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Vengeance heureuse d'un cocu 3

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Lue : 2415 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 27/05/2015

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Je prends congé et me rends directement au boulot où j'appelle Marie pour lui dire que je dois rester travailler, elle me dit, "ho non, on ne se voit plus", je rejoue la carte du contaminé qui attend le verdict, a 21 heures, mon téléphone du boulot sonne, je décroche immédiatement, c'est Marie, elle me donne l'impression de pleurer, me demandant quand est-ce que je rentre, je lui dis que j'en ai encore plus de 3 heures pour finir

Une heure plus tard, elle débarque dans mon bureau, elle a de la chance, il se trouve que le gardien a l'entrée la connaît, ou plutôt nous connaît, sur les 3 gardiens, elle ne connaît que celui-là et c'est justement ce soir qu'il est de garde et qu'elle vient, elle a dit au gardien que j'ai interrogé avant de partir, elle avait dit vouloir me faire une surprise, elle m'attend, refuse de repartir sans moi, je la laisse poireauter pendant que je travaille, elle s'endort au bout de 30 minutes, je la réveille vers 1 heure puis nous partons

Pendant qu'on roule vers la maison, je m'interroge, elle me téléphone pour voir si je suis vraiment au boulot, elle vient contrôler si j'y suis, tout cela m'échappe, je ne la comprends pas, elle a un comportement de matcho, le genre qui s'octroie le droit de baiser toutes les femmes en disant que ce n'est pas grave et qui ne veut pas que sa femme en fasse le dixième

Une fois rentrée et couchée, elle me serre fort dans ses bras, augmentant mon incompréhension, en moi-même je me dis, pourvu qu'elle n'ait pas rompue avec Lucien, sinon tout mon plan tombe a l'eau, je la serre aussi contre moi, j'ai une érection que je ne contrôle pas, elle s'en aperçoit et veut me soulager avec ses mains, je refuse en disant que ça me fait trop honte de prendre seul du plaisir alors qu'elle, non

Je suis malgré tout en manque sexuel, et elle a tôt fait de me mettre a sa merci, elle allume la lumière, prend un gode, je suis sur le dos, elle se met a genoux entre mes jambes, elle se masturbe, je suis excité malgré moi, je veux me soulager, mais elle me repousse ma main en disant, non, laisse moi faire, on va jouir ensemble, elle arrive a l'orgasme, et quand c'est le moment, elle me dit, va, y lâche tout, nous avons joui ensemble, j'ai inondé les draps, on a été obligé de les changer, elle s'est endormie dans mes bras ensuite

La nuit, pendant qu'elle dormait, en y repensant, je n'y comprenais plus rien, s'il n'y avait pas eu les détails que j'ai vu de mes yeux, la seule explication que je trouvais, c'est qu'elle a eu une sœur jumelle et que c'est elle que j'ai vue avec Lucien, j'étais prêt a ne pas croire Lucette, prêt a penser qu'elle a une sœur jumelle, mais ses absences de la maison, les bijoux, le coup de téléphone a Lucien, tout cela l'accablait

Le lendemain matin, je téléphone à Helene, a la troisième sonnerie, la déception m'arrive, mais a la quatrième, elle répond, je dis, "salut Mr machin, j'appelle pour savoir si notre rendez vous tient toujours", un silence et puis " venez", je réponds le temps de préparer mes documents et j'arrive, je bidouille le téléphone, efface les appel, puis téléphone encore 2 fois mais en faisant croire que c'était occupé, comme cela il y a deux numéros de téléphone sur la mémoire, mais pas celui d'Helene, si elle recompose, elle tombera sur une société avec des hommes comme interlocuteur

Je file ensuite chez Helene, je fais un tour dans la rue, voir si la voiture de Lucien n'y est pas, je me gare dans une rue plus loin, je sonne, elle me fait signe de venir et de fermer le verrou, puis ferme la porte aussi, en laissant la clef dedans, elle a les yeux brillants, on s'embrasse, elle s'est habillée plus classe, plus sexy

Je lui demande si ça va, elle me dit, ton idée de deuil était bonne, je lui dis, tutoyons nous, car des fois on se dit tu, et d'autre fois, vous, Lucien n'a pas insisté sexuellement, je lui fais remarqué qu'elle est élégante et désirable, elle me dit, j'ai cessée d'être fidele, elle me regarde, je m'approche, et je vois de suite ce qu'elle attend de moi

Je l'embrasse fougueusement, elle répond pareillement, on arrête et elle me dit, j'ai réfléchis, beaucoup réfléchis, et j'en ai encore plus envie qu'hier, vengeons-nous dans le plaisir, je ne suis pas très scène de ménage, je lui dis que si je suis honnête dans la vie de tous les jours, sexuellement, je suis un vicieux, elle fait "hummmm"

Je l'embrasse a nouveau, puis la pousse sur son canapé, je la parcours, je la déshabille, je passe ma main sous sa robe, écarte son string et lui mets 2 doigts dans le vagin après avoir agacé son clito, elle gémit, je lui dis en la doigtant, "veux-tu te donner a moi, être ma salope", elle dit " oui, je suis ta putain aujourd'hui, abuse autant que tu veux, venge-toi sur moi" elle jouit aussitôt

Cela me fait drôle, cela n'arrivait plus avec marie, d'atteindre l'orgasme aussi vite, pendant qu'elle jouit, je l'embrasse, nos langues s'enroulent à nouveau, je suis bien, je ne sens plus au fond d'un trou avec Lucien sur une estrade qui me regarde en souriant, je suis devenu son égal

Après ce premier orgasme, en l'embrassant partout, je descends sur sa chatte, je la bois, la suce, ses soubresauts m'indiquent l'effet que je lui fais, l'état d'excitation dans laquelle elle est, il est tellement plus facile d'être un amant qu'un mari, mon sexe me fait mal tellement je bande, je me dis qu'heureusement, j'ai éjaculé hier soir, sinon j'aurais déjà tout lâché

Pour l'heure, mon but n'est pas de jouir, mais de faire jouir, montrer à cette femme, cette belle femme, que le cocu vaut son mari qui se trouve être l'amant de ma femme, il y a un combat que je suis seul a connaitre, pour moi pas question de perdre, c'est presque une question de vie ou de mort, je suis entre ses cuisses, mes mains par en dessous et nos doigts sont enchevêtrés, elle veut se dégager pour m'arrêter tellement son plaisir est insoutenable

Mais je la tiens fermement, son bassin se lève, ses cuisses me serrent plus fort, je suis prés à étouffer, mais qu'importe, le but est tout prés, je le sens, elle souffle également, elle souffre presque, alternant les nons et les oui, puis se tait, un silence le bassin relevé, et elle pousse un grand " haaaaa, je jouis, je jouis" elle flatte sans le savoir mon orgueil d'homme, pendant qu'elle hurle, je continue de la boire, son orgasme dure, elle recommence a onduler du bassin

Reprenant mon souffle et elle ses esprits, je retourne l'embrasser, on se repose, puis quand elle peut enfin reparler, elle me dit "vient", et je la suis dans la chambre, la chambre de leur couple, nous n'aurons pas copulé autant qu'eux, mais nous aurons au moins été plus loin dans l'acte sacrilège, elle me dit, donne-moi-en encore deux et tu l'auras supplanté

Lucien ne lui en donnait jamais plus de 2 ou 3 orgasmes a chaque rapport, sauf dans les débuts, quand je pense que moi, je ne lui en donnais jamais moins de 3, sauf les baises furtives dans les endroits où l'on ne devait pas trainer, ou alors les fois où j'étais trop excité et ou cela partait trop vite, mais on remettait cela dans la journée, je me rattrapais

Tout en se reposant, j'alternais entre embrasser ses lèvres, son corps, ses cuisses, je la fais allonger sur le ventre, continuant a l'embrasser, je sens qu'elle m'attendait, son corps était parfumé légèrement, elle sentait le gel douche, mais mélanger a un parfum de corps, cela me rappelle que marie avait eu celui la comme cadeau a noël, me disant que c'est Olga qui lui a offert, alors que les autres années, je n'ai jamais eu vent de cadeaux entre elles

Le puzzle se rassemble davantage, Olga, c'est l'excuse, elle est dans la combine, elle l'a couvre, il n'y a plus aucun doute la dessus, le bijou, c'est Olga, les fleurs, c'est Olga, le parfum, c'est Olga, un doute m e vient, mais pour l'heure, le spectacle devant moi est plus intéressant qu'Olga, Helene sur le ventre, jambes écartées, je descends et j'entreprend l'anus, timidement, car je ne la connais pas encore bien, la réceptivité a mes caresses me rassure et elle frémit de plus belle lorsque ma langue entre en contact avec sa rondelle

J'écarte ses deux lobes pour dégager son petit trou, afin d'aller plus loin, ma langue lèche le tour, tente de s'insinuer, elle tend sa croupe à la caresse buccale, je la sens écarter les jambes au maximum, elle s'offre a moi, sans pudeur, j'alterne entre son anus et son clito, elle a fini par se mettre en levrette, je passe mes mains par en dessous pour l'agripper, afin qu'elle ne s'échappe pas de la caresse, au bout d'un moment, ne tenant plus elle me supplie de la baiser



à plusieurs reprises, elle me dit baise moi, je continue encore un peu puis dans la même position, en levrette, je la pénètre, je lui demande en même temps, si elle prend un contraceptif, elle me dit oui, je l'informe que je vais jouir en elle, elle me demande si ce n'est pas risqué, je lui dis que marie à passer un test, elle est ok, comme je ne l'ai jamais trompé, je suis clean aussi, son mari surement, sauf s'ils mettent des capotes

Mais en ce cas, s'il est porteur, elle l'est aussi, mais je la rassure en disant que je ne pense pas, tout en discutant, le plaisir l'emporte, elle jouit une nouvelle fois, je peine à ne pas jouir aussi, malgré qu'elle me le demande, je tiens bon, quand son orgasme est passé, je la mets sur le dos, je lui refais un cunni

Elle recommence à onduler, je me couche sur elle, je la baise, je lui dis, que je ne tiendrais plus longtemps, avec ses yeux, elle me fais savoir de me laissé aller, je la pilonne, je me retiens, elle me dit, attend encore un peu, je la bourre, elle donne du bassin, "attend, attend, là ça vient, attend, bientôt, oui plus fort, oui là, oui ,oui, je vais venir, haaaa ouiiiiiiii"a ce moment je double d'effort, je la bourre violemment et joui a mon tour en criant comme elle, nous crions dans la maison, nous fêtons la naissance d'un cocu en sa demeure

une fois le plaisir passé, mon venin craché, j'ai un sentiment de honte vis a vis de Lucette, mais j'ai ma conscience pour moi, pour le moment, je n'ai rien promis, comme j'avais dis, passé le temps de la peine, de la haine, l'heure de la vengeance a sonné, si dieu pardonne, moi non, j'aurais pardonné ce qui pouvait l'être, mais pas l'impardonnable, trop facile d'humilier et d'être pardonné, parce qu'on dit le regretter, puis recommencer a nouveau et ainsi de suite, je saurais le faire aussi, le pardon n'est plus de mise, seule la vengeance m'anime ainsi que le plaisir avec Helene, mon plaisir est triple, j'ai le plaisir de son corps, le plaisir de la venger et celui de me venger

Nous sommes cote a cote, main dans la main, nous reprenons des forces, la tête sur le côté pour nous regarder, on ne dit rien, on reprend notre souffle, une fois cela fait, on s'enlace, s'embrasse, se caresse, elle me dit qu'elle avait oublié combien c'était bon quand c'est fait avec passion, disant qu'avec Lucien, il y a longtemps qu'ils ne faisaient cela que pour l'hygiène

Nous sommes devenus plus intimes, elle me raconte leur vie sexuelle, Lucien était beau parleur, il était riche, attentionné, il y a toujours été d'ailleurs, moins qu'au début bien sûr, mais il n'y avait pas un mois ou il ne me ramenait pas un bouquet de fleurs, je réponds, oui, c'est vrai, quand on a quelque chose à se faire pardonner, c'est le minimum

Je raconte que j'ai aussi des torts, que j'ai laissé la routine s'installer, j'ai manqué de vigilance, d'endurance, je raconte aussi nos frasques avec des voyeurs pour pimenter nos envies, je lui dis qu'elle a bien vu que je n'étais pas jaloux, si elle avait envie d'autres hommes, je ne l'en aurais peut-être pas empêché, j'aurais été complice et non cocu

Ce qui me rebute, ce n'est pas le plaisir qu'un autre lui donne, mais que cet autre se dise, "pauvre type, il n'est même pas capable de satisfaire sa femme", j'ai suffisamment de copains célibataires qui disent sans arrêt en parlant du cocu "le pauvre, il est impuissant, il baise mal, elle ne jouit pas avec lui, il en a une toute petite, il bande mou, il la baise qu'une fois par mois", quand j'entendais cela, j'étais content de ne pas faire partie de ces sous-individus, de ces handicapés, de ces incapables

Quand j'ai appris cela, j'ai pris tous ces qualificatifs dans la figure, j'étais devenu un sous-homme, la femme que j'entretenais, c'était un autre qui lui donnait du plaisir, plaisir dont apparemment, j'étais incapable de lui prodiguer, j'avoue que j'ai même pensé au suicide tellement j'avais honte, la colère, la haine, et l'esprit de vengeance m'ont soutenu

Je pensais qu'un couple qui s'aime, c'était deux personnes soudées, que l'un était l'esclave du bien-être de l'autre et devait tout faire pour le rendre le plus heureux possible, du genre ou si marie avait commis un délit et qu'elle doive faire 6 mois de prison, j'aurais demandé de lui en faire la moitié

Partager le bon comme le mauvais en faisant tout pour qu'il n'y ait que du bon, au lieu de cela, le bon est pour un autre, il me restait le mauvais, l'humiliation, le boulot, les factures, l'entretien de la maison, des voitures, les problèmes de voisinage a régler quand il y en avait, les soucis de la vie

je ne pense pas que si je disais a Marie, "tient, je garde ma paie pour moi, toi tu paie tout le reste, et mon plaisir, une fois par semaine, j'irais le prendre avec une autre, je lui offrirais des fleurs, des bijoux", les voisins font du bruit, alors "monte leur dire", la réparation de la voiture ne va pas, "va régler cela avec le garagiste"

Je demande à Helene ce qu'elle compte faire, afin que dans mon plan, je ne la pénalise pas, ils sont mariés sous le régime de la communauté, les parents a Lucien ne voulaient pas, mais elle lui a dit que si on ne se faisait pas confiance, autant ne pas se marier

Lucien voulait des enfants et il a finalement accepté, je n'ai jamais trahi sa confiance, a part aujourd'hui, mais c'est lui qui l'a cherché, elle me demande ce que je ferais a sa place, je lui dis, si tu veux, j'ai une très bonne amie, une personne de confiance, voyant qu'elle pense que je, ou ai couché avec


Je lui réponds, la dessus, hélas échec total, tous ceux que je connais se sont cassé les dents, elle m'a été d'une grande aide depuis ces dernières semaines, elle est objective, ne prend pas parti, elle me conseille, me critique, critique marie, la défend quant il faut, elle ne prend pas de gants, mais au moins elle te dira les choses en se basant sur ses expériences, les siennes et celles d'autres comme nous

Beaucoup se confient a elle, elle sait garder dans la discrétion ce qu'on lui avoue, c'est une femme vraiment fidèle comme je pensais marie, ce que je t'ai dit hier, c'est elle qui me l'a suggéré quand je lui ai parlé de toi, en mettant une réserve, car elle ne connaît pas ton état d'esprit, elle te dira non pas ce que tu veux entendre, mais ce que tu devrais faire, avec les avantages, les inconvénients, les risques de faire ou ne pas faire, elle ne te poussera pas, elle t'indiquera les pièges a éviter

Helene est timide, elle n'ose pas, je lui vante les mérites de cette femme, de ses qualités, de la confiance, de sa pluralité, je sens Helene intéressée mais honteuse de ce qui lui arrive, je dis, on se lève, on se douche, on reprend des forces avant la deuxième mi-temps, et on l'appelle a deux

le mouton que j'étais devenu, perd sa laine au profit d'une crinière, la loque de ces dernières semaines redevient un homme, je vie à nouveau, une femme m'a détruit, deux autres femmes me reconstruisent, Lucette et Helene, il en est des femmes comme des hommes, des êtres de valeurs comme des salauds ou salopes, quand les deux ne se ressembles pas, ça casse, ça coince, ca se détruit

Une fois rhabillés, je téléphone à cette femme, Annie, de son vrai prénom, celle-ci connaît déjà mon histoire et m'a proposé de parler a Helene, c'est elle qui m'a dit, venge-toi de lui, tire a boulet rouge sur la cause de ta douleur, mais ne fait pas de dommage collatéraux, baise la femme si elle le veux, mais ne le dit pas au mari, ni le lui fait savoir sans son accord, au téléphone Annie me donne rendez-vous dans un restaurant où elle est connue et ou elle demande une table discrète

Zappant la partie ou Henri parle d'Annie en terme trop élogieux sur son physique, car vous l'aurez comprit, ici, je parle au nom d'Henri, je suis sa confidente du moment comme d'avant

(je redeviens Henri), Helene demande a nouveau a sa mère d'aller chercher les enfants a l'école, nous rejoignons Annie a ce restaurant, on s'installent a la table qu'elle a retenue, elle arrive peu après, Helene complimente Annie qui lui rend la pareille, les deux femmes s'embrassent, Helene s'excuse du dérangement, Annie lui dit que sa récompense est le sourire d'Henri

On commande à la carte, avec Helene, on a retrouvé l'appétit, la thérapie d'Annie fonctionne, nous sommes des cocus heureux, le poids du cocufiage est sur le dos de nos époux respectifs, nous n'en supportons pas que la honte ni le désavantage, après discussions entre les deux femmes que je laisse parler, n' intervenant que pour renseigner ou confirmer

Je suis heureux, je ne me sens plus que cocu, je savoure l'instant présent, je suis a table avec deux superbes créatures, par moment, je tiens la main d'Helene qui me la serre aussi, si ceux qui me savent cocu me voyaient maintenant, ils m'envieraient, me verraient d'un autre œil

Si Olga rentrait dans le restaurant, me voyait, elle se cacherait pour pouvoir faire un rapport détaillé, je demanderais aux femmes de faire comme si j'étais leur amant à toutes les deux en même temps, Annie accepterait, de cette façon, a la boite, tout le monde seraient au courant et quand j'irais chercher marie, toutes ses pouffiasses de collègues viendraient me tourner autour comme une charogne sur un cadavre

Tu parles, un mec comme lui avec deux bombes en même temps, ça doit être un ouragan au lit, avec un engin démentiel et un savoir-faire hors norme, un Rocco sifreddi, comme quoi une réputation ne tient qu'a une rumeur malveillante de mauvaises langues de concierges refoulées

Comme elle me l'avait déjà dit, Annie préconise le divorce au tort de Lucien, si elle l'aime et veut encore de lui, rien n'empêchera qu'il continue de vivre ensemble et de le virer sur le champ s'il n'a pas compris la leçon, ça lui permettra aussi d'avoir des amants si elle accepte ses incartades, il ne restera plus que le père de ses enfants et non son compagnon

Elle lui dit que ce genre d'homme n'aura aucun scrupule a partir avec une autre plus jeune quand les enfants auront grandi, qu'elle aura passé sa vie a se garder pour lui sans profiter de ce que lui-même profite, Helene a tous les renseignements pour prendre sa décision, après le repas, comme convenue avec Annie, je laisse seules les deux femmes, j'attends dans la voiture, Hélène a tenu a faire payer le nouveau cocu



Au bout d'une demi-heure, elles arrivent, Annie nous quitte pour retourner travailler, Hélène remercie Annie, les femmes s'embrassent, elles espèrent qu'elles se reverront (et elles se sont revues, seules, sans Henri, mais après leur divorce)

Je voulais proposer à Hélène ma chambre, mais je me suis dit que pour nos preuves, cela peut contrarier nos plans si marie se doute de quelque chose, nous retournons chez elle, a peine rentré, je lui saute dessus, je faisais pareil des fois avec Marie, elle me disait que j'étais un vicelard, mais me disais de continuer si je faisais celui qui arrête

Hélène me dit que Lucien, n'est pas très innovateur, plus réservé sur le sexe, a part quelques fois dans les débuts, sinon, il n'y a qu'au lit qu'ils faisaient cela, je lui dis, et bien moi, c'est sur le canapé que je vais te prendre salope, ho pardon dis-je, excuse moi, je m'en voulais, je suis tellement bien que j'agis comme d'habitude, Hélène me dit, non, au contraire, j'aime cela, je sais que ce n'est pas ce que tu pense une fois en dehors du contexte

Je lui dis que c'est certain, je lui avoue que marie adore être prise pour une trainée dans ses moments là, Hélène dit que Lucien ne lui a jamais dit ces mots, mais qu'elle aimerait être bousculée, il ne m'en fallait pas davantage pour laisser libre cours à ma vrai nature sexuelle, très respectueux envers les femmes dans la vie, et pervers et vicieux dans les ébats, le jekkyle et hyde du sexe

Attrapant Hélène par les cheveux (sans trop lui faire de mal), je lui mets sa tête devant mon sexe en lui disant "suce salope", nous sommes encore habillées, elle me suce, elle y met du cœur, quand je suis bien dur, je la retourne, je la mets debout, les mains sur le dossier du canapé, et je la prends en levrette, et la lime jusqu' a l'orgasme, et même après, avec des "tu la sens ma queue salope, tu l'aimes ma bite morue, prend ça sale pute"

Mes coups de butoir plus les mots la font partir dans un long plaisir, je la fais allonger sur le canapé, je retire mon pantalon et boxer, je la laisse habillée, on se met en 69, et nous entrons en compétition, a celui qui va réussir à faire jouir l'autre le premier, je triche, car au moment où nous étions presque à partir, je lui retire mon sexe de la bouche et je continue de lui titiller le bouton, je profite de ma force pour l'empêcher de me reprendre alors que moi, je la retiens

L'orgasme arrive, le plaisir suprême l'emport a nouveau, son plaisir est aussi le mien, il n'y a rien de plus beau au monde que la jouissance d'une femme, il n'y a que 3 vraies richesses au monde, la santé bien sûr, la jouissance de la femme que l'on aime et le sourire d'un enfant, tout le reste n'est que poudre aux yeux qui ne suffit qu'aux esprits étriqués

Sans lui laisser le temps de se remettre, je la déshabille, je la couvre de baisers, je lui agace les tetons, embrasse ses seins, reviens vers ses lèvres, de putain, je la remet femme le temps de la déguster, puis quand je sens qu'elle a pris le chemin du plaisir, je la refais putain, je la cambre à nouveau debout comme la première fois, je lui suce l'anus, j'accentue son excitation

Je repense a ce qu'elle avait dit "bousculer", je me relève, je la pénètre, la lime un peu puis je ressors ma verge et la présente a l'entrée de son anus, j'y vais doucement afin d'avoir son approbation, qu'elle ait le temps de comprendre mon intention et puisse l'accepter ou non, je ne veux pas non plus lui faire de mal, je la connais si peu, elle a compris ce que je voulais, elle me dit "va y doucement, ça fait longtemps "

En effet, le passage est très étroit, bien plus que marie, mais il est vrai que marie avait droit assez souvent à ce côté-là, je lui dis" vient", et l'entraine dans la chambre, je la fais mettre a genoux les fesses en l'air, la tête sur les draps et avec ses mains, sans que je le demande, elle écarte ses deux globes, je frotte son sexe pour le mouiller

je le frotte sur son anus pour le rendre plus glissant, je pousse lentement, je lui dis, si tu ne supporte pas, j'arrête, elle dit," non continu, mais doucement", la tête est rentré, Helene, soupire, souffle, je m'immobilise, c'est elle qui donne la vitesse, elle recule ses fesses, je rentre plus, en trois temps, je suis presque a fond en elle, je ne bouge toujours pas

Je savoure l'instant, elle se mord les mains, agrippe les draps, puis petit à petit, je sens des petits a coups venant de son anus, elle s'est habituée à la présence de ma verge de taille normale, (à ce qu'elle dira ensuite, Lucien l'aurait aussi longue, mais un peu plus épaisse, rajoutant, mais c'est tout ce qu'il a de plus, pour le reste zéro, c'est un beau camion sans le moteur)

Immobile, j'attends un signe, celui-ci ne tarde pas, je la sens qui commence a onduler lentement puis de plus en plus, pour finir à me demander de la défoncer, ses désirs étant des ordres, j'obtempère immédiatement, je la bourre en la traitant de salope, de putain, d'enculée, je lui claque les fesses a tour de rôle, elle lance des "ha, c'est bon, qu'est-ce que c'est bon"


Puis je la sens commencer à bientôt exploser, je lui dis, "dés que tu es prête, je te remplie le cul salope, "elle donne le signal, "oui, oui, voilà maintenant, oui remplie moi maintenant", nous crions notre plaisir ensemble sans aucune retenue



Nous tombons ensuite sur le lit, sur le ventre tous les deux, épuisés, heureux, repus, après quelques minutes, nous nous mettons sur le dos, se tenant la main, nous reprenons des forces, elle me regarde et dit, "elle s'est faite rouler dans la farine ta femme, même au début, Lucien n'était pas comme ça, il était plus performant que maintenant mais pas avec autant de fougue, plus pépère"

Voulant se blottir dans mes bras, elle me demande si elle peut, je l'accueille d'un baiser en lui disant "comme si tu avais besoin de demander, j'aime le sexe, mais j'aime câliner aussi", elle me dit que Lucien, après le sexe le soir, il s'endort aussitôt, je reconnais que moi aussi, j'ai cette tendance de dormir dix bonnes minutes, mais je me réveille et câline, pourtant, tu ne dors pas là dit elle, je dis "non, parce que nous ne sommes pas un vieux couple", dans la seconde, je me rends compte de ma bourde

Ca va, elle n'a pas entendu ou plutôt pas relevée, avec toi dis je, il y a le plaisir des yeux, le plaisir du sexe et celui de câliner, quand on câline comme cela, je sens qu'elle me cache sa tristesse de ce qui lui arrive et le bonheur que je lui donne en la consolant, bien sur tout le plaisir est pour moi, des types pour la consoler de cette façon ne manquerait pas

Cette femme est très sentimentale, je sais qu'elle a plus mal qu'elle ne le montre, je lui dis d'un coup, nous n'avons même pas pensé à mettre la clef dans la serrure, il aurait pu venir et nous surprendre et qui sait, faire des photos, elle dit oui, et là, j'étais viré comme une malpropre, avec rien du divorce

Elle se lève et va remédier a cela, je la suis et lui dis, on ferait mieux de se rhabiller, il est bientôt temps, elle me montre l'endroit où je devrais filer au cas où, je prends ma douche le premier, je me rince uniquement, elle va juste se rincer ensuite et revient habillée comme d'habitude, discrète, belle sans être sexy comme elle s'est mise pour moi ce matin

Je lui avais dit que si son mari la virait, si en rentrant à l'improviste, il avait fait des photos, que je ne la laisserais pas tomber, que je serais là, elle m'embrasse à nouveau en disant avec mes enfants, je lui dis qu'une femme est indissociable de ses enfants, on s'embrasse à nouveau,

Afin de ne pas trop changer son emploi du temps, nous devrons nous séparer, les enfants vont sortir de l'école bientôt, il ne faudrait pas qu'ils disent a leur père, qu'aujourd'hui encore, c'est mamie qui nous fait manger et chercher à l'école, quand cela arrivait, c'était jamais deux jours de suite, on s'embrasse une dernière fois, elle a le cœur gros et j'avoue que moi aussi, le mercredi, elle a les enfants, trop risqué de les laisser a sa mère a nouveau, je lui promets de venir jeudi, que j'en ai plus qu'envie, mais qu'on ne mangera pas ensemble, pour qu'elle ait les enfants, par contre je reviendrais l'après-midi

Comme la veille, direction le boulot où je récupère, mon chef peut couvrir mes horaires, mais j'ai aussi un boulot a sortir, même si je ne suis pas payé à l'heure, au boulot, j'appelle marie, je lui sers la même salade que la veille, elle me dit pourquoi toi, les autres ne restent pas, je réponds que c'est un projet que j'ai récupéré, mon avancement dépend de sa réalisation

En moi-même, je me dis que mon avancement, elle ne le verra jamais, je risque plutôt un blâme et qu'on me dise que c'est le jour qu'on est plus performant, Marie, me demande si je veux qu'elle vienne, je réponds, tu sais, si je suis ici, c'est pour résister a la tentation, mon bureau n'est pas très confortable, puis je lui dis, je dois te laisser, j'ai un autre appel, ce n'est pas vrai, mais j'appelle Annie pour la remercier d'être venue et savoir son commentaire, quand je les avais laissées seules exprès

Annie me dit qu'elle a bien compris la situation, et qu'il faut qu'elle divorce maintenant, on doit se battre quand on a encore de la force et non attendre qu'on soit vieux et faible, je lui dis qu'Helene a bien compris, je crois, je demande à Annie, alors, celle-ci me fait languir en faisant celle qui ne sait pas ce que je veux qu'elle me dise

Finalement, elle me dit que c'est quelqu'un de bien, que son mari est un imbécile autant que marie, je veux des détails, mais elle me répond, le reste, c'est secret médical, pour plaisanter, je lui demande d'être plus explicite, et je lui dis, si par exemple, elle me demandait en mariage, je n'ai pas fini ma phrase, Annie me dit, "dit oui", je fais "ha quand même", elle me répond, elle ne te plaît pas, je lui dis qu'il faudrait être difficile, Annie me dit, attention, elle a des sentiments pour toi, elle ne te le dira pas, mais méfie toi, ne la détruit pas, elle est sur le bord du précipice, mais je ne t'en dirais pas plus.

Bon d'accord Annie, mais ..., je n'ai pas le temps de finir ma phrase, elle me dit "tu as eu ce que tu voulais, je te préviens juste que ce n'est pas un objet", j'ai voulu quoi dis-je, "sans détour elle me dit, "la baiser", je lui dis, "elle te l'a dit, elle répond "non, pas besoin, vous auriez eu une pancarte au dessus de la tête ou ca aurait été écrit, ca aurait été plus discret, toi parce que tu es remonté dans ton estime et elle pour une autre raison qu'elle te dira peut-être un jour, si tu ne lui demande pas, d'ailleurs je compte sur toi, je ne t'ai rien dis"



Je me rappelle quand j'avais présenté marie, Annie m'avait dit, "elle t'aime, c'est évident", quand je lui avais dit que je comptais me marier avec, Annie m'a répondu qu'elle ne pouvait pas décider a ma place, alors que là, si je disais, que je veux épouser Helene, elle me dit oui sans hésiter

Changeant de sujet, je mets Annie au courant de mon intention, faire irruption pour prendre des photos de l'adultère, je lui dis que j'ai les clefs et le code, bravo dit elle, par contre en me demandant la corpulence de Lucien, qui a peut-être 4 ou 5 kg prés est la mienne (ce n'est quand même pas son sexe plus épais qui fait cet écart que je me dis)

Annie me dit, évite de faire cela toi-même, s'il réagit vite, il risque de te mettre à mal, je lui dis comment puis je faire, Annie me parle d'un copain qui contre un petit billet, me rendra ce service, il a été dans mon cas, sauf que quand il est intervenu, ce n'était pas pour prendre des photos, l'amant de sa femme a manger de la soupe avec une paille pendant 15 jours, il n'y a pas eu de poursuite en échange que sa femme n'en sache rien, il s'était fait agresser dans la rue et c'est tout

Annie me dit qu'elle voit avec son mari et qu'elle me rappelle, je lui dis que jusqu'à minuit, je serais au boulot, vers 21 heures le téléphone sonne, c'est le copain qui m'appelle de la part du mari d'Annie, il me sent gêné, mais me dit, de ne pas m'inquiéter, bienvenue au club, que ce n'est pas une maladie et que ce n'est pas contagieux

Le type sympa, on prend rendez-vous pour le lendemain 11 heures à la terrasse où j'étais avec Lucette, il connaît bien l'endroit, je lui demande combien je devrais amener, mais il répond que c'est avec Annie que ça se réglera, le mercredi, je pars travailler normalement, en partant, je dis vivement lundi, en référence que j'aurais mes résultats fictifs, Lucien aura les siens aujourd'hui en principe

À dix heures, je vais acheter un petit dictaphone ainsi qu'un mini micro et a onze heures, mon rendez-vous est là, on ne s'est jamais vu, mais on se reconnaît, il est en tenue de peintre, en effet, c'est le genre de type ou s'il devait nous pisser sur les chaussures, on le laisserait finir, Lucien prendra même des poses s'il le lui demande

Il est venu en tenue de peintre pour la bonne raison, qu'on vient reconnaitre les lieux, d'une cabine, j'appelle Lucien, du moins je demande le patron, on me dit, je vous le passe, et quand je l'ai, je dis allô Mr tartempion, il dit non, je répond, je ne suis pas au cabinet d'avocats, il dit non, je m'excuse d'un mauvais numéro

Voilà, on a une demi-heure tranquille, on rentre sans soucis, la clef ne croche presque pas, on regarde, je fouille un peu, on a mis des gants de soie, je ne vois rien de compromettant, c'est un 2 pièces en fait, c'est parfait, il pourra rentrer en douce, cacher le dictaphone, puis les surprendre, il prendra un appareil argentique, plus rapide et non-retouchable

De sa poche, il sort une bombe aérosol, il lubrifie les gongs ainsi que les parties mécaniques pouvant grincer, on est pro ou on ne l'est pas, il pose le petit micro dans la chambre, au-dessus de l'armoire, on fait un essai de son, et on ressort comme on est rentrés, sans soucis, on se salue et on se dit à vendredi

Je retourne au boulot jusqu'a minuit encore, mon boulot avance, mon chef n'a rien a redire, mes ennuis n'affectent pas mon travail, tant que personne ne dit rien, rien ne se saura, plus que deux jours a tenir, éloigné encore de Marie, je lui dis que lundi ca ira mieux, que les choses seront plus claires, elle pense sida, moi je pense séparation, je suis en stress permanent

Marie a un comportement de femme amoureuse, amoureuse de moi, comme si elle aimait Lucien, et m'aimait moi en même temps, seulement moi je ne partage pas, et surtout pas après coup, quant elle a le dos tournée, je la regarde, même si je ne l'aime plus comme avant, des sentiments subsistes, elle me trompe mais ne me l'a jamais fait sentir, elle me fait de la peine pour ce que je vais lui faire

Mais les dés sont jetés, je ne reviendrais pas en arrière, même si je devais en souffrir, j'avais même dans mes pensées vicieuses, d'avoir Lucette, Helene comme amante, et garder marie pour les jours où je voudrais changer de viande comme on dit, mais je ne suis pas un homme a ça, je trouve le sexe fade sans sentiments

J'aime Lucette, j'aime Helene, marie, je ne l'aime plus beaucoup, depuis que mon orgueil de mâle est revenu au beau fixe, grâce a Helene, je la déteste moins qu'au début, mais de la première place dans mon cœur, elle s'est mise a la dernière, le jeudi, Helene me reçoit de façon très sexy, nous faisons l'amour le matin, le midi, je m'éclipse pour ses enfants

Je reviens et la baise comme une salope l'après-midi, elle me dit qu'elle aime les deux façons, qu'elle a l'impression d'avoir deux amants, son mari n'a pas eu de rapport depuis lundi, et il n'en aura pas ce soir, de mon côté, c'est pareil, sauf la fois où j'ai eu une branlette et ou elle c'est godée, demain ça devrait les chatouiller, je retourne travailler pour rentrer tard, marie n'y prête plus attention, vivement lundi dit elle encore




le jour J arrive, je prend le scoot du copain et surveille marie a la sorti du midi, tant qu'elle n'a pas bifurqué sur la gauche a ce fichu croisement qui tout droit emmène a notre appartement et a gauche a la garçonnière, mais ça y est elle tourne, je respire, je suis rassuré que ma femme rejoigne son amant, quelle situation ridicule, je m'arrête et téléphone au bistro ou attend le photographe, je dis juste elle arrive

En scoot, je la rattrape avant qu'elle ne se gare, je vais direct a cote et en face de là ou elle se rend, je garde mon casque et discute avec celui qui va prendre les clichés, il a son oreillette, il dit qu'il entend du bruit dans l'appart, en effet quand marie rentre, il entend faiblement des voix

En traversant, il me fait signe qu'il les entend, il lève son pouce en l'air et rentre dans l'immeuble, je piaille d'impatience, les secondes me paraissent des minutes, les minutes des heures, j'attends 20 longues minutes, et je le vois sortir le pouce en l'air, il part a pied, en passant, il me rend la clef, il aura les clichés ce soir, un copain ami photographe qui développe lui-même est au courant qu'il doit faire cela absolument ce soir

J'arrive au boulot au moment ou le téléphone sonne, c'est marie qui me demande si je rentre encore tard, je me dis, qu'elle n'a pas dû consommer, je lui dis oui, que j'ai du boulot encore. Elle me dit vouloir recommencer la branlette au moins, je fais hein quoi, du genre où je ne l'écoutais pas, elle raccroche en faisant, bon, j'ai compris

a 23 heures, Annie m'appelle et me dit, on t'attend, je range mes affaires et pars aussitôt, je passe par la garçonnière récupérer le dictaphone et mini micro, je me rends chez eux, les photos sont là, le copain qui les a pris aussi, en les regardant, je fais qu'est ce qu'ils ont l'air con, je vois le cul de Lucien sur la 1ere, ensuite leur têtes stupéfaites et nus, Lucien dans la même position mais la tête tournée pour regarder la photo

a la 3eme, il tente de se cacher, mais on les voit nues, sans aucun doute possible sur ce qu'ils faisaient, ils ont les yeux rouge par le flash, mais on lit leur stupeur, la 4 eme photo, ils sont a peine cachés par le drap, on les voit encore nus, les suivantes sont leur tête seulement, le reste est sous les draps également ou on devine Lucien demandé des explication, on me donne les photos, et les négatifs, je demande a Annie, si elle peut les garder

Le copain étant là, je lui demande comment ça c'est passé, et combien je dois, pour le prix, il me dit qu'il a déjà été payé par Lucien, je ne comprend pas dis je, il dit, attend j'explique depuis le début, quand je suis rentré dans l'escalier, ils discutaient et se bécotaient, tu as le dictaphone, je le met, et il commente, en l'éteignant le temps de l'explication, là j'arrive, dit il, je met en route et planque le dicta, la je mitraille

Lucien crie, Marie, hurle, elle dit, "qui est ce, qui est ce", Lucien," vous voulez quoi, vous êtes qui", la je repars, et je dis, "merci Mr olivier", dans le couloir, je met une pellicule périmé dans l'appareil, et la bonne dans ma poche, je descends a peine deux marches et il est derrière moi avec un oreiller qui le cache en disant " je ne m'appelle pas olivier"

Je dis, "ha ha, on ne me la fait pas", il dit, je vous jure, je vous montre mes papiers, je fais celui intrigué et reviens dans la pièce, il est nu, l'oreiller est a terre, il fouille son portefeuille dans sa veste et me montre sa pièce d'identité en disant regardez, énervé, je dis, mais vous êtes qui alors, on est bien rue des 2 ponts, il dit, non, c'est plus loin, ce n'est pas ici, je dis merde, je n'ai pas le bon type, merde de merde

Il me dit, rendez-moi les photos, effacez les, je fais, hé hé, seriez-vous aussi illégitime, votre femme aimerait peut-être me les acheter, maintenant que je connais votre adresse, il me dit, vous voulez combien, je dis vous avez combien en cash, il ressort son portefeuille, me donne tous les billets, je dis ok, je sort la pellicule périmé que j'avais mise dans l'appareil

Mais au lieu de la lui donner directement, je déroule le film en disant, je ne peux pas vous la donner, j'ai d'autres photos grivoises dedans, et c'est moi avec ma femme, il fait ouf, il s'en foutait des photos, une fois la pellicule déroulée, je la lui laisse et m'en vais en disant bonne continuation, il me demande comment je suis rentré, je sors comme un tournevis et dis, votre serrure, ce n'est pas celle d'un coffre-fort, et je suis parti

Sur ce, le copain s'en va, le mari d'Annie le suit, je reste seul avec elle, et on écoute la suite, "ho putain, on a eu chaud, ho putain, j'ai le palpitant qui pulse, ho putain, au début, je pensais à un malfrat cherchant une planque, après j'ai cru que c'était un privé, mais quel con, mais quel con, se gourer de rue, le con, marie dit, " il est quand même parti avec pas mal de fric"

Lui, il dit, "je m'en fous, je préfère ca, qu'est ce que tu fais", marie dit," j'ai plus envie, ce type m'a refroidi complètement, j'ai le palpitant qui s'affole, décidément, en ce moment tout va de travers, mon mari me délaisse", lui, il dit, "encore ca, ca ne doit pas te changer", elle répond, "oui mais la c'est pire encore, puisque c'est rien du tout et puis nous, ce n'est que le vendredi", il répond, "ça c'est toi, tu ne peux pas plus", elle dit "oui, je travaille, j'ai mon vendredi après midi, c'est déjà bien, et toi le WE tu ne peux pas, on a pas de chance avec les horaires"


Marie s'est habillée, elle dit, "ce type m'a complètement coupé mes moyens", lui, il dit, "s'il n'y avait pas eu les photos, je le foutais dehors ce type", elle lui répond, "oui en prenant les escaliers et puis toi par la fenêtre", il ne répond rien, puis dit, "tu ne veux pas rester un peu"

Non dit, elle," en ce moment rien ne va, mon mari me délaisse sexuellement, aussi bien en câlin qu'au sexe, et même en présence, il y a le sida qui nous a fait flipper, mon mari donne les bijoux à un clodo", lui, il dit ha bon, "mais t'es conne", elle répond, "je lui avais fait croire que c'était du toc pour ne pas qu'il me pose des questions et il a voulu m'en acheté des vrai"


Lui, il dit," quand tu dis qu'il bosse, ça se trouve, il baise une salope", elle répond," je l'ai cru, j'ai été le voir a son boulot et je me suis fait chier 3 heures a le regarder bosser, non il a vraiment un projet a faire, et puis, s'il avait une maîtresse, il ferait comme toi, il m'apporterait des fleurs pour se faire pardonner, il est sentimental, c'est un mari, pas un amant, un con quoi, c'est pour ca que je suis avec toi d'ailleurs, lundi il aura son test, et la vie reprendra comme avant, j'aurais un homme que j'aime et qui m'aime pour la vie de tous les jours, et un petit extra le vendredi pour la baise"


Il lui dit qu'elle est vraiment un salope, elle répond "et toi un salaud, c'est pour ca qu'on s'entend bien", il dit ", c'est vrai, tu ne veux même pas me faire une douceur", elle dit, "non, ça ma coupée", il lui dit," tu es vache, je vais être obligé de me taper ma femme", elle répond, "tu n'a qu'a faire comme moi, attendre vendredi prochain, allez, a vendredi"


On entend un petit bisou et une fois qu'elle est sortie, il peste en disant "ha putain de bordel de merde, merde merde merde", il a dû rester encore un 1/4 d'heure puis plus rien, je m'en foutais, j'avais le son et l'image


On repasse certains passages, marie me traite de con sentimental, la dessus, elle a raison, elle dit m'aimer, elle a une drôle de façon d'aimer, et lui avec ce qu'il vient de dire, Hélène si tant soit peu, elle avait des scrupules, elle va les perdre direct


Annie, fais une copie du dictaphone et des photocopies des photos, tout en double, elle garde les originaux en disant qu'ici, ça ne risque rien, je la remercie, et prend congé, je suis humilié par ce que je viens de voir et entendre, mais content, je tiens les cartes maitresses, je n'ai rien déboursé, leur copain s'est payé gracement sur l'amant, le faisant passer pour un imbécile


En sortant, j'ai ma petite idée, je retourne voir Annie et lui demande d'autres photocopies avec des enveloppes, je lui dis de ne pas les toucher, elle imprime et je sors les feuilles avec les gants de soie, pareille pour les enveloppes, elle les imprime, je lui indique le nom de certaines collègues, sa copine Olga et d'autres dont je sais qu'elles sont jalouses d'elle, je lui fais imprimer aussi une enveloppe m'étant destinée, une fois imprimé, je mets tout dans les enveloppes et les mets dans la boite à lettres de là où elle travaille, je rentre à la maison ensuite, elle me dit, je viens d'appeler, tu devais être en route


Le samedi, je fais le marché avec elle comme les bons jours, je justifie ma tristesse sur mes résultats et aussi le boulot qui me prend, disant que bientôt, je serais plus tranquille, quand le gros des courses est fait, je rentre a la maison et marie fini avec ce qui est léger, j'appelle plusieurs fois Lucette, mais elle ne répond pas, je me dis tant pis, prévoyant mon coup, je vais au BHV, acheter des serrures, le mot "con sentimental" m'a blessé, je suis con de l'aimer, de l'avoir aimé, qu'a cela ne tienne, je vais devenir intelligent dans le sens qu'elle le dit, je vais au rayon serrure et ensuite, a la lingerie, pour Lucette, je laisse tout dans la voiture et rentre a la maison


Je demande, à Marie si ce soir, elle veut venir au billard chez un copain, elle me dit non, reste avec moi, je dis non, j'y vais, je ne mange pas là le midi, je rentre le soir, elle a pleuré toute la journée, me disant que je ne l'aime plus, je lui dis, non, je t'aime autant que toi, tu m'aime, elle me dit, alors tu as quelqu'un, je ne répond pas plus que toi, moi avoir une maîtresse, c'est comme si je pensais que tu avais un amant, tu vois le ridicule, le soir, je la laisse


Le dimanche, pas de sexe avec, justifié par le sida, je veux la laisser seule à nouveau, je lui dis de venir comme ça, en sachant qu'elle dira non, mais elle vient quand même, je l'emmène là ou ça la rebute le plus et elle passe sa journée a nous entendre discuter et jouer au billard, les conversations, viennent sur un couple ayant divorcé pour adultère de la femme


je saute sur l'occasion, je dis, moi, ca ne peut pas m'arriver, hein chérie, elle dit, ca jamais, je dis s'il était cocu, c'est qu'il était peut être nul au lit, et qu'elle ne l'aimait plus, je dis a la copine, tu pourrais toi te taper une bite sur pattes dans son dos et après venir avec ton mari, elle dit "il tuerais le mec"


Je dis a marie et toi, imagines, tu pourrais aller avec un autre et venir coucher avec moi ensuite, elle dit que ce n'est pas prêt d'arriver, je dis à la copine, si tu faisais cela, tu te considérais comment, comme une salope, comme un grosse salope ou comme une pute de cabane de chantier, elle dit grosse salope


je dis c'est tout, elle dit, si je n'ai fait ça qu'une fois, par erreur, je dis oui, la encore c'est pardonnable, mais si tu y retourne, ce n'est plus une erreur, elle dit oui la d'accord, je dis et toi marie, comment tu te considérerais si tu retournais voir plusieurs fois le type, salope, grosse salope ou pute de chantier, elle dit vous ne pouvez pas discutez d'autre chose


Marie n'est pas étonnée, ce copain n'a que ce genre de discussion, je dis qu' elle a raison, elle répond et on parle d'autre chose, je lui redemande et elle dit pute de chantier, et là, je dis, que le copain, a eu raison de la virer, moi a sa place, aucun pardon possible, je lui donnerais 8 jours pour déguerpir, et a chaque fois qu'elle l'ouvrirait pour dire quelque chose, je dirais, 7 jours

Si elle continue a parler, 6 jours, rester avec une femme qui t'a trompé a plusieurs reprises, tu ne peux pas vivre avec ce genre d'ordure, tu vires cette pouffiasse et en prends une autre, comme moi, j'ai, je me tourne et prends la main de Marie qui souri jaune, on refait une partie et je dis qu'on y va, son billard est un bas de gamme et peu de place autour contrairement a l'autre


En partant, une fois a la voiture, je dis a marie, c'est vrai qu'il est soûlant avec ses histoires de salopes qui trompent leur mari, ça a le don de m'énerver dis-je, on va chez un autre copain, qui lui a plutôt les mains baladeuses, marie me le signale, je dis, et alors, tu ne dis rien au bois, elle ne répond pas


On arrive chez ce copain, on reste un peu puis je leur dis, un resto ça vous tente, indécis, je les pousse, Annie m'avait prévenu, ce copain aux mains baladeuses, n'est pas méchant, il ne va pas plus loin, sa femme le sait, elle s'en amuse et en profite, tout le monde le sait et de plus, quand il sait le concubin jaloux, il sait se tenir


Dans son dos, certains l'appellent l'effleureur, la femme dit, on y va si demain, vous venez manger chez nous, je dis en regardant marie, on a rien prévus, au pied du mur et par surprise, elle dit non, marie est en tenue sobre, elle est belle mais pas habillée sexy comme au boulot, elle a eu droit a quelques attouchements mais vraiment léger, elle se poussait au maximum pour éviter cela


Le repas se passe bien, a plusieurs reprises, il pose sa main sur la sienne quand le dialogue le veut, pour attirer son attention, marie n'a pas vraiment un sourire joyeux, je lui en fais la remarque, je dis tout haut, que mon boulot me prend et qu'elle croit que j'ai une maîtresse, je dis comme ça tout haut, avant que j'en dégotte une, tu aura le temps d'avoir eu 10 amants, après le repas, on marche pour digérer, puis on se dit a demain


Marie me colle, me câline, j'en profite pour dire que je ne suis pas content, qu'elle n'apprécie pas mes copains, elle promet de faire des efforts, on regarde un film et on se couche pour dormir, quand elle tente une approche, je dis plus que 2 jours, et un bisou puis dodo, le dimanche


Marie s'habille sobrement, je lui dis en la voyant, "c'est vrai qu'il n'y a que tes collègues qui ont droit de te voir élégante et sexy, moi et mes amis, tes oripeaux nous suffisent, ma robe ne te plaît pas dit-elle, je dis, non, je la trouve horrible, comme hier, je dis, de toute façon, c'est simple, il n'y a que la semaine et surtout le vendredi où tu es très bien habillée


Le WE, je ne dis pas que tu es avec des sacs a patates, mais il y a une différence flagrante, tu veux que je mette quoi dit-elle, je vais dans son armoire, je vois la robe a virgule, je dis ça par exemple, c'est trop osé pour aller chez des amis qu'elle répond, ha oui, c'est vrai, trop osé pour chez des amis, mais pas des collègues


Je n'ai jamais mis cette robe au boulot répond-elle, je dis, si, je t'ai vu revenir un vendredi soir, tu étais avec, a moins que tu ne t'ai changé après le travail, pour aller faire des courses, c'est drôle, car le samedi, quand tu fais tes courses avec moi, tu n'es en rien habillé


Haussant un peu le ton, je dis, "bon écoute, je ne voulais pas te le dire, mais je trouve que depuis le début de l'année, tu es bizarre, je te sens malheureuse avec moi," elle dit "mais non", je poursuis disant "si, si, il y a quelque chose, tu as des soucis, on t'ennuie au boulot, je ne sais pas, mais en tout cas, on t'a changée en mal, tu n'es plus ma femme, mais une femme, ces derniers temps"

"Je comprends qu'avec mon histoire de sida, ça peut nous perturber, mais tu étais déjà comme cela avant, je suis ton mari, celui qui t'aime, tu as un problème, tu n'a pas a réfléchir, tu me le dis, c'est comme si après un pot avec tes collègues, tu as bu trop de champagne et un collègue en profite pour abuser de toi, tu n'a pas a réfléchir des conséquences, de ce que je vais ressentir ou penser, tu me le dit, a un mari comme a sa femme, on dit tout, le bon, comme le mauvais, tu m'aime, alors tu me dit tout, tu ne m'aime pas, alors tu me cache tout"


Elle dit m'aimer et rien me cacher, je lui dis, "ho après tout, reste habillée en grand-mère, tu as décidé de me faire honte, ça te regarde, elle a des larmes et dit, "mais je ne peux pas mettre cette robe", je dis "en effet, cette robe, ce n'est pas pour moi, c'est pour tes collègues ou peut être un seul, et puis tient, tu peux rester là si tu ne veux pas venir", "non, non", dit-elle, " je veux venir", je dis que je ne préfère pas, les sorties ensemble, on ne les fera que la semaine en sortant du boulot, tient le vendredi, je m'arrangerais pour quitter a midi, comme tu le peux aussi.


Son monde s'écroule, son loisir avec Lucien est compromis, elle dit, "non attend, je veux venir, je m'habille comme tu veux", je dis, "hoooo, il y a pas que ca aussi, tu leur fais presque la tête" elle dit "non, mais lui, il me tripote tout le temps", je dis "et alors, ce n'est pas méchant, il ne te saute pas dessus, tu n'est pas la seule a qui il fait cela, il est connu pour ça et ça ne va pas loin, personne ne prête attention, ni les copains ni leurs femmes"


Elle dit, "oui, mais tu vas penser quoi de moi", je réponds, "c'est simple, tu te laisses tripoter par lui devant moi, je ne dis rien, tu te laisses tripoter par un autre dans mon dos, on divorce, comme dit le copain d'hier, une femme qui ne ferait qu'embrasser 2 secondes sur la bouche sans rien dire un autre homme dans le dos de son mari, c'est direct le divorce, et s'il couche, là, ce n'est même pas la peine de discuter, ses affaires passent par la fenêtre et elle aussi"


Elle dit, "bon, je prendrais sur moi", je dis, "oui, tu dis ca maintenant et après tu me ridiculisera, elle dit, "non je te promet, je dis, "bon, je veux bien faire un essai, mais si je vois qu'a un moment ou un autre, tu fais le moindre geste négatif, après le repas, je filerais au boulot et rentrerais tard"


Elle met sa robe, je lui dis de mettre telle paire de chaussures, d'échancrer plus son décolleté, qu'est-ce qu'elle est bandante, si je n'avais pas entendu ce qu'elle pense de moi et qu'elle m'aurait tout avoué parce qu'elle aurait voulu arrêter de revoir Lucien, j'aurais été capable de lui pardonner, de la remettre à l'épreuve en lui accordant moins de liberté bien sûr, mais avec ce que j'ai entendu, elle a fermé la porte à clef puis a jeté la clef dans un puits sans fond, en sortant, je lui dis, "voilà, au moins là, je suis fier de ma femme"


Quand on arrive chez l'effleureur, sa femme a un petit rictus et lui, il fait un compliment en l'embrassant chastement sur les joues, mais en attrapant ses hanches, il me dit que ma femme est magnifique aujourd'hui, je dis," oui, elle a voulue s'habiller comme cela, aujourd'hui", marie a voulue dire quelque chose, mais elle s'est retenue aussitôt


À l'apéro, sur le canapé, la femme du copain s'assoit sur un fauteuil, je prends place à coter sur l'autre fauteuil, elle doit donc s'asseoir sur le canapé avec le copain, leurs genoux se touchaient a un moment donné, elle les a mis de l'autre côté, a mon regard, elle a compris puis n'a plus bougée


La discussion s'engage, a un moment, il lui parle en prenant sa cuisse et disant, tu vois quand on était jeune, etc., le copain n'est pas beau, mais pas jusqu'a être repoussant, souriant, moins stylé que Lucien, il n'attire pas les filles c'est sur


De lui, Marie a eu ses mains sur sa cuisse, sur les fesses quand il l'a poussé vers la cuisine, sur son poignet, il a frôlé sa pointe de sein en voulant attraper le pain a coté d'elle, il lorgnait dans son décolleté, quant on a été seuls, j'ai dis a marie, c'est vrai qu'il effleure et mate, elle dit oui ca ça j'ai remarqué.

Je lui dis, au café dans le salon, je me mettre a coté de lui sur le canapé, tu prendras un fauteuil face a lui et tu feras des jeux de jambes, je rajoute, si tu ne le fais pas pour lui, fait le pour elle, parait qu'après ses séances d'effleurages, elle passe à la casserole.

Elle me dit que c'est vis a vis d'elle surtout qu'elle ne veut pas la mettre mal à l'aise, je lui ai dit qu'elle le savait, mais qu'elle ne dit rien, au contraire, Marie me dit, je te préviens, si des histoires arrivent, je leur dis que c'est toi qui me l'a demandé, je dis ok, mais par contre fait le de façon que ça ne passe pas pour du fait exprès non plus.

À suivre
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Vengeance heureuse d'un cocu 3

Le 07/06/2015 - 13:52 par arsenne
Merci Annizette pour cette réponse encourageante. J'avais bien noté qu'il s'agissait d'un récit véridique ! Je vais donc patienter. Cette aventure me plait tellement que je m'excite à la remettre dans une forme plus "académique". A
Le 05/06/2015 - 23:11 par annizette
réponse a arsenne: la suite arrive à mesure des corrections et contrôle du site, quant a l'inspiration, il n'y en a aucune, seule sa mémoire et mon aide sont utiles, c'est une histoire vraie qui dure encore aujourd'hui, et ou j'ai été et suis concernée autant que témoin, pour ceux qui aiment, merci de mettre une note positive, celle ci encourage a continuer, pour ceux qui n'aiment pas, je suis désolée, nous n'avons pas dans notre entourage des nymphomanes qui écartent les cuisses au moindre compliment ou qui violent les hommes, comme certains récits ici
Le 05/06/2015 - 21:26 par arsenne
Je me languis de la suite. Plus d'inspiration. S'il vous plait vite vite A

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