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VRP 2

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Lue : 719 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/08/2013

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Mardi. Je change de secteur pour me trouver vers des industriels rétifs aux nouveautés. J'arrive après des heures de discutions ardues à faire comprendre l’utilité pour leur rentabilité de mes produits lourds. Je ne rejoins un hôtel que fort tard. Il reste une seule chambre la plus chère, la plus luxueuse. De toutes façon c'est ma boite qui paie, elle n'est pas très regardant sur mes frais de séjour du moment que j'apporte des commandes. Le service est terminé, la patronne me propose de passer avec elle en office pour préparer un frichti convenable. Elle m'installe sur une petite table, propose un rien comme dîner : une omelette aux truffes, un vin de Cahors, un dessert à sa façon. Sans minauderie elle s'installe en face de moi. Elle montre sous son débardeur deux grenades mures, ses cuisses à peine couvertes me font découvrir tout en haut le début d'une chatte prête à des exploits que j'aime bien. Si hier je me donnais à un amant actif, là je pouvais, si elle le voulait me montrer à mon avantage.

Sans baisser les yeux, elle me regardait bien en face. Un je ne sais quoi montrait qu'elle avait une envie certaine. J'avais presque fini de manger quand elle propose un café à sa façon. J'ignore totalement de quoi il s'agit. Elle porte deux tasses, l'une avec un gâteau sec qu'elle suce comme elle ferait avec un clitoris ? Je sors le bout de ma langue que j'agite comme si je léchais son bouton. Elle me sourit largement. Elle a trouvé celle qu'elle cherchait depuis je ne sais combien de temps. Moi je trouve une partenaire possible. Il y a déjà un moment que je n'ai pas eu de femme dans mon lit.
-Viens avec moi.
- Dans ma chambre ?
- Qui parle de ta chambre ? Je préfère chez moi : je suis célibataire.

Célibataire, tiens donc, libre de faire ce qu'elle veut. Je me demande qu'elle réputation, mauvaise, elle a dans le village. Nous montons au dernier étage : sa chambre est immense, on pourrait y faire une partouze sans problème. Enfin elle fait ce que j'attends d'une future amante qui m'a draguée, elle m'embrasse à sa façon : ses lèvres emprisonnent ma bouche, sa langue les caresse. C'est inédit et agréable. Je la serre par le cou. Enfin nous nous embrassons normalement. C'est ma langue qui donne le coup d'envoi des badinages incorrects. Ses tétons sortis depuis le début me tentent. Je les caresse l'un après l'autre. Je suis tentée depuis les préliminaires par ce que j'ai vu à l'ouverture de son compas : une chatte un peu velue, sans trop, entretenue, c'est certain. Tant pis si elle me repousse, je colle ma main sans avertissement sur elle, entre ses jambes. Elle s'offre depuis le début. J'y trouve un endroit humide, presque trop. Ses lèvres me paraissent énormes avec un clitoris qui en ressort. Elle est bien munie pour un match à deux femmes, en ayant de fortes chances de gagner.

Si je commence à fouiller son corps, elle aussi est sur moi, elle caresse à peine la poitrine. Elle s'attarde surtout sur mon dos et ce qu'il y a juste en dessous. Elle aime bien caresser les fesses. Il s'y prend plutôt bien. Elle remonte ma jupe, fait descendre le string juste le nécessaire. Elle a un accès ouvert vers le boulevard de la raie. Elle écarte les fesses. Je suis trempée. Elle agit comme un homme qui voudrait me sodomiser. Sauf qu’elle propose, n'impose pas. Sa proposition me plaît, même en début d'intimité comme la nôtre. Elle aime les filles, c'est certain, elle aime les dominer aussi. Ça me va. Je suis devenue une poupée pour elle. C'est ma dominante. J'aime bien de temps en temps me soumettre ainsi. Normalement c'est un homme muni d'une belle queue qui le fait. Ses doigts courent sur la raie, ils me donnent envie de la suite.

Elle agit comme un homme en me faisant m’asseoir sur ses genoux. Elle n'attend pas pour passer une main entre les jambes. Je les laisse s'ouvrir, anxieuse de la suite. Elle est très douce en caressant, en remontant doucement, trop doucement vers mon compas. Elle enlève complètement le string : j'ai presque froid à la chatte. Ses doigts ne se pressent pas, ils suivent un lent cheminement pour aboutir enfin là où je les attends depuis longtemps. Je pousse mon ventre vers sa main.

Le clitoris enfin est visé. Elle prend entre deux doigts, elle me manœuvre comme une petite bite. Je suis tendue sous la caresse particulièrement inhabituelle de la chose. Son autre main passe aussi entre mes jambes. Il me semble qu'elle en prend pas la même direction, elle revient là où elle était avant. Elle caresse le périnée, me laissant entrevoir des paradis que j'aime. Le petit trou est à peine touché, à peine caressé. Je voudrais qu'elle s'y arrête, qu'elle y entre. Je n'ose pas le lui demander, comme une petite fille n'ose pas demander la sucette qu'elle adore. Elle s’aperçoit enfin de mon vœu. Elle pose son doigt sur le cul, elle caresse gentiment l'anus que j’ouvre un peu. Elle le sent, elle commence à entrer à peine le doigt. Elle arrête pour changer de doigt. Ça y est, elle entre, elle écarte mes tissus. Je me donne à elle, je me laisse sodomiser par une femme. C'est bon, délicieux incomparable. Elle tringle, lime mon derrière. Je l’embrasse, heureuse de sa double caresse. Je ne sais même pas laquelle est la meilleure, devant ou derrière. Au fond, je m'en fiche du moment qu'elle me donne des orgasmes. Je suis obligée de lui demander d'arrêter un moment. Elle me fait coucher, vient sur moi, m'embrasse comme le fait un homme, passe ses mains sur le corps et descend sa bouche sur les seins, le ventre, le pubis. C'est sa langue qui est en moi. Elle me goûte la cyprine : j'en ai à revendre dans le vagin. Elle m'enjambe. Cette fois c'est moi qui peux goûter son sexe. Elle a une odeur bizarre que je ne peux définir, le fait peut-être d'être mal lavée. Je lèche avec toute la largeur de la langue. J'ai passé le cap du bouton, celui du vagin, je vais sur son cul. J'adore les culs féminins, ce sont pour moi la quintessence des femmes, mieux qu'un simple con. Et c'est facilement pénétrable après un moment de refus toujours poli qui finit par une approbation..

Je la tiens pas les hauts et derrière des cuisses, ma main droite dans sa chatte que je ravage de caresses particulièrement tordues et ma langue sur l'anus. Elle sait ce qui l'attend. J’attends son refus qui ne vient pas. J'adore enculer les lesbiennes : elles font celles qui ne le veulent pas, elles font les saintes nitouches. Mais quand l'instrument est là, elle ne me refuse jamais l'entrée. Son cul, à elle, est de ceux-là. Ma langue ne force pas du tout pour entrer. Je prends mon plaisir en entrant dans son anus. Elle jouit rien que de me sentir pénétrer.

Je ne ménage pas les allers et venues. Je sens son cul s'ouvrir et se serrer sur la langue. Elle réagit normalement, comme je le fais quand je suis enculée.

Elle ne subit rien, elle me rend ce que je fais. Je sens qu'elle n'a pas l'habitude de lécher les culs. Je l'aide comme je peux. Enfin elle laisse de côté ses préventions, sa langue force un peu pour entrer. Ainsi notre 69 n'en est pas exactement un. Nous ne léchons pas le sexe de l'autre. Nous jouissons autrement simplement. Elle me surprend en me faisant jouir la première. Je sens les spasmes autour de mon anus. Je sens les siens rapidement après. Que c'est bon de baiser une fille qui prend son pied. Presque aussi bon qu'un homme.

Je suis partie le lendemain en lui promettant de passer souvent. Je n'ai pas payé la chambre.
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Histoire de fabrissa

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