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Voisin mitoyen de vacances

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Lue : 10997 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/02/2016

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Certains ont de la chance dans leurs malheurs.

Je pense à cet homme de la quarantaine, 1.75 m pour 75 kg. Ce n'est pas apollon, mais il se laisse regarder. Il est marié à un dragon à l’âge indéfinissable, 1.65 m pour 75 kg, un visage ingrat qui ne connaissait pas le sourire, une peau grasse, habillée comme l’étaient nos arrières grands-mères pour aller dans les champs, sauf que là, elle était censée être en vacances.

Par deux fois, nous avons tenté un « bonjour », auxquels elle n’a pas répondu au premier, et au deuxième, c’était en le prenant de haut.

Lui, il répondait, mais elle lui disait de rentrer dés qu’on était sur le balcon, je pense qu’elle avait dû voir ses yeux quand son mari me regardait, il avait peur d’elle. Ils avaient un fils d’une dizaine d’années, aussi souriant que la mère, et toujours dans ses jupons, ou plutôt ses loques.

Leur appartement était en tout point symétrique au nôtre, même disposition des pièces et nous partagions le balcon, enfin en principe, car elle avait demandé au propriétaire de mettre une grande jardinière qui délimitait le côté de chacun. Nous avions vu sur la mer de notre côté et eux non, une baie vitrée pour aller à ce balcon. La salle était composée d’un bar sur le mur mitoyen de nos voisins.

Nous, couple plutôt libertin, mais en vacances pour se reposer. Nous n’avions décidés qu’au dernier moment de l’endroit, cela à cause de mon mari et de ses deux copains, que je n’appréciais pas plus que cela.

Mais voilà, ils avaient sur place un ami qui avait un terrain de motocross, ce qui décida mon mari d’y aller. Je n’étais pas contre, non pas que l’endroit était beau, la plage, la route, et les immeubles à touristes, nous avions loué 2 semaines, et le reste du mois, c’était à mon tour de décider de l’endroit.

Mon mari approchant la cinquantaine, moi quarante passés, ses copains, un peu moins. Comme mon mari, ils aimaient le motocross, mais ce n’était pas le motif pour lequel je ne les appréciais pas.

Je plais aux hommes et je suis toujours habillée sexy, j’ai des mensurations très appréciées aussi. Ces deux-là ne disent pas le contraire non plus, à leurs regards qui des fois est loin d’être discret, je sens bien que d’être la femme de leur copain, cela n’empêcherait rien.

Si je ne les aime pas, ce n’est pas pour leur coup d’œil répétitif sur moi, bien au contraire, mais j’ai surpris des conversations qui m’ont fortement déplu, des vantardises de leur part, ainsi que des médisances, en clair, se sont des mauvaises langues.

Quand ils sont là, je ne fais pas de seins nus à la plage, pas de tenue transparente le soir à la télé, quand ils la regardent chez nous. Au cas où nos irions ensemble à une soirée, pas de mains baladeuses.

Autant les autres me voient plus dévêtue et me reluquent sans que je ne dise mot, certains me frôlent même lorsque l’on danse. Je fais celle qui pense que cela vient des bousculades ou du déhanchement, alors qu’avec eux, c’est rien de tout ça. Ces deux-là, racontent tout à leur sauce dans une version qui les arrange et toujours vers la médisance

Les présentations faites, je commence l’histoire.

Un matin, alors que les hommes étaient au cross, je reviens de la plage, il ne devait pas être loin de midi, je pose mes affaires, je prends une douche, je passe une robe pour sortir et je vais sur le balcon, regarder si je vois la voiture sur le parking, signe que les hommes sont revenus. Mais rien, j’entends

- « Bonjour ! »
Je me retourne et je vois le voisin. Je réponds à son bonjour, on se met à discuter. Je ne lui ai pas dit, « on voit que votre femme n’est pas là, sinon, c’est direct à la maison ». Non, on discute des appartements que l’on a, chacun du côté de sa jardinière, la frontière du balcon, il me dit, vous devez voir la mer de votre coté, je réponds oui, et je lui demande s’il veut venir voir.

Il enjambe la jardinière et nous allons au bout du balcon, car pour la voir, elle n’est pas dans l’alignement de l’immeuble. On continue à discuter, moi, je regarde si les hommes n’arrivent pas dans l’entre-temps. Lui, il devait surveiller le moindre bruit chez lui au cas où sa femme arriverait, et au bout d’un moment, c’est ce qui arriva, sauf que ce n’est pas la porte d'entrée qu’il entendit, mais elle, qui était déjà dans la salle.

Son visage devient blanc. Moi-même, je n’en menais pas large, car je n’ai pas envie d’avoir des histoires. Dans la seconde où nous entendons sa voix, il rentre chez moi et je le suis, il cherche en me regardant, un endroit pour se cacher, et comprenant que nos appartements sont symétriques, il va pour se diriger dans la chambre, je lui dis non, plutôt ici derrière le bar, il y va et se met à terre.

À partir de là tout va très vite.

Sa femme voyant la baie ouverte, elle se dit qu’il est chez nous, elle vient de notre côté et sèchement, elle me demande si j’ai vu son mari, je réponds que je viens juste d’arriver, dans le même temps, mon mari et ses deux copains arrivent aussi.

Elle n’a même pas écouté ce que je lui ai dit, mais voyant que je suis avec mon mari et les deux autres, elle pense qu’il ne peut pas être là. Mon mari qui était derrière les 2 copains, dit
-« un petit apéro »

Il se dirige vers le bar. Voyant la situation qui allait se produire, les copains découvrant un type caché sous le bar pendant que j’étais seule, c’était leur servir leurs élucubrations sur un plateau.
Je réagis en disant.
- « Asseyez-vous sur les tabourets de bar, je vais faire le service »

Ils n’ont pas dit non. Comme ça, ils pouvaient mater dans mon décolleté et rester tranquilles. Je passe derrière le bar et j’enjambe discrètement le type qui était à terre. J’essaie de rester bien sur le côté du bar, mais ce n’est pas commode. A force d’être en équilibre en faisant le service, j’ai failli tomber en arrière. Afin de rattraper mon équilibre, j’ai dû mettre une jambe en arrière, enjambant ainsi le voisin !

Au point où j’en étais, rien ne servait de vouloir me remettre sur le côté.
La situation était celle-là : les hommes au bar devant moi, le voisin, lui allongé a terre le long du bar et moi debout, jambes écartées au-dessus de lui. Comme ce n’était pas très confortable non plus, j’ai voulu rapprocher mes pieds, et pour ce faire, j’ai dû avancer mon pied-droit à la seule place possible pour l’équilibre et ne pas lui marcher dessus, c’était entre ses cuisses.

Je suppose qu'il a deviné que je voulais y mettre mon pied puisqu’il a écarté ses cuisses pour me faire de la place. Pour vous faire une idée, j’avais donc mon pied gauche à côté de son cou et le droit entre ses cuisses.

Je redemande aux hommes veulent un deuxième apéro. Mon mari me répond :
- « Oui, mais on va le boire en regardant le film ! »(film de leur motocross).

Je les sers, et en même temps, je sens ma robe qui se soulève. J'essaye de garder une attitude normale. J’essaie de bouger l'un de mes pieds, mais ses cuisses le retiennent et sa main retient l’autre. Je ne peux que laisser faire.

En me tournant, pour attraper mon jus de fruit, je regarde vers le bas ou je le fusille du regard. Une fois les hommes servis, ils vont s’asseoir sur le canapé devant la télé. Je le fusille à nouveau du regard et il me fait chut. Il avait compris que la situation était autant embarrassante pour moi que pour lui, au cas où nous serions découverts.

A force, la situation de ce type qui me mate dessous, m’a un tantinet excitée, pas suffisamment pour le laisser faire. Mais je ne pouvais rien tenter pour me libérer. Sa main libre commence à me caresser la jambe et la cuisse ensuite. Je me tortille des jambes, mais comme de temps en temps, mon mari comme les 2 autres se retournent en me disant.

-«! Tiens regarde, c’est là que je suis tombé !»

Je dois donc faire comme si de rien n’était. Afin de justifier de rester au bar, j’avais dit que je nettoyais un peu, car j’avais renversé du jus de fruit et je ne voulais pas que ça attire les mouches.

Avec le bruit de la télé, ils ne peuvent pas entendre ce que je dis. En me baissant le temps d’une seconde, je dis à voix basse au type de me lâcher. Il me répond :

- « A condition que vous retiriez votre string ! »

Je me rebaisse à plusieurs reprises en disant

- « Non mais, ça ne va pas ?! »

Il continue ses caresses. Mon string commence à être humide et j’ai peur que mes contorsions et mimiques se voient. Je me rebaisse en lui disant :

- « Ok, je le fais et vous me lâchez »

Il fait un signe de la tête qui ne signifiait pas forcément oui, mais comme je n’avais pas le temps de répéter ma demande...

J’étais gênée de devoir faire cela, mais je reconnais aussi que j’en avais envie. Il fallait que cela s’arrête, car j’avais peur de ne plus me contrôler. Je commence donc à baisser mon string. Et du fait de ma position écartée, je ne pouvais pas le défaire plus que les genoux.

Il met ses doigts sur la corde ou mon intimité a humidifié le tissu et me fait comprendre que c’est humide, et qu’il faut le retirer complètement.
- « Oui, mais il faut me lâcher ! » Dis-je doucement.
- « D'accord, si vous promettez de ne pas partir, de toute façon, je vous tiendrais un pied ».

Il desserre les cuisses, les 2 copains se tournent vers moi pour me montrer encore ce qu'il va se passer sur la piste. Je ne peux pas me baisser pour descendre ce fichu string, ni risquer une chute, ils seraient trop heureux de venir me ramasser.

Lui, dessous, comprend ce qui se passe et c’est lui qui me le défait. Il me resserre le pied de ses cuisses, cette fois-ci, plus prés de son entre cuisses où je sens bien son état. De son autre main, il me lâche le pied pour faire pareil, et enlève le tissu.

Dans un timide effort, j’allais retirer mon pied d’à côté de sa tête, mais flairant le coup, il me le rattrape en plein vol et me le repose là où il était, je lui chuchote :

- « lâchez-moi, j’ai tenu parole »
- « non, vous vouliez vous enfuir, alors ça sera un gage »
- « Si vous montez plus haut votre main, je crie »
- « Je ne vous toucherais pas plus qu’en ce moment, sauf si vous me le demandez »
- « ça ne risque pas »
- « Votre gage, relevez votre robe !»

Après plusieurs « non » de ma part et demandes de la sienne, il dit ou plutôt, me fait comprendre à sa façon de bouger ses lèvres :

- « On reste comme ça alors »
- Je la relève un peu ma robe
- « plus haut ! »

Je relève un peu plus, et plus la robe remontait, plus mon excitation montait aussi.

- « relevez-la jusqu’à la ceinture, allez plus qu’un petit effort »
Plus je relevais et plus j’étais humide, je dis, "voilà, et maintenant", je me délecte me fait-il comprendre.

La position qui m’excitait de plus en plus, la main qui était sur ma cuisse, mes petits tressaillements montraient que je ne pouvais plus maîtriser. Je sens sa main qui tenait mon pied relâché peu à peu son étreinte jusqu’à la libérer complètement mon pied.

J’aurais pu en profiter pour partir en force, mais craignant qu'il me le rattrape en me faisant trébucher et surtout, je n’en avais plus du tout envie de partir.

Sa main libre remonte le long de mon autre jambe tout doucement. Sa main s’arrêtait comme l’autre, à mi-cuisse, je ne bougeais pas. J’attends qu’il remonte. A-t-il compris qu’à partir de ce moment-là, j’étais à sa merci, je ne saurais le dire.

II avait gagné la partie. J’écarte un petit peu plus les genoux pour qu’il en profite. Je me penche un peu en avant pour tendre le derrière, espérant qu’il continue, mais rien, il continuait à caresser, mais sans aller plus loin.

J’avais bien vu son pantalon gonflé, mais je ne pouvais pas me baisser pour l’attraper, cela aurait paru bizarre aux hommes. Je ne pouvais quand même pas dire à ce type de continuer plus loin son exploration, quelle honte.

Mais je ne tenais plus, resté comme ça les cuisses écartées, offrant mon intimité complète, sentir ses mains si prés de l’endroit du plaisir, je n’avais qu’une envie, c’est qu’il me pénètre de ses doigts pour me soulager.

Par moment, je lui lançais des regards significateurs, mais il faisait celui qui ne comprenait pas. J’arrivais à lui dire tout bas.

-« Alors ?» Auquel il répondait :
-« Alors quoi, je respecte ce que je vous ai promis »,
- « Quelle promesse » répondis-je ?
-« Celle de ne rien faire, de ne pas remonter ma main plus haute tant que vous ne me le demandez pas ». Je réponds,
-« ha d’accord, c’est bien, c’est parfait alors »

Pendant encore quelques minutes, je fais la fière, mais n’y tenant plus, je lui dis que je l’absous de sa promesse. L’animal me répond,

-« Je ne comprends pas, soyez plus claire, que voulez-vous que je fasse ? » , J’ai du répondre
-« Tout ce dont vous avez envie », à cela, il me répond,
-« Caressez-vous »,

J’ai dit non, mais j’ai du m’y résoudre.
Dès que j’ai commencé, il m’a mis ses doigts dans mes orifices, recevant quelques petites giclées sur le visage.

J’avais du mal à garder une position et un visage où je restais normale pour les hommes, mais heureusement leur film se terminait, et en se levant, mon mari me dit, on y va (au restaurant). Je réponds ?

-« Oui, allez-y, je vous rejoins, je me rince, me change et j’arrive »,
Mon mari ne savait pas que je m’étais déjà douchée en revenant de la plage. Dès qu’ils sont partis, et que je les ai entendus dans l’ascenseur, ce voisin est arrivé derrière moi, et m’a prise debout dans le couloir de l'appartement (non-visible du balcon).

Il était tellement excité aussi, qu’il a dû se retirer pour ne pas jouir. J’ai compris pourquoi et ai été chercher une capote que j’ai toujours dans mon sac.

Il m’a ensuite baisée et sodomisé, me disant que c’était la première fois qu’il faisait ça, que sa femme n’aimait rien dans le sexe, que la position du missionnaire était déjà du vice à ses yeux, étant excitée aussi, j’ai vite eu un orgasme en me masturbant le clito, le sien est arrivé derrière moi, aussi rapidement.

On a très peu discuté, lui s’essuyait au lavabo tandis que je prenais ma douche, il m’a juste dit que sa femme n’aimait pas le sexe du tout et qu’avec moi, il en avait pris pour 6 mois, qu’il avait une maîtresse à son travail, mais qu’il la voyait rarement à cause qu’elle était mariée aussi.

Après ma douche sous ses yeux, j’ai mis une robe très courte et sexy, afin d’arriver en retard au restaurant sans avoir de remarque des deux copains. Lui est sorti dans le couloir, puis il est rentré chez lui. Après que j’ai pris l’escalier et l’ascenseur à l’étage du dessous, en bas, j’ai fait le tour de l’immeuble afin de ne pas passer sous notre balcon, au cas où la furie y serait.

On n'a jamais eu l’occasion de se revoir. Sa femme surement depuis ce jour, avait du, lui serrer la vis encore plus. Quand je lui ai dit, mon mari m’a envoyé :

-« y a qu’as toi que ça arrive ce genre de chose », il lui semblait bien bizarre que je reste derrière le comptoir, mais comme j’avais dit que je le nettoyais, il a rajouté,
-« Heureusement que mes deux indiens n’ont rien vu, sinon je ne te dis pas notre réputation ensuite ».
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Histoire de annizette

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