Vive le printemps 1

Bonjour à tous,
Après plusieurs mois d’absence je suis de retour avec quelques histoires bien croustillantes.
Toujours étudiante en droit dans le sud, j’ai vécu le mois dernier une expérience fascinante. L’université est un lieu rempli de personnes à découvrir, de lieux insolites, de situations particulières. Des caresses silencieuses sous la table du fond de la bibliothèque, une petite fellation à l’angle d’un couloir inoccupé, des doigts joueurs dans un amphithéâtre…
Oui j’aime le sexe, j’aime donner et recevoir du plaisir, je ne m’en lasse pas, je suis jeune, séduisante et bien faite alors j’en profite pleinement. J’aime jouer avec le charme et le mystère, très espiègle, tantôt innocente tantôt brûlante, mais je ne m’attendais pas à vivre cela…

Ca y est le printemps a fraîchement débarqué, du moins le soleil était là, je peux enfin mettre cette superbe petite robe bleue marine légère et sensuelle que je me suis offerte peu de jours avant. Ni trop longue, ni trop courte juste en dessus des genoux, un dos nu assez échancré et un décolleté sexy juste ce qu’il faut pour ne rien montrer et tout laisser deviner. Mes longs cheveux retenus dans un chignon je suis d’une humeur excellente, prête à aller m’instruire. Je ne porte pas de soutien gorge, ça n’irait pas avec ma robe, et j’hésite à enlever mon string pour sentir l’air doux caresser ma petite chatte. Allez je l’enlève ça ne se verra pas si je croise mes jambes.

Je sors prendre le bus, bondé comme d’habitude, le chauffeur mate mes jambes quand je rentre. Je me fais une petite place dans un coin du bus accroché à la barre, à côté de moi, un homme d’une cinquantaine d’années bedonnant et un couple que je reconnais comme des étudiants de ma fac. Je ne les connaîs que de vue, alors on ne se parle pas, ces deux-la sont toujours collés l’un à l’autre et ils forment un très joli couple. Il est plutôt élancé, brun, les yeux couleur noisette, beaucoup de charme mais c’est son amie que je trouve encore plus attirante, une grande blonde aux cheveux courts et aux yeux verts, elle a l’air terriblement bien foutue et je reluque son décolleté malgré moi. Elle surprend mon regard, et m’observe un peu curieusement, je suis très gênée et tourne rapidement mes yeux vers la vitre pour ne plus la quitter. Mais le mal est fait, j’ai en mémoire la vision de sa poitrine qui a l’air plutôt généreuse. Je ne suis pas lesbienne, je ne me décrirais pas non plus comme bisexuelle mais il y a des personnes qui vous attirent qu’importe leur sexe et cette fille-là me faisait cet effet.
Le bus s’arrête avec une petite secousse et je sens une main m’empoigner les fesses puis les relâcher presque aussitôt. Je me retourne et j’aperçois l’ami de ma belle blonde sourire aux lèvres. Je me hâte de sortir du bus, trop de chaleur là-dedans, les gens deviennent fous quand le soleil sort !

Je passe la première heure de cours à essayer de suivre quelque chose, mais mes pensées se portent sur la poitrine de cette jolie blonde et la main de son mec sur mes fesses, furtives mais étonnamment viriles. A côté de moi, il y a ce type qui ne me lâche pas, je l’ai sucé dans les règles de l’art quelques semaines auparavant et depuis il s’accroche. Il pose sa main sur ma cuisse et tente de remonter sous ma robe. Une autre fois je l’aurais bien laisser faire mais là je suis en colère, frustrée même, je le repousse sèchement et retourne à mes divagations. Soudain, je les vois, quelques rangs plus bas sur la droite, c’est un amphi plutôt immense je ne m’attendais pas à les retrouver.
C’est la pause, et je la vois qui se lève et je décide de la suivre, elle se rend aux toilettes, j’entre et feins de me recoiffer, c’est plein de monde. Elle s’approche de moi pour accéder au lavabo, je sens son parfum fruité et devient figée. On s’attarde toutes les deux, sans aucune pudeur elle passe sa main sur mes fesses et les frotte quelques instants. Je la regarde mi-surprise mi-amusée et elle me murmure à l’oreille :

- Je voulais vérifier par moi-même que tu ne portais pas de culotte.

Et elle me laisse là sans ajouter un mot. Je retourne à ma place encore sous le choc, le type collant est toujours là, je lui donne une tape sur l’épaule, il se tourne vers moi et j’écarte les cuisses....