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Vengeance heureuse d'un cocu 9

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Lue : 1337 fois - Commentaire(s) : 7 - Histoire postée le 20/07/2015

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Après les périples de la bagarre, lors de réunion barbecue avec plein de copains chez Annie, j'étais devenue le héros, le David ayant terrassé Goliath, les mecs me félicitaient, les filles me souriaient bien plus, j'étais déjà un minuscule héros en me portant au secours d'Annie lors de notre première rencontre, mais là, j'avais eu du galon, aussi bien son mari que l'effleureur m'encensait, à les écouter, ils n'avaient presque rien fait et c'est moi qui avais mis au tapis les salopards

Je n'avais juste fait, que faire pencher la balance en jouant le kamikaze, si la semaine d'avant, ils avaient vu l'état de ma main, ils m'auraient moins admiré, comme quoi la chance, quand on l'a de son côté, ça change la vie, en pensant cela, je me disais que la chance est la contrepartie des cocus, cette fête m'avais remonté le moral

Après ma séance avec Annie, je n'avais plus qu'une chose en tête, recommencer, mais avec ma main valide, mais les semaines suivantes,rien, je me suis dit qu'elle m'avait peut-être récompensé de l'avoir défendu, ne voulant pas devenir lourdingue, je ne me suis pas imposé, elle est revenue à la maison, mais avec son mari

je n'ai eu aucun appel du chef de Marie concernant un après-midi autre que le vendredi, mon capteur a la maison me disait qu'elle rentrait bien a l'heure et si elle sortait, c'était une demi-heure maxi, une course à faire pour le repas du soir, cela représentait moins que l'aller-retour de chez l'effleureur, je suis venu toutes les semaines pour voir Annie au billard, rien en vidéo, je venais le mardi pour prendre le vélo en passant chez eux, ça me permettait de dire a sa femme que je viendrais jeudi ou vendredi, j'attendais qu'elle me dise "non pas tel jour, on est pas la"

Je prenais le vélo, j'allais plus loin prendre un café, ou éventuellement draguer pour mon quota, mais pas de séances prévues, ces séances n'étaient pas soumise à une régularité, Annie comme Marie, elle téléphonait a l'effleureur en début de semaine du boulot pour la fin de semaine, je ne savais pas cela a l'époque, je devais me renseigner et l'attente me parut longue


Un soir Marie me dit, "devine qui j'ai vu", elle me dit, "le type a la quiche", je demande ce qui s'est passé, elle me dit, "rien", qu'il a dit, "j'ai un autre contrat à donner, appelez-moi sans le dire a personne", sur un papier, elle a un téléphone avec des horaires, demain matin sera le mieux pour qu'elle l'appelle, il est au bureau de bonne heure

Elle l'appelle, il demande si elle est seule, elle dit oui, qu'elle a attendu mon départ et lui demande ce qu'il veut, il lui dit qu'il a un autre contrat où nous sommes en concurrence avec "tartempion", je fais signe à Marie qu'en effet, c'est un concurrent, il lui dit, "j'ai reçu les devis de tout le monde, qu'en pensez-vous, si au lieu de donner une réponse favorable au mieux placé, j'en rediscutais avec votre mari……….. autour d'une quiche par exemple, car j'ai pu apprécier la qualité de son travail, mais ma direction ne voit que le chiffre"

Il était malin, il ne disait rien de compromettant, mais cela voulait tout dire, il ne se mouillait pas, j'avais préparé un bloc pour que Marie lise, et demande ce que je voulais savoir, et surtout, qu'il ne m'entende pas, elle dit, "je suppose que vous allez vouloir une autre quiche", il répond, "c'est sûr que cela me ferait plaisir, mais je ne voudrais pas abuser"

Me lisant, elle lui demande comment être certaine qu'il est sérieux dans ce qu'il dit, il répond qu'il peut déjeuner avec elle ce midi et lui montrer les devis, elle répond, est-ce que cela se joue sur une grosse somme, il répond que non et qu'il n'y aura aucun problème pour obtenir la différence en moins

Marie dit, "et il vous faut une autre quiche en remerciement", il répond, " vous connaissez mon péché, mais la même quiche que l'autre fois, avec exactement les mêmes ingrédients, sans rien retirer", elle répond, " je peux vous appeler après midi", il dit oui, et elle dit qu'elle voit et le rappelle, nous partons au boulot

Le midi, je mange avec elle, on en discute et on convient de ce qui suit, elle l'appelle a 14 h 30, elle lui dit, Ok, appelez mon mari, il va me rappeler pour me le dire et je lui dirais de vous dire, que je vous refais une quiche" il lui dit d'accord, mais rappelé moi aussi dans une heure pour la quiche que je veux, elle essaie de savoir, mais il raccroche après avoir dit,"vous verrez, rappelez dans une heure"

Le client m'appelle derrière, il me dit qu'il faudrait qu'on déjeune ensemble pour le projet, disant que chez nous ça serait mieux et plus pratique, je lui dis que je le mets en attente et appelle ma femme voir si nous sommes libre ce vendredi, Je ne la rappelle pas, je fais patienter un peu et lui dit, c'est ok pour vendredi soir

Marie le rappelle l'heure d'après et il lui demande une quiche sans le haut, sans soutif, elle dit a vendredi et raccroche, de mon côté, je dis qu'on peut récupérer un contrat chez ce client qu'on est trop cher, et savoir le tarif plancher que l'on peut se permettre, une fois cela vu, il demande comment j'ai appris, je dis, "Marie l'a rencontré au restau avec une copine, je venais juste de partir, et en parlant, il a eu une indiscrétion"

Elle lui a dit, avant de prendre votre décision, vous ne voulez pas en discuter avec mon mari", il lui a dit qu'il n'aurait pas du lui en parler, ma femme m'a tenue informé, je l'ai invité a la maison vendredi, mon directeur me dit, "votre femme est vraiment compétante, ha Henri, le pouvoir des femmes sur nous, c'est dément, en plus la votre n'est pas que belle, faites lui part de mes compliments, il y aura un supplément pour cette signature en fonction de la différence entre le prix initial, et le prix qu'on vient de définir"

Le jeudi, elle l'appelle en disant ok pour le soutif en moins a condition que vous amenez les autres devis, il dit qu'il n'a pas le droit, elle lui dit qu'il voulait lui montrer au restau, il lui répond, à vous oui, mais pas votre mari", elle dit, "alors, vous ne me les montrerez qu'a moi"

Le vendredi soir, elle le reçoit en petit pull léger, rien en dessous, jupe plissée, courte, elle va ouvrir, il a un bouquet de fleurs, je suis en cuisine avec la femme de l'effleureur, il lui donne le bouquet et lui faisant la bise, contrôle qu'elle n'a rien en dessous, elle se pousse, il a sa serviette et dit que tout est dedans

On prend l'apéro et on mange, Marie n'a presque pas bu cette fois, il se régale avec la quiche en disant qu'il est dommage qu'il n'a pas un contrat par semaine, ce qui est drôle, c'est qu'il en reprend trois fois, il adore vraiment cela, au café, nous nous retrouvons tous les trois, on discute, comme je ne veux pas refaire le même coup que la dernière fois, j'avais dit à la femme de l'effleureur qu'elle appelle d'une cabine en descendant

Des qué je décroche, elle raccroche et je dis, attendez, je vais a mon bureau, je m'excuse auprès du client, je vais au bureau, il tripote Marie un peu, elle se défend légèrement pour la forme, je reviens et dit, "je m'excuse, je dois faire une recherche pour un client, je vous laisse 10 mn, ressert un café Marie", je retourne au bureau, enfin, c'est ce qu'il pense, car je fais les bruitages de porte

Je raconte maintenant ce que je vois et ce que Marie m'a raconté ensuite, il dit non pour le café, puis dit, " voilà, a ma quiche maintenant", il attrape ses seins par en dessous le pull, elle se pousse et il dit, "hé, et notre accord", elle se laisse faire et demande, "montrez les devis", il dit, "il y a un gage pour cela, retirez votre culotte là-bas (dans le couloir), et vous me la montrez pour que je la vois

Elle tente de se dégager de sa main sur les seins, et il dit, "non, les seins, c'est pour ma signature", la culotte, c'est pour connaitre les montants, rendez-vous compte de ce que je fais et je demande si peu", il rajoute, "réfléchissez vite, s'il revient, ca sera trop tard", elle souffle, puis elle va la retirer, puis lui montre, elle l'a dépose sous les coussins du canapé ensuite, il sort les documents, elle regarde, il tripote ses seins, ses bouts durcissent et il lui dit, il parle tout doucement

Marie est comptable, elle sait lire un document et retenir les chiffres, il tripote ses seins, les malaxe, on a toujours le même code, mains en l'air, ne pas intervenir, main fixe dans les cheveux, elle perd pied, a moi de décider ou pas d'intervenir, main qui frotte ses cheveux, je dois intervenir

Ce client n'avait jamais rappelé depuis, et n'avait pas été emmerdant, son chantage était très gentil, plus, pour permettre a sa victime de se justifier, que de lui nuire ou la forcer, on avait donc décidé elle et moi, de lui permettre plus de "privilèges", elle est sur le bord du canapé, tournée un peu sur la gauche, lui est dans le fond du canapé, penché, a coté d'elle à sa droite, lui tripotant les seins sous le pull en l'enlaçant

Elle apprécie la caresse, elle aurait pu dire stop, car elle a tout vu, en se penchant, elle a remis les documents sur la petite table, au lieu de lui dire d'arrêter, elle s'est remise contre lui, elle lui dit a voix basse, "si vous entendez la porte, vous vous remettez de l'autre côté, il la sent se donner à la caresse, il pince ses bouts, il avance sa main sur sa cuisse, elle pose son bras sur le haut du canapé qui me signifie de laisser

Elle lui dit "non, ne faites pas ça", elle sait maintenant, qu'elle a carte blanche pour se laisser tripoter, seule se faire baiser est proscrit, sa main avait retenue la sienne, mais la pression pour le retenir diminue, il remonte plus, elle le retient un peu en disant, "non", puis sa main arrivée tout en haut, cuisses serrées, disant toujours des non, elle s'écarte et il en profite, il découvre une Marie toute inondée

Elle lui dit que c'est un salaud, il répond oui et qu'elle adore cela, la pauvre Marie est foutue, il a gagné, sa main est en l'air, disant de ne pas venir, et c'est elle qui vient, elle jouit en se retenant de crier, une fois l'orgasme passé, elle se lève en disant mon dieu, qu'est-ce que j'ai fait, il la rassure en disant, rien, vous m'avez juste fait plaisir, personne ne saura, elle se touche les cheveux, puis va en cuisine, pour ramener un café

Je reviens en même temps qu'elle, elle s'est remise comme il faut, je m'excuse auprès de lui, il me dit qu'il était en bonne compagnie, elle apporte son café qu'il n'avait pas demandé, mais le boit pour la justifier, on parle affaires, prix, elle me fait signe de partir, je vais aux toilettes, elle lui dit, "le prix, c'était tant", il dit, "je vous ai montré, je vais signer, mais la négociation, c'est avec lui", elle dit, "et si je négociais moi", il dit, " faut voir"

Je reviens des toilettes et elle me dit, "tu ne me laisserais pas négocier ce contrat", il dit, "ho non, je me fais toujours avoir par les femmes", elle dit excusez nous, on va au bureau, je lui donne les éléments, elle me dit le prix le plus bas qu'elle a vu, je dis en effet, il y avait peu d'écart, on revient, je dis, ok, je te laisse négocier, elle commence son argumentation, elle connaît les principes, elle sait comment cela se passe avec ceux qui sont au resto

Elle me regarde plusieurs fois, puis elle dit, "si je te sens derrière moi, ça me coupe, j'ai l'impression que je m'y prends mal et que tu va dire quelque chose", je dis, "non, je…. Mais bon, je vais au bureau, je vous relaisse encore, soyez indulgent avec elle", il répond, "c'est moi qui entre dans la cage au lion", je retourne au bureau, bruite avec la porte

Elle lui dit, "vous m'avez eu tout à l'heure, vous avez pris au de là de ce qu'on avait convenu", il dit, "non, à peine plus que la dernière fois", comment cela dit-elle, il répond, "j'ai fait pareil sauf qu'aujourd'hui, vous avez plus… Appréciée", elle dit, "vous voulez dire que", répondant, "oui, vous ne vous souvenez pas" elle ne répond pas et dit, "bon, tant pis, voilà, je vous propose telle somme", il lui dit, "non, si je vais voir ce client, il acceptera une remise du même montant sans problème

Elle dit, " il a autant de poitrine que moi", il dit, "hélas non, mais revenez comme tout à l'heure, je suis plus attentif", elle se remet de dos, il passe la main par-dessus son épaule pour attraper un sein, elle le laisse faire, il va pour lui remettre au sexe, mais elle dit, " non, pour cela, il faut que je prouve a mon mari que je sais négocier aussi bien que lui", en fin de compte, ils négocient plus sur ce qu'ils vont faire que sur le montant du devis a accepter

Il demande pour la baiser, mais elle dit, "non, ça, je ne le ferais jamais même pour dix contrats, si mon mari apprend ce qu'on a fait, il arrêtera de vous recevoir ici, et avec moi ailleurs puis rouspétera, mais si je le trompe, c'est le divorce et ça, non, je ne prends pas le risque", il dit "si je ne vous baise pas, j'ai droit a quoi", je ne sais pas dit-elle, proposez pour voir, il dit, "mettre mes mains partout", elle fait celle qui lui fait comprendre qu'il exagère", il insiste en disant que ce n'est pas plus que ce qu'il y a eu"

Elle fait celle qui hésite, il insiste encore, argumente, puis elle dit, "que vos mains, rien d'autre", juré dit-il, "elle dit, "si je m'aperçois que vous ne respectez pas votre parole, vous ne reviendrez plus jamais ici, il répond, "je ne risquerais jamais cela, mais en contrepartie, j'ai droit à tout votre corps", elle dit, "oui, mais par contre, je n'embrasse pas non plus, disant cela, elle met son pied entre ses genoux, elle se laisse remonter la jupe quand il caresse sa jambe, elle dit, alors ça marche

Quand il commence à arriver vers son sexe, elle se recule en répétant le montant, il dit, "vous êtes dur en affaire, je suis d'accord", Marie lui dit, demandez des pages numérotés, (sachant que ça prend du temps a l'ordi et comme l'imprimante est une matriciel, ça justifie que mon mari en a pour un certain temps, en fait, il n'aura juste qu'a rentrer le montant convenue et le reste se fera automatiquement, mais cela, il ne le sait pas

Elle lui dit que s'il a accepte, c'est sur la promesse d'une invitation restaurant ou elle mange le midi, pour me justifier son acceptation et dire que l'invitation avec ses collègues a coté, c'est une invitation amicale

Elle vient me chercher, disant devant lui, le montant, je lui dis, je m'incline, tu as fait comment, il répond, elle accepte que je l'invite au restaurant, mais attention, en tout bien tout honneur, marie dit, "oui, ou je déjeune avec mes collègues, je dis bien, je vais imprimer tout ça, il dit, "pouvez vous numéroter les pages, je dis, "oui si vous voulez, je vous fais patienter un peu plus alors", faites dit-il, je ne suis pas en mauvaise compagnie

éJe bruite à nouveau la porte, je remplace le montant sur la page, les calculs se font automatiquement, je tape "enter" et me précipite dans le couloir afin que le bruit de l'imprimante ne s'entende pas plus fort, signifiant que la porte s'ouvre, le début m'a été raconté par Marie

Quand il a entendu la porte se fermer, il a dit, "venez, vous êtes a moi, on est d'accord", elle ne répond pas, mais se laisse faire, il est assis sur le canapé, elle est debout, il lui fait soulever le pull, elle s'exécute, il lui attrape un sein, puis de son autre main, il lui masturbe le sexe, contrairement a la première fois, cette fois-ci, il voit son visage qui trahit ce qu'elle ressent, elle sait que je suis d'accord, elle n'a aucune crainte de me déplaire

Écarter les jambes dit il, elle le fait, Marie est une jouisseuse, elle s'enflamme vite, il a vite fait de voir qu'elle est a sa merci, il l'a fait asseoir sur le canapé, remonte sa jupe et mate sa chatte, cela augmente son envie, elle s'avance au bord du canapé, c'est une invitation, il lui roule le clito, par moment, il écoute le bruit étouffé de l'imprimante, il lui pénètre deux doigts puis continu a masturber son clito de l'autre main

Marie s'abandonne complètement, elle compte sur moi au cas où le type ne respecterait pas ce qu'il a promis, elle me dit que par moment, il regardait vers la porte, l'avantage de ne pas être baraké, c'est que le type prend plus de risque, il sait que si j'arrive, a part de rouspéter, il n'aura pas mon poing sur la figure, du moins, cela ne lui fait pas peur, il la masturbe, puis arrête, recommence, il l'agace, elle sait ce qu'il cherche et n'y tenant plus, elle lui donne, Elle dit tout bas, " faites moi jouir"

Profitant qu'il la tient, il lui demande plusieurs choses qu'elle fait ou qu'elle répond oui, "vous voulez jouir", "relevez votre pull et caressez vous les seins", "quand je reviendrais, vous ne mettrez plus de dessous", "vous vous laisserez tripotez sans faire d'histoires"

J'entendais tout ça faiblement, Marie était à sa merci, j'aimais la sentir comme ça, le client était entreprenant, j'entends, "non, pas ça, pas là, non, non, ha ouiiii, ha, encore, haaaa, je jouis, je jouis, deux autres feuilles restait a imprimer, des qu'elles sont fini, je les prend, les agrafes puis j'arrive vers eux, ils sont en train de discuter, je dis, "j'ai pas été trop long, vous voulez encore du café", Marie dit, "oui, j'en prendrais bien encore", cela signifie qu'elle voudrait encore être seule, je fais, "zut, mon ruban est sec, les phrases sont illisibles pour certaines, je dois changer le ruban, je suis vraiment désolé", vous inquiétez pas pas dit il, ça m'arrive aussi des fois

Je retourne au bureau, je bruite la porte, et l'ouvre aussitôt pour imprimer ensuite, il fait mettre Marie a genoux sur le canapé, appuyé au dossier, elle dit, "non, je vous ai déjà donné tout a l'heure", il répond, "on avait dit que j'avais votre corps a volonté chez vous", lui mettant sa main au sexe en même temps, et voyant qu'elle proteste en faisant ce qu'il demande, il lui demande d'écarter plus les genoux, elle s'exécute aussitôt, devant sa docilité, il n'hésite pas, il lui fourre deux doigts

Il la lime avec les doigts, étant dans la pénombre, la lumière halogène dirigé vers eux à dessein, l'éblouissement léger empêche de voir dans le couloir, je ne vois que Marie, mais elle m'a raconté, il est derrière, a genoux, sa jupe remontée, il lui embrasse les fesses, puis finalement, lui fait sentir sa langue sur son anus, il donne des grands coups de langue, remontant de sa chatte a l'anus, Marie gémit

Elle l'encourage avec des oui, des encore, des oui comme ça, j'adore la voir s'abandonner, même a un autre, je sais que si je lui faisais pareil, elle ne ressentirait pas autant d'excitation, elle est avec un coureur de 100 mètres, je ne suis que marathonien, quand elle est excitée, elle n'a plus aucune retenue, elle lui lance des "oui, c'est bon, qu'est-ce que c'est bon, encore"

Il la sait a sa merci, il la fait s'asseoir sur le canapé, lui écarte les jambes, elle dit, "non pas comme ça", elle est aussi crédible qu'un politicard qui annonce l'augmentation des retraites ou une baisse de taxe, il ne l'écoute pas et heureusement pour elle, je ne vois plus rien, j'entend, c'est tout, il prend sa chatte a pleine bouche, il a regardé sa montre comme souvent, il doit chronométrer le temps que je passe

Il est le client, s'il se fait prendre, il ne risque pas grand-chose, le seul risque pour lui, c'est de ne plus revenir profiter d'elle, Marie ne dira rien à personne, moi le cocu, je n'irais pas m'en vanter, et si je le disais a son employeur, il pourrait dire que ma femme l'a allumé, il ne risque pas que je lui casse la figure, et s'il rappelle ma boite, c'est un client, le client est roi

Pour l'heure, il ne le sait pas, mais il ne risque rien, sa tête entre ses cuisses, il ne m'entendra pas arriver, il compte sur elle pour donner l'alerte, ce qui dans son état d'excitation, ne risque pas d'arriver, a force de sucer, Marie jouit, elle le lui fait savoir, elle a son pouce dans l'anus et il suce sa chatte et clito, sa main libre caresse ses seins, elle appuie sa tête pour mieux le sentir

Une fois la furie passée, ils se remettent bien pour me recevoir, il signe et paraphe le contrat sans le lire, il a déjà lu le principal et le montant est celui convenu, je retourne au bureau, elle lui dit, "vous m'avez eu", il dit, "vous avez aimé", elle répond, "ça change des discussions habituelles des repas d'affaires", en lui touchant les seins, il dit, "au prochain contrat, aurais-je pareil", "elle répond, "je n'ai plus rien à cacher", en retirant sa main, il dit, "j'arrête, je vais avoir du mal à cacher ce que je ressens"

Quand il dit cela, je me dis que moi aussi, il faut que je me calme en me remettant au travail, ce qui fait que j'arrive deux minutes plus tard, ils ont continué a discuté sur ce qu'il pourra faire et pas faire, elle n'embrasse pas et ne se fait pas pénétrer, et uniquement ici, elle disait qu'en discussion sur des connaissances, que j'avais dit que tromper, c'était à partir du moment où l'homme pénétrait avec son sexe

Qu'une femme tripotée pendant une danse ou autre, que cela n'était pas trompé, disant aussi que n'étant pas pénétrée, elle pourrait argumenter pour se défendre, elle lui dit aussi que maintenant, elle ne fait plus de promesses à la signature, quand je reviens, Marie enchaine sur une discussion du genre repas d'affaire que l'on fait, disant, que chez nous, c'est plus convivial et que les clients préfèrent, c'est plus tranquille pour discuter et que pour nous aussi, on peut corriger

Marie dit, "donne le contrat, c'est le mien", elle fait parapher au client et signer, pendant ce temps, je pars chercher une bouteille de champagne, il lui caresse les seins, elle se laisse faire en souriant, après avoir arrosé cela, le moment de partir arrive, je lui sers la main et je dis, raccompagne TON client, j'ai un fax à faire partir pendant que j'y pense, dans le petit couloir d'entrée, il l'a tripoté a nouveau sans s'occuper de la déformation de son pantalon, Marie se laissait faire

On a ensuite éteint la lumière de la salle et je l'ai prise habillée, je n'en pouvais plus d'attendre et elle voulait être baisée, elle était excitée comme il n'y a pas, on savait tous les deux, qu'en ces moments-là, nous ne faisions que nous soulager, je lui ai donné deux orgasmes qu'elle a eus rapidement, je n'ai pas pu tenir pour plus longtemps, nous avons fait l'amour le lendemain matin comme c'est le cas après ce genre de soirée

Moins d'un mois après, j'étais déjà rentré, avant qu'on se mette à table, ce client sonne, je dis zut, il va nous coller maintenant, je lui ouvre, il me demande si je peux l'entretenir en privé et en toute discrétion, de suite, je pense a ce qui s'est passé la dernière fois, mais non, il me dit qu'il a eu vent d'un travail que je peux essayer d'obtenir, je lui dis que je le remercie de m'en informer, mais que cela ne serait pas très honnête de ma part

Quand il me dit le nom du concurrent mes scrupules s'en vont directe, celui-ci nous a cassé les prix, nous faisant du tort et en se mettant lui aussi en mauvaise situation, j'accepte un rendez-vous avec le client potentiel, qui accepte d'attendre pour prendre sa décision, curieusement mon client me dit que Marie n'est pas nécessaire, justifiant qu'en petit comité, c'est préférable, je suis soulagé, cela veut dire qu'il ne lui a pas dit ce qui se passait avec ma femme

Le temps pressant, nous reprenons rendez-vous pour dans deux jours au même endroit, devis fait, j'en parle à mon chef par politesse de ce devis pressant, il me dit de prendre un collègue pour m'avancer, le devis fait, anti daté, je le donne au client potentiel, trois semaines après, comment je m'y attendait a 90 %, ce client potentiel m'appelle pour me dire qu'il faut qu'on se voit pour signer, (en clair, payez-moi un bon gueuleton et je signe), ce fut chose faite

Sur ce dossier, j'avais associé Marie, car indirectement, je savais qu'elle était à l' origine de cela, prime d'hôtesse et prime d'apport de nouveau client, cette dernière prime est assez conséquente, a la boite, je donnais mes frais de repas d'affaires, et on me remboursait sur les justificatifs que je rapportais, on ne me demandait que de mettre sur le libellé, le dossier auquel il se rattachait

Avec Marie, on savait pourquoi notre client, nous avait fait profiter de cette opportunité, il n'y était pas obligé, cela fut sympa de sa part, il n'a rien demandé, si je ne le lui disais pas, Marie ne l'aurait pas su, elle lui téléphone un matin, l'informant que je suis déjà parti, pour qu'il parle librement et pour le remercier

Elle dit, "mon mari m'a dit que vous êtes responsable de la prime que j'ai eue pour ce nouveau client amené sur un plateau", il répond, " ha, il vous l'a dit, je lui avais fait sous-entendre sans exagération non plus qu'il était inutile que vous le sachiez, je n'ai pas voulu qu'il y ait d'ambiguïté", elle lui explique le fonctionnement des repas d'affaires et prime, il dit qu'en effet, il comprend et ne voyait pas cela dans ce sens

Elle lui dit, "voulez vous venir dîner à le maison vendredi", il répond, "je ne demanderais que ça, mais je ne voudrais pas abuser et vous mettre dans une situation embarrassante, non, je vous remercie, c'est très gentil", avec Marie, nous n'avions pas prévu cela, on reste sans savoir quoi dire, ni faire, elle lui dit bonne journée, puis nous allons au boulot, le lendemain, elle le rappelle à ma demande, et sans moi, elle dit, "s'il, vous ne venez pas dîner vendredi, je vais me sentir peu reconnaissante", il dit, "oui, mais votre mari, il va se douter de quelque chose", elle répond, "non, on vous récompense, ce qui est normal", il dit, "bon, je viens, mais dans les mêmes conditions que l'autre soir, et j'amène une surprise, et s'il y a une opportunité, vous devinez ce que je veux dire", sans répondre, à vendredi dit elle, venez pour 19h30

Ce vendredi, avec Marie, on a convenu une petite mise en scène, il arrive à l'heure dite, Mairie lui parle a l'interphone, moi, je m'habille et sort sur le palier pour aller a l'étage au-dessus, il rentre, offre les fleurs, il s'inquiète de mon absence, moi, je descends, j'attends 5 minutes et sonne, pendant ce temps, elle lui dit," je ne comprends pas, il rentre a 19 h d'habitude", il en profite pour la tripoter, elle s'est mise sexy et sans dessous comme il avait demandé la fois d'avant

Comme je sonne, il stoppe son tripotage, il va s'asseoir sur le canapé, elle m'ouvre en bas et va entrebâiller la porte, je rentre avec deux cartables, elle me dit, j'ai une surprise, je découvre le client, je lui dis, "une agréable surprise, comment allez-vous", elle dit, "tu disais que je ne prenais pas assez d'initiative, j'ai invité monsieur pour le remercier", le client dit, "vous ne saviez pas, je suis confus, je pensais que", je répond, "elle a très bien fait, on se devait de vous remerciez, vous n'étiez pas obligé"

Il dit, "ce n'est rien, juste retour des choses, je suis très bien accueilli, rien a voir avec les repas d'affaires où on me tend une assiette d'un coté, et un stylo de l'autre, je sers l'apéritif, elle avait préparé des petits fours, quelques petits compliments a la maitresse de maison pour ses talents de cuisinière, Marie est en cuisine, je discute avec lui

Disant que dans les repas d'affaires, entre hommes, on ne sait pas toujours quoi dire, et parler que boulot, ça fatigue, avec une femme, c'est plus détendu, le client est plus bavard, ça élimine les blancs, j'explique que Marie est payée pour m'accompagner et quand on ramène un client, il y a également une prime pour elle, il me dit, "vous avez bien fait, mais moi, vous ne me connaissez pas sur ce dossier"

Le dîner est servi, on passe a table, la discussion est plus sur les loisirs, que sur le boulot, même si parfois, on y revient un peu, le moment du café arrive, une fois prit, je lui dis, "je suis désolé, je croyais qu'on avait rien de prévu ce soir, et j'ai amené du travail urgent à faire, je vais être obligé de vous laisser, je n'en ai pas pour long, ¼ d'heure, ou une demi-heure maximum, je me débarrasse de ça et je vous rejoins

Je dis à Marie, je suis désolé, pour une fois que tu as pris une bonne initiative, je gâche tout, j'y vais, je reviens la minute suivante avec le téléphone en main et un interlocuteur fictif, je prends mes cartables, je bruite avec la porte, cette fois-ci, elle n'oppose aucune résistance, elle se donne a lui, lui, il se dit, c'est elle qui m'a invité en sachant très bien ce qui arriverait, elle m'a fait venir pour que je m'occupe d'elle

Il lui dit de se mettre assise sur le canapé, lui écarte les jambes et la suce, quand on avait décide de lui dire de venir, j'avais dit à Marie, inutile de le repousser maintenant, donne-toi a lui, il la suce, au bout d'un moment, il se lève, je me prépare à retourner au bureau sans bruit, il va ou il y a sa veste et revient, il lui demande de se mettre à genou sur le canapé, elle s'exécute aussitôt, signe qu'il peut tout se permettre

Il se met aussi à genoux sur le canapé, sur son coté gauche, il attrape se seins, la masturbe, puis de sa poche, il sort un gode puis lui met au bord du vagin, elle fait " ho non", mais de ssavoir ce qu'il ose lui faire, l'excite encore plus, elle tend ses lèvres intimes sur l'objet, il lui répond en la tutoyant, tu va voir, tu va adorer, il la pénètre lentement avec, c'est elle qui va au-devant du gode, il met l'appareil en marche puis la lime

Faisant cela, il regarde de mon côté, surveillant un éventuel risque que j'arrive, même si je suis dans la pénombre, et que je sais, que l'halogène l'éblouit un peu, j'ai toujours la crainte d'être vu, je me colle au mur et recule dans le couloir, Marie est en train de jouir, en silence, j'entends à peine, il ne regarde plus de mon coté, je me remets plus prés, il arrête le gode, le ressort, puis il humecte son anus pendant qu'il caresse son clito de l'autre main

Elle lui dit, "non pas par là", il dit, "mais si tu vas aimer", il pénètre avec le gode, elle n'a pas bougé pour l'en empêcher, il lui fait rouler le clito en même temps, il regarde ce qu'il fait maintenant, quand il sent qu'elle commence à prendre plaisir, il lui dit, "tu vois, tu aime ça, je te l'avais dit", Marie est emporté par son plaisir, elle lui dit tout bas mais audible d’où je suis, "oui, j'aime ça, j'aime être défoncée, va-y plus fort, encule-moi"

Encouragé, autant que fier, il s'active et fatalement, l'orgasme l'emporte, sauf que cette fois-ci, il est obligé de lui mettre la main devant sa bouche pour ne pas qu'elle hurle, le premier "haaa" de jouissance n'a pas pu être étouffé à temps, il se remet bien puis comprenant ce qu'elle a fait, pour donner le change du mari qui ne sait rien elle se remet bien aussi, il ne dit mot, il écoute si j'arrive

Elle lui dit de rester là, qu'elle va aller voir, en fait, elle vient me voir pour se rassurer, savoir comment je réagis, elle vient de jouir violemment avec un autre, je me suis mis dans le bureau, au cas où il regarderait de loin, je lève mon pouce en l'air en souriant, signifiant à Marie que je suis content pour elle, et qu'elle peut poursuivre

Avec Marie, on sait que son plaisir ne me rend pas jaloux si on le partage ensemble sans être cote à cote, mais elle a toujours peur que je lui dise cela pour lui faire plaisir, de mon côté, je suis content qu'elle prenne du plaisir, mais malheureux que je ne sois pas celui qui lui donne l'orgasme le plus violent, je ne suis qu'un marathonien pour elle, je suis son ordinaire sexuel, sa sécurité, son compagnon par défaut, son mari
Le privilège du mari, c'est qu'il peut baiser tous les soirs et WE, alors que l'amant, c'est quand lui, il peut s'il est marié et qu'elle, elle soit disponible, Marie n'est jamais disponible, je la surveille par toute les manières possibles, même les plus vils, elle ne me cache que ce que je lui ai autorisé, elle ne me le dit pas, mais je le sais quand même, je me dégoute par moment d'etre comme cela, mais la confiance perdu, ne se retrouve jamais, on ne peut que vivre avec, je suis prisonnier de ce manque de confiance, si je la quitte, sans elle, je serais malheureux, si elle m'aime comme Annie me le dit, elle sera malheureuse aussi, si je reste sans la surveiller, je serais malheureux, tout seraient prétexte pour que je crois qu'elle était avec un autre, mon malheur serait contagieux jusqu'a ce qu'il explose, la surveiller n'est pas pour me déplaire, chaque surveillance me montre qu'elle ne me trompe pas, ce qui fait que je l'aime encore plus et elle me le rend,

Marie retourne auprès du client et lui dit que je dois être au téléphone, que je n'ai rien entendu, il reprend possession de son corps, assise sur le canapé, il lui remet le gode dans l'anus et lui suce le clito, elle se frotte d'elle-même sur sa bouche, elle lui tient la tête d'une main et se met l'autre sur la bouche, elle a son troisième orgasme

Après avoir repris ses esprits, elle lui dit, allongez-vous sur le canapé (le vouvoiement est revenu), elle va en cuisine et revient avec du sopalin, elle lui redemande de s'allonger, elle se met en 69, son sexe sur sa bouche, elle sort son sexe de son slip et pantalon, puis le masturbe, pendant qu'il la suce, je ne vois rien de tout cela, je ne vois que la tête de Marie qui dépasse du canapé

Elle me dit qu'il a le sexe de même importance que le mien, comme elle ne m'a jamais menti sur celui des autres plus gros ou long, je suis tenté de la croire, bien sur, le type étant un coureur de 100 mètres pour elle, au bout de 100 secondes, il est sur la ligne d'arrivée, il étouffe son râle dans le sexe de Marie qui lui fait tout cracher dans le sopalin

La situation ne permettant pas aux protagonistes de se reposer dans la même position, chacun reprend une pose plus naturelle pour l'endroit où ils sont, il dit qu'il a été gâté aujourd'hui, elle lui dit qu'elle aussi, et que c'était mérité, je les laisse discuter un peu, puis je reviens, ils sont sur le canapé, l'un a droite et l'autre à gauche, je m'excuse d'avoir dû le laisser, il répond, "mais j'étais en très bonne compagnie, je suis a envier et non a plaindre"

Nous avons discuté une bonne heure ensuite avant qu'il ne parte en disant, rien que pour manger chez vous, j'aimerais vous amenez des contrats plus souvent, je dis, vous invitez de cette façon, c'est la moindre des choses, et je vous en remercie, je ne peux pas m'empêcher de faire de l'humour en disant, "vous avez fait grand plaisir a ma femme……., avec cette prime de nouveau client"

Il faut savoir, que ce genre de "privilège" n'était pas systématique, nous jaugions le personnage avant, certains, qui n'avait fait qu'effleurer se prenait pour quelqu'un qui m'avait supplanté, se disant qu'il allait la baiser dans mon dos, certains peu nombreux, lui donnaient leur numéro de téléphone de ligne perso du boulot, d'autres proposaient de la revoir dans un restau étoilé ou a une soirée de la haute, Marie souriait, faisait sa timide en faisant celle qui ne disait pas non

Ceux-là, je le signalais à ma direction, a juste raison, car par la suite, il préférait avoir affaire à un autre commercial, la honte de se retrouver avec Marie qui les a "baisé", l'un d'eux, un commercial avec qui j'avais de bon rapport, m'a dit qu'un client avait dit en parlant de nous, "ha oui, sa femme est jolie, mais je l'ai trouvé un peu simplette", ce commercial dans sa tête pensait, "dit plutôt qu'elle t'a pris pour ce que tu es, un con"

Deux fois par an, il y avait un repas en fin d'année et un lunch avant les vacances, tout le monde connaissait Marie, pour avoir dansé ou discuté avec (dansé soft), elle est loin d'être bête et grâce a Lucien d'abord et moi ensuite, elle a amélioré sa culture générale, ainsi qu'un langage plus riche, mais ce genre de frustrer habitués aux putes étaient rares

Ce client n'était pas du tout comme cela, quand nous discutions sur un projet, il ne me prenait pas de haut, c'était presque l'inverse, jamais d'allusion, il ne cherchait pas prétexte a venir a la maison, quand on se quittait, il me disait juste de saluer mon épouse, jamais il n'a été la voir a la maison, mise a part la fois pour un nouveau contrat, ce qui fait que 5 mois après l'avoir remercié pour le nouveau client, celui-ci (le nouveau client) me recontacte pour un autre projet

Disant qu'il ne peut pas trop se déplacer avec son bras dans le plâtre, il me demande si je peux venir le voir a son bureau, j'y passe la journée du lendemain, le midi c'est lui qui insiste pour payer le restaurant, la semaine suivante j'y retourne avec le contrat qu'il signe après l'avoir contrôlé, ce client me dit qu'il a prit un risque la première fois, que sa connaissance également, maintenant c'est différent, j'ai déjà une étude satisfaisante qui vient de chez vous

Je n'en parle pas à Marie de la même manière que je ne parle que de ceux qu'elle connaît pour nous avoir accompagnée, bien souvent Marie, la veille me demande, je fais un rôti demain, tu veux, je dit, "soit oui, soit j'aimerai plutôt une volaille, ce soir-là, elle me dit, "une quiche pour demain, tu veux", je dis, "oui si tu veux", on a pas fait le rapprochement sur le coup, mais au boulot, en lisant le cahier des charges du nouveau client, cela me fait associer quiche avec le client

J'appelle Marie en lui disant, veux-tu que j'appelle le gourmand de quiche pour ce soir, elle ne peut pas parler librement, elle dit, "oui au contraire", j'appelle le client et lui demande, "voilà, je vous appelle pour un service pour ce soir, si vous êtes dispos" il dit, "dispos oui, mais pour ? ", je dis, "voilà ma femme fait une quiche demain soir et on en aura bien de trop", il répond que ca le gène de nous déranger, je lui répond que j'ai décroché un nouveau projet grâce a lui, il me dit, bon, comme cela d'accord
En arrivant avec un bouquet, il dit à Marie, "je m'excuse de m'imposer, c'est votre mari", elle lui répond, "oui, il m'a dit que vous ne vouliez pas venir, ma dernière quiche était si mauvaise que cela", j'en ai jamais eu de meilleure dit-il, afin de les laisser seuls, je dis a Marie, "zut, j'ai oublié de remonter une bouteille de vin, je fais celui qui descend a la cave, ça leur laisse le temps de "jouer" un peu, la porte refermé, il allonge Marie sur le canapé, lui embrasse les seins puis se met a la sucer

À sa demande la fois précédente, quand il vient, pas de sous-vêtement, elle l'a contenté la dessus, il lui donne un orgasme avant que j'arrive, afin de leur donner un temps plausible, je suis descendu a la cave sans me presser en ne prenant que les escaliers, je sonne et c'est lui qui m'ouvre, elle était en cuisine, il avait du mal a me cacher son érection, mais comme je regardais ailleurs, il a eu le temps de se rasseoir pour dissimuler

On prend l'apéro, contrairement a d'autres, il n'a aucun geste déplacé en ma présence, j'ai été trop rapide pour l'inviter, je n'ai rien prévu comme excuse pour les laisser seuls, je cogite jusqu'au digestif, c'est une erreur de numéro qui me donne l'idée, je décroche, comprenant l'erreur, je dis "attendez, je rejoins mon bureau", je signale l'erreur, la personne raccroche et je commence a parler plus fort

Faisant celui qui n'est pas content, je raccroche, je les rejoins, Marie, me demande qui était-ce, je dis, "c'est jean, il a oublié le classeur au boulot, il me demande le mien", Marie dit, "il vient le chercher alors", je dis, " non, je n'ai pas envie qu'il vienne ici, je lui ai dit que je sortais, que je lui porte à la sortie du périphérique a coté, je vais préparer ce classeur fictif, en fait, je met le micro dans la chambre d'ami et dit a Marie qui vient en cuisine, d'aller dans cette chambre

Je m'excuse encore en disant que je n'en ai pas pour longtemps et dit tout haut a Marie, "je ne prend pas mes clefs" et je sors, je met mes oreillettes, j'entend Marie lui dire, jusqu'au périphe, il en a pour ¼ h soit une demi-heure aller retour, plus l'attente sur place, il va pour l'attraper, mais elle dit, "attendez" elle va à la baie vitrée et dit, "là ça y est, il est dehors, venez, on va dans la chambre a coté pur ne pas faire d'ombre a la baie vitrée", elle m'a raconté 80 % de ce que j'ai vu et entendu

Pendant qu'ils allaient dans la chambre, il lui demande si ce n'est pas risqué, elle répond que je suis obligé de sonner pour rentrer et que le temps de monter, on aura le temps de se remettre, de la cuisine, elle a amené un chrono de cuisine, qu'elle règle sur 25 mn, vous m'avez une demi-heure dit-elle, pendant ce temps, j'étais rentré sans bruit, j'ai éteint la sonnette, j'ai juste eu le temps de me cacher dans la cuisine, j'entends qu'il dit, je vais chercher quelque chose dans ma veste

Il revient avec le gode, je me redirige vers la chambre, voir si je peux voir, par réflexe surement, il a un peu repoussé la porte, notre chambre étant en face, je l'ouvre pour me replier au cas où, il l'embrasse fougueusement sur les cuisses, les seins, il la suce, la gode, elle jouit sans se retenir de crier, après ce premier orgasme, le deuxième de la soirée, il continue à l'embrasser, a la tripoté partout puis il lui dit en tutoyant, met-toi-en levrette

Elle obéit aussitôt, il lui présente le gode sur sa rondelle, commence à l'enfoncer un peu, le retire, le renfonce à nouveau, le retire, Marie excitée, elle ne se retient plus, elle lui dit, "non, encule-moi, défonce-moi, oui comme ça là bien a fond, houuu, doucement, là oui va y bourre moi, bourre, plus vite, oui tes doigts dans ma chatte, va-y plus vite, plus vite, plus vite encore, là oui haaaa, oui je, je haaaa oui, je jouis, je jouis, haaaaaaaaaaaa, encore, encore, n'arrête pas " il retire ses doigts et la suce

Marie reprend son souffle, il regarde l'heure, le temps passe vite dit-il, il lui retire son chemisier, il retire son pantalon et boxer, s'assoit sur son ventre sans mettre son poids, puis il dit, a moi maintenant, je la vois qui lui attrape les bourses, et le branle de l'autre main, il dit, il faut du sopalin, mais elle lui dit, non, lâche tout sur mes seins, ces mots ne l'aide pas a faire durer, il jouit aussitôt en criant aussi, elle le branle jusqu'à temps que tout le jus soit sortit

Après cela, ils ne traînent pas, moi non plus, je retourne sur le palier, ils vont dans la salle de bains, se nettoient, se rhabillent, Marie remet le lit en état, la demi-heure était à peine passé, je ne voyais plus rien, mais elle m'a dit qu'il était assis, elle aussi, entre ses jambes et il caressait ses seins, l'embrassait dans le coup, pas de suçon a-t-elle dit, a force d'être tripotée, elle a commencée à se masturber, il lui a dit de se lever et l'a branlé, elle a joui a nouveau

Il lui a fait mettre sa main sur son sexe qui a repris forme, elle a été chercher du sopalin et lui a re vidé les couilles, il a demandé si elle ne voulait pas sucer, elle a dit non, avec le sida, ça ne serait pas prudent, je l'ai laissé jouir, quand il s'est levé, pour se nettoyer, j'ai descendu pour sonner, quand je suis rentré, ils étaient gentiment a m'attendre, j'ai dis, les inconvénients d'habiter pas loin d'un collègue, en plus un vendredi soir, on est resté encore une heure a discuter, puis il est partit

En me racontant tout cela une fois couchés, elle ne m'a pas dit qu'il avait joui sur ses seins, je n'aie su que l'éjaculation dans le sopalin, elle ne m'a pas dit non plus que sur le canapé, il l'a caressé et recommencé une masturbation, cela m'avait un peu contrarié, mais il n'y avait pas matière à être jaloux, ni a faire la tête, nous avons fait l'amour, ses orgasmes étaient comme du gaz comprimé dans un endroit confiné, ma torche allumée, l'a aussitôt faites exploser

Les ébats dans ses conditions, je ne lui donnais que deux orgasmes, celui qui couvait et un autre ensuite plus long à obtenir et qui me faisait jouir aussi, Marie était lessivée et moi également, super excité par ce que j'avais vu, le lendemain matin, avant de se lever, en se bécotant, elle me demande en cherchant ses mots, "imagine que le type ou même moi qui emportée par l'excitation, me fasse quelque chose qu'il ne faudrait pas"

À ces mots, je savais ce qu'elle voulait dire, ce qu'elle n'osait pas dire, je lui dis, donne un exemple, en tournant autour du pot, elle me dit, "imagine que dans le feu de l'excitation, j'ai envie de le sucer", je lui dis que c'est risqué, il a surement des copines ou va aux putes", elle répond, "et avec capote", je lui dis, "toi, tu a envie de quoi", elle dit, "de moi"

Je lui dis, "écoute Marie, nous ne sommes plus un couple coincé, tu as des envies, j'ai des envies, je ne veux pas te priver des envies que tu pourrais avoir et qui ça se trouve, ne me dérangerait pas, je t'aime suffisamment pour te laisser entre les mains d'autres types, en retour, je veux que tu sois honnête avec moi, en ne me cachant rien, elle me dit, qu'elle a peur que je le prenne mal, que ça me blesse

Je lui répète qu'il n'y a rien qui me blesserait plus que de me cacher quelque chose, elle me dit, "bon, je me lance, hier, je l'ai masturbé et il a tout mis sur mes seins", voulant confirmer que je n'ai rien vu, je lui dis, "il aurait pu te le demander, elle dit, "c'est moi qui lui ai demandé", je réponds, "ha, je préfère", elle me dit, "et si je l'avais sucé, avec capote bien sûr", je dis, "tu le feras la prochaine fois, si tu en as envie"

Marie voyait mon érection matinale autant que par ses confidences, elle retire les draps et me "fellationne" quand j'ai voulu la prendre, elle a dit non, j'ai eu mon compte et ce soir, j'irais bien au billard, Marie était comme moi, il y avait des périodes, celles où elle voulait faire l'amour avec moi, celles où elle voulait être objet, (avec l'effleureur) et celles où elle avait envie d'extra (avec ce client ou au cinéma), elle me suçait pour me soulager, j'ai donc jouis sans me retenir, on a câliné ensuite, puis a force, j'ai commencé à avoir un début d'érection et elle a dit, debout sinon on aura rien à manger, en effet, il était plus de 9 heures, nous avons fait le marcher ensemble

Afin de ne pas passer pour ceux qui le cherchent, j'attends un bon mois avant de voir à le rappeler, seulement l'idée manque, je ne peux pas lui refaire les mêmes coups, ce n'est pas un imbécile non plus, c'est lui qui me fournit l'excuse, il fait fonctionner ses connaissances, c'est donc un client qui appelle à la boite et me demande, pour un petit projet, une modification, mais comme je dis, il n'y a pas de petits clients.

Quand il me contacte, il me dit qu'il vient de la part de Mr ……, je passe le voir et j'établis un devis, qu'il signe quinze jours après en passant chez nous pour quelques modifications à apporter, il me reste a trouver une excuse pour le laisser seul avec Marie, l'idée me vient quand un soir, allant a ma voiture pour chercher des rames de papier qui étaient dans mon coffre et que j'avais oublié de prendre, en remontant, les clefs de Marie étaient dans la serrure, et je n'ai pas pu rentrer ma clef dedans pour ouvrir, il ne manquait pas grand-chose, mais je ne pouvais pas la rentrer complètement

En allant faire un double, je me renseigne à un serrurier, qui me dit qu'il faut qu'il voie la serrure, car il y a deux systèmes, j'ai de la chance, j'ai celui que je peux bricoler moi-même, comme je ne veux pas esquinter ma clef d'origine, c'est le double que j'usine, j'achète un tour a meuler bas de gamme, du pas cher made in china, et le lundi, quand Marie est absente, je fais des essais, sur le petit balcon

Je meule le bout de la clef, la partie qui ne serre pas pour le barillet, je creuse même en V pour entamer le moins possible sur la partie utile de façon que la clef non retouchée pénètre dans celle meulée, en parlant avec Annie, par moment, elle me disait qu'elle n'aimait pas faire ce que nous faisions avec son mari qui écoutait, même en sachant la complicité, le conjoint bloque un peu

Peur qu'il se dise qu'il est moins performant, moins doué, que l'amant lui est supérieur, je comprenais parfaitement ce qu'elle voulait dire, j'étais en plein dedans, les hommes bandent plus facilement avec la maitresse qu'avec leur femme, et les femmes sont plus excitées avec l'amant, elle me disait donc que si son mari était à l'écoute, elle en tirerait moins de plaisir

Elle se laisserait moins aller, il en était de même pour Marie, son plaisir était plus grand sans moi, elle pouvait se laisser complètement aller sans se dire "que va-t-il penser si je jouis trop fort, si je crie trop fort, si je me donne de trop à cet homme", le but, est que Marie ait le maximum de plaisir et non qu'elle se retienne

Le mercredi, je lui dis que je rentre de bonne heure, une demi-heure avant elle environ, je surveille quand elle rentre dans l'immeuble, j'avais déjà pris ma douche, mais je fais celui qui finissait tout juste, quand ne pouvant rentrer sa clef à fond dans la serrure, elle se dise qu'étant, en principe, déjà rentré, qu'elle sonne pour que je lui ouvre, c'est ce qui arrive, j'ouvre en peignoir, elle demande ce qui se passe, je réponds que machinalement, j'ai mis mes clefs dans la serrure

J'insiste sur le sujet en disant qu'on ne peut pas mettre deux clefs dans une serrure, le soir, je dis à Marie, d'appeler le client, qu'il m'a fait avoir un autre client, lui disant qu'il n'a jamais montré de signe négatif, que je lui autorise tout ce dont elle veut avec lui, je lui montre 3 capotes que je mets dans le tiroir de la table de nuit, et lui dis, ne suis que ton envie, comprenant ce que ça veut dire, elle m'embrasse en disant qu'elle m'aime, elle me demande comment on va faire et je lui explique mon plan

annonce qu'il faut lire surtoutJe laisserais un message au répondeur, des que je le saurais dans l'appartement disant que j'étais retenu au bureau et que je pars de suite, le but, c'est que le client, sache que du bureau a chez moi, c'est une heure de route, et que Marie voit bien que je ne suis pas dans la maison, en plus, je lui dis pour rassurer ton client, met la clef dans la serrure pour qu'il se dise que s'il ne voyait pas l'heure passé, que je ne les surprenne pas

Je dis à Marie, de lui dire de venir a 18h30, il répond si tôt, elle dit," oui, je vous expliquerais", je lui dis que je leur laisse une petite heure, le vendredi, il arrive a 18h25, heureusement que j'étais déjà dehors, Marie me voyait en bas, la cabine n'est pas loin, comme convenue, elle tire le rideau quand il sonne, je me dirige vers la cabine, j'appelle, ils sont la haut tous les deux, elle ne décroche pas et ils écoutent le répondeur, je dis, "bon Marie, c'est moi, du doit être partie au pain, j'ai été retenu, il est 18h30, je pars du bureau, j'arriverais a 19h30, a tout de suite

Il sait, qu'il a une heure tranquille, elle sait que je ne suis pas dans la maison, je reviens en rasant le mur pour ne pas qu'elle me voit revenir si elle est à la fenêtre, je monte, ils sont déjà dans la chambre, le micro y est et le son est bon, j'ouvre, la clef est bien sur la porte, je me déchausse, retire ma veste, et je vais me mettre en position, dans notre chambre, leur porte est comme la dernière fois, juste poussée

Il la caresse, disant, on a plus de temps ce soir, elle répond oui, tu m'as 50 minutes à ton entière disposition, il se demande comment ils vont faire faire quand j'arriverais, elle dit ce qu'on avait décidé, qu'il remette sa veste, et elle, elle mettra les fleurs dans un vase, me laissant croire qu'il vient juste d'arriver moins de 5 minutes avant

Il la caresse partout, la fouille, elle gémit, il avait pris le gode, il l'a gode, il l'a complimente, "qu'est que tu es belle, bandante", là-dessus, il ne peut pas dire le contraire, il lui rentre le gode dans l'anus en lui roulant le clito, elle le repousse, car elle apprécie de trop, le gode rentre complètement, contrairement a quand je suis là, ou elle ne se lâche qu'une fois bien excitée, là, elle le fait bien avant, disant, "hummm, oui encule moi, j'adore qu'on m'encule, oui bouffe ma chatte, bouge le bien dans mon cul, défonce le, oui suce, suce, ho putain, ça y est, haaaaa merde, je jouis, je jouis, haaaaaaa encore, plus fort, plus vite, défonce-moi"

J'adore voir et entendre Marie jouir ainsi, même si là, j'entends plus que je ne vois, il l'a fait mettre en levrette, la suce encore, la gode, il lui donne le gode et lui dit, va, y gode toi, que je te regarde faire, Marie adore cela, se masturber devant un autre, quelques années plus tard, quand l'ADSL est arrivé, elle a souvent obéi à des types qui la regardait en cam, masquée bien évidemment, montrant tout ce que le type voulait, sauf le visage bien sûr

Pour le moment, c'est en live que ça se passe, elle se vibre le clito, s'enfile le gode, Marie n'est pas silencieuse au lit, elle commente, "hummm, regarde mon clito, il aime que je le vibre, et ma chatte, regarde ma chatte, je mouille comme une salope, Marie adore être traitée, quand on ne le fait pas, c'est elle qui le fait, donnant ainsi un indice à celui qui surement n'ose pas, cela fonctionne, le client comprenant ce qu'elle attend, lui répond, " c'est vrai ça, tu es une salope, elle dit oui, une vraie salope, il redemande, une salope ou une pute, elle dit, je suis tout, continu a me parler comme ça

Il lui dit, une salope, ça s'enfile, il faudrait que je te bise ou t'encule, elle lui dit, "oui, dans le tiroir, là", il ne comprend pas et l'ouvre, il voit les capotes et dit, "tu veux que je te baise, "elle dit, "oui, je veux tout, vite", voyant qu'il prend une capote, elle ne peut retenir son orgasme, elle dit, "haaa trop tard, trop tard, je jouis, haaa"

Pendant qu'elle jouissait, il a enfilé sa capote, lui disant de rester comme cela, elle continuait à se goder, il arrive derrière elle, et rentre à fond, elle lance un grand oui, en lui demandant d'être défoncé, il la lime lentement, ne voulant surement pas jouir de suite, il donne le rythme, elle en demande plus

Je découvre une Marie que je ne connaissais pas, son comportement par rapport a quand je suis présent, est complètement différent, avec l'effleureur, je pensais que c'était le rapport dom/soum entre eux, mais là non, je le vois baiser Marie, mais je n'ai aucune pointe de jalousie, intérieurement, je serais mémé à le guider, pour dire, "oui va y rentre bien a fond, donne des grands coups"

Il ressort et comme je m'en doutais, il présente sa verge au bord de sa rondelle, elle dit, "ho non pas par là", mais disant cela, elle tend son cul vers lui, il lui dit, "mais si petite salope, ca va te plaire, regarde tu vois, ça rentre tout seul, tu aime ça apparemment, hein salope que tu aime", elle répond en haletant, "oui, j'aime ça qu'on m'encule, va y bourre moi bien, plus fort, encore"

Ils changent de position, se mettent sur le côté puis il se met sur le dos, il lui demande de pivoter, ensuite, c'est Marie qui s'aidant de ses bras, fait les mouvements, elle le regarde, elle sent qu'il va jouir et s'active pour qu'il jouisse, il la traite encore puis explose, comme avec moi, marie à un malin plaisir à le faire jouir, victoire de la femme sur l'homme, même si cela sonne le glas de la pénétration

Comme tout homme, quand on a un sexe qui pendouille entre les jambes, on se sent con, il retire sa capote et va dans la salle de bains, comme je m'y attendais, j'ai été me cacher dans notre chambre jusqu'à ce qu'il revienne, il la caresse, elle commence à gémir à nouveau, il la suce des deux cotés, il aurait bien aimé remettre ça, mais son sexe n'avait pas repris assez de dureté pour mettre la capote, il a dû se contenter d'une branlette avant qu'elle passe à la douche

Avant de se laver, elle lui a fait une proposition, "que préférez-vous, repartir chez vous maintenant et revenir la semaine prochaine pour le même motif ou restez dîner quand même", il choisit de pouvoir revenir, il remmène ses fleurs et elle lui dit, "je dirais que vous avez appelé en annulant pour ce soir, à cause d'un client important de dernière minute", je n'ai rien entendu de cela, marie me la raconté, je l'ai vu partir de loin, il me restait 10 minutes avant d'arriver

Comme je ne suis pas sensé avoir été là, j'attends l'heure dite, puis après avoir essayé les clefs dans la serrure, je m'aperçois que celle de Marie son encore dedans, je ne peux donc pas ouvrir avec ma clef normale, je sonne, puis elle vient m'ouvrir enveloppé dans une serviette, je fais l'étonner qu'il ne soit pas là, elle m'explique sa proposition, je l'embrasse, je suis excité, je commence à la caresser, mais elle me dit, "tu ne préfères pas attendre que je reprenne des forces", je lui dis qu'elle a raison

Comme je ne lui demande pas comment cela s'est passé, elle m'en fait la remarque, je lui dis, "c'est ton jardin secret, tu n'es pas obligé de me le dire, c'est moi qui t'ai proposé ce type, une seule chose compte, as-tu pris beaucoup de plaisir", elle me dit, "oui, mais parce que c'est nouveau avec lui, ça m'excite plus, toi, tu m'embrasse, lui, il me mange, c'est différent", je lui dis qu'on est entièrement en phase la dessus, en moi-même, je repense au coureur de 100 mètres et le marathonien, les 100 mètres, nous ne les feront jamais ensemble, on les fera chacun avec un ou une autre

On ne l'a rappelé que 3 semaines après, seulement là, elle lui a dit de venir pour 17h45, la différence, c'est que j'avais enregistré sur le téléphone le numéro de la cabine et je l'avais intitulé à Henri boulot, rien de nouveau, même façon de faire, sauf qu'il ne s'est plus mis sous elle, il l'a besogné dans les deux trous, a l'heure convenue, je rentre toujours en sonnant, car la clef ne rentre pas, je lui dis, ha, vous avez pu vous libérer, il s'est excusé pour la dernière fois, nous avons échangé des politesses de faux cul

Marie s'est vite lassée par la suite, il ne venait qu'après un contrat ou nouveau client, toutes les six semaines en moyenne, elle prenait ça comme elle prenait les types au ciné, il n'a jamais cherché à se l'accaparer, il y eut aussi des fois ou il ne se passait rien de sexuel comme ces fois-là, uniquement des tripotages quand j'étais dans le bureau, il repartait en ayant eu quand même sa branlette et Marie son orgasme avec ses doigts

Toute cette histoire avec ce client, par moment me mettait mal a l'aise, mais l'hypocrisie devait primer, le client devait croire que Marie faisait cela pour les contrats, même, s'il se doutait qu'elle y prenait plaisir

Il devait croire que je ne savais rien de ce qui se passait, quant à moi, cela me plaisait qu'un autre lui donne ce plaisir, chose impensable avant Lucien, mais maintenant, je préférais lui donner ce qu'elle avait envie, plutôt qu'elle le prenne dans mon dos.

Nous en avons souvent parlé à ce sujet, j'avais craint un moment, qu'elle ne le fasse que pour me plaire, pour mon fantasme, mais elle m'a dit qu'elle y prenait beaucoup de plaisir également, que si je ne voulais plus, elle arrêterait, mais qu'elle le regretterais, comme pour certains clients, c'était OK, et pour d'autres, non, cela me confortait, je savais aussi qu'elle préférait, que je la pousse avec un autres qu'elle ne voulait pas, plutôt que faire cela avec un qu'elle aurait choisis, ce qui fait que bien souvent, quand je devinais un homme qu'elle appréciait, je faisais celui qui la force vers lui, la nature humaine est très complexe


À suivre
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Vengeance heureuse d'un cocu 9

Le 26/07/2015 - 08:53 par annizette
merci pour les encouragement arsenne, j'ai découvert comme vous cette épisode de sa vie, j'ai très peu vu ce client, je me souviens juste des petits sourire a l'époque d'Henri lors d'une soirée qu'il devait faire et des sous entendu avec Marie. avec ces récits, j'apprend pas mal de chose, au dernier chapitre, moi aussi j'en apprendrais a Henri, c'est une promesse qu'on s'est faite de ne rien se cacher (j'en dis pas plus maintenant, merci aussi a ceux qui note positivement, il faut savoir que c'est éprouvant d'écrire, ca demande beaucoup de temps et réflexions, j'en fais l'expérience, bravo a tous les auteurs
Le 26/07/2015 - 03:17 par arsenne
Bonjour anisette Je viens juste de terminer le 9 Pour moi c'est une des cinq des plus excitantes que j'ai lues. Cette séance avec le client ou Marie se lâche avec Henri comme témoin caché est sublime Vite une autre Arsenne
Le 24/07/2015 - 18:17 par annizette
oui arsenne, mais la soumission de Marie n'a rien de pénible pour elle, de ce que j'en sais, Henri a voulu joindre l'utile a l'agréable, mais il ne l'a pas fait a n'importe quel prix, les qualités humaine des clients étaient primordiales, le but n'était pas le contrat, mais le plaisir avant tout, dont celui de Marie en premier, cela n'est pas raconté ici, mais il y a eu des contrats perdu qui aurait pu être gagné si elle s'était laissée faire, marie est un livre ouvert, en la voyant, on savait si elle appréciait le client, ou si elle lui souriait commercialement. Henri faisait celui qui la pousse, mais il ne la poussait que sur ceux qu'elle appréciait.
Le 24/07/2015 - 17:34 par arsenne
Ahhh ! je viens de lire la quiche. Je n'en reviens pas. C'est d'un érotisme terrible. Cette soumission de Marie à Henri puis sa liberté de se laisser aller à ses pulsions. c'est formidable. Merci Anisette, je suis conquis !
Le 22/07/2015 - 13:45 par annizette
je sais que certains numéro paraissent soit plus intéressant, plus érotique, plus inintéressant peut être, mais la bonne compréhension de l'histoire oblige à raconter quand même, comme j'avais dit, avec Henri, nous nous engueulons gentiment, lui ne veut pas que telle chose soit racontée, mais moi je le veux, ensuite c'est moi qui ne veux pas qu'il raconte telle chose, mais lui il le veut, nous faisons beaucoup de compromis. par exemple, il ne voulait pas raconter l'épisode de la bagarre, mais moi je le voulais, pour justement qu'on puisse avoir une opinion sur lui, il me déplait qu'Henri se flagelle en disant de lui qu'il est nul, mauvais, pas assez ceci, pas assez cela, même si c'est vrai qu'il n'a rien d'un catcheur, tout gringalet qu'il est, il a quand même eu l'audace d'affronter beaucoup plus fort que lui, cela s'appelle le courage et ça mérite tout mon respect
Le 22/07/2015 - 13:23 par arsenne
Bonjour Anisette Je suis tout nerveux de savoir que je vais pouvoir lire la suite de ce couple et du tien J'en suis à relooker le 7. Le meilleur est parfois dans l'attente. Je te ferais part de mes commentaires alors.

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