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Voyage d’une petite culotte 4

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Lue : 1913 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/07/2013

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La bonne dimension

J’ai oublié un logiciel à la maison. Un saut en voiture va me permettre d’effacer cet inconvénient. J’entre chez moi. La clé de Rose est à l’intérieur, sur le barillet Bricard. Tiens, Rose est à la maison ? Ah ! Oui, c’est mercredi. Sur le dossier d’une chaise est suspendue une veste d‘homme, celle de Benoît certainement, sur la table sont étalées les chemises cartonnées de leurs dossiers. Dans son coin l’ordinateur ronronne, délaissé depuis peu. Où sont ma bénévole et le maître des loisirs communaux ? Ni à la cuisine, ni dans les chambres, ni à la cave… Rose fait visiter le potager ou la dépendance peut-être : j’y élève quatre poules pondeuses et trois lapins d’un côté et j’y entrepose mes outils de jardinage et le fourrage pour mes volailles, un tonneau de céréales des bottes de foin et de paille. Derrière la bâtisse je cultive quelques légumes. Rose admire le soin que j’apporte au bon alignement des plans de choux, oignons, haricots etc. A tout coup elle montre à Benoît mes travaux.

Je traverse la pelouse en direction du jardin. J’entends un battement d’ailes de poule dans le poulailler. Les poules devraient être à l’extérieur dans leur parc. Que …? Sur la clenche de la porte pend un linge blanc, une petite culotte de Rose. Bizarre. J’avance à pas de loup.
Depuis la porte je … vois mal ? Rose est nue comme au jour de sa naissance, de profil, les yeux fixés sur la main droite de Benoît (je suppose). L’homme, pantalon sur les chevilles me tourne presque le dos, son bras passe entre les deux ventres et sa main fouine entre les cuisses de ma femme. Il fouille son sexe, se penche pour pénétrer le plus loin possible, s’amuse à faire couiner Rose. Un ordre agenouille sa proie, il lui présente sa verge
- Suce. Lèche d’abord, tout autour, comme un cornet de glace.

Rose tient entre ses doigts une verge raide, un beau morceau de chair. Ce n’est pas le monstre de Rodolphe, mais à distance l’engin paraît de taille respectable. Mains sur les hanches, Benoît, (si c’est lui), propulse son ventre vers l’avant :
- C’est fameux. Maintenant en bouche, ouvre tes mâchoires et réjouis ton palais. Eh ! Ne mords pas, tes dents me font mal. Ouvre plus grand.

Rose par précaution ferme son poing autour de la base de la longue tige gorgée de sang. L’homme abat une main dans les cheveux longs, tire à lui la tête, s’enfonce jusqu’au poing.
- Oh ! Tu n’as plus peur, tu me connais, lâche ma queue et avale tout.

Rose fait un bond en arrière, s’arrache à la prise, toussote :
- Tu as beau dire, je n’ai pas l’habitude, celle de Paul entre facilement, elle est minuscule comparée à la tienne. Laisse-moi le temps de m’habituer à ton gourdin.
-Reprends sans crainte, ma bite est normale. Gratte-moi les couilles en même temps.

Rose s’applique. Lui maintient à deux mains le crâne et pousse. Il ne reste qu’un ou deux centimètres hors des lèvres aplaties sur le tube épais. Le recul permet à Rose de cracher un trop plein de salive. Cette fois je ne m’en remettrai pas. « Mignon, petit, minuscule, » c’est la descente vers le nul, l’inexistant et le vocabulaire de Rose à lui seul est une justification de l’adultère en cours. Ils ont dépassé l’intention, les choses sont assez engagées pour que je me considère comme cocu. D’ailleurs la situation évolue. Benoît, c’est lui, mes yeux s’habituent à la demi obscurité, Benoît donc pousse Rose sur une botte de foin, se place à son tour genoux au sol entre les cuisses de ma femme. Sa tête se fraie un chemin, se pose sur le sexe de son amante, et bouge comme pour dire oui, monte et descend. Rose se met à feuler. Une respiration retenue quelques secondes se relâche bruyamment à intervalles réguliers. Elle veut se contenir mais lui veut la soumettre entièrement et cherche à vaincre avec sa langue, ses lèvres et ses doigts, les efforts de cette femme qui ne veut pas reconnaître trop vite sa reddition.

De nouveau il est debout, s’astique le manche et aide Rose à se relever
- Pose tes mains sur le foin.

Benoît, le père de famille, passe aux choses sérieuses, les préliminaires l’ont enflé au maximum. Rose est penchée sur la botte de foin, pieds écartés, torse courbé en avant. Il s’active derrière le dos nu, plie les jambes pour se mettre au niveau du sexe de Rose, pousse en remontant. Elle fait : haha pendant l’intromission. Il bute contre les fesses, se colle à la croupe puis commence la danse de l’accouplement.
Entre bras et torse un sein ballotte au gré des coups de bite de Benoît dans son… Je ne sais s’il l’enconne ou l’encule, il fait sombre dans le local.
Le coq fait cocorico :

-Alors ma poule (la destination du lieu l’inspire), ce n’est pas meilleur qu’une petite queue ? Là tu prends du calibre seize, un braquemart de sportif… On est plus en sécurité ici que dans le bois le vendredi. ..C’est bon ? Tu dégustes hein. Respire tranquillement, inspire… expire… Tu sens ?
- Oh ! Oui. Vas-y, c’est tellement meilleur que la toute petite bite de Paul.
- Elle est vraiment si petite?
-Minuscule, comparée à la tienne. Dis, quand divorces-tu?
- Ne sois pas impatiente. Ce n’est pas facile, il y a mes filles. Arme-toi de patience. Je voudrais attendre la majorité de la cadette. Après, adieu Brigitte, vive la liberté.
- Tu m’avais promis. Trois ans, tromper mon homme pendant trois ans. Je ne pourrai pas.

Il continue à limer en silence avant de relancer la conversation :
- Je sais. Mais tu ne m’aimes plus, tu es pressée ? Regarde, nous sommes bien comme ça. Chaque mercredi je te culbute ici, ça ne laisse pas de trace; chaque vendredi nous prenons notre plaisir dans le cabanon au bord de l’étang. Que veux-tu de plus ? Les cocus sont aveugles, nous ne risquons rien.
- Je veux t’avoir à moi, tout à moi, tous les jours. Oh que tu me fais du bien. Ramone-moi la cheminée, plus vite, plus fort. Hooooooooo!
- Ça viendra. En attendant profite de ton Paul. Tu le dis si gentil. Il est gentil, je te baise : tu as de la chance !
- Oui, si son pénis n’était pas aussi minuscule…le tien est à ma mesure… C’est injuste…

Ses phrases sont hachées, cassées par la montée de la jouissance, à la limite de la cohérence

-- Dans le fond, puisque tu ne te décides pas, je devrais rompre avec toi. Claudine me proposera un célibataire robuste et vigoureux avec une canne plus jeune et plus grande que la tienne. Lundi, à la piscine elle m’en a montré un. Costaud mais pas beau. Elle cherche un autre candidat. Aïe, oh ! Oui, encore. Attends, je me mets sur le dos.

« Aussi minuscule » a-t-elle répété. Je ne supporte plus son dédain. Mais il ne fallait pas te jeter dans mes bras, tu étais avertie. Pourquoi ?

Benoît redressé entretient manuellement son érection. Si je disposais d’un moyeu de cette taille je ne serais pas un lamentable cocu-voyeur malgré lui. Rose étale un drap de bain froissé sur le lit de foin, s’assied en bord de botte, s’allonge, lève les jambes. Benoît les saisit comme des brancards, s’avance dans la fourche des cuisses, vise la vulve, s’installe puis s’enfonce brutalement dans le con. Un grand « Ah ! » salue la pénétration. Rose marque chaque entrée d’un profond soupir. J’enrage. La salope, salope, salope !

« Elle m’aime ! » Elle le répète à tout vent. Menteuse, adultère, prête à partir avec Benoît ou avec le prochain amant présenté par Claudine. Salope, cette fois il n’y aura pas de pardon. Le spectacle me dégoûte.

Je m’arrête au salon, je vide les poches de Benoît. Son portefeuille épais contient ses pièces d’identité, ses cartes de sécurité sociale et de complémentaire, sa carte bancaire, une carte de fidélité de grande surface. Une enveloppe est pleine de billets de banque. Ce sale type me vole ma femme. Je lui vole le contenu de sa veste. Je balance les dossiers à travers la pièce et vise le dessous des meubles. J’ouvre la fenêtre qui donne sur la rue et je place une chaise dessous. Je jette la veste dans le panier de linge sale sous une serviette et sous mes slips. Je quitte la maison, les amants sont encore accouplés. Si elle continue à geindre et à crier son bonheur, Rose ameutera les voisins, je me sauve. J’entre dans mon bureau au moment où le téléphone sonne.
- Allo, ici Paul.
- C’est toi, mon amour. Tu es au travail ? Tu ne serais pas passé à la maison ?
- Non. Pourquoi ?
-Je montrais ton beau jardin à Benoît, j’avais oublié de fermer la fenêtre côté rue. On nous a cambriolés.

Elle montrait mon beau jardin ! Elle montrait son con en réalité. Tu penses. Et Benoît retournait ma terre peut-être ? Il l’ensemençait aussi sans doute ! Il piochait et arrosait mes plants ! Son plantoir faisait mon travail ! Rose en était toute rouge et humide.

- Porte plainte, ma chère. Tu pourras goûter au bâton de gendarme.
- Quoi ? J’entends mal.
- Les gendarmes ont des matraques.
- Quel rapport avec un cambriolage ?
- Bon, oublie. J’ai du retard dans mon travail. Vois avec Benoît.
- Ah, c’est vrai. Je me disais que peut-être tu étais passé. Bien, je fais le nécessaire. Je t’embrasse mon amour.

Ce soir-là, je ressors l’œuf pour la « poule » de Benoît et le vibromasseur. Rose couve l’œuf, jouit, pleure de bonheur, de douleur inavouable, me supplie de prendre la place des engins: mais c’est pour les fuir; ma queue minuscule est donc moins efficace et plus supportable que les jouets. De plus les piles sont inépuisables ou presque alors que moi je finis toujours par tomber en panne. Je hais Claudine, je déteste Rose. Mais ma pitié fout le camp.
- Je ne suis pas en forme, mais je ne voudrais pas que tu sois en manque. Je t’aime trop pour ne pas te procurer le plaisir que tu mérites. Garde cet œuf en toi.

Rose s’endort. J’enfonce le bouton de la télécommande. Elle se réveille avec des cris d’épouvante. J’ai cessé d’appuyer. Elle se rendort, je la réveille en relançant les vibrations. L’abus de plaisir sexuel avec Benoît, puis avec le vibromasseur et enfin avec l’œuf la replonge dans le sommeil, et je recommence une dizaine de fois. J’appuie quelques secondes et je cesse. Elle se réveille brutalement, se demande ce qui se passe et dort fatiguée.
La vengeance est cruelle.
Le lendemain au réveil je l’interroge sur le cambriolage.

- Qu’ont dit les gendarmes ?
- Finalement, on ne nous a rien volé. Le cambrioleur n’a emporté aucun de nos biens.
- Que me dis-tu là ? Il n’y a pas de cambrioleur dans ce cas.

Une enquête de gendarmerie pourrait compromettre les amants. Benoît dépouillé d’une forte somme, ne porte pas plainte, c’est incroyable. Il y a une faille dans sa conduite. De quoi se méfie-t-il ? Tout ça me ragaillardit.
- Rose, j’ai envie de toi. Faisons l’amour.
- Paul, sois raisonnable, tu arriveras en retard au travail.
- Ah ! C’est ton premier refus de faire l’amour avec moi. Bizarre, non. J’en prends acte. Je demanderai à Claudine de me trouver une fille plus disponible pour la bagatelle. Es-tu malade? Je prends rendez-vous chez notre généraliste, je t’y accompagnerai samedi.
- C’est stupide, je suis ta femme. J’arracherai les yeux de Claudine et de la salope qui viendra ici. Tant pis pour ton patron, viens, aime-moi.

Son comportement est étrange. A sa place, je me refuserais. Pourquoi cède-t-elle ? Je ne suis pas fier d’abuser d’elle de cette façon. Elle me rend dingue.

Aussi petite soit-elle, dans un ventre qui n’a pas connu de repos cette nuit, ma minuscule bite de douze centimètres cause des ravages. Les râles de ma femme adultère n’expriment pas tous du plaisir. Une règle me vient à l’esprit pendant que je la monte : chaque veille de rencontre amoureuse je vais user et abuser des sex-toys, rendre pénibles, douloureux et peu souhaitables, voire impraticables les rapports sexuels avec le sportif adultère. Il faut aussi que je localise avec précision le cabanon qui abrite leurs rendez-vous du vendredi.

A la première occasion, je suis ma femme sans me montrer. Les amants me guident, ferment la porte, mais quand à travers les parois de bois les plaintes amoureuses de Rose s’élèvent, je me cache pour photographier leur sortie. L’Œuf vibrant du soir arrache des cris, cette télécommande est démoniaque, secoue le ventre de Rose de façon surprenante, la maintient en alerte continue. Rose me supplie de la prendre.


Voilà une bonne nouvelle, Rose a retrouvé un travail. Sage et assagie par l’emploi très fréquent des deux jouets, Rose retarde à 19 heures sa séance d’aquagym du lundi et renonce à son secrétariat bénévole, à la gym douce et au cross. Je ne vois plus Benoît. Est-ce acquis, les rendez-vous ont-ils changé de lieux et d’heure ? Je ne peux pas tout surveiller. Donc je recours toujours aux corps étrangers vibreurs ou trembleurs. Rose grimace mais n’ose pas trop protester. Pourquoi ? Je ne comprends pas. J’ai honte, mais je souffre d’être cocu. A quand la loi qui imposera une taille unique à tous les zizis ? On en fait bien d’autres sur tout. On parle tellement d’égalité en ces temps de crise. Zizi AOC. Egalité des sexes masculins. Ce serait plus juste. Mais les chattes sont-elles égales ? L’enquête serait plaisante. Je deviens idiot, j’ai une bite minuscule, dixit ma femme à son amant bien monté. Ça me rend fou, incohérent, méchant.

Sur mon ordinateur, par petite annonce, je recherche des hommes désireux de rencontrer une jeune femme ardente. Les candidats disposeront de membres longs (vingt centimètres au minimum) et vigoureux.

J’en rencontre plusieurs. Quatre me suffisent. Je convoque Benoît, tout étonné de devoir rencontrer le cocu. Il comprend vite ma détermination, me supplie de ne pas briser son ménage, car sa femme possède une petite fortune. Il n’a pas l’intention de divorcer. Je n’ai pas à craindre l’enlèvement de Rose. Il jure de cesser leur liaison. Il accepte de répondre à ma prochaine convocation.
Je rends visite à son épouse. Je lui remets l’argent prélevé dans la veste de son mari pendant qu‘il tringlait ma femme dans le foin, je lui expose les circonstances de l’événement et finis par la convaincre avec la photo de son mari et de Rose devant le cabanon. Je lui promets mon aide pour confondre l’infidèle mais elle doit attendre mon signal. C’est une femme agréable qui transpire la bonne éducation reçue chez les sœurs, distinguée, honnête, belle et bien faite, désirable mais un peu prude : ce Benoît ne sait pas apprécier sa chance.

Tout vient à point à qui sait attendre. Mon coup est calculé, le résultat frappera les esprits.
- Ma chérie, c’est demain l’anniversaire de notre mariage. J’ai prévu un repas dans un hôtel restaurant.

Rose se réjouit, accepte d’attendre la surprise promise.

Mes complices sont sur place, occupent des chambres proches de celle que j’ai réservée pour mon couple. Brigitte arrivera plus tard. Benoît est cloîtré dans notre chambre. Pendant le repas je m‘absente, monte vérifier le dispositif. Je lie Benoît à un fauteuil. S’il a le malheur de signaler sa présence, je le dénoncerai à sa femme. La menace l’angoisse.

Devant la porte de la chambre, Rose accepte de porter le bandeau qui l’aveuglera jusqu’au moment de la découverte de la surprise annoncée. Elle entre, ne voit pas l’amant muet. Benoît assiste au déshabillage de Rose, aux préliminaires des époux. Devant lui je pratique une longue fellation. Rose exprime sa joie, me remercie d’avoir pensé à fêter cet anniversaire, attend son cadeau en me suçant le gland.
- La surprise viendra, mais uniquement quand tu auras joui plusieurs fois.

Je la prends, elle jouit. L’amant regarde en silence. Je demande à la mariée de se positionner pour une levrette. J’ouvre la porte à mes quatre longues queues. Ils savent. Le premier se place derrière Rose et frotte sa pine à sa vulve déjà chaude. Le deuxième présente son pénis à la bouche de Benoît, le troisième se masturbe pour se mettre en forme, le quatrième se dirige vers la tête de Rose, discrètement.
- Rose voici mon cadeau. Tu me trouves petit, minuscule. Aujourd’hui je me suis fait délier l’aiguillette
- Mais non, mon chéri
- Ton coach Benoît m’a répété que tu me trouvais « minuscule ». Sens-tu l’amélioration
- C’est un menteur. Il n’est plus mon coach.
- Est-il encore ton amant ?
- Chéri, c’est notre anniversaire de mariage.
- Es-tu prête à baiser ?
- Mais oui, dépêche-toi.

Benoît a la bouche pleine et respecte le silence imposé.

- Attention, j’ouvre ton sexe, ma queue arrive.
- Quelle queue? Oh!! C’est gros. Tu as acheté et utilisé un extenseur ? Oh! Tu n’en finis pas d’entrer. Je veux voir.
-Non, garde le bandeau.
Le type avance, lentement, ménage sa monture. C’est un malin, il veut aller loin. Il tient solidement les hanches de Rose et entame une longue série de mouvements en ’aller-retour. Rose comprend la nature du cadeau.
- Paul, tu es un mari merveilleux. J’apprécie. Mais jure-moi que c’est la dernière fois. Je t’aime. Oh! C’est si bon. Comment s’appelle mon sabreur ?
- Anonyme. Tu ne le verras plus, c’est sans importance.
- Hum, Paul, qu’est-ce qui se passe ?
- Pcht, ouvre la bouche et suce.
La grande bite d’un second pénètre ses lèvres, lui coupe la parole. Celui-là fixe la chevelure et fait aller et venir la tête. La bouche coulisse mais Rose ne peut plus parler. A l’arrière le premier se cale contre les fesses, il éjacule longuement, déverse son onguent, se retire. Cruel je libère Benoît, le pousse derrière la croupe de Rose,
-Allez, nettoie sa chatte, lèche.

La peur de perdre sa femme le soumet à mes exigences. Si Rose pouvait parler, elle dirait quel plaisir elle reçoit de cette langue. Reconnaît-elle son amant dans ses œuvres, à son coup de langue ou à sa manière de lui aspirer le liquide ? Je ne crois pas, la massue qui l’a envahie a anesthésié son vagin et ses petites lèvres forcées. Je craignais de l’entendre refuser le cadeau si spécial. Non, elle semble vouloir profiter au maximum de cette expérience. Elle a compris au moins deux choses : en premier j’ai loué les services de plusieurs mâles, elle apprendra au fur et à mesure du déroulement combien ils sont. Ensuite le premier assaut lui a révélé que j’avais réuni des sexes de grande taille, bien plus longs et plus épais que celui de son amant Benoît Les quatre hommes effectuent une ronde sans fin, lui remplissent de sperme le ventre et la bouche, l‘un après l‘autre. Réussira-t-elle à les différencier selon des détails particuliers, est-ce son souci, ne se contente-t-elle pas de se sentir prise successivement dans des positions variées, coincée sous l‘un, à cheval sur l‘autre, mais toujours aveuglée par son bandeau.

Benoît prend finalement son pied, il lèche la vulve, il aspire le foutre qui déborde de la bouche. Rose subit les assauts avec philosophie, ne réclame plus de voir ces bons baiseurs. C’est un festival, elle en est la vedette. Les gars s’encouragent, heureux de l’accueil de ce vagin avide de s’adapter à leur volume.
Car ils ont ordre de se contenter du vagin après une stimulation buccale ou manuelle. Le manège tourne, les décharges de foutre se succèdent, Rose s’efforce de se montrer souple et docile, parfaitement soumise à mes désirs. Benoît enrage d’en être réduit au rôle d’éponge à sperme, il en bave, mais obéit.

Au milieu des bruits de succion, de pénétration en milieu liquide, j’entends frapper à la porte. Je ligote les pieds et les mains de Benoît avec un peu de jeu pour ne pas le blesser. C’est pour lui éviter de fuir ou de se battre. Il s’est fait à son rôle d’amant cocu, a trouvé agréable de pouvoir participer à la fête avec sa bouche. J’aimerais que cela continue. Car il va connaître à son tour une énorme surprise. Il ne sait pas qui veut nous rejoindre et se montre zélé dans son rôle. Espère-t-il obtenir le droit de troncher lui aussi la reine de la fête ? Malgré ses entraves il lape vivement, comme un chat affamé, le reflux de cette chatte aimée.

J’ouvre la porte à Brigitte. Elle entre, voit tout ce monde nu, ferait demi-tour. Je la retiens et je lui expose la situation, à voix haute. Elle s’étonne d’entendre qu’elle visite une fête d’anniversaire de mariage. Elle examine attentivement les héros actuellement à l’arrêt. Ouvre des yeux ronds à la vue des sceptres royaux. Elle n’a jamais vu ça, si gros, si longs, avec des couilles aussi lourdes. Je lui désigne l’homme de ménage occupé à débarrasser le trop plein d’humeurs sortant de la cramouille de mon épouse :

- Reconnaissez-vous l’agent de surface si appliqué à faire place nette avant les prochains accouplements.
- Non, il est de dos
- C’est Benoît.

Brigitte fonce sur Benoît en train de nettoyer la vulve de Rose, lui assène une gifle magistrale et dévisage chacun des hommes, vise particulièrement le bas ventre pour la deuxième fois. Je relève ma chasseuse de gros chibres pour une plage de repos. Trop de plaisir tue le plaisir. Comme les mâles elle a besoin de reprendre des forces avant de proposer de nouveaux ébats.

- Rose, viens, donne-moi la main, repose-toi un peu dans ce fauteuil. Brigitte souhaite peut-être recevoir des indications sur ton état d’esprit, sur tes sensations, sur un éventuel état de fatigue.
- Vous allez bien ? C’est supportable ? Il est inutile de palabrer, vous resplendissez dit l’arrivante.
J’ajoute à l’intention de ma femme adultère :
- Tu pourras recommencer à baiser si tu le souhaites.
Soudain Brigitte se dirige vers Rose, arrache le ruban :
- Je veux voir ses yeux. Ho, Benoît qu’a-t-elle de plus que moi ta putain ?

Où est passée sa bonne éducation ? Brigitte est méconnaissable à force de bouillir dans l’attente de sa vengeance. Elle se délivre de ses vêtements, se met nue. C’est une jolie femme, bien en chair, montée sur de magnifiques jambes, longues et sans cellulite, pur produit des instituts de beauté. Son pubis aux bouclettes dorées attire les regards quand ils ne sont pas fascinés par son opulente poitrine

Benoît disparaîtrait volontiers, se fait tout petit. L’apparition de sa femme au pire moment est une catastrophe et le glace d’effroi. Il ne peut pas riposter à sa terrible gifle, est publiquement humilié par le coup. Or voilà une suite inattendue, sa moitié si précieuse se dénude entièrement devant moi et les quatre malabars musclés et super équipés sous la ceinture. Il n’a plus la force de réagir.
- Toi, espèce de cochon, dit-Brigitte la superbe quadra à son mari, regarde et ne bouge pas.

Pieds et poings liés il n’en a pas la possibilité. La crainte du rejet définitif suffit à lui couper tous les moyens d’entreprendre. Brigitte s’installe sur le lit, appelle les quatre hommes :
-Venez, vous autres, baisez-moi, faites-moi l’amour. Mes trous sont à vous. Dis, Benoît, tu vois ces belles bites. Tu es ridicule à côté d’eux. Messieurs, on y va ? Saluez-moi d’un coup de votre gourdin l’un après l’autre puis sautez-moi comme des sauvages, je veux jouir, jouir, jouir.

Brigitte disparaît au centre des étalons. Les membres se mélangent, les corps s’emmêlent, les grognements et les gémissements se confondent. Quel capharnaüm ! Je tourne le dos au lit et j’oblige Benoît à regarder l’orgie. Il pleure toutes les larmes de son corps.
- Rose, tu devrais le consoler. Fais quelque chose pour ton amant, branle-le, fais lui une fellation. Faut-il le coucher sur le dos afin que tu puisses te laisser glisser le long de sa tige ? Si tu le désires je peux faire amener une botte de foin du poulailler.

Aujourd’hui Rose perd sa voix, me regarde horrifiée.
- Oh ! C’est ça. Tu savais, tu nous as vus ? Tu te venges ! Toute cette mise en scène a un seul but : m’humilier et abaisser Benoît. Le cambrioleur…
- Oui, le cambrioleur c’était moi. J’ai rendu l’argent à Brigitte et pour la deuxième et dernière fois je te rends une culotte dont tu n’as pas déclaré le vol : je l’ai subtilisée sur la clenche de porte de la remise où tu baisais avec Benoît. Sa queue est à ta disposition. Sa femme ne voudra plus de lui.

Une main touche mon épaule, celle de Brigitte :
- Mais si, j’ai encore besoin de ce salaud. Lèche-moi le con, cher mari, allez, lèche, n‘oublie pas mon anus : le plus mince des quatre me l‘a saccagé et noyé. Quel bonheur. Tu l’as fait pour Elle, tu peux le faire pour moi. Vite

Benoît se soumet, se courbe, se tord le cou pour recueillir les sécrétions dans les plis de la vulve, sur les seins, dans le nombril, partout pendant que je chantonne : « et les ailes, et les pattes, et les yeux et la tête, et le con et le cul, alouette, alouette, hahahaha Alouette, gentille alouette… » ’Brigitte est à la fête, se tord de rire, elle le repousse:
- Nous divorcerons si tu ne m’organises pas des fêtes aussi attrayantes.
- Mais, chérie … oui, bien sûr
- Ferme-la. Tu pourras y inviter ta copine et elle pourra t’aider à pomper le jus de mes amants. Vous serez chargés du ménage et de l’intendance, nus comme ici. Vous aurez le droit de vous envoyer en l’air. A l’avenir tu ne me baiseras plus, cette putain me remplacera dans ton lit. Ton lit, pas le mien, nous ferons chambre à part.

Elle retourne sur la couche, écarte les cuisses, se redresse pour un défi :
- Je rêve depuis longtemps de me faire prendre simultanément par trois massues. Merci Paul de m’en donner l’occasion. Pour toi, Paul, ce sera quand tu voudras, où tu voudras, comme tu voudras, aussi souvent que tu voudras. Elle est si mignonne ta verge .Alors les gars, ça vient ! Un dessous, oui, encule-moi. Aïe, wouhaa, oh ! Un dessus, hum, doucement, tu es à côté, attends je te place. Un dans la bouche, attends, le dernier dans ma main. Entrez, entrez

Le sperme coule de nouveau. Brigitte se poste devant son homme et ordonne : travaille.


Je me rhabille. Rose se lève :
- Tu pars, emmène-moi.
- Comment ? Tu ne veux pas profiter encore de ton cadeau ? C’est le dernier du genre, modèle unique, je ne t’en ferai pas d’autre : mon cadeau d’adieu.
- Non, ne me quitte pas.
- Ca ne t’a pas plu ?

- Si. Merci, mais ils m’ont fatiguée, je n‘en peux plus. Ça suffit. Tu savais pour Benoît : Tu as laissé faire, ce n’est pas juste. Tu as triché, tu dois pardonner. Pardonnes-tu ?
- Si tu me dis ce que tu as fait de « ton » vibromasseur et de « ton « œuf vibrant. »
- Je m’en doutais : tu savais ça aussi et tu as acheté les mêmes exprès.
- Et alors ?
- Claudine me les a réclamés. On garde les tiens ?
- Non. Si tu ne peux pas te contenter de moi, va, quitte-moi. Rien ne t’oblige à revenir à la maison ce soir. Je crois que Benoît sera libre, sa femme a déjà contacté son avocat pour divorcer.
- Mais non, il devra lui fournir des amants
- Et il pourra te défoncer devant elle et eux. Les hommes pourront te culbuter. Ta vie sera plus belle.

- Ma vie ne sera pas belle sans toi. Dis, mon amour, tu n’iras pas chez Brigitte, jure-le moi. Je t’aime. Ca y est. Maintenant je sais ce qu’est une grosse queue. Je n’ai plus besoin de chercher. Pas Brigitte, non, garde-moi, dit-elle entre ses dents, puis plus fort :
- Paul, ne va pas chez Brigitte, tu es à moi. Attends-moi, je m’habille. Qui a pris ma culotte ? Oh! Je la vois, dans ta poche. Encore toi mon amour ! Rends-moi ma culotte.
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