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Vengeance heureuse d'un cocu

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Lue : 7131 fois - Commentaire(s) : 5 - Histoire postée le 04/05/2015

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Je me présente, je m'appelle Henri, suis pas chanteur mais j'aimerais réussir ma vie, être heureux, gagner de l'argent et devenir intelligent, j'ai presque réussi, j'ai un bon métier, je gagne bien ma vie j'ai réussi mes études, et les deux femmes qui ont compté dans ma vie, sont Annie et Marie, les deux je les aime, les deux m'ont fait horriblement souffrir, Annie physiquement sans que ce soit de sa faute et Marie moralement en étant coupable, Annie racontera ci-après à ma place, moi je raconte et elle écrit, et quand nous ne sommes pas d'accord sur un passage ou elle est impliqué, on trouve un compromis, Annie, c'est la beauté, la sensualité, le respect, l'amour même, rien n'est à jeter aussi bien l'extérieur que l'intérieur, son seul défaut, elle est fidèle, dans un sens, tant mieux, je n'aimerais pas avoir son mari contre moi. Je lui laisse la suite car elle refusait sa description (histoire vraie), si cela a du succès dans une ville moyenne de province mais présentons les personnages principaux (prénom bidon bien sûr) sauf Henri et moi Annie.

Déjà je me présente, Annie, il parait que je suis belle, sexy, bandante, intelligente, sensuelle etc., dans ce récit que j'écris, avec le concourt d'Henri qui le fait sous conditions que je sois juste avec moi-même concernant ma description ci-dessus, Henri me raconte des bribes de souvenir, et je romance pour la fluidité du récit, l'histoire et son déroulement son exact.

Henri, je parlerais en son nom dans ce récit, physique moyen, brun, taille moyenne, sexe moyen, (à son dire), le genre à traverser la vie sans problème, évitant les histoires, il avait des petites copines sans lendemain parfois, devenu petit ingénieur dans une boite d'électroménager avec un salaire de 2.5 à 3 fois le smic, une vie de minable (comme il dit) avant de nous rencontrer.

Marie, la femme d' Henri, très belle, vraie blonde, presque top model, elle aurait pu faire mannequin avec du piston, elle savait donner des torticolis aux hommes qu'elle croisait, étant plus apte aux sorties en boite qu'aux cours de comptabilité, elle avait dégottée un emploi d'aide comptable au smic amélioré (elle est stérile, la raison, ne regarde personne) .

Lucette, une fille de la classe de Marie à l'école, elle travaillait pour ses parents commerçant, châtain clair, fille discrète, trop même, ne sachant pas se mettre en valeur (étant ado), n'aimant pas être remarquée, elle travaillait le matin de bonne heure et avait ses après-midi de libre au moment de l'histoire.

Lucien, dans la même classe qu'Henri, dans la classe au-dessus des filles citées, son père était dans les affaires, il n'a fait qu'une seule année dans notre école, il est rentré dans une école privé l'année suivante, dans une autre ville, surement Paris, Lucien n'avait que des amis intéressés, quand tous roulaient en vélo, lui, il avait un cyclo neuf, une montre de luxe, des vêtements qui allaient avec, chaque semaine, il avait une tenue différente, il parlait des iles , des sports d'hiver, il se prenait pour un être supérieur, d'une certaine façon, il l'était aussi car sans être le premier de la classe, il naviguait entre la 2 Emme et 4 Emme place, jamais en dessous, avec des notes assez élevées, et sans tricher car quand il était interrogé, il répondait juste.

Helene, la femme de Lucien, ils ont 2 enfants, aussi belle que Lucette, cheveux châtain aussi à savoir qu'Henri connaissait sans les avoir remarquer, Marie et Lucette à l'époque écolière, les connaissait sans les fréquenter, juste un hochement de tête lorsqu'ils se croisait pour être poli, mais dès qu'Henri avait croisé celles-ci, il se retournait sur elle.

Marie et Lucette étant dans la même classe, se côtoyait sans être copine, les garçons gravitaient autour de Marie, elle savait se mettre en valeur et attirer les foules, elle ne nous fréquentait pas, préférant ceux encore plus vieux que nous.

Lucette et Henri, avant d'aller sur Paris, c'étaient retrouvés par hasard dans la salle d'attente d'un cabinet médical et avaient discutés comme cela, sans plus, les questions d'usage, tu fais quoi, tu es avec quelqu'un, juste parce qu'il avait été dans la même école, Henri, pour ne pas passer pour le garçon solitaire, le puceau ou l'impuissant, même s'il avait déjà eu des aventures sans lendemain, avais dit avoir une petite amie, Lucette dans le même esprit répondit que pour elle, c'est sur le gaz. Dans sa tête, Henri se dit, encore une de prise.
Olga, collègue de boulot a Marie, copine aussi, je ne l'aimais pas, elle m'avait fait du gringue lors d'un pot a sa boite, j'avais trouvé cela très déplacé ensuite il y a coucou, un type qui ne parle que de cocu, de salaud ou de salope et ensuite l'effleureur, une femme lui demande ou se trouve telle rue, quand elle repart, il lui a mis ses empreintes presque partout, il tempère quand même suivant comment est le compagnon de la femme, s'il est jaloux, il s'abstient, mais les jaloux ne sont pas le genre des amis que tous fréquentent, ancien bagarreur tous les deux, ils disent qu'il n'y a pas de problème, que des solutions, il font la joie des dentistes, des rebouteux et médecins mais pas comme client, leur femme sont sympathiques, tolérantes, aimantes et pas jalouse, ils sont artisan tous les 2 , coucou électricien et l'effleureur plombier ( à savoir qu'il étaient videurs dans des boites de nuit avant) .

J'ai connu Henri à l'ile st louis à paris, là où se passe le récit, à une terrasse, je prenais un thé avec une copine et j'avais aperçu cet homme discret qui me matait les cuisses, ensuite en me promenant je suçais une glace sur le pont ou au beau jour il y a des animations, on marche plus loin et deux types nous collent et nous embêtent, ils finissent par nous malmener ou c'est moins fréquenté , Henri nous suivait aussi, pas loin, il arrive et leur dit gentiment d'arrêter, l'un d'eux, 20 kg de plus je pense de suite au coup ou 2 costaud nous embête et ou le chevalier vient défendre la veuve et l'orphelin, mais non, le sauvage lui met une gifle qui le fait tomber à terre, du monde arrive, le 2eme dit, foutons le camps et ils s'en vont, je relève Henri, presque assommé, on le remercie en voulant lui payer un demi, mais bêtement vexé de ne pas nous avoir vraiment sauvée, il nous laisse prétextant qu'il est déjà en retard quelques années plus tard, Annie était avec son mari, jetais au bras d'une jolie blonde (Marie), son mari me félicite de mon courage, ont discutent ensembles, nous échangeons nos adresses et téléphones, un soir, avec une amie, Annie dit de faire un détour pour voir ou habite Henri et Marie fraichement installés, sans y aller pour les déranger, je suis sur le trottoir avec deux types louches qui regardent autour d'eux au comportement des 2 types, Annie pense plutôt à un racket car les types ne sont pas tendre avec moi et j'ai l'air d'avoir peur en leur donnant une enveloppe, elle attend un peu que les types partent et me fais savoir sa présence, elle ne dis rien, qu'elle vient juste d'arriver, elle explique à son mari qui avait compris, il prévient 2 copains (coucou et l'effleureur), le mois d'après, les copains en surveillance depuis 1 semaine à cette même heure, surprennent les 2 types, les assomme, les mettent dans une camionnette et partent après m'avoir redonné l'enveloppe , les malfrats ont eu droit aux mêmes égards que leurs victimes qui ne payaient pas, les copains ont dit, ici c'est notre territoire, on vous revoit, on vous flambe, les 2 types ne sont jamais revenu, plus tard encore lors d'un anniversaire, avec Marie je suis venu et j'ai reconnu ses "sauveurs", tout m' a été dit à ce moment-là par Annie, on ne connaissait personne, on était presque seuls, le mari d'Annie fait taire tout le monde en m'attrapant le bras et dit, "je vous présente Henri, il n'a pas de muscle, mais a des couilles, (il explique l'histoire sauf la baffe) si on le touche, c'est moi qu'on touche, si vous le défendez, c'est moi que vous défendez, si un jour vous le voyez en difficulté, vous ne cherchez pas à savoir ce qui se passe, vous éliminez ses problèmes", j'ai ensuite été gêné par les félicitations de tous car en fait, j'avais juste pris un baffe, j'étais reconnaissant, les copains, ils aiment le billard, on a sympathisés, car ces copains ne sont pas des racailles, ils ont juste rendu service, Marie ne sait rien de tout ça (du racket), elle n'aime pas ces copains-là, voilà pourquoi des personnes complètement différentes sont devenu amis même si l'un a les mains très baladeuses et que l'autre ne parle que des sujet de cocufiage, en dehors de cela, on a sympathisé également avec d'autres copains.

Le boulot se faisant rare, je dus partir pour Paris ou j'avais trouvé cet emploi d'ingénieur, et c'est grâce à cela que j'ai revu Marie qui elle était déjà en poste à Paris depuis plus d'un an, c'est dans la queue d'un cinéma le soir que je la vois, seule, je contrôle que c'est bien elle car en 10 ans, on change, et comme elle se tourne souvent, la gorge serrée, je lui demande, excusez-moi mademoiselle, ne seriez-vous pas Marie, école Francis ....", elle me regarde, ses yeux étaient rouge et brillant, elle était à la limite de pleurer, non pas de m'avoir retrouver mais elle venait de se faire larguer (j'ai su après que c'était parce qu'elle était stérile), voyant cela, je lui dis excusez-moi, vous avez des soucis, je tombe mal, "non-dit elle, oui je me souviens de vous", elle retrace l'école, le nom des profs, on fait la queue ensemble et quand j'allais lui proposer de voir le film ensemble, c'est elle qui prend les devants en me le demandant, j'accepte volontiers, on passe à la caisse, je lui propose de payer, elle refuse, on rentre dans la salle, on s'assoit, on discute avant que le film commence, elle arrive à sourire parfois puis redevient triste, absente même par moment, cette fille est belle, j'ai honte de moi, car je bande rien que de son regard sur moi, ainsi que de son petit décolleté très sage pendant le film, on a échangés très peu de mot, cela était normal, en sortant, timidement autant que machinalement sans y croire, uniquement pour parler, je lui demande si je peux espérer qu'elle accepte que je lui offre une boisson, elle me dit oui, j'ai mon cœur prêt à lâcher, on s'installe à une terrasse ou on parle de notre parcourt, de comment on est arrivé à Paris, elle devient moins triste, puis elle en vient à me parler de sa relation avec un jaloux qui finit par la quitter, elle me dit qu'elle n'a rien à se reprocher, pour quoi me mentirait elle.

Elle me débine le casse pied, elle ne pouvait pas faire ceci, pas faire cela, il était radin, tout en le débinant, elle raconte aussi le motif, au bout d'un moment, elle se rend compte qu'elle m'ennui peut être avec ses ennuis, je lui dis que non et que si ça la soulage, qu'elle n'hésite pas, je suis une oreille attentive et que sa compagnie est plus qu'agréable, je ne la drague pas, je réponds à ses questions, je vais dans son sens, mais sans fayotter non plus, le temps passe, elle regarde sa montre et me dit qu'elle a abusé, je dis pas du tout, mais c'est vrai qu'il était plus de minuit, je me lance en lui demandant si demain dimanche, je pourrais l'inviter dans un restaurant.

Le couperet tombe, elle me dit non, qu'elle ne sait pas si elle aura envie, ne voulant pas perdre la face, je lui donne ma carte ou il y a mon téléphone, elle la prends et la met dans son sac, nous nous séparons après nous avoir fait la bise, une fois éloigné, vexé, je me dis, quel idiot je fais, un type comme moi avec une fille comme elle, en rentrant, je me couche sans m'être lavé, j'ai les yeux brillant, j'ai son parfum sur les lèvres et les joues, je ne dors que 3 heures, j'alterne entre le canapé et mon bureau, j'essaie de m'occuper, mais je n'ai envie de rien, je pense à Marie, elle est encore plus belle qu'avant, à 11 heures, je suis encore en slip, même pas douché, je devais sortir, mais je n'en ai pas envie, je devais passer chez des copains dans l'après-midi, mais je n'irais pas non plus.

J'allume machinalement la télé, puis l'éteint après avoir zappé plusieurs chaines, je prends un livre puis au bout de deux lignes, je ne me souviens plus de ce que disait la première, à 11 heures 30 le téléphone sonne, je me dis, c'est un copain qui me demande si je viens toujours cet après-midi, j'allais laissé sonner, puis je me reprend en disant que les copains ne sont pas responsables de mes sauts d'humeur, je décroche et j'entends la voix de Marie qui me demande si mon invitation tient toujours.

Bien sûr que je lui dis, on se donne rendez-vous pour midi trente devant chez elle, sachant que j'ai plus d'une demi-heure de route, une fois le lieu de rendez-vous en bas de chez elle fixé, la douche, déo, costumes, je ne traine pas, je m'en tire quand même avec une minute de retard, je m'en excuse mais elle répond qu'elle n'avait qu'à donner sa réponse avant, elle était habillée sexy mais sobre, mais c'est le genre de fille que même avec un sac a patate, elle serait toujours belle.

J'avais voulu l'inviter à la tour d'argent, mais je n'ai pas voulu la gêner, étant seul, sans personne, que des filles de passage éphémère, j'avais des économies, on a finalement été dans un resto fruit de mer, j'avais retenu qu'elle aimait cela, Marie avait retrouvé le sourire, je jouissais de sa présence, c'était mon soleil, elle était détendu, nous avons passé l'après-midi ensemble, le soir nous sommes retourné dans un restaurant, nous nous sommes quitté vers les 22 heures, boulot demain avait-elle dit, je lui ai demandé si on se reverra, elle m'a donné son numéro et m'a remercié pour cette superbe journée.

Le soir, j'ai pris une douche, je n'ai pas plus dormi, mais dans la joie, le lendemain, boulot, je voulais appeler le lundi soir, mais je n'ai pas voulu être collant, j'ai peiné pour tenir jusqu'au jeudi soir 18 heures, je l'appelais du boulot, ou elle m'a dit qu'elle pensait que je l'avais oublié, j'ai répondu, que si cela n'avait tenu qu'a moi, je l'aurais appelé le dimanche soir en rentrant, elle me dit qu'elle a un coup de cafard, et me demande si j'accepterais une invitation à diner chez elle, qu'elle est désolé de me prévenir a la dernière minute, je lui répond que même la dernière seconde, ça me convenait.

Une chance que j'étais sur un projet non urgent et peu important, en 5 minutes, j'avais tout sauvegardé, 18 h 10 chez moi, 18h45 lavé, habillé, désodorisé, passage au fleuriste, comme j'avais 10 minutes d'avance, j'ai attendu dans ma voiture, ne voulant pas arrivé à un moment gênant pour elle, a l'heure qu'elle avait donné, je sonnais à sa porte d'immeuble quand elle m'ouvrit à l'étage, elle me reçut dans une robe de soirée qui me coupa le souffle, j'ai eu du mal à articuler un bonsoir, entre le décolleté et la fente de sa robe qui dévoilait sa jambe, mon boxer était soumis à rude épreuve, je lui ai dit qu'elle était plus que ravissante, que je ne trouvais pas de mot correct pour dire ma pensée, elle répondit, "c'est pour faire oublier mes talents de cuisinière", étant enclin à l'humour, je répondis que de la voir ainsi, elle me donnerait des cailloux à manger, je m'en rendrais même pas compte, si l'entrée allait, la viande en effet n'était pas "cuisiné", mais j'étais aux anges, invité par Marie et reçu dans une tenue qui martyrisait mes boutons de brayette
Je restais sérieux avec elle, j'étais sincère, je disais apprécier sa compagnie, qu'en effet ses talents de cuisinière n'était pas ce qui était le plus criard, mais que son sourire à lui seul, gommait tous les éventuels défauts qu'elle pouvait se trouver, elle me rendait la pareil, que j'étais aussi de bonne compagnie, qu'en ma présence, elle oubliait son "connard" pendant 2 mois, nous nous voyons le WE et le vendredi soir, des fois chez elle, des fois chez moi, plusieurs fois je lui ai dit que j'étais timide avec les personnes que j'apprécie, j'expliquais avoir peur de casser les choses que je désirais, en parlant sur d'autres sujets que ce qui la concerne, jusqu'au jour ou en repartant de chez elle, encouragé par nos conversations, je lui dis après la bise, qu'il faut être le pire des imbécile pour avoir laissé partir une femme comme elle, elle a rougit puis fermé la porte, je me suis traité d'idiot en descendant ses escaliers une fois rentré, j'allume la télé machinalement, et repense à la soirée, lorsque j'entends frapper, je me dis que j'ai soit laissé les clefs sur la porte, ou que ma télé dérange, pourtant elle n'est pas forte, quelle ne fut pas ma surprise quand je la vois sur mon paillasson, ne sachant quoi dire, elle me dit, "tu ne me fais pas rentrer", si bien sur dis-je, elle me regarde avec des yeux qui en disent long, mon cœur va exploser, rien de comparable avec les vides couilles de passage, nos lèvres se rejoignent, je peine à rester zen, j'ai envie d'elle, de la manger, de la boire.

Nos mains parcourent nos corps, nos langues tournoient, nos vêtements volent dans la pièce, nous faisons l'amour, ce que je découvrais était aussi beau que ce que je connaissais déjà, nous avons à peine dormi 2 heures, au petit matin, elle a dû rentrer pour se changer, ce qui était dommage car elle était à mi-chemin de sa boite, au bout d'une semaine, elle a fini par accepter d'amener quelques affaires pour ne pas avoir à rentrer, 3 mois après, elle emménageait chez moi, le mois suivant elle résiliait son bail, elle déménageait rapidement car un autre locataire était déjà trouvé, l'année suivante on se mariait, nous étions heureux, peut être moi plus qu'elle mais elle en donnait l'apparence.

Peut-être des fois des débuts de dispute, mais sans élever le ton, juste le temps de se mettre d'accord, faire des compromis, cela se réglait avant l'oreiller, elle avait une collègue de boulot Olga, que je ne trouvais pas sympathique, j'avais des copains qu'elle ne trouvait pas sympa non plus, alors on évitait de les amener à la maison plus de deux fois l'an.

Une bonne dizaine d'années passent, puis sans qu'au début je n'y prête attention, je découvre sur les draps, des numéros, pareil sur les taies et traversin, l'ayant vu laver et repasser plusieurs fois les draps, je ne comprenais pas, ayant été célibataire, je mettais à l'époque mes draps au pressing, je connaissais le principe et l'utilité de ces petits numéros, je mis ca sur le compte du rébarbatif des draps à repasser, et sa gêne à m'avouer qu'elle en avait marre de ces séances de repassage de draps, je lui avais fait remarquer quelques temps auparavant que l'odeur du linge était différent et elle m'avait dit qu'elle avait changé de lessive, même mes chemises n'avait pas la même odeur, j'avais vu qu'elle les repassait, ou plutôt j'avais vu qu'elle avait sorti la table à repasser un vendredi et qu'elle rangeait le tout avant qu'on passe à table quelque temps après, elle était revenue avec un bracelet au poignet que je n'avais jamais remarqué, voyant que je le regarde, elle me dit tu as vu ce que je me suis payée, il est beau dis-je, elle répond l'avoir racheté un prix dérisoire a Olga, la fameuse Olga, nous ne nous apprécions guère, la semaine suivante, un dimanche en se promenant, a un camelot, sur un marché au puce, elle achète une pacotille, un bijou en toc, du plastic doré, bien imité, qui ne sait pas que les femmes et les bijoux, sont indissociables, tout comme les fleurs, pour le bracelet, elle m'avait dit que sa collègue, avait rompue avec son copain, le bracelet étant un cadeau de lui, elle n'en voulait plus et lui a racheté, dans le même temps, un soir en milieu de semaine, un superbe bouquet de fleur était dans un vase, chose inhabituelle par rapport aux fois ou elle achetait des fleurs pendant presque 3 mois, c'était un bijou par semaine qu'elle s'achetait, je n'y connaissant rien, je reconnu que certains étaient vraiment réussi, une fois dans un bouquet de fleur, elle me dit, tient regarde, et elle sort une carte ou dessus il est écrit, "revient Olga, je t'aime", je lui dis qu'il tient à elle, il arrivait que je lui téléphone en semaine en journée et ces dernier temps, le vendredi après-midi, je ne réussissais jamais à l'avoir, je tombais sur sa collègue qui me disait qu'elle était soit en réunion soit chez l'expert-comptable.

Un vendredi, je quitte plus tôt, j'avais fini mon boulot et ne voulait pas en recommencer un autre pour le temps qu'il restait, à 17 heures je rentre à la maison et Marie n'y est pas, elle rentre 1 h plus tard en étant surprise de me voir déjà rentré, elle me dit que j'aurais dû l'appeler, qu'elle ne serait pas sortie, je lui dis "Olga ne te l'a pas dit, elle m'a dit que tu étais chez l'expert", elle répond qu'elle avait quittée avant qu'elle ne revienne, sur le moment, cela me paraissait plausible et n'y prêtait pas attention.

Nos rapports étaient normaux, elle toujours souriante, je trouvais même que sexuellement , après une période de baisse, elle avait repris le rythme, plus chaude et surtout le vendredi, bien sûr comme tout le monde, au début de notre relation, le sexe était constamment au menu, j'étais le plus heureux des hommes, me promener avec était glorifiant, tout le monde m'enviait, mes collègues quand elle venait me retrouver au boulot, lors d'un pot, mes voisins, mes cousins, enfin tout ceux qu'on croisait.

mon boulot m'accaparait moyennement, départ de la maison à 7 heures, retour pour 19 heures, j'avais une heure de route le matin et pareil le soir, a 5 ou 10 minutes prêt, Marie elle, avait un quart heure de voiture et comme elle pouvait ne prendre qu'une demi-heure pour manger le midi, elle rentrait de bonne heure, vers les 16 heures 30 au maximum. Elle avait même la possibilité de travailler plus les quatre premier jours et finir à midi le vendredi, quand nous partions en WE, je faisais la même chose, on évitait ainsi les gros bouchons de départ, soucieuse de sa ligne, elle ne mangeait que des crudités, un fruit et un yaourt, sur les conseils d'amies, elle c'était beaucoup améliorée en cuisine
nous nous entendions bien sexuellement, je n'avais pas des gouts routinier, nombre de fois où on a fait l'amour dans des endroits différents au risque de se faire surprendre, j'adorais et elle aussi, il arrivait même qu'on fasse cela dans la voiture avec un type qui nous regardait à l'extérieur, plusieurs fois on a même ouvert la vitre et le voyeur a pu la caresser intimement, pas les premières fois mais par la suite, elle masturbait même le type qui lui avait donné du plaisir avec ses doigts.
On a même été dans un club échangisme, pour voir, je faisais le fier mais de l'offrir à un autre me déplaisait, elle me rendit service en me disant que de me voir avec une autre, elle avait peur de me perdre, j'ai répondu, on est venu, on a vue, et on pense la même chose, on s'est cantonné à nos petites excitation soft avec les voyeurs et ça n'allait pas plus loin que leur doigts
et bien sûr malgré cela aussi, comme tout le monde, au fil des ans, la lassitude petit à petit s'installe sans qu'on s'en aperçoive, moins de sexe, moins de fougue, moins de geste attentionnés de part et d'autre, sauf par moment ou en apprenant qu'un collègue divorce ou tout autre mauvaise nouvelle de ce genre qui arrive à d'autres, on rentre à la maison avec un bouquet de fleurs pour dire à celle qu'on aime, qu'on a de la chance de s'aimer, j'avais arrêté les fleurs du fait que sa collègue Olga la fournissait déjà
apprenant qu'un couple de copain se sépare, pour des motifs que je ne trouve pas important, lui ne serait plus attentionné, elle, elle aurait perdu en libido, comme je leur dis, je ne suis pas dans votre couple, je ne prends aucun partis, ce qui fait qu'un jour, je prends mon après-midi pour aller acheter un bijou a l'être chérie qui partage ma vie, pour lui dire que même si je ne lui dis pas tous les jours "je t'aime", je l'aime malgré tout
je rentre à la maison, je prends ses bijoux pour montrer à la vendeuse le style que Marie préfère, en laissant un mot au cas ou si je rentre plus tard qu'elle et qu'elle découvre qu'il n'y sont plus, qu'elle n'aille pas porter plainte, je montre a la vendeuse les bijoux en toc, celle-ci m'annonce que ce n'est pas du toc, à part ceux achetés ensembles a un camelot, il y en a pour une petite fortune, je lui demande si elle en est sûr, elle demande à son patron qui vient contrôler et confirme, je suis sidéré, comment Marie ou même sa copine a pu se payer sans se priver ou se faire offrir 3 mois de salaire de bijoux en moins de 3 mois, mis à part ceux où j'étais présent lorsqu'elle les a acheté, les autres sont tous vrais,
je demande si je dois quelque chose, ils me disent non, je sors de la bijouterie comme un zombi sans même dire au revoir, je ne rentre pas tout de suite, Marie n'est pas une voleuse, elle travaille, elle a sa paye, aucun de nous ne tient les comptes, il y a moins d'un an, on parlait d'acheter une maison, n'étant pas à ma conduite, je m'arrête à l'ile st louis, je prends une glace comme je fais quand je venais ici avec Marie, d'ailleurs, me dis que cela fait plus de 6 mois qu'on n'y vient plus
après avoir acheté ma glace, plus pour justifier ma présence dans le coin que par envie, je vais au parc a cote de notre dame et m'assoie, je regarde les femmes qui passent, les couples qui passent aussi, je repense à Marie, nous venions souvent ici, une femme seule se promène, elle flâne, je la trouve jolie, avec de la classe du charme, pas autant que Marie mais très jolie quand même, elle me sourit, je réponds a son sourire par politesse, elle me fixe et me dit, "vous ne me reconnaissez pas"
je dis pardon, je la regarde mieux et en effet je reconnais Lucette, je m'excuse de ma froideur première, elle s'assoie, on discute, je lui propose de s'installer à une terrasse, on retourne à l'ile st louis, on poursuit notre discussion, elle me dit qu'elle a été mariée et divorcée depuis un an, je lui dis que je suis marié aussi, j'hésitais de lui dire avec qui quand elle me coupe en disant, "tient, c'est vraiment marrant le hasard, figure toi que depuis plus d'un mois, ici dans la rue là devant, je marchais et devant moi plus loin devant, je vois arriver un couple, tu ne devineras jamais qui est la femme, j'énonce plusieurs nom, sauf Marie bien sûr, elle dit non à chaque fois, finissant par dire, mais tu n'as pas de mémoire, tous les garçons lui tournaient autour, c'était la reine, je dis désolé, je ne vois vraiment pas, et là elle me dit "Marie, tu n'as pas pu l'oublier quand même", étonné, je ne réponds pas de suite, je lui demande, tu es certaine, ce n'est pas possible, si dit-elle, la première fois, elle était à 50 mètres devant moi et venait dans ma direction, je lui dis, que c'est quelqu'un qui devait y ressembler, mais elle dit "je l'ai cru aussi, mais arrivé à 10 mètres de moi, je l'ai très bien reconnue, même si elle non, elle rigolait avec son mari surement et ils sont rentrés dans un immeuble, elle ne m'a même pas vue et comme je ne savais pas si elle n'avait pas voulu me voir ou alors si elle ne m'avait vraiment pas reconnue, je n'y suis jamais aller la voir
je lui dis à nouveau qu'elle a du se tromper, mais affirmative, elle me dit que non, elle dit avoir reconnue son rire, qu'elle était habillée en robe claire avec des virgules noire en motif, elle tenait son mari par le bras, je viens souvent le vendredi après-midi quand il fait beau, ils doivent habiter la car des fois il ou elle est seule, plusieurs fois je l'ai vu taper le code de la porte de mémoire, lui c'est pareil.
si je n'étais pas passé par le bijoutier, j'aurais été étonné, mais là, j'ai pâlit, elle m'en fait la remarque que je camoufle en relatant un couple d'amis qui se séparé, je vide mon verre, je ne tiens plus en place, je justifie que j'ai les jambes ankylosées et lui demande si elle veut marcher, mon intention est qu'elle me montre l'endroit, je lui demande sous couvert en disant "c'est incroyable, toute l'école est arrivé par ici alors", elle répond "on dirait, tient, c'est là qu'ils sont rentrés", je note le numéro dans ma tête en continuant à marcher comme si je n'étais pas intéressé
Plus loin, elle me dit au fait, je parle mais toi, tu es marié, je dis oui et ment par omission sur la personne, disant que je l'ai rencontré à paris, je ne m'étends pas sur moi et après plusieurs sujets, elle revient sur Marie en disant que le type doit être friqué pour habiter ici, en rajoutant le pauvre, comment cela dis-je, elle répond, tu verrais comment elle est belle et lui quelconque
on continu a parler, elle me dit qu'on devrait se revoir et que si elle l'a revoit, on essayera de se retrouver au resto, je lui dis non, je ne l'appréciais pas beaucoup, je suis tellement mal que même en savourant la compagnie de Lucette, je lui dis au revoir, n'arrivant plus à me contenir, je prétexte que ma femme va rentrer et que ce soir on sort, elle me dit qu'elle est dans l'annuaire a son nom de jeune fille, je t'appellerais que je lui dis et me sauve comme un voleur sans même l'embrasser
en rentrant, Marie n'est pas là, il est à peine 18 heures, je replace les bijoux, elle rentre 10 minutes après, je fais triste mine et lui apprend que mes amis qu'elle connait se sépare, cela me touche certes, mais je ne pense plus du tout à eux, je suis abasourdi par ce que j'ai appris aujourd'hui, je ne lui pose même pas de questions embarrassantes sur l'heure qu'elle arrive, quand elle va à la douche, je fouille l'armoire et je vois sa robe a virgule, sans le plastic du pressing, preuve qu'elle l'a mise récemment
ce soir-là, contrairement aux autres soirs, je mange comme elle, un fruit et yaourt, disant que j'ai mangé avec mon chef le midi, ensuite, nous ne faisons pas l'amour, je prétexte mes amis qui se séparent, cela la contrarie, elle me câline, j'ai envie de la repousser mais je prends sur moi, j'oublie le bisous avant de dormir, elle me le rappelle, je lui fais, je passe une nuit blanche agité, cela la réveille, elle me demande si je dors mais je ne réponds pas, au matin au réveil, elle se blottie sur moi, me touche le sexe, mais je ne bande pas, elle me dit de ne pas prendre à cœur à ce point ce qui arrive au amis, que ce n'est pas les premiers ni les derniers, je me lève en disant, oui tu as raison, elle est étonné que je me lève d'un coups, je ne déjeune pas, rien ne passe, quand arrive le midi, j'ai du mal à finir mes crudités et je n'en ai pas pris beaucoup, elle s'inquiète, je suis obligé de mentir en disant qu'hier midi, j'avais eu des douleurs au ventre après déjeuner
afin qu'elle me laisse tranquille, je lui dis que ça va passer, quand elle évolue devant moi, rien ne laisse supposer qu'elle me trahit, Lucette n'est pourtant pas le genre à raconter des histoires, c'est une brave fille sans méchanceté gratuite, elle est devenu belle et désirable, je ne sais plus quoi penser, le dimanche se passe de la même manière, Marie s'inquiète de ma santé, je fais celui qui va aller au médecin dès le lundi, en fait je prends mon après-midi et je vais acheter du matériel, sous prétexte de poser une alarme, je pose un détecteur et compteur de présence, qui m'indiquera l'heure d'entrée, de sortie et du nombre de personnes rentrés chez nous, le soir je lui indique que je suis stressé d'après le médecin, de revenir si dans 15 jours cela ne va pas mieux ou avant si cela empire
Le mercredi soir, je suis obligé a des rapports avec Marie, cela me coute et je suis bien paitre amant tellement le cœur n'y est pas, je suis à la limite de pouvoir la pénétrer, et niveau préliminaire, c'est plus que nul alors que je devrais tout faire pour rivaliser avec l'amant, mais on ne se commande pas à ce niveau
les jours suivants, aucune anomalie sur son emploi du temps, le vendredi par contre, elle ne rentre pas avant 18 h, alors qu'elle devrait manger à la maison, j'avais téléphoné à son travail ou j'ai eu sa collègue qui me sort la même rengaine du vendredi après-midi, je continue à jouer au cocu qui ne se doute de rien, n'ayant pas pu avoir mon après-midi, je rentre peu avant 19 heures, tout est prêt, je n'ai aucun moyen de me plaindre, mais je bout en moi même
le samedi, elle fait le marché sans moi, a son retour, elle me voit avec ses bijoux, ceux dans sa boite, pas ceux qu'elle porte, étonnée, je lui dis, ma chérie, je n'en peux plus, depuis quelques jours, je suis devenu un triste individu, et je ne veux pas que ma femme se montre avec des saloperies en plastic sur elle, dans la boite, il ne reste que ceux qu'elle avait quant on s'est connus, elle me demande ce que j'ai fait des autres, disant que je les ai donné à un clodo qui passait, et que j'avais les moyens d'offrir à ma femme des bijoux de valeur
elle allait pour m'engueuler mais c'est retenue, elle bouillait à son tour en disant je les aimais bien quand même, je me moque si c'est du plastic doré, que j'aurais pu lui en parler avant, elle tourne en rond de rage intérieur, elle se mord les lèvres, les doigts, je lui dis de ne pas se mettre dans cet état-là, si elle préfère le plastic, demain on ira en racheter d'autre, elle me dit non, tant pis et va dans la salle de bain, je la suis à son insu et je l'entend qui pleure, je lui dis "tu pleures, pour de la quincaille", elle dit non mais en voulant entrer, la porte est ferme, je lui dis, tu as fermé la porte, tu ne le fais jamais, qu'est ce qui se passe, ouvre, elle ouvre et me dit que je l'ai émue (cocu doit rimer avec con),
je n'ai pas vraiment d'horaire et je suis bien avec mon chef, par politesse, pour justifier mon changement de comportement à venir, je lui dis que j'ai des soucis familiaux et demande à quitter à midi le vendredi, il me donne son accord, elle a perdu mon amour, maintenant pour moi elle est perdu a jamais, elle est devenu un vide couille dont je vais me servir et me venger, le vendredi suivant, elle a la mauvaise surprise de me voir à sa sortie de travail, je suis souriant, je prétexte une fin de travail, je la suis en voiture jusqu'à la maison, et ne la lâche pas du WE, le jeudi suivant, je lui dis que demain après-midi, j'ai une réunion qui risque de me faire rentrer tard, le vendredi, je la suis mais je la perd dans les embouteillages, sachant ou elle doit être, je surveille la porte de cet immeuble de loin, à 17h45 je la vois sortir seule, quand elle est rentrée à 18 h, j'attends a la voiture et rentre après elle pour ne pas la rendre méfiante,
le vendredi suivant, prétextant des courses à faire le vendredi, je demande à un copain peu apprécié d'elle, si je peux lui emprunter son scooter pour rouler dans paris, s'en servant très peu, il accepte, à 11 h je suis sur le scooter et à midi à son travail, je la suis de loin, je la vois regarder alentour, surement voir si je ne suis pas là, je la suis et la vois prendre le chemin inverse celui qui mène là ou m'avait dit Lucette, j'ai une boule à l'estomac, j'attends 10 mn un peu plus loin, puis lassé, je prends place dans un bistrot, je prends une pression que je règle aussitôt au cas où je devrais sortir en vitesse, l'attente est interminable, elle ressort au bout d'une demi-heure au bras d'un type, ils s'installent a une table, pas en terrasse mais à l'intérieur, afin de ne pas trop s'afficher non plus, elle est de dos, lui me fait face et a force de le fixer avec haine, je reconnais l'individu qui comme moi a vieilli, je le fixe plus intensément pour m'assurer que c'est bien lui en faisant celui qui regarde ailleurs, je n'ai qu'une envie, d'aller me ridiculiser a lui casser la figure, nous sommes du même gabarit, l'issue est incertaine et une vexation de plus n'est pas souhaitable, même si c'est moi qui aurait le dessus, ça sera lui le gagnant, il m'a pris ma femme
je me dis qu'ils en ont bien pour 30 minutes minimum, je retourne à leur immeuble, le digicode m'arrête, mais moins de 5 mn plus tard la porte s'ouvre, je fais celui qui allait rentrer et passe, je lis tous les noms, sauf une boite ou il n'y en a pas, je regarde l'étage, je vais frapper, un voisin de palier ouvre et me demande qui je cherche, je fais celui qui ne retrouve plus son papier, avec le casque, il me prend pour un coursiers, je demande donc monsieur, monsieur, ha comment déjà, le voisin me dit le nom, je fais celui qui réfléchis et il me donne une nouvel fois son nom et prénom, Lucien, me souvenant d'un nom vu au RDC, je dis non, c'est pas ça, c'est Mr Machin serge, il me dit, alors c'est en bas à droite, ha merci dis-je et je redescend, lui, il rentre chez lui, je n'ai pas voulu que ce voisin dise qu'il avait eu de la visite, vu la position de l'escalier, et de la rue, il s'agit d'un studio, une garçonnière
je retourne au resto, leur liaison ne fait plus aucun doute, le temps que cela dure, je ressasse tous les petits détails insignifiant comme les draps, le bracelet, j'ai le nom de mon rivale et aussi le temps que cela dure ainsi que son adresse, après déjeuner, ils reviennent vers 15 h et ne sortent que vers 16 h 30, ils marchent sur les quais, je les suis, ils rentrent à nouveau et à 17h45 elle ressort et rentre à la maison, moi j'attends, je surveille la fenêtre, j'essaie de voir sa vie, la vie de ce gosse de riche qui l'est devenu par héritage, privilèges et pistons, un célibataire frisque ne cuisine pas en principe, il mange au resto, mon attente est récompensé, 3/4 d'heure après, il sort, je le suis en Scot, avec la circulation, je n'ai aucun mal, en fait, il habite l'ouest parisien, en banlieue proche, dans son jardin, je vois des vélos enfant, une balançoire, tout indique que des enfants habite la, on est trop jeune pour avoir des petits enfants, je me dis qu'il est inutile de rester ici, on pourrait me remarquer, j'aviserais lundi
je rends le Scot au copain et lui demande s'il peut me le répéter pour lundi matin, cela ne le pénalisant pas trop, il me dit ok, en rentrant, Marie s'inquiétait, je lui répond, je suis rentré depuis 17 h 45 et comme tu n'étais pas là, je suis reparti, ne voulant pas que je lui pose des questions, elle ne m'en pose pas non plus, quand Marie est à la douche, je téléphone a Lucette, je m'excuse pour la dernière fois, je n'étais plus moi-même, je lui demande si nous pouvons nous revoir en tant qu'ancien de l'école , elle dit bien sûr et j'en profite pour lui demander si un resto la tente, elle accepte également.
le soir, je mange, j'évite de faire la tête, on parle de tout et de rien, je ne l'aime plus mais j'attends quand même qu'elle me dise qu'elle a fait une bêtise, quoi que cela n'aurait rien changé, j'aurais surement pardonné une bêtise sous effet d'alcool dénoncé aussitôt ou au pire sans répétition, mais là, l'affront était de taille, mon rivale me connaissait, du moins m'avait connu, il y a eu plein de récidives, et elle m'a pris pour le roi des cons, ma haine était telle que si l'on venait m'annoncer qu'elle s’est faite reverser par un camion, je n'aurais pas eu plus de peine, alors qu'il y a moins d'un mois, j'aurais donné ma vie pour elle. Comme quoi on peut haïr autant qu'on a aimé, afin de détourner son attention, je parle de mon boulot, je mens d'une manière qui me fait honte, le soir, au lit, je la baise égoïstement, pour lui montrer que lors de mes sorties, je ne la trompe pas
a la banque, nous avons gardé chacun notre compte, le matin, j'ai pris les 2 ou 3 mille francs de liquide que l'on avait en espèce chez nous, j'emporte ma carte bleue, mes chéquiers, je change le mot de passe de mon ordi, je m'habille pour l'accompagner au marché, une fois sur place, on va chacun a un commerçant pour gagner du temps, et en revenant vers elle je lui dis de donner ses achats, que je les met chez nous parce que je dois allez voir un client que je viens de croiser pour un projet, je ne lui laisse pas le temps de répondre je suis déjà parti
je passe voir quelques copains pour passer le temps avant midi, refusant l'apéro, malgré le mal qu'elle m'a fait, j'ai honte de mon comportement, comment peut-elle dire qu'elle m'aime en m'ayant fait souffrir autant, je fais un billard chez un copain, mais je ne suis pas avec eux, j'ai dans ma tête, la trahison de Marie, et en miroir, celle que je vais rejoindre, la femme qui a déjà subi une séparation, je quitte mes amis en leur disant que si ma femme me demande, vous ne m'avez pas vu, et je m'en vais rejoindre Lucette, ma boule dans le ventre s'atténue rien qu'à cette pensée.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Vengeance heureuse d'un cocu

Le 27/01/2023 - 16:00 par Balista
Le début est un peu pénible et fastidieux. Je sais qu'il faut poser la situation, mais on ne voit pas à quoi cela va aboutir. Je me demande si de délayer cette introduction dans le texte n'apporterait pas un plus. Une fois passée cette étape, le récit est assez captivant.
Le 15/05/2015 - 10:38 par Pierre le Grand
Annie Bien pour l'aération de ton deuxième récit; n'hésite pas à faire des paragraphes plus courts encore, plus espacés . Je suis sur qu'en présentant au Webmaster une version aérée du premier récit il ferait l'échange Amicalement Pierre
Le 09/05/2015 - 20:08 par annizette
réponse a Pierre le Grand, en effet, les espaces qu'il y avait sur WORD, ne se sont pas retrouvés dans mon 1er texte ici, j'ai donc doublé l'espace depuis, j'espère qu'ils se verront sur le 2, pour la suite, je vais voir a plus morceler ce récit, merci de votre compliment. Annie
Le 09/05/2015 - 19:21 par Pierre le Grand
Merci d'apporter de la nouveauté avec ce début d'histoire mais un conseil divise ton texte en de nombreux et courts paragraphes bien espacés, ce sera plus facile à lire. Amicalement. Pierre
Le 05/05/2015 - 11:19 par annizette
ce récit comporte 10 pages sur Word, actuellement,j'en suis a plus de 150 pages, et Henri me raconte encore sa période malheureuse, cette histoire est vraie, donc pas forcement au gout érotique ou porno de chacun, il y aura des passages érotiques, des passages porno, ceux ci seront énoncés car sortant de l'ordinaire de ce que fait un couple qui fait l'amour, je m'excuse des fautes et de la présentation, a ceux qui liront, je pense qu'ils seront intéressés par l'histoire peu banale vécu par Henri et sa femme, moi j'apparait également par moment (si je pouvais trouver quelqu'un de bon en orthographe et présentation de texte, afin qu'il me corrige, je ne refuserais pas)

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