Victime d'un odieux chantage

Ce qui s'est passé en l'absence de mon mari, seul Dieu, mon beau fils et moi le savons. Je n'ai jamais eu l'intention de tromper Nathan, mon mari, mais à un moment donné les choses sont devenues incontrôlables.
Je suis tombée amoureuse de Nathan, et nous sommes mariés. A ce moment-là, il y avait déjà un fils, John, issu d’un premier mariage. John n’étais pas un enfant facile, et même si j'ai tout fait pour gagner son respect et son affection, cela a été inefficace.
Tout a commencé quand Nathan a dû partir en voyage pour raisons professionnelles, et John et moi avons dû rester seul à la maison pendant quelques semaines.
En l'absence de son père, Il était sous ma responsabilité, même s'il avait déjà atteint l'âge de la majorité, alors je me suis plaint auprès de lui, et j'ai exigé qu'il respecte les horaires que Nathan avait établi, à onze heures à la maison. Comme prévu, il m'a ri au nez, et a continuer à arriver longtemps après l'heure convenue.
J’ai décidé qu'il était temps de lui apprendre les bonnes manières. Alors, j’ai récupéré les clés de voiture pendant qu'il dormait, et sa réaction a été inattendue.
- Alors tu ne veux pas que je sorte trop tard, dans ce cas, le plaisir viendra ici. Tu vas voir, tu vas le regretter, dit-il.
Le reste de la journée, j'étais seule à la maison, mais la nuit venue, John a organisé une soirée avec ses copains et la paix n’a pas duré. Ils ont mis la musique à plein volume, ont commencé à boire et à fumer. D'autres sont arrivés pour se joindre à la fête, jusqu'à ce qu'il y ait tellement de monde, que j'ai été obligé d'attirer leur attention. Il était très tard, je me suis couvert d'un peignoir, et je suis descendue.
La maison était en désordres, il y avait des cartons de pizza, des bouteilles vides et
des verres partout. La première chose que j'ai faite à été de baisser le son trop fort, pour éviter que les voisins ne viennent se plaindre.
J'ai parcouru le salon et la piscine, à la recherche de John. Il y avait des garçons et des filles à moitié nues allongés partout, sur les canapés, à même le sol...Je n'ai pas trouvé John. J'ai éteint la musique et j'ai demandé à tout le monde de partir.
C'était comme parler à des murs, personne n'a bougé, et je me suis senti complètement frustré. J'ai même menacé d'appeler la police. Mais ça n'a pas marché non plus. Alors que je me dirigeais vers le téléphone, John est apparu avec une fille.
- Écoute-moi bien John, si tu penses parvenir à tes fins, tu te trompes lourdement, il y a certaines choses ici qui ne sont pas tolérables et si j'appelle la police, ça pourrait causer de gros ennuis à ton père, ai-je grondé.
Je ne m'attendais pas à une bonne réaction de sa part, car il était visiblement ivre.
- Arrête de te plaindre, tu fais éclater mes oreilles, on dirait une vrai sorcière, dit-il.
Il commença à faire partir ses copains. J’ai pris une profonde inspiration, j'avais enfin réussi à régler la situation. J'ai donc décidé de me recoucher, espérant que tout allait rentrer dans l'ordre. Le lendemain, à ma grande surprise c'était le cas.
Je ne pouvais pas croire ce que je voyais. La maison était impeccable, comme si le désastre de la nuit dernière ne s'était jamais produit.
- Bonjour, il y a du café dans la cuisine si tu veux, je suis en retard, à ce soir, dit-il.
J'étais confuse, John n’avait jamais fait de café, encore moins dit bonjour en l'absence de son père. Je me suis pincée pour m'assurer que je ne rêvais pas, mais tout cela était bien réel. Je me sentais heureuse, mais l'instant d'après, j'étais anxieuse.
Ce garçon doit préparer quelque chose de mal, pensais-je, son comportement était totalement différent que d'habitude ou peut-être avait-il mûri. Impossible, personne ne peut changer comme ça du jour au lendemain. Au cas où, j'ai décidé de rester vigilante.
Les jours suivants, le comportement étrange de John persista. Il a été gentil et attentif, ce qui m'a impressionné et alarmé. Il a même demandé s’il pouvait inviter des potes.
- Andy et Peter peuvent-ils venir ce soir, nous ne te dérangerons pas. Nous jouerons simplement à la console, et ils partiront tôt, dit-il.
- Bien sûr, pas de problème, ai-je répondu.
Vraiment impressionné qu'il semble commencer à me montrer du respect et même à me laisser une certaine autorité. Le soir, les garçons arrivaient à la maison, comme John l'avais dit. Je les accueilli gentiment et je leur ai proposé à dîner. Ensuite, ils se sont installé pour jouer avec la console dans le salon, et j'ai décidé de les laisser, et d'aller dormir. J'ai pris le somnifère que j'utilise à cet effet et je me suis mise à lire.
Pendant un moment, mes yeux sont devenus lourds, j'ai éteint la lumière et me suis complètement endormi. Le lendemain, tout était calme. Cependant, le comportement de John est devenu encore plus étrange. Il a commencé à m'approcher d'une manière qu'il n'avait jamais fait auparavant.
- Bonjour, dit-il en m'embrassant sur la joue.
J'étais presque sous le choc.
- Bonjour, ça va, ai-je demande, je voulais savoir ce qu’il te ferai plaisir à dîner.
- Je commanderai bien de la nourriture italienne, et peut-être de boire du vin, veux-tu ?
Je commençais à m'inquiéter. Où était passé John ?
- Quelle est l'occasion, demande ai-je.
- Aucune en particulier, je pensais juste que ce serait sympa que tu portes cette robe bleu que tu as dans ton dressing, tu es très belle avec.
- Bien sûr, si tu le souhaites
- D'accord je suis encouragé, a-t-il répondu,
Il est parti travaille, mais avant, il m'a encore embrassé sur la joue. Cette fois je pouvais même sentir sa main sur ma hanche. Ce geste était aussi étrange que tout ces derniers jours, mais je n'ai pas cédé, cela n'a aucune importance. J'ai passé toute la journée à y réfléchir, à me demander si je devais rester vigilante, ou faire confiance au changement agréable dont mon beau-fils faisait preuve. Après tout, il était enfin gentil avec moi, c'est peut-être sa façon de me remercier de ne pas l'avoir dénoncé à son père. Mais ce n'est pas la première fois que je lui cache nos problèmes, et il ne m'a jamais dit un remercié auparavant.
Alors que la fin de l'après-midi approchait, j'ai profité d'être seule à la maison et j'ai pris un bain moussant, pour me détendre. Bon j'ai fait un peu plus que ça pour me détendre, je suis aussi devenu un peu coquine, et j'ai envoyé quelques photos à mon mari, il me manquait tellement, surtout ses mains, sa langue et sa queue.. J'ai essayer de l'appeler pour avoir une conversation romantique, et nous gâter un peu, mais il n'a pas répondu à mon appel. Il était certainement occupé. J'ai alors décidé de le faire moi-même.
Je me suis allongée sur le lit, j'ai fermé les yeux et j'ai commencé à caresser mes seins au bout durcit, j’ai doigter mon clitoris, caressé ma chatte, fait des va et viens avec mes doigte jusqu’à l’orgasme.
Quelques minutes plus tard je me suis remercié, car cela m'avait vraiment détendu.
A ce moment-là, j'ai décidé de donner une note de confiance à John, et j'ai même mis la
robe qu'il avait mentionné pour compenser ses aimables attentions. Au moment où il est rentré à la maison, j'étais prête. Alors j'ai ouvert la porte pour le saluer.
- Ouah, tu es radieuse, je suis content que tu ais décidé de la mettre, dit-il en emportant les sacs de nourriture à la salle à manger.
J’ai rangé, pendant qu'il remplissait nos verres de vin. Nous nous sommes assis pour manger, et c'est là que les choses ont pris une tournure inattendue.
- Comment s'est passé ta journée, j’ai demandé.
- Assez bien, mais pas meilleure que la tienne, répondit-il en souriant.
A ce moment-là, j'ai remarqué une étrange lueur dans ses yeux. J'ai pensé que je me faisais des idées, et j'ai laissé est tombé. Mais j'ai ressenti un sentiment inquiétant.
- Pourquoi tu dis ça, ai-je demandé avec un sourire impatient.
- Tu sais, tu étais un peu occupé, non, tu parlais à papa, dit-il.
J'ai été surprise, comment savait-il que j’avais parlé à son père, il l'a dû sentir.
- Heu oui, il va très bien d'ailleurs, il te passe le bonjour, ai-je répondu.
- C'est bon à savoir, merci beaucoup, et que s'est-il passé ensuite, était-il trop occupé pour ne pas t’aider dans les délicieuses caresses que tu as réalisé plus tard, dit-il.
Il y eu à nouveau cette étincelle dans ses yeux et un sourire qui m'inquiétait. Comment. Pouvait-il savoir ce que je faisais cet après-midi- dans ma chambre ? De quoi parlait-il ?
- De quoi parles-tu, je ne sais pas de quoi tu parles, dis-je.
J'ai commencé à me sentir nerveuse.
- Allez, nous sommes des adultes tout les deux, moi aussi il m’arrive d’avoir des envies, je te comprends, répond-il, toujours en souriant et en me faisant un clin d'œil.
- Euh...je ne sais pas de quoi il s'agit, mais je pense que cette conversation n'est pas appropriée John, je suis ta belle-mère, ne l'oublie pas, lui ai-je dit.
J'ai mis mon assiette de côté, je n'avais plus d'appétit,
- Oh, s'il te plaît, ne sois pas comme comme ça, je ne l'oublie pas, et grâce à ça, j'ai l'intention d'avoir un revenu supplémentaire.
- De quoi tu parles, as-tu consommé quelque chose avant de venir.
Les choses qu'il me disait n'avaient aucun sens, et je commençais déjà à m'inquiéter. Je ne savais pas s'il était sous l'influence d'une substance, ce qui n'était pas inhabituel pour lui, ou si c'était quelque chose de plus grave..
- D’accord, je vais te montrer pour que tu saches de quoi je parle, a-t-il dit.
il s'est tenu à côté de moi pour me montrer son téléphone portable, et une vidéo a commencé à défiler. C'était ma chambre et j'étais au lit, c'était moi vivant un moment pour moi, exposé, entièrement nue, stocké dans la mémoire du portable de mon beau-fils.
- Qu'est-ce que c'est, d'où tu l'as eu, pourquoi as-tu une vidéo de moi.
- Calme, calme, je ne l'ai encore partagé avec personne, mais si tu veux que je la supprime, tu devras passer la nuit avec moi, dit-il.
- Tu es fou, comment oses-tu ? Dis-je, levant la main, il l'a maintenu en l'air, m'a regardé.
- Ce n'est pas la seule vidéo que j'ai, tu devrais peut-être reconsidérer mon offre, dit-il.
Et il commença à faire défiler une autre vidéo sur son mobile. C'était moi, j'étais complètement endormi.
Soudain, John et ses amis sont entrés dans la chambre, j'étais immobile, endormie.
Cela a dû se produire la nuit où John les a invité à la maison, après que j'ai pris le somnifère. Je ne pouvais pas croire ce que mes yeux découvraient. Les images étaient pires au fur et à mesure que la vidéo avançait. On me voyait tenir un sexe dans chaque main, ou une queue en contact avec mes lèvres, un gland ouvrant ma bouche prête à sucer. Mon clitoris était mis à nu, un doigt tournant dessus.
Ils jouaient avec moi comme si j'étais un objet de désir. Je me sentais défaillir et j'avais envie de vomir. Comment ne pas me réveiller, comment ont-ils pu me faire ça.
- Tu dois te demander pourquoi tu ne t’es pas réveillé à ce moment-là. Je vais te le dire. J'ai remplacé les pilules dans le flacon par des pilules plus fortes et avons installé une caméra juste avant d'enregistrer tout cela. La vidéo continue, tu veux finir de la regarder, ou est-ce suffisant pour t'attendre dans mon lit, dit John.
- Tu es malade, je ne peux pas croire que tu es fait ça,
Je lui ai dit qu'à ce moment-là, je ne savais pas quoi penser, ni comment réagir, j'étais extrêmement en colère et nerveuse à l'idée que cette vidéo soit diffusée.
- Allez, je la supprimerais dès que nous aurons fini. Je veux juste m'amuser, dit-il.
Je n'avais pas le choix, j'ai dû décider ce qui me convenait le mieux, même si je sais que c’est mal. Je me suis pliée à son chantage, lui ai demandé ce qu’il attendait de moi.
- Ce que font de vrai amant, répondit-il avec un sourire vainqueur, tu dois savoir.
Je l'ai suivi jusqu'à sa chambre, et j'ai vu ses yeux s'illuminer progressivement.
J'avoue que je n'ai pas passé un moment aussi difficile que je le pensais, d’autant que John avait les atouts nécessaires pour satisfaire une femme, mais je ne pouvais pas ignorer le fait que ce que nous faisions, était mal. J’ai juste fermé les yeux, m’abandonnant aux douces caresses qui éveillaient mes sens.
John a encore réussi ce jour là, à me transformer en objet de désir, jusqu’à ce qu’il soit satisfait. Je me souviens encore de la façon dont il voulait me montrer qu'il obtenait toujours ce qu'il voulait, ce n'était ni subtil ni prudent, Ses mains parcouraient mon corps, insistant sur les endroits intime. Mes seins, mon ventre plat, mon bouton, ses doigts qui lissaient ma chatte, puis la pénétraient. A ce moment là, excitée, je compris qu’il fallait que je me laisse aller, que je joue de mon expérience.
Chaque baisers, chaque caresses m’attiraient vers lui. Je me surpris à prendre son sexe en bouche, pour une douce fellation, au bout de laquelle je le maintenais en bouche. A chaque pénétration, mon corps hurlait de plaisir, implorait que ça ne s’arrête pas. Moi qui ne voulais de cette relation, en prenais le contrôle.
A un moment donné j'ai décidé que ce serait ma revanche, lui offrir une expérience si agréable qu'il voudrait la répéter. Je lui ai montré tout ce qu’une femme peut faire lorsqu'elle est attirée par un homme, comment utiliser ses charmes que la nature lui a donné. Tout ça dans l'intention de l’épuiser. Je fus prise à mon propre piège, car John était endurant, et c’est moi qui atteint les premiers orgasmes. Avant le levé du jour, il y en a eu d’autres, John s’est avéré être un amant exceptionnel, inépuisable.
Le lendemain, je me réveillais blottie dans se bras. Je le regardais...comme il était beau.
Nous avons pris une douche coquine, puis avons pris un petit déjeuner. Sans rien lui demander, John se leva, pris son téléphone, et effaça les vidéos.
- Que vas-tu faire aujourd’hui, me demanda-t-il.
Je le regardais en souriant, me leva et lui pris la main pour l’emmena à la chambre.
C’est ainsi que commença une intense relation avec mon beau-fils.