pendant qu'elle était avec le type, comme elle savait que je regardais et écoutais, le fait de ne pas intervenir l'excitait aussi.

Elle remonte sa robe, genoux serrés, il lui dit plus haut encore, quand c'est fait, il lui demande d'écarter ses jambes, elle dit "ha non, pas ça", il répond, "aller, au point où on en est, inutile de refuser, regardez, je reste assis, vous ne risquez rien", Marie s'exécute à nouveau, maintenant, elle n'attend que mon intervention, se disant, "pourvu que je n'intervienne pas".

Il lui fait écarter plus encore les jambes, à son maximum, il la contemple et lui demande, alors, ça vous fait quoi comme sensation, Marie ne répond, pas, elle hausse les épaules comme pour dire rien, restez comme cela dit-il, il se lève, va derrière elle, comme elle était de coté par rapport à l'ordi, elle attend qu'il soit derrière elle pour regarder l'endroit ou est caché la camera, elle me fait juste une mimique qui veut dire qu'elle est excitée.

Cela, je le savais déjà, elle ne me fait pas le signe qui demande que j'intervienne, arrivé derrière elle, il dit, "ne bougez pas, je vais vous attrapez les seins, non, ne bougez pas", il passe ses mains, et lui attrape les deux seins, Marie à un frisson qu'il voit aussitôt, elle tente de lui attraper les mains, mais il dit, "non, laissez pendre vos bras, laissez vous faire, je sais que vous aimez", elle essaie de parler, mais il lui dit de ne rien dire, il la tripote fermement, il lui pince ses tétons.

En faisant cela, il lui dit, "rien ne sert de mentir, sentez comme ils durcissent sous mes doigts, Marie s'agrippe sur le fauteuil, elle a envie de plus, mais elle sait qu'il ne faut pas, elle sait que je suis là, en s'agrippant au fauteuil, elle a un début d'ondulation qu'elle essaie de camoufler, tout en la malaxant la poitrine, il dit, "est-ce que vous aimez", elle ne répond pas et il repose la question d'un ton plus sec, elle dit "oui".

Voulez-vous que je revienne la prochaine fois dit-il, elle répond un nouveau "oui" très faible, pinçant ses tétons, il lui repose la question, "répondez, oui, je veux que vous reveniez", Marie lui dit, "oui, je veux que vous reveniez", il dit, "bien, je reviendrais, mais il faudra éviter de me faire répéter", il la lâche et lui dit, "rhabillez-vous maintenant, et montrez moi vite fait ce qu'on devait regarder ".

Marie se rhabille et passe en diaporama les réalisations faites, de mon côté, je feuillète aussi son cahier des charges, quand ils reviennent peu après, je coupe la télé et je fais celui qui le feuillette, c'est Marie qui arrive la première, lui est passé par les toilettes, s'est-il masturbé, je ne saurais le dire, mais si c'était le cas, il y avait urgence, il n'a pas été long.

Pendant son occupation, avec Marie, je la rassurais et elle me commentait par signe, quand il revient, il me demande ce que j'en pense, si cela n'est pas trop lourd pour moi, je dis que non, que j'ai déjà eu des projets similaires, mais ne voulant pas rentrer dans des détails qui m'auraient perdu, je lui demande ce qu'il pense de ce qu'il a vu, il répond que ça mérite de le savoir, et qu'il regardait a nouveau plus en détail quand il reviendra.

Je lui dis, "quand vous reviendrez, ça veut donc dire que notre proposition est en bonne voie", il répond, "oui, revoyez les détails dont nous avons parlé pendant le repas, repas de qualité, mes compliments à la maîtresse de maison, je vous avais préparé une feuille mémo retraçant ce dont nous avons discuté, à part ce que nous avons vu ensemble et sommes tombés d'accord, revoyez le reste et faites moi signe".

Après cela, il nous quitte, Marie et moi, étions très excités, j'ai été à la douche, Marie l'avait prise avant de s'habiller, quand je suis revenu, elle se masturbait avec son gode, jouissant quand j'arrivais, dans un sens tant mieux pour elle, car je n'étais pas mieux, j'ai eu peine à me retenir pour lui donner son deuxième orgasme, ce qui fait que je n'ai pas pu lui en donner un troisième, et comme avec l'âge, il ne faut pas se faire d'illusion, les mousquetaires travaillent moins vite (Note d'Annie : les mousquetaires d'Henri, c'est " sperme, Atos et zoïde"), je me suis rattrapé le lendemain matin.

Après cette bonne baise, avec Marie, on discute sur ce client, de ce que j'ai vu et entendu, le client dont parlait celui-ci, après consultation de notre fichier client coquin, n'avait pas fait grand-chose avec Marie, il lui avait juste touché un peu les seins à travers le tissu, juste le temps qu'elle se pousse.

On avait du boulot, mais notre carnet de commandes n'était pas plein, bien sur, qu'il fallait avoir ce client, ce pour quoi il était venu, mais si je pouvais avoir le nouveau boulot à venir, qu'il m'a montré, ça permettrait de repousser de plusieurs mois notre fin d'études, laissant le temps à d'autre d'arriver et repousser d'autant.

Dans l'ensemble, je suis content, nous sommes à la campagne, j'ai autant de travail qu'a paris, j'ai les clients parisiens fidèles, ceux qui viennent pour Marie, font le déplacement sans soucis, ceux plus prés, préfère aussi, et j'en trouve des nouveaux qui préfère ne pas aller sur paris, j'ai moins de repas d'affaires, mais dans l'ensemble, ça va, à mon ancienne boite, on avait un an et demi de carnet de commandes, à paris à mon compte, j'avais à peine moins d'un an, et ici en ne comptant que ma clientèle provinciale, j'ai entre 4 et 6 mois.

Mes associés n'ont jamais cherchés à me faire faux bond, mais il faut savoir qu'ils sont chez moi, ailleurs, il faudrait qu'il paie un loyer plus cher, et pas sur, qu'ils trouvent un logement prés de leur lieu de travail, à savoir aussi que certains clients parisien me reviendraient si je leur disais que je ne suis plus avec mes associés, depuis que je suis à mon compte, j'ai repris les études (sur les projets), les repas d'affaires sont du bénévolat, mais comme j'ai dis au début, mes associés ne m'ont pas lâchés, peut être cela leur est venu à l'esprit, mais en tout cas, ils ne l'ont jamais fait.

Avant la fin du mois, j'avais envoyé au client les modifications qu'il avait demandées, certaines demandaient de modifier d'autres points où on était tombé d'accord, je lui avais fait un résumé de cela en lui présentant d'autres options, deux semaines plus tard, il tombe sur Marie au téléphone, chose rare, car je suis très peu absent, elle ne le reconnaît pas, ni à son nom, elle indique que je suis absent.

Vous êtes seule dit il, oui dit elle, "disant, "vous ne me remettez pas, nous avons visionné des projets réalisés dans votre bureau", comme elle faisait cela avec presque tous, pendant qu'elle essayait de se souvenir, il lui dit, vous vous souvenez que quand je reviendrais, il ne faudra pas me faire répéter ce que je vous demanderais, à ces mots, à son intonation, Marie se rappelle du client

Ne voulant pas se dévoiler de suite au cas où elle pourrait se tromper, elle lui dit, "oui, je me souviens un peu, que vous ai-je montré en arrivant", il répond, "vos seins", elle dit, "oui, je me souviens, vous avez abusé quand même", il répond, "non, parce que quand je reviendrais, j'abuserais encore plus, là, vous êtes prévenue", quand nous en avions parlés avec Marie, on avait convenu qu'il pouvait revenir.

Marie lui dit, "je regrette, mais l'autre fois, j'ai été folle de vous laissez faire, mais maintenant, c'est terminé", d'un ton plus sévère, il répond, "hé bien, vous réfléchissez, quand vous serez prête à recommencer, vous direz à votre mari que j'ai appelé et qu'il me fasse savoir quand est-ce que je peux revenir pour ce projet, ensuite vous me rappellerez pour me confirmer vos intentions, bonne journée".

Marie ne se formalise pas du fait qu'il a raccroché, elle me le fait savoir, j'attends une semaine avant de le rappeler, pour lui faire croire qu'elle a réfléchie, pendant que je lui parle au téléphone, je fais celui qui répond à Marie ayant quelqu'un en ligne, je dis tout haut, "dit-lui que je passerais à 14 heures", je poursuis ensuite la conversation avec le client, on règle quelques détails, puis je raccroche.

Marie l'a rappelé à 15 heures, nous espérions qu'il rappelle lui-même en tenant compte de ce qu'il avait entendu, mais ne le faisant pas, je lui dis d'appeler, elle tombe directement sur lui, il est seul dans son bureau, "bonjour, je suis madame………….., il répond, "ha oui, j'attendais que vous m'appeliez, alors, vous avez réfléchie", elle dit qu'elle fera comme la dernière fois, je suis à coté d'elle, avec un bloc au cas où elle devrait répondre a ce qu'on n'a pas prévu.

Il dit, "non, je ne vous demanderais pas de faire comme la dernière fois, je vous demanderais de faire ce que je vous dirais, Marie me lit et dit, mais je ne peux pas me laisser baiser avec mon mari à côté", il répond, "je ne vous demande pas de vous baiser, mais de faire ce que je vous demanderais, il y a une nuance, pour baiser, il y a des professionnelles, je ne vous ai pas violée la dernière fois".

Je fais un signe de tête à Marie qui lui dit, "bon d'accord alors", il répond, "bien, alors vous mettrez une robe rapide à enfiler, sans soutif et pas de string, aller, à vendredi", fidèle à lui-même, il ne perd pas de temps en bavardage inutile, Marie était excitée à l'idée de ce qui se passera vendredi et moi également, nous avons fait l'amour debout, comme un amant à sa maîtresse pendant les heures de boulot

Le vendredi matin, Marie faisait les courses et l'après-midi, elle préparait la soirée, elle n'avait plus la femme de l'effleureur pour l'aider depuis qu'on était a la campagne, une bonne demi-heure avant que le client arrive, elle se préparait, nous étions tout excités à cette idée, c'est même la première fois qu'un deuxième rendez vous va aller aussi loin sans l'excuse d'être saoul, ni d'un petit chantage au foulard.

Ce client n'était ni beau, ni attirant physiquement comme disait Marie, elle disait ne pas comprendre, je ne pouvais pas lui dire ce qu'elle y trouvait, et elle ne pouvait pas me le dire non plus, il était autoritaire, voilà ce qu'il avait qui excitait Marie, j'avais revécu avec lui à sa dernière visite, ce que je voyais à l'écran chez l'effleureur, avec lui, elle était "forcée", elle devait "obéir".

Depuis que l'effleureur ne "pratiquait" plus, elle n'a plus eu de "prestations" de ce genre, Annie me dit ici, "c'est très dur de trouver des hommes vraiment dominant, c'est un don, il y a beaucoup de guignols qui pensent que de nous faire marcher à quatre pattes avec une laisse ou nous faire boire dans une écuelle, que c'est être un dominant, être dominant, c'est dans l'attitude, dans les mots employés, l'intonation de la voix et la façon de demander".

Annie dit aussi qu'elle avait cherché quelqu'un comme cela, mais ceux essayés, si elle avait voulu, au bout de 30 mn, c'est eux qui auraient eu la laisse autour du cou, l'un a même été violent, un dominant n'utilise jamais la force, ce qui fait qu'elle a abandonné, quand j'écoute Annie, je peine à comprendre cette déviance, mais il en faut pour tous les goûts et je respecte, tant que toutes les parties sont consentantes, de plus, je ne suis pas différent non plus, puisque j'aime la voir obéir à un autre.

Dans la semaine, j'avais acheté une deuxième photocopieuse, que j'avais mise dans le salon, mais pas trop visible, le soir, J'arrive et c'est avec une excitation commune que nous allons ouvrir la porte, lorsqu'on le voit arriver, il a exactement la même allure que la dernière fois, peut être un peu plus souriant, sur l'échelle du sourire, si la première fois, il avait 2/20, là, il aurait peut-être 3/20, pas de quoi se faire enlever une nouvelle ride.

Ça ne l'a pas empêché d'amener des fleurs pour Marie et de la complimenter sur sa beauté et peut être avec un sous-entendu en disant, "je suis certain que cette fois encore, je vais me régaler", je réponds non sans ironie non plus, "ha là-dessus, ma femme ne déçoit jamais", à l'apéro, il ne se passe rien, au repas non plus, on a parlé du projet, des modifications, au salon, je dis à Marie, " va t'asseoir, je m'occupe du café.

Ils s'installent au salon, pendant que je le prépare, il dit à Marie d'écarter son décolleté, elle fait "non" en silence, il lui lance un regard qui en dit long et elle s'exécute, elle me l'a raconté puisque j'étais dans la cuisine, voyant qu'elle a fait comme il lui avait demandé, il dit, "bien, en dessous aussi", elle fait un oui de la tête timide.

Je reviens avec les cafés et thé que nous prenons puis fouillant dans sa mallette, il me sort le contrat du projet signé, il fait confiance à Marie, car elle pourrait se dire que maintenant que c'est signé, plus besoin qu'elle se laisse faire, ou peut être la teste-t-il, est-elle docile par intérêt ou par envie.

Pendant que je contrôle si tout est paraphé signé, il me sort à nouveau non pas un, mais deux futurs projets en me disant, tenez, ça ne vous dérange pas que je revoie à nouveau vos réalisations, comme ça pendant ce temps, je vous laisse tranquille pour jeter un coup d'œil la dessus, pour me dire ensuite ce que vous en pensez.

À ce moment, je me disais, soit il me prend vraiment pour un imbécile qui ne se doute pas de ce qu'il va faire en s'isolant avec ma femme, soit il me sent comme un complice qui ne veut pas le montrer, ce contrat est une aubaine, s'il donne les autres, ça sera une bonne bouffée d'oxygène, je le fais patienter en demandant à Marie de lui resservir un café pendant que je vais photocopier le contrat signé, disant, "j'en ai pour deux minutes et après je vous laisse le bureau ".

Pendant que je photocopie, de façon très autoritaire toujours, il lui demande de remonter sa robe, pour voir qu'elle est bien nue dessous, contrairement à l'époque de l'appartement à Paris, ou je passais beaucoup de temps exprès à photocopier, maintenant, mon matériel est performant et automatique, une fois mis dans la machine, elle travaille toute seule, Marie à la robe remontée, elle la remonte et la redescend aussitôt, il lui dit sur un ton sec, "plus haut, je veux voir vos fesses à l'air", il le répète encore une fois sur le même ton, et elle s'exécute.

Annie pense comme moi à l'heure où on écrit, l'ami du client a dû juger Marie un peu soumise, le fait qu'elle n'est pas farouche et accepte quelques familiarités pour me cacher certaines choses, puis connaissant les penchants de son ami, ce client, il lui en a parlé, nous pensons qu'ils sont amis et collègues aussi, il y a des similitudes dans les contrats, dans leur procédure.

Je reviens au salon, en disant, "voilà, celui-là c'est pour vous, et celui là pour moi, bon, moi, j'ai de la lecture, je m'y colle maintenant", ils se dirigent au bureau, j'allume la télé pour voir et entendre, dés qu'ils sont installés, Marie allume l'écran et met les pages des réalisations que l'on a faites, elle les passe en diaporama.

Il prend la parole et dit, "bien, vous souvenez vous de ce que je vous avais demandé", oui dit-elle de ne pas mettre de dessous, il dit oui et quoi d'autre, elle réfléchit et ne trouve pas, ne pas me faire répéter dit-il, il continue en disant, "il est inutile de ne pas faire ce que je demande du premier coup parce que vous finirez par le faire et en plus, vous aimez cela, n'est-ce pas que vous aimez, n'est-ce pas, répondez", elle dit un oui timide puis rajoute, mais mon mari.

Il répond, "pour votre mari, c'est moi qui gère cela, vous, vous faites ce que je dis et c'est tout, vous devez me faire confiance, je ne vous mettrais pas en situation difficile", encore une fois, et Annie pense aussi comme moi, soit il sait ma complicité passive, soit mon gabarit ne l'impressionne pas, il est évident que si je rentrais à l'improviste dans le bureau, à part de lui demander de quitter la maison, il ne risque rien de plus.

Je tourne l'écran de façon à voir ce qui se passe pendant que je fais les photocopies, ça prend du temps, car je ne peux pas enlever les agrafes, cela se verrait, j'ai néanmoins pu tout copier, cela n'est pas réglo, mais il n'existe personne en ce bas monde qui peut se permettre de dire qu'à ma place, il n'aurait pas fait pareil.

Les états dépensent des milliards pour espionner les autres pays, les industriels dépensent des millions pour espionner leurs concurrents, moi, je n'espionne pas, on vient à moi, avoir ces cahiers des charges avant, permet de mieux me placer, d'être plus compétant lors du dialogue, du fait qu'on a pu faire des recherches plus poussées.

Tout à mes photocopies, je regarde et écoute ce qui se passe, une fois le diaporama lancé et après lui avoir dit qu'il ne fallait pas le faire répéter, il lui dit de se mettre debout, lui, il est sur la chaise et la contemple, l'a fait tourner sur elle-même, puis lui dit de retirer sa robe et de lui donner, avant qu'on lui dise de revenir, j'avais dit à Marie que je n'interviendrais que si elle me fais signe et non si je juge que c'est trop hard.

Marie à donc tout pouvoir, pour suivre son envie, voulant montrer qu'elle ne cède pas du premier coup, elle dit, non pas ça, il se lève, passe derrière elle, passe sa main dans son décolleté et lui pince fortement un téton pendant que son autre main la bâillonne, une fois la surprise passée, il retire sa main devant sa bouche, il continue de la pincer en disant, "qu'est-ce que j'ai dit, que je ne dois pas me répéter, je vous l'ai bien dit", elle fait, "houuu, oui, oui, arrêtez".

Il retourne à sa chaise et redonne son ordre, Marie se met nue, et lui donne sa robe, il lui dit, "bravo, vous êtes aussi belle nue qu'habillée", elle dit merci, il se lève, ouvre la porte du bureau sans bruit et lui dit d'aller jusqu'à la porte de la salle et revenir, elle allait dire non, mais son air la fait s'exécuter, je ne la vois plus, elle est hors champ de la camera, lui, il est debout coté à de la chaise, la robe est sur la chaise.

Il la teste, voir jusqu'ou elle est capable d'aller, elle sait qu'elle ne risque rien, mais lui ne le sait pas, il se dit, je lui fais prendre un risque, et elle préfère risquer que de me désobéir, son ton sec et strict, sa montée d'un ton lorsqu'elle n'obéit pas, son obéissance sur risque, cela lui permet de voir ce qu'il peut se permettre avec, Marie ne s'en rend pas compte, mais moi, je sais que dans ce genre de situation, elle lui est complètement soumise.

Quand elle revient, il lui dit, "soit vous voulez arrêter et enfilez votre robe et on s'en va, soit vous restez et je ne veux plus de désobéissance, alors voyons ce que vous décidez, mettez-vous en appuis sur le bureau, les pieds en arrières et les jambes écartées", elle empoigne sa robe, la tient deux secondes en faisant demi-tour, elle fait celle qui réfléchit, mais en fixant très discrètement l'endroit ou se trouve la camera, afin de me laisser le temps de l'arrêter, elle retourne mettre sa robe sur le fauteuil et se met dans la position demandée.

Très bien dit-il, on va pouvoir commencer, il prend la robe que Marie avait mise n'importe comment, et la pose sur le dossier en disant, "de cette façon, tu l'enfileras plus rapidement", il s'approche d'elle en disant, "voyons voir si tu as bien compris", il l'a fait se pencher plus et écarter plus, il lui caresse les épaules, le dos, et constate qu'elle frisonne, je me doute que ses bras ont la chair de poule.

"Tu vois, c'était inutile de faire ta mijaurée, tu n'attends que ça", il passe sa main sur ses seins, elle émet un petit gémissement, il pince ses tétons, la caresse à nouveau, Marie est à son entière merci, il ramène la chaise et se place derrière elle, je termine mes photocopies, comme cela, je peux m'asseoir devant la télé et profiter du spectacle.

Il est assis derrière elle et lui caresse les jambes puis les cuisses, elle gémit et bascule sa tête en arrière, il continue à la caresser entre les cuisses sans toucher le sexe, c'est elle qui à force, tend son cul à la caresse, mais il fait ce qu'il faut pour ne pas entrer en contact.

Timidement au début, mais plus flagrant ensuite, elle va au-devant de la main qui la caresse, au bout d'un moment, il lui dit, "que veux-tu maintenant, si tu as envie de quelque chose, il faut que tu le demandes de façon très précise", elle se trémousse encore puis au bout d'un moment, n'y tenant plus elle dit, "caressez-moi", il dit, "quoi", elle répète à nouveau, il redit, "quoi, je ne comprends pas, soit très précise sinon je ne ferais rien", après deux autres demandes infructueuses, Marie lui dit, "caressez-moi la chatte", plus polie dit-il, "elle dit, "caressez-moi la chatte sil vous plaît".

Bien, tu apprends vite dit-il, ce faisant, il lui touche le sexe, elle gémit de plaisir, il lui malaxe ses lèvres intimes, elle écarte encore plus ses jambes pour lui laisser le plus de liberté de mouvement, Marie m'a raconté la suite, car je n'entendais rien à cause de ses gémissements et qu'il lui chuchotait doucement à l'oreille.

Pendant qu'il lui donnait du plaisir de ses doigts, il lui disait qu'en fait, l'ami en question, lui a juste dit que Marie me cachait qu'elle recevait une copine que je n'aimais pas, et qu'elle était bien foutue, il ne sait pas non plus qu'il vient comme client, il la rassure en disant qu'il ne raconte jamais à personne ce qu'il fait avec les femmes.

Il l'entretien dans le plaisir, ne la menant pas à l'orgasme, s'arrêtant avant, elle lui demande à plusieurs reprises de la faire jouir, il lui dit, "quand je le déciderais", il lui demande si elle peut sortir un après-midi, elle dit que non, qu'elle doit rester au bureau, il lui demande alors s'il m'arrive de m'absenter la journée complète ou au moins un après-midi.

Elle demande pourquoi et il répond, "là, nous n'avons pas BCP de temps et c'est risqué, mais avec plus de temps, je pourrais mieux m'occuper de toi, tu aimerais que je m'occupe plus de toi, que je te fasse faire plein de choses vicieuses, que je t'utilise", elle est tellement excitée, qu'elle lui répond oui à chaque fois, il en profite pour porter l'estocade en activant le mouvement, sans le savoir, il me transperce aussi, j'avais sorti mon sexe et le masturbais comme ça, juste pour me soulager un peu, mais le plaisir a gagné, j'ai inondé plusieurs mouchoirs papier.

Marie est complètement déconnectée, s'il ne lui avait pas mis la main sur la bouche pour atténuer son cri de jouissance, je n'aurais pas pu faire autrement que de l'entendre, elle lui inonde la main en continuant à se frotter dessus, une fois soulagée, elle lui demande encore, mais il lui dit de se rhabiller, qu'il faut venir me retrouver, il l'informe qu'il sera au bureau lundi toute la matinée, qu'elle essaie de voir pour sa proposition, qu'elle l'appelle à un moment où je ne suis pas à côté d'elle.

Quand il me rejoint le premier, je suis dans ses notes, Marie est aux toilettes pour montrer au client qu'il ne faut pas que je la trouve rouge, pour ne pas qu'il me pose de questions, je lui dis que je ne suis pas du soir, que j'ai du mal à suivre, ce n'est pas grave dit i- en rangeant ses documents," nous aurons l'occasion d'en reparler, je vais vous laisser, je ne voudrais pas abuser", Marie arrive et il prend congé, la remerciant pour le délicieux repas.

Marie me met au courant de sa demande et elle est étonnée qu'au lieu de dire que c'est hors de question, que je cherche un moyen pour que ça se fasse, ce qu'elle me raconte, ajouté a ce que j'ai vu, elle passe à la casserole illico, ma purge m'a permit de perdre en dureté, mais d'y gagner en temps, Marie me dit, "toi, tu as joui", j'ai dit oui.

Marie ne savait pas que je la matais avec d'autre, elle ne sait pas que je sais qu'elle est soumise, elle ne sait pas que j'adore qu'elle le soit, elle le découvre timidement, mon plaisir voyeur, je le dois à Lucien, car même si avant, nous faisons des séances cinéma, c'était avec des inconnus, là mon plaisir voyeur est plus fort que mon image de mâle devant les clients

Son premier orgasme avec moi a été rapide, le second qui est en fait le troisième, à été plus long à venir, tout comme le mien, une fois couché, on discute un peu puis nous nous endormons, je me réveille avant elle et je pense au dernier événement, à mon changement, avant, je n'acceptais sur Marie, que des attouchements au cinéma, rien de plus, ensuite il y a eu, l'effleureur qui l'a eu complètement, mais lui, c'était par vengeance au début, par plaisir ensuite, même avec ses visiteurs.

Il y eut ensuite un premier client, puis un autre qui est devenu notre ami, il y a eu son prof de danse, les types de la plage, en vacances, cela aurait été inconcevable avant Lucien, je n'aurais eu que dégout et tristesse, maintenant, j'en éprouve un plaisir intense, surtout quand Marie en joui, je suis super excitée quand je la vois soumise à un autre, bien sûr, j'aurais préféré que se soit avec un inconnu et non un client, mais ici à la campagne, il n'y a pas BCP de prétendant, et puis celui-ci m'a l'air correct et n'habite pas à coté non plus.

Contrairement à notre maison à paris, ou j'avais conçu la disposition des pièces, car il a fallu mettre des cloisons, j'avais étudié l'agencement en fonction de nos jeux, ici, cela n'a pas été possible, les murs sont épais et porteurs, donc pas question d'y toucher, l'agencement est donc fait à partir de l'existant, même si nous avons annexé la grange attenante, c'est donc moins pratique, on a pu quand même mettre une pièce entre la salle salon et le bureau, ça permet de voir venir, elle a le temps de se remettre si j'arrivais.

Marie adorait autant que moi ces petits extras, nous étions très excités par cela, nous retracions certaines scènes pendant que nous baisions, ça la faisait partir plus vite et moi aussi hélas, le WE, la copine nous demandait si le repas d'affaires s'était bien passé, je lui montrais, le contrat signé et les deux autres à venir peut-être , elle ne savait rien de comment cela se passait, car il y avait aussi des clients qui venaient sans que rien n'arrive, ou ne faisant que de se rincer l'œil.

Avec ce travail obtenu, avec mes associés, nous étions contents, cela éclaircissait l'avenir, de plus, même s'ils ne me le faisaient pas sentir, ça me permettait à leurs yeux, de montrer que si je n'étais pas avec eux, et que je travaillais moins qu'eux aussi, je ne restais pas inactif, ce nouveau client, je dois le reconnaitre, je le devais à Marie, à notre jeu, c'est cela qui l'a fait venir me consulter, ensuite, reste à ma compétence de le faire rester.

Comme à chaque nouveau contrat, j'en discute avec mes associés, je leur envoie le cahier des charges afin qu'ils me soumettent leurs idées et se partager la recherche, je leur donne une ébauche des deux futurs projets, n'étant pas censé les avoir, je ne leur donne que certains détails écrit de ma main, vers 11h30, Marie appelle ce client qu'on surnomme steed, elle lui dit que je suis parti au pain.

Après les politesses d'usage et s'assurer qu'ils sont seuls, il lui dit, "je vois que notre petit jeu ne vous laisse pas indifférente, tant mieux, vous verrez, je vais vous sortir de la routine, cela va revitaliser votre couple, (s'il savait), Marie lui dit qu'elle doit prendre un rendez-vous avec un client, et que je serais absent un matin, il dit, "oui, et ?", elle attendait qu'il saute sur le prétexte, mais il est malin, il l'a met en position de demandeuse.

Elle balbutie puis elle lit ce que je viens d'écrire, elle dit, "vous vouliez venir pour être plus tranquille", il lui dit, "est-ce moi qui tiens le plus à venir", non moi aussi dit-elle, il lui dit à nouveau, alors demandez le moi, en me précisant ce que vous voulez me demander, Marie est un peu décontenancée, ayant plus de recul, je vois ce qu'il veut et l'écrit, elle me lit et dit, "j'ai envie que vous veniez et j'appelle pour vous demander quelles sont vos possibilités en mâtiné de mercredi à vendredi.

Il répond, celle que vous voulez, mais dites moi le au plus tard la veille, je prends rendez-vous de suite et vous rappelle, elle raccroche, Marie rappelle steed pour donner jeudi comme jour de mon absence, l'heure est donné aussi, neuf heures trente, la copine partant à neuf heure pour aller travailler, Marie allait raccrocher, mais il lui demande si je suis déjà revenu, elle répond que non, il lui dit, "attendez, s'il rentre, vous raccrocherez sans besoin de me prévenir, je comprendrais".

Il continue, disant, "vous vous doutez que je vais abuser complètement de vous, que rien ne me retiendra, vous allez subir des choses dont vous n'avez jamais subi", Marie fait, "je…. ", Ne la laissant pas finir, il lui dit, "ne vous inquiétez pas, lorsque je repartirais, vous ne souhaiterez qu'une chose, c'est que je revienne et votre mari ne s'apercevra pas de ce que vous avez fait en son absence".

Marie avait eu un peu peur, mais steed pense que nous sommes un couple coincés qui n'a jamais dépassé la position du missionnaire lumière éteinte, il se pose à elle comme celui qui va l'exciter comme une folle en brisant sa routine, ceci dit, il en a les compétences, il la domine déjà verbalement.

Il poursuit sa présentation en disant, "je vais utiliser sur vous toute sorte d'objet qui vous mettra dans un tel état, que vos orgasmes vous rendront hystérique, vous passerez deux heures très intenses, vous devrez tout accepter, sinon je devrais punir, de l'entendre, elle est excitée, je le suis également, j'écris pour qu'elle lui dise, "continuez de me dire tout ça".

Il comprend et dit, "petite cochonne, je suis sûr que tu te touches quand je te parle, répond" elle lui dit un petit oui, se rappelant ce qu'il a vu au bureau, il lui dit, "hé bien avant qu'il arrive, tu vas prendre le gros feutre que j'ai vu sur le bureau, (en effet, on a un très gros feutre), et tu vas te l'enfiler dans la chatte, mais avant caresse toi pour bien mouiller, je te guide et tu m'obéis".

Il la fait se caresser les seins, se titiller le clito, en fait, c'est moi qui lui obéis, Marie ne se retient pas, elle se laisse aller, elle gémit, quand il la sent prête, il lui dit de s'enfiler le feutre, évidemment, ce n'est pas le feutre qu'elle s'enfile, mais ma queue, étant présent, il faut bien que je serve a quelque chose, elle pousse des petits gloussements de plaisir, il l'encourage, la guide.

Il la questionne aussi, "tu aimes ça cochonne", elle répond oui, timidement, il pousse encore le verbe en disant, "tu aimes te comporter comme une trainée", elle répond, "oui", excités tous les deux, je sens Marie venir, je me laisse aller aussi, elle jouit sans retenue, poussant un grand râle, elle veut pour continuer, mais je lui fais comprendre, qu'en principe, elle est censée être seule.

Je peine à la calmer, il lui dit, "bravo, on va bien s'amuser jeudi, je vous laisse, aller vous rafraichir, a jeudi, vous me recevrez en soutif, porte jarretelle et string, rien d'autre, faite vous ……… Pute", Marie lui dit de mettre sa voiture à l'arrière de la maison et sur le côté, au cas où quelqu'un viendrait, Marie voulait que je remette ça, mais avec les années, je recharge moins vite, si avant, en ¼ d'heure, je pouvais faire un deuxième service, il me fallait plus de quatre-heures à ce moment-là.

Avant Lucien, Marie aimait le sexe, mais n'était pas forcement demandeuse, elle pouvait rester une semaine sans, cela n'arrivait que très rarement, lors d'un déplacement que je devais faire ou la fois que j'avais été hospitalisé, pendant Lucien, il n'y avait pas eu de changement, ce n'est pas une fois de plus dans la semaine qui aurait changé quoi que se soit.

Mais après Lucien, mis a part les abstinences que je lui imposais, comme on a eu un nouvel élan de vigueur, petit à petit, elle est devenue plus gourmande, je tournais à neuf ou douze éjaculations par semaine suivant mes séances avec Annie ou la copine, mais Marie, parfois, dépassait les cinquante, nous avions compté cela une fois ou la semaine avait été bien chargée, à 3 orgasmes par rapport, elle est déjà à 21 en une semaine normale, les femmes ont cette chance, mais cela restait occasionnel.

Je me souvenais de l'époque ou avec son prof de danse, elle avait résisté, je ne suis pas certains qu'a l'époque de notre vie campagnarde, qu'elle saurait résister de la même manière, il faut dire que comme maintenant, je lui tolère BCP de choses et l'encourage à se laisser aller, sa résistance devient faible, elle sait aussi que j'aime quand elle est comme ça.

Avec Marie, nous sommes constamment ensemble, 24/24, la maison est très grande, nous sommes ensemble dans la maison mais pas collé cote à cote, il arrive que je rentre dans mon bureau a 8 heures, et que je ne la revoie qu'a midi, l'après-midi, suivant son travail, c'est pareil, elle prend les dossiers et travaille sur la table du salon, nous travaillons pour notre société, mais c'est moi le patron pour la partie technique et c'est elle la patronne pour tout ce qui est compta, nous ne sommes pas ensemble, parfois, j'entends faiblement l'aspirateur, ou des casseroles qui se cognent, des petits bruits qui me font savoir qu'elle n'est pas loin.

Nous ne nous sommes jamais disputés pour le boulot, nous étions bien, plus du tout de transport, un beau cadre, pas de compte à rendre à personne, il fallait juste que le boulot se fasse, de plus, on ne travaillait plus pour vivre, mais pour avoir une retraite, car grâce à notre regretté client et ami disparu, on avait de quoi vivre modestement jusqu'à la fin de nos jours.

Le travail, c'était pour vivre dans l'opulence, ne pas se priver, et puis s'occuper aussi, car si on ne passe son temps qu'aux loisirs, l'argent défile à toute vitesse et on aurait vite fait de se retrouver sur le sable, ensuite, il y avait, ce que le travail apportait comme plaisir collatéral, c'est-à-dire, les clients fripons, car cela n'était pas vraiment possible autrement.

Les copains ne venaient jamais en journée à l'improviste en semaine, même Annie, elle téléphonait toujours avant, ce jour-là, je m'avance dans mon boulot et le lendemain matin, je mets tout en place, ou plutôt, j'étudie les éventualités, je note tout ce qu'elle devra dire pour que cela se passe dans le salon, pas dans le bureau parce que si j'arrivais à l'improviste, c'est par le bureau que je passerais en premier, pas dans la chambre, car elle n'aura pas le temps de refaire le lit, etc. etc.

Je me suis mis à sa place et me suis dit, que ferais-je dans son cas, je me réponds, contrôler si vraiment il n'y a personne dans la maison, peut être n'est-il pas aussi méfiant que moi, mais sait-on jamais, à juste titre, car il est venu dans le bureau contrôler, il n'a pas fait les chambres, mais est quand même venu dans le bureau, j'avais pris soin aussi de mettre ma voiture dans le petit sous bois, invisible du chemin et de la maison.

Arrivant à 9h30 pétante, il contrôle si elle est bien seule, bureau, WC, salle de bains, cuisine, une fois cela fait, comme j'étais resté dehors, j'attends que Marie me fasse signe de revenir au bureau, le signe, c'est que comme elle a dit qu'ils seraient mieux au salon, elle ferme les volets, cela voulait dire aussi qu'il était avec elle, je suis donc retourné à mon bureau et mettre les caméras en fonction.

En arrivant, avant de contrôler, il avait complimenté Marie qui l'a reçu comme il a demandé et posé sa valise à malice, elle s'était coiffée, maquillé légèrement, bref, elle était super bandante, à son comportement et aussi celui de Marie qui fait la curieuse, il croit vraiment qu'on est des ploucs, il sait pourtant qu'on a travaillé longtemps sur Paris, quand elle lui demande ce que c'est, il répond qu'elle le découvrira bientôt, pensant que le gode est un objet qu'elle connaît pour en avoir vu dans des revues ou film, mais qu'elle n'a jamais utilisé.

Connaissant nos classiques, moi et certainement Marie aussi, il sort en premier un petit martinet acheté vraisemblablement dans un sexe shop, celui-ci a deux fonctions, fouetter bien sur, et planté là ou il faut, ça sert de queue, en l'exhibant devant elle, il teste sa docilité, son acceptation, elle ne dit juste que "c'est pour quoi faire", il répond, c'est pour le cas où vous me feriez répéter".

Non, non dit-elle, je ferais ce que vous me direz, nous verrons dit il, Marie fait la curieuse en voulant regarder, va te mettre là-bas dit-il, même position que dans le bureau, elle se dirige sur le bout de table de salle a manger, il arrive derrière elle et la caresse comme précédemment, jusqu'à temps qu'elle mouille, ensuite, il lui met des boules vibrantes avec fil, elle doit rester comme elle est, c'est-à-dire, penché sur la table, tenant sur ses bras, jambes en arrières et écartées.

Il met la vibration, tout en la caressant, lui disant, tu ne bouges pas, Marie essai de ne pas remuer, donnant juste des sursauts de muscle pour supporter le petit plaisir que lui procure les boules au ralenti, il augmente la vitesse, Marie se met sur la pointe des pieds pour supporter sans bouger, elle reçoit un petit coup, elle dit ne plus bouger en voulant tourner la tête vers lui, elle reçoit un coup un peu plus fort, regarde devant dit-il.

Il teste Marie, voir sa réaction aux coups, celles n'aimant pas, comme la femme de l'effleureur, rouspète, quand elle n'aime pas, prête à tout arrêter si on continue, disant non de façon claire en faisant une grimace qui n'encourage pas à continuer, là, Marie, ne dit rien, elle reste en place, il sait de suite à qui il a à faire.

Il augmente, elle bouge, il fouette, elle veut se toucher, il fouette à nouveau, mais elle continue, il arrête et dit en allant chercher deux sangles à poignet, "je vais t'empêcher de désobéir, tourne-toi et met tes bras dans le dos, là aussi, il découvre qu'elle va se laisser faire, il lui attache les avant-bras dans le dos, une fois fait, il couche une chaise à terre et lui attache les chevilles au dossier qu'elle enjambe.

La chaise est en appuis sur le pied de table, ses chevilles sont fixées, ses jambes écartées, il prend un coussin se trouvant sur le canapé, et puis la penche jusqu'à temps que sa tête prenne appui afin de ne pas tomber, je la vois de quart, c'est cette fois-là où je me suis décidé d'investir, dans des cameras supplémentaires.

Marie est en équilibre dans une position peu confortable, elle ne peut pas s'asseoir, si elle se met a genoux, elle se ferait mal, le bougre a de la pratique surement, il fallait trouver y penser avec une chaise, il reprend là ou il en était resté, il augmente la vitesse, cela a pour effet de l'exciter, elle se contorsionne, il frappe, elle s'immobilise quelques petites secondes puis bouge encore, puis il frappe à nouveau.

Cela dure quelques petites minutes puis voyant qu'elle préfère les coups plutôt qu'arrêter, il éteint les boules, il lui demande si elle a aimé, disant, "j'étais sûr que tu aurais apprécié, je l'ai su dés la deuxième visite, bon, je t'avais dit que je t'utiliserais et que je te ferais ce dont j'ai envie, que tu seras mon esclave sexuelle", à chaque phrase, il fait répondre Marie qui dit "oui".

Il caresse ses seins, ses cuisses, ses fesses, sa chatte, il s'enduit la main de sa mouille puis vient frotter sa rondelle, Marie ondule comme elle peut et dit, "non, pas par là", il lui dit, pourquoi, tu n'aimes pas, ça m'étonnerait", disant cela, il lui enfonce un doigt puis deux, Marie tend son cul au maximum, il repose la question et comme elle ne répond pas, en même temps qu'il monte le volume des boules, il lui met un coup de martinet en disant

"Alors tu réponds quand je te pose une question", les boules, ses doigts, elle commence à perdre le contrôle, il continue disant, "tu vois que tu aimes, va-y bouge le bien ton cul, montre moi que tu aimes, sinon, j'éteins", elle se dandine les fesses pour attraper le plaisir au vol, pour calmer le feu en elle, quand il sent qu'elle est proche de l'orgasme, il arrête les vibrations et retire ses doigts.

Marie le supplie de continuer, il lui dit, "on a le temps, tu ne serais pas un peu salope, d'abord, tu me reçois en tenue de pute, et maintenant, tu me demandes que je te fasse jouir, hein que tu es une salope, répond", en même temps, sans remettre en route, il lui masse les lèvres intimes qui la font repartir vers le plaisir, a chaque question, il s'arrête, l'obligeant à répondre oui pour qu'il poursuive ses bienfaits.

Elle lui confirme ainsi ce qu'il avait compris lundi, qu'elle aimait être traitée quand elle était excitée, que cela accentuait encore plus son excitation, quand elle recommence à approcher de l'orgasme, il arrête à nouveau, elle hurle de continuer, mais il la laisse et ramène un Plug et un gode, tous les deux de bonne dimension, son doigté rectal lui a indiqué, qu'elle n'était plus vierge de ce côté-là.

Il se baisse derrière elle, il veut voir le Plug rentrer en elle, il lui dit d'aider à la pénétration, en se cambrant, marie s'exécute, elle sait qu'elle doit en passé par là, on en a des Plug, mais ça fait longtemps qu'on ne les utilise plus, on n'y pense pas, ou alors ce n'est pas le moment, ou c'est trop tard.

Annie me dit ici, que le plaisir n'est pas dans le fait d'avoir le Plug, mais dans le fait, que quelqu'un nous l'a mis ou imposé, et moi, comme Marie ne me le demandait pas, pour moi, elle n'en avait pas envie, alors je ne lui proposais pas, pour l'heure, le Plug a l'air d'être rentré, je n'ai pas vu dessus mais vue sur le visage à Marie.

Il la laisse s'habituer à l'intrus, tout en la caressant, quand cela est fait, peu après, elle ondule à nouveau sous les caresses, il accentue cela en mettant les boules en route, il lui pose le gode sur le sexe et clito sans le bouger, c'est elle qui se frotte dessus, il lui dit d'arrêter, elle n'écoute pas et continu, il la fouette en la traitant de salope, avant l'orgasme, il arrête tout encore.

Marie souffre le martyre, en perpétuelle excitation sans pouvoir se soulager, elle le supplie de la faire jouir, il lui délie les chevilles et la redresse, il lui dit d'aller se mettre sur le canapé, cuisses écartées, il la suit avec le boîtier des boules, la position ne lui plaît pas, il demande si elle a une couverture ou dessus de lit qui ne craint pas, une couette, ça ira dit-elle, il dit oui en lui indiquant celle dans une chambre d'ami.

Il va la chercher et la met sur la table de salle à manger, il lui demande d'aller s'installer dessus, il suit toujours avec le boîtier, une fois sur la table, les cuisses droites et les jambes pendantes, il prend son temps à contempler son intimité, il sait l'effet que cela fait à sa "victime", il lui demande plusieurs poses, plusieurs gestes.

Écarter plus, lever les jambes, soulever son fessier, tendre son muscle vaginal, le laissez aller, le retendre, à chaque fois, elle a une petite caresse en récompense, insuffisante mais mieux que rien, une fois qu'il a bien scruté partout en lui disant que son petit trou est bien détendu, qu'elle a du s'en enfiler des concombres par là, il augmente la vitesse des boules et avec le gode, vibre son clito.

Le plaisir trop intense lui fait fermer les cuisses, il se positionne autrement et se mettant sur le côté, il recommence, elle referme ses cuisses, et il lui pince fortement un téton, elle crie, il re gode, elle referme, il repince, il la lâche et lui demande de se mettre à genoux sur la table pour prendre 5 coups de martinet, elle se positionne et reçoit les coups sans trop crier, il retire le Plug, et lui enfile le manche du martinet, celui-ci a la forme d'un phallus.

Il lui enlève aussi les boules, il la gode' à nouveau dans cette positon, il arrête quand elle va pour partir, il recommence plusieurs fois, Marie hurle, supplie, l'heure passante, je me demande s'il s'en rend compte, il l'a fait descendre et s'allonger sur la table, sur le ventre, je le vois sortir et enfiler une capote.

Il la vibre à nouveau avec le gode, et s'arrête avant l'orgasme, Marie ondule des fesses, c'est a ce moment-là, qu'il la pénètre et la lime, la faisant jouir cette fois, son orgasme est violent et long, il continue à la limer pendant tout ce temps, elle est épuisée, il la détache, lui demande de se mettre s'allonger sur le canapé, après lui avoir remis les boules, il l'enfourche de ses genoux, retirant la capote, il lui dit, fait moi cracher sur tes seins, pendant qu'elle le branle, il met les boules a fond.

À ce que je vois, et à ce que Marie m'a dit, son sexe serait un peu moins gros que moi et peut être un peu plus long, moins dure aussi, mais il a son âge qui est là, le plaisir commence à revenir, elle ondule du bassin, mais étant presque assis sur elle, elle est limitée, finalement, le plaisir l'emporte à son tour, il lui met tout sur les seins, il se met à côté du canapé et lui donne le gode, Marie se masturbe avec pendant qu'il la traite, elle ne tarde pas a jouir a nouveau.

Une fois fini, il dit, "le temps passe vraiment vite, je vais vous laisser, je ne voudrais pas que vous ayez des ennuis, qu'il arrive plus tôt comme dans un vaudeville, quand pensez-vous, que je puisse revenir, si toutefois, vous le voulez bien, sachez que cela ne changera en rien nos relations de travail, vous me ferez savoir par téléphone si vous voulez qu'on se revoie comme là, ça sera plus facile".

Elle lui dit, oui partez, on ne sait jamais, je vais me rincer, tout en parlant, il se remettait et rangeait son matériel, elle le raccompagne à la porte, disant qu'elle l'appellera, une fois parti, elle va se rincer et je la prends sur la table, elle ne tarde pas à venir et moi aussi, j'ai peiné à l'attendre.

A suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Vengeance heureuse d'un cocu 14

Le 12/09/2015 - 23:51 par annizette
la fin approche pourtant, encore 2 numéro, les vacances on ralenti le récit d'Henri, et il hésite a raconté, je dois le talonner pour qu'il me laisse l'envoyer, je peux comprendre que pour un homme, il ait un peu honte
Le 12/09/2015 - 22:15 par arsenne
Bonjour Anisette. Toujours aussi captivant. Moi ce qui m'excite le plus c'est quand il met Marie en situation de lui mentir et de le faire à nouveau cocu ! Et je suis servi. Super histoire on n'a pas envie de la voir se terminer Arsène

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