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L'apprentissage de Séverine 14

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Lue : 4271 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/08/2012

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Samedi, 18h30, ça y était, le jour J était arrivé et l’organisation de la soirée était bien huilée. Je m’étais installé à une table de la brasserie en face de chez moi et vit arriver les filles pile à l’heure comme à leur habitude. Elles s’étaient rendues ensemble à l’institut de beauté pour leurs soins du corps et leur épilation de façon à être douces et soyeuse pour moi. Je les sentais pressées, cela faisait plus d’une semaine que je n’avais pas été voir Séverine à son bureau n i déclenché son « oeuf » quand à Jennifer, elle était de garde à l’hôpital. On les sentait donc en manque de cul et cela était tant mieux pour ce soir !!!

Elles allaient pénétrer dans mon immeuble au moment ou je leurs envoyais ce texto : « ne suis pas encore rentré, j’ai une dernière course à faire, vous pouvez frapper chez mon voisin du dessous, il a les clés, je lui ai demandé de les donner aux deux charmantes demoiselles nues qui viendraient sonner à sa porte. » je les vis prendre leur téléphone, lire le court message elles échangèrent un sourire complice et disparurent derrière la porte cochère.

18h50, je monte, elles doivent être chez moi à cette heure et ont dues trouver les vêtements que je leurs avait préparés. Je fais une courte halte chez mon voisin. « Effectivement, elles ont bien sonné et elles étaient bien à poil, mon salaud ! À plus ».

Je rentre chez moi, elles m’attendent sur le palier. Elles portent bien les kimonos courts en soie que je leurs avaient destinés. Un bleu pour Séverine et un jaune pour Jen, elles ont leurs jambes gainées dans des bas blancs surmontés d’une jarretière en dentelle. Les tuniques sont uniquement fermés grâce à leur ceinture, elles leurs arrivent juste en haut des cuisses, à la limite de leurs fesses et l’ouverture est très échancré laissant apparaître la vallée entre leurs seins. Le contact avec l’étoffe provoque chez elles l’érection de leurs tétons qui pointent le fin tissus. Elles se tiennent là, debout face à l’entrée dans la position que je leur ai appris à tenir : les cuisses légèrement écartées, les bras croisés dans le dos afin de bomber le torse.

« -bien les filles, vous avez été sages ?

- oui

-alors vous allez être récompensées !! Voilà pour vous, il me manquait cela. »

Je leur tendais à chacune un masque en latex de la même couleur que leur kimonos, elles me regardèrent interrogatives

« - ce soir, nous allons avoir des invités, et je ne voudrais pas qu‘ils vous reconnaissent, cela pourrai être embarrassant. Dépêchez-vous, ils ne devraient pas tarder !»

Elles prirent les masques et je les aidais à les enfiler tout en leur expliquant ce que j’attendais d’elles ce soir, elles seraient les serveuses très sexy d’un repas.

Lorsque le premier invité sonna, elles se placèrent comme je leurs avait demandé : Séverine ouvrait grand la porte avec la main gauche, tourne la tête vers l’intérieur de l’appartement et faisant un grand mouvement du bras droit pour inviter la personne à entrer, sa poitrine bombée et les reins bien cambrés. La jambe gauche reste bien droite tandis que l’autre, légèrement fléchie entrouvre les pans du bas de son kimono laissant voir la peau de sa hanche. Jen quand à elle se tient face à la porte, elle se baisse pour une révérence en gardant la tête redressée pour laisser libre à la vue son décolleté plongeant jusque son piercing, écartant bien les bras elle rabat ensuite le droit pour montrer la direction du salon en prononçant ces mots :

« Bienvenu messieurs, veuillez suivre ma compagne ! »

La brune se retourne alors et passe devant le convive, l’invitant à le suivre, elle se dirige vers la pièce principale en tortillant du fion, Jen étant sur les talons du monsieur. Arrivée à hauteur du sofa, elle se retourne sèchement, provocant la remontée du peignoir qui découvre son pubis, et tout en découvrant le visage de celui qu’elle vient d’accompagner, elle l’invite à s’asseoir.

Pour ma part, je suis adossé au mur à coté de la porte du salon et je peux voir le visage de Séverine lorsqu ‘elle se retourne, elles exécutent un peu gauchement le rituel de bienvenu à notre premier invité : Yann, mon voisin du dessous qu’elles avaient rencontré plus tôt, à peine assis, un deuxième coup de gong nous averti de l’arrivée du suivant. Même synopsis, mieux réalisé, elles commencent à s’amuser à regarder la tête des ces hommes en les découvrant si peu vêtues. Je leurs présente Vincent, mon voisin d’en face, celui qui prenait des photos de Jen, elle sembla amusée de le voir ce soir, les yeux exorbités … à peine le temps de faire connaissance que déjà, troisième carillon, elles se précipitent, cette fois, il y a deux hommes, ils suivent Séverine sans broncher et c’est lorsqu’elle se retourna que son regard se glaça d’effroi : c’était Bertrand, notre boss, et Jibé, le collègue récalcitrant. Elle se souvint alors qu’elle portait une cagoule, et se rassura en comprenant qu’ils ne l’avaient pas reconnue.

Nouvelle sonnerie, nouveau cérémonial, cette fois, Séverine retrouve quelqu’un encore de connu, c’est Pierre, son « client », je le présente, il s’agit en réalité d’un de nos fournisseurs, elle ne l’avait jamais rencontré au bureau mais ils s’étaient souvent eu au téléphone.

La conversation s’engage, j’envoie les filles vers la cuisine « restaurez-vous, je vous ai préparé un petit en cas, j’attends encore du monde, lorsque cela sonnera, j’irais ouvrir et vous viendrez vous poster dans le salon. »

Un petit quart d’heure passa, ce qui leurs laissa le temps de se grignoter. Elles venaient à peine de revenir que cela sonna, je me levais et allait chercher mes derniers convives. Ils étaient 4, et leur entrée fit sensation dans les yeux des filles, il y avait Patrice, le mari de Séverine et trois de ses collègues avec lesquels il était censé jouer au poker. Je les avais rencontré par l’entremise de Jen en réussissant à ne pas l’impliquer car ses supérieurs se trouvaient là : Bernard, le chirurgien en chef, Paul, le patron des urgences et Jérôme, responsable en pédiatrie. J’avais put un peu discuter avec eux, entre hommes, ils se plaignaient de leurs femmes et aimait regarder les sites pornos au boulot. Ils avaient volontiers laisser leur partie de cartes pour un jeu plus alléchant….

« -bien, mesdemoiselles, nous sommes au complet, vous pouvez servir les cocktails ! »

Mon effet avait plutôt réussi, j’avais réunis tous ce monde aucune des personnes directement impliquées n’avaient reconnues Jen ou Séverine, sauf bien sur mes voisins et Pierre qui connaissaient leur vie avec moi … Elles revinrent avec les plateaux et les dix verres, nous étions dix hommes, elles étaient deux femmes !

Elles donnèrent un verre à chacun, avant de boire, je donnais une consigne.

« -messieurs, attendez, il manque un dernier ingrédient ! Et surtout il faut bien remuer, les cuillers mesdemoiselles ! »

Elles glissèrent alors leurs mains sous leur kimonos et sortirent de leurs sexe humides des petites curettes.

« -voilà, parfum au choix : la brune, douce et sucrée ou la rousse, fauve et épicée, les deux se mélange bien aussi ! » elles donnèrent à qui demandait, certains léchant goulûment le bâtonnet, d’autre préférant le tremper dans le verre.

La discussion repartait, Bertrand et Jibé me regardaient, envieux.

«- bin mon salaud, tu ne te refuse rien !

-elles non plus ne me refusent rien ! Regardez. Je me tournait vers mes filles : embrassez-vous !»

Sans hésitation, elles se prirent à pleine bouche devant l’assistance médusée.

« -et bien, dit Patrice, ce n’est pas nos femmes qui feraient ça, elles sont trop coincées ! »

Séverine faillit s‘étouffer pour ne pas rire…

Ne fois les verres vidées, direction la salle à manger, le repas était très succinct, nos serveuses nous apportaient les plats à la suite. Pour l’entrée, leurs peignoirs étaient plus ouvert sur le devant,, le plat de résistance, la ceinture avait disparue, les pans couvraient contournaient leurs seins, les laissant impudiquement couvert, puis laissaient apparaître leur doux pubis brillant. Les mains des hommes commencèrent à se balader, Jibé dit à Bertrand : « on devrait imposer cette tenue au boulot ! T’imagines ta comptable, miss cul-serré comment ça la materait ! » .
Pour le fromage, elles ne portaient que leurs bas et leurs talons aiguilles, Jen avait vite appris à marcher avec, nous apparaissant dans la nudité la plus érotique qui soit. Les yeux de tous les hommes ne pouvaient se détacher de ces corps aux courbes parfaites baignés dans la douce lumière tamisée.

« Messieurs, je dois vous quitter un instant, je crois qu’elles ont besoin de moi pour le dessert. »

Pour terminer le repas, j’avais prévu une simple mousse au chocolat, mais le service allait être d’une qualité exceptionnelle ! Je revenais en poussant une table à roulette sur laquelle étaient allongées les filles. Elles étaient entièrement nues, le corps couvert de l’entremet. Elles se tenaient là, tête bêche, les cuisses largement écartées, les bras au-dessus de leur tête n’attendant qu’à être nettoyées.

« -voilà mon problème messieurs, je n’ai plus de coupes ni de petites cuillers, il va falloir lécher le plat, j’espère que cela ne vous dérange pas ! »

En moins de temps qu’il n’en fallait pour le dire, mes 9 convives se sont levés et se sont placés autour de la table roulante, chacun commençant à faire aller sa langue sur le chocolat, sûrement plus intéressé par ce qu’il y avait en dessous. Les filles se laissaient aller, appréciant chaque lapement, certains devenait de plus en plus hardis, commençant à lécher les seins, puis Yann glissa sa tête entre les cuisses de Séverine., « mmm il est meilleur ici ! ». La brune se laissait faire, puis lorsque Yann changea pour « aller tester un parfum plus musqué » dit-il en se plaçant devant la rousse, Jibé pris sa place « oui, tu as raison, elle est vraiment bonne ! »

Je vis Patrice, et ses collègues rester un peu en retrait, je les encourageais : « allez les gars, vous n’aimez pas le chocolat ? » timidement, ils s’approchèrent de la table et commencèrent à se frayer un passage, les 5 autres hommes avaient déjà bien entamé le plat. Pour ma part, je restais à regarder le spectacle, les filles commençaient nettement à apprécier ces 9 langues qui s’occupaient d’elles. On leur léchait les seins, le ventre et les plus hardis s’occupaient déjà de leurs chattes. Rapidement, elles furent débarrassées de la nourriture.

« que tout le monde se régale ! »

C’était le code, à partir de là, je laissais les filles libres de leurs actes, elles ne tardèrent pas à placer leurs mains sur les pantalons de ses messieurs qui commençaient à se raidir à l‘intérieur. Vincent fut le premier à dégainer, il sorti son sexe qu’il présenta à la bouche de Jen qui l’engouffra aussitôt, de sa main libre, elle ouvrait la braguette de Bernard et sortit habilement la queue de celui-ci, tout en continuant de sucer Vincent, elle branlait son supérieur hiérarchique.

Séverine, toujours léché par Jibé attrapa la ceinture de Patrice et la défit rapidement, celui-ci se retrouva aussitôt le pantalon sur les chevilles, elle approcha sa bouche et embrassa le caleçon de son mari, rapidement, il le fit descendre mais elle tournait déjà la tête et prenait en bouche la bitte de Jérôme qui se présentait de l’autre coté.

Paul ne voulant pas rester à la traîne de ses camarade ôta rapidement son pantalon et s’approchât de la femme de l’administrateur adjoint de l’hôpital, elle le branla de sa main droite alors que la gauche allait vers Bertrand, son patron à elle.

Pierre se rapprocha alors de Jen qui le masturba de sa main encore libre. Moi, je profitait de ce tableau : les filles allongées sur le dos, se faisant lécher le minou, une queue dans la bouche et une autre dans chaque mains, Jen s’appliquait à faire passer ses amants entre ses lèvres tour à tour, Séverine elle jouait avec Patrice, son mari qu’elle gardait en main alors qu’elle suçait Jérôme, Paul et Bertrand à tour de rôle, allant jusqu’à en prendre 2 en bouche à la fois. Jibé se redressât, défit son pantalon , je lui tendit un préservatif, une multitude de petit sachet était posée sur la table, il l’enfila et introduit son sexe sans ménagement dans le vagin de la brune

Jen elle, se redressa, distribua les capotes et aida ses amants à les mettre avant de se faire à son tour pénétrer. Très vite, elle installa Yann sur la table et vint s’allonger sur lui, elle attrapa le sexe tendu de Bernard et le dirigea vers sa rosette, celui-ci s’y engouffra sans ménagement, Vincent était face à elle, sa queue bien au chaud dans la bouche de la rousse qui la pipait avec gourmandise, il ne tarda pas à lâcher sa jouissance dans le fond de la gorge de la belle qui n’en perdait pas une goutte, à peine avait elle avalé qu’elle remplacerait le chibre ramollissant par celui de Pierre.

Séverine se releva à son tour, poussa forçant Jibé à ressortir, elle fit s’allonger Patrice et lui enfila une capote avant de s’asseoir sur lui, Jibé ne tarda pas à se rapprocher du trou rester libre et glissa son membre dans l’anus offert, ne restant pas inactif, Bertrand s’équipa à son tour et fit reculer son employé pour prendre sa place. Ma Séverine sautait son mari en se faisant enculer par son patron. Jibé parvint à se faufiler et je ne sais comment entra lui aussi dans les intestins de la brune. Elle avait une bite dans la chatte et deux dans le cul alors que sa bouche passait de Paul à Jérôme. Elle réussi à se contorsionner pour sortir et changer de position alors que Patrice allait jouir. Elle se mit au dessus de lui et fit glisser le bâton couvert de son jus dans son cul encore dilaté. Et resta assis sur lui. Lorsqu’ elle se releva, elle laissa sortir le manche et retourna vers Paul et Jérôme, à leur tour de profiter de l’intérieur de ses grottes intimes…

Patrice alors esseulé se rapprocha de Jen qui se déhanchait toujours entre Bernard et Yann, elle se redressa, forçant son patron à déculer et attrapa la verge tendu du mari de Séverine pour le remplacer. Celui-ci venait de quitter le fion de sa femme, maintenant, il sodomisait la maîtresse de celle-ci. Yann enleva son étui de plastique et approcha son membre du visage de la rousse et y déversât de longue giclée de sperme.

Les hommes changèrent tous de place, je n’arrivait plus à voir dans toute cette débauche de sexe qui était où et faisait quoi, de toute façon j’étais sur d’une chose, chacun étaient passé plus ou moins longtemps par tout les passage possible, pour Patrice, c’était plutôt pas longtemps.

À mon signal, les filles se relevèrent et vinrent s’agenouiller au centre la pièce, les 7 mâles qui n’avaient pas encore jouis les encerclèrent et elles s’occupèrent des 7 pieux tendus face à leur visage, les aspirant avec leur bouche tour à tour, branlant les autres, devant parfois en sucer 2 à la fois, soudain, une volée de foutre traversa le groupe, chacun y allait de sa giclée sur les poitrine offerte, dans la bouche ou les cheveux des prosternées.

Une fois les couilles de ces messieurs bien vidées, les courtisanes s’embrassèrent et se léchèrent le visage, puis le corps, chacune prenant soit de bien nettoyer l’autre, léchant le foutre en quantité sur leurs corps, une fois propre, elles se placèrent tête bèche pour nous offrir un 69 torride, on voyait leur langue titiller le clitoris de sa compagne avant de disparaitre par intermittence entre les lèvres charnues. Les doigts se promenaient aussi, tantôt sur la fine fente humide et s’en allaient glisser entre les globes charnus pour disparaitre dans le petit passage intime de chacune. Elles ne tardèrent pas à atteindre l’orgasme, l’assistance se contentait d’admirer le spectacle et certain commençait à reprendre de la vigueur.

Je proposais aux plus « mou » de m’aider à débarrasser la grande table, Pierre, Vincent et Patrice m’accompagnèrent à la cuisine, à nous 4 un aller suffit, et lorsque nous revenions à la salle à manger, un nouveau spectacle de débauche s’offrit à nous : Séverine et Jen était toujours dans la même position, continuant à se brouter le minou, mais cette fois, elles étaient allongées sur la table. Jibé avait pris position entre les fesses de la rousse tandis que Jérôme était dans celui de Séverine. Yann, Bertrand, Paul et Bernard étaient de chaque coté, leurs bites dans la mains des donzelles qui les branlaient tendrement, de temps à autre, leurs langues quittaient le sexe humide de leur maitresse et elle prenait une queue en bouche, nous voyant arriver, tout le monde bougea et une fois encore, les filles eurent le droit à d’innombrable aller-retour, changement de partenaires, parfois plusieurs phallus dans le même passage.

Petit à petit, les hommes se fatiguaient, mes voisins et Pierre repartir, « les couilles complètement vidées », puis Jibé et Bertrand, je m’approchais des filles et leur parla discrètement :

«- bravo les filles, vous avez été splendide, vous méritez un petit cadeau. Vous voulez une surprise ? »

Elle me dévisagèrent, un peu surprises mais complètement ravies de leurs soirées.

« -ho oui » dirent elles de bon cœur.

Nous retournions dans le salon tandis que les derniers invités remettaient leurs pantalon :

« -bien messieurs, j’espère que vous avez appréciés, mais dis moi Patrice, il me semble que tu as été moins « servi » que les autres, non ?

-heu, peut-être, je ne sais pas

-si si, et les filles ne peuvent pas te laisser partir comme ça !

-heu oui, mais il est tard et ma femme ..

-quoi, ta femme, elle est de sortie aussi tu m’as dit, et elle ne t’attend pas plus que ça !

-oui, mais nous sommes venu ensemble avec les gars, dans la voiture de Paul

-ne t’inquiètes pas, je pourrais te ramener aller restes un peu ! »

Devant autant d’insistance, il ne put refuser, surtout que les demoiselles dans mon dos se caressaient tendrement l’une l’autre, et en me retournant je vis une inquiétude dans leurs yeux, un clin d’œil de ma part « tout est sous contrôle » .

A suivre


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