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Visite à la famille de mon fiancé

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/01/2024

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Je suis reçue comme une reine, pendue au bras de son roi. Rémi, vingt quatre ans, et moi Carla, vingt deux sommes les invitée phare de la journée. Étant les futurs mariés nous occupons la place de choix à tables. Nous somme installés près de Marcel, et Line, mes futurs beaux-parents. Après les présentations, nous passons à table. Pendant le repas, je remarque les regards coquins se dirige vers moi. Ça ne me dérange pas, l’ai l’habitude au bureau.
Le repas aussi est dans la tradition, fait de victuailles diverses, trop copieux pour mon sublime corps. A la fin du repas, je me lève pour aider à débarrasser la table, comme j’ai l’habitude de le faire chez moi. Je suis aussitôt clouée sur ma chaise.
- Laisse, dit mamie, allez plutôt vous reposer après ce long trajet.
La chambre est dans la pure tradition cévenole. De hauts plafonds, des armoires immenses, un lit couvert de draps qui diffusent une odeur de lavande enivrante. J’ôte mes vêtements, et c’est entièrement nue que je rejoins mon fiancé sur le lit, nu lui aussi. Je vois son gourdin dressé, en attente d’une douce fellation. J’adore ça, pour l’avoir déjà pratiqué, avec des potes de lycée, qui n’hésitaient pas à vider leurs couilles dans ma bouche.
Après une douche réparatrice, Rémi tient à me faire visiter le domaine.
Du fait d’être les seuls à nous promener en cette heure de sieste, il me demande de ne rien mettre sous ma robe fleurie. Pas de soutien-gorge, pas de culotte.
Quel plaisir de promener sous les bois, le chatte épilée caressée, par une douce brise. Nous nous asseyons sous un énorme chêne, nous embrassons. Rémi a les mains baladeuses, n’hésite pas à les glisser sous ma robe, caresser mon minou avec douceur. Je pousse un long soupir, quand son majeur doigte mon clitoris. Mais cet après-midi, je ne suis pas disposée à jouer, préférant me réserver pour cette nuit, à condition que mon fiancé tienne la distance. Il m’ait eu arrivé, certaine nuit, de quitter le lit, pour aller rejoindre son pote dans la chambre à côté, pour qu’il finisse ce que Rémi avait commencé, me baiser et me faire jouir.
- Désolé mon chéri, trouvais-je comme excuse, mais j’ai envie de faire pipi.
Connaissant parfaitement les lieux, Rémi m’indique un coin, juste après un petit pont de bois. Je traverse l’édifice, à le recherche d’un coin discret, même si je sais que je ne rencontrerai personne. J’essuie ma chatte légèrement mouillée, et alors que je m’apprête à rejoindre Rémi, je vois un homme appuyé sur le parapet du pont, la tête enfouie au creux de ses coudes. En entendant mes pas, l’homme se retourne, surpris de ma présence. Je lis la tristesse sur son visage. Je pose ma main sur son épaule.
- Ça va pas, monsieur ?
- Si vous saviez, bafouille-t-il...c’est ma fiancée...elle est partie.
- A bon, et que c’est-il passé…
- Elle avait promis de me tailler une pipe, et elle s’est dérobé…
- Mais vous inquiétez pas...elle va revenir…
- Mais c’était la première fois pour moi...jamais une fille ne m’a sucé…
J’essaie de consoler cet inconnu, arrive même à le plaindre. Je voudrais l’aider, lui faire ce que sa copine ne lui a pas fait. Mais j’ai un fiancé, et me mari dans quelques jours. Je ne peux, à ce stade, tromper Rémi.
Mais devant la détresse suicidaire de l’homme, mon cœur sonne l’alerte, et me demande d’intervenir. Placée derrière lui, je glisse une main sur le devant du short, et m’aperçois que d’après la bosse qui s’y est forma, l’envie est pressante.
Je prend les deux côté du vêtement, et le fait glisser au sol. Je le force à se retourner, et découvre une queue colossale. Je me dis que peut-être, sa copine avait pris peur, en voyant la monstrueuse bite.
Mais toute bite, aussi grosse soit-elle, a droit au plaisir, à le droit d’être sucer, a le droit d’enfiler une chatte. Sans plus attendre, je tombe à genoux, prends le calibre en main. C’est à peine si mes doigts en font le tour. Je vois devant mes yeux, défiler celle de Rémi. Elle me paraît ridicule.
Après de minutieux et doux va et vient, je parviens malgré tout, à le prendre en, bouche. Le gland, énorme, se décalotte au passage de mes lèvres. Lentement, j’entame une tendre fellation, dont j’ai le secret. Ce membré inconnu se détend, donne de légers coups de reins. Il frémit quand je ressors, enroule ma langue autour de son gland. En l’entendre gémir, je pense lui donner le plaisir que sa copine a refusé de lui donner. Je sens sa queue vibrer à l’intérieur de ma bouche, je la sens frotter contre mes joues. Il pose une main sur ma tête, puis veut la retirer, mais je le retiens fermement par les fesses. C’est accompagné de forts râles, qu’il jouit, les jets de sperme affluent en abondance dans ma bouche, au fond de ma gorge. Les dernières gouttes se posent sur ma langue.
Je lève la tête, lis son plaisir, puis avale sa semence devant ses yeux exorbités.
Il passe ses mains sous mes aisselles, et m’aide à me relever.
Sont visage s’est éclairé, et je devine à son regard, qu’il voudrait me récompenser à sa façon. Il me fait pivoter, me force à prendre appuie de mes mains, sur le parapet du pont. Il soulève ma robe, et s’accroupit derrière moi. Je sens sa langue exciter mon petit trou, puis aller plus loin, lécher et pénétrer ma chatte, aspirer mon clitoris. En ce qui me concerne, c’est, et de loin, la caresse la plus aboutie que je n’ai jamais connu, et qui fait vibrer tout mon corps. J’atteins même un mini orgasme, provoqué par cette langue experte. Toujours appuyée sur la parapet, je cambre ma croupe, l’invitant à me prendre la chatte, car je sais le risque que j’en court, si lui venait l’idée de ma sodomiser.
Je sens l’énorme gland à l’orée de ma fente, qui doucement, ouvre mes lèvres, et me pénètre. Les mouvements, d’une incroyable douceur, suivent. Je ferme les yeux, et ne peux m’empêcher de remercier le ciel d’avoir rencontré cet homme.
Mais même perdue dans mes pensées, je ne peux retenir l’orgasme, qui est en train de se consummer dans mon ventre. Avant de se retirer, l’homme attend que les spasme qui étreignent mon corps s’adoucissent. En se retirant, la bite de l’inconnu fait une pose contre mon petit trou. Je sursaute, me sentant incapable de recevoir un tel calibre. Pourtant. Avec délicatesse, l’homme dilate mon petit orifice des ses doigts, avant de les remplacer par son gland. A ma grande surprise, je ne pensais que que mon petit trou se dilate aussi facilement. C’est donc avec une certain plaisir, que j’acceptais se corps étranger dans mon ventre. Pour amadouer la douleur, si douleur il y avait, le coquin avait passé une main sous mon ventre. Des doigts experts caressaient ma chatte, faisaient rouler mon clitoris. J’acceptais d’un inconnu, tout ce que j’avais refusé à Rémi, quelques minutes plus tôt.
C’est au cours de cette torride sodomise que j’atteins un deuxième orgasme, aussi puissant que le premier. Quant à mon étalon, il préférait jouir dans ma bouche, en pensant certainement à sa copine qui lui avait refusé de lui tailler une pipe.
Sans un mot, l’homme remonta son short, et disparu.
Je profitais du petit ruisseau qui coulait sous le pont de bois, pour rafraîchir mon visage, mon corps, rincer ma bouche pour enlever le goût de sperme. Mais surtout ma petite à chatte, dont la cyprine coulait sur mes cuisses.
Puis, je rejoins mon fiancé. Rémi, s’était assoupi à l’ombre du chêne, et ne s’aperçut même pas de ma longue absence.
Je le réveillé sans le brusquer, et lui dis qu’il était l’heure de rentrer. Il me demandais s’il avait dormi longtemps, je lui répondis que non, mais ne lui dis pas, que ça m’avait laissé le temps de tailler une pipe, et que je m’étais faite baiser et sodomiser par un inconnu, près du pont de bois.
Les grands parents de Rémi avaient tenu à faire les choses en grands, pour nous présenter à la famille et leur amis. C’est au cours de l’apéritif que je reconnu l’inconnu du pont. On fut tous les deux gênés, quand nos regards se croisèrent.
Rémi me dit que c’était son cousin préféré, qu’il se prénommé...Gino.
Nous avons commencé à boire quelques verres pour se mettre dans l'ambiance.
C’est au cours de cet collation, que j’appris effectivement, que sa copine l’avait quitter pour un problème de sexe. J’étais une des seules à savoir qu’elle ne s’était pas adaptée aux mensurations de son copain. Ce que j’avais fait parfaitement.
Collée au bras de Rémi je voyais le regard insistant de Gino, quand Rémi tournait les yeux.
J’avoue que j'étais particulièrement sexy, petit débardeur en dentelle émeraude d’où pointait le bout de mes seins, et mettait en valeur mes grands yeux verts, mini-jupes en jean et de magnifiques chaussures à talons qui rendent irrésistibles mes jambes assez fines et musclées. Je voyais Gino parcourir mon corps de ses yeux, mais évitais toutes confrontations, après ce qu’il s’était passé entre nous.
Le hasard a voulu qu’à table, je sois placée entre lui, et Rémi.
Tout se passait bien, même si je savais que Gino reluquait dans mon décolleté.
J’ai sursauté quand j’ai senti une main se poser sur mes cuisses. Je sentais ses doigts remonter vers mon entre jambes, ce qui a déclenché un effet humide sur ma chatte. Je me tournais vers Rémi, qui discutait avec son voisin de table.
D’un geste, je jetais ma serviette sur mes cuisses.
J'étais mal à l'aise, ma main passée autour du cou de mon copain, et la main de son cousin qui essayait d'atteindre ma chatte. Je ne sais pas pourquoi je n'ai rien dit, rien fait, à part relever un peu ma cuisse pour lui donner libre accès. J'avoue qu'il faut quand même être un peu tordu pour accepter ce genre de choses.
Ses doigts ont écarté mes lèvres intimes et il appuyait doucement sur mon clitoris, ma sève commençait déjà à bien couler lorsqu'il a enfoncé deux doigts dans mon intimité. C'était interdit, mais tellement bon. Je réussi malgré tout, à garder silencieux mes gémissements.
Gino avait posé sa veste sur ses jambes, il m'a regardé dans les yeux et en faisant un petit geste de la tête m'a invité à y glisser ma main dessous. Je me suis donc retrouvée avec sa queue en main. Je le sentais plus gros que cette après-midi sur le pont. Je le branlait, tandis que lui me pénétrait de ses doigts habiles. Malgré la position difficile, il était très doué et maniait parfaitement mon plaisir.
J'ai retiré mon autre main du cou de mon homme, je ne pouvais pas les toucher en même temps. Rémi ne remarquait rien, en pleine discussion avec d’autres invités, dont Steeve, un pote proche lui aussi, qui ne voyait rien non plus, préférant attiser sa curiosité.
J'avais envie d'écarter les jambes, de lui ouvrir les portes complètement et sentir sa queue me limer, qui durcissait sous mes caresses de plus en plus intenses, ses deux doigts étaient désormais en train de faire des va et viens en moi, et je me pinçais les lèvres très fort pour ne pas jouir dans un grand cri...
Entre le moment de pur plaisir que je viens de vivre et le malaise que je ressens vis à vis de mon fiancé, je ne sais plus quoi penser. La seule chose que je sais, c'est que je ne vais plus penser qu'à sa bite que je voudrais vraiment prendre dans la chatte. Mais je lui ai demandé de se calmer, que sa queue dépassait de son pantalon, et que je ne pouvais faire autrement que la regarder, si belle, si grosse.
Pendant que les convives s’occupaient du dessert, ils s’occupaient surtout mon copain, et Gino en profitait pour m’entraîner dans une pièce attenante à la salle.
En fait, cette pièce ressemblait à une petite cuisine d’été.
Gino prit ma main, la posa sur son calibre. J’ai immédiatement reculé, mais il s’est rapproché de moi, en faisant glisser d’avantage son pantalon. Il s’approcha, me prit les lèvres. Elles étaient douces, et délicieuses, sa langue s’engouffra dans ma bouche, sans résistance. Il prit à nouveau ma main, la dirigea vers sa queue dure et épaisse, et doucement, je commençais à la caresser. Puis, il mit ses mains sur mes épaules, exerçant une pression, me faisant comprendre qu’il fallait que je m’occupe de sa bite. Je me suis accroupie, et j’ai pris son mandrin en bouche, tout en sachant très bien, que tailler une pipe était un geste d’infidélité.
Je commençais à prendre goût à donner du plaisir à mon futur cousin. Je me suis prise aux jeux en jouant avec ma langue sur son gland décalotté, malaxant ses grosse couilles. J’y allais franchement, gobant entièrement sa queue épaisse, qui déformait mes joues. Rémi avait un sexe moyen, et je ne suis pas habituée à un tel calibre. Gino gémissait de plaisir, avait l’air d’apprécier ma gorge profonde.
Au bout de quelques minutes, il se retira et m'ordonna de m'asseoir sur le rebord de la table, il enleva par le haut ma petite robe. J’étais seins nus, offerte au cousin de mon fiancé qui bandait comme un fou, il commença à m'embrasser les seins, il léchait mes bourgeons, j’émettais des gémissements, et me laissais faire comme si j'étais sur une autre planète, ensuite, il descendit le long de mon ventre, et de ses mains à retirer mon string qui devait être bien trempé.
Je poussais un râle de plaisir, quand son énorme calibre pénétrait ma chatte.































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Commentaires du récit : Visite à la famille de mon fiancé

Le 11/04/2024 - 00:20 par alexandre8819
aurore je viens de découvrir tes hsirores si tu es ainsi que dire que tu dois être excitante tu m'as bandé j'adorerai te connaître bisous c'est quand tu veux ou tu veux ce que tu veux autant que tu veux

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