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L'apprentissage de Séverine 13

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Lue : 2765 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/08/2012

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Heureusement que je pus bénéficier du dimanche pour récupérer, cette soirée m’avait vidée, au propre comme au figuré mais maintenant un nouveau palier avait été franchi et les jours qui suivaient seraient révélateur sur le futur de mes relations avec les deux filles. J’avais déjà une belle emprise sur Séverine qui maintenant elle me donnait respect et obéissance sans limite amis Jen allait elle suivre le même chemin ? Je lui donnais la semaine pour le me le prouver, et la tournure des évènements durant celle ci allait précipiter les choses..

En arrivant au bureau lundi, je vérifiais qu’elle avait bien reçu le mail que je lui avais envoyé. Il contenait simplement un lien vers un site porno où l’on voyait une rousse se faire raser la chatte. Durant la prise, j’avais pris soin de ne pas filmer les visages pour garantir un peu de leur anonymat mais maintenant le monde entier avait vu sur la perte de sa toison pubienne. Non seulement, elle l’avait vu, mais elle m’avait répondu « tu as fais ça, en regardant la vidéo je me suis sentie super excitée et je dois avouer que je n’ai pas put m’empêcher de ma masturber en me remémorant cette nuit si torride.. Mais j’ai quelque soucis et j’aurais besoin de te revoir pour t’en parler, serais-tu disponible ce soir ? »
Je lui répondis immédiatement «tu t’es masturbée ? Qui t’y a autorisé ? ok pour ce soir, chez moi ! Sois à 18h30 devant mon immeuble. À l’entrée, je laisserais un sac pour toi, tu y mettras tout tes vêtements et tu devras monter nue jusque chez moi ! Considères que cela sera ta punition ! » puis je me rendais dans le bureau de Séverine.

Comme à son habitude au travail, ses cheveux étaient attachés de façon stricte, ce qui lui donnait un air moins gracieux, mais je savais que sous ce joli tailleur noir elle ne portait rien d’autre que des bas. Je la laissais finir sa conversation avec Jean Baptiste, mon collègue, ou plutôt émettre leur point de vue, car Jibé avait toujours du mal à se plier aux exigences de ma belle si bien qu’il sorti encore une fois en claquant la porte.

« -et que me veux Mr Christian maintenant ?

- juste te donner ce petit paquet ! »

Elle l’ouvrit et découvrit un œuf en plastique, elle me dévisagea, interrogative.

« -glisses le dans ton sexe ! »

Sans broncher, elle s’exécuta, rien ne se passa, mais lorsque je pris mon téléphone, je lançais l’application que j’avais créée et l’œuf se mit à vibrer sans bruit mais son changement d’attitude me le confirma.

« -hou ouiiiii, c’est bon

-serre bien le vagin, ne le laisse surtout pas tomber et garde le ! »

Je stoppais le mouvement avec la possibilité de le déclencher à tout moment !

11h, réunion administrative mensuelle, ordre du jour, toujours le désaccord entre Jibé et Séverine mais aussi l’avancé technologique de nos produits mis en vente, les nouveautés …etc. cette réunion avait été mis en place par Bertrand, notre boss, afin que l’équipe puisse échanger ses divergences et ses différentes expériences. Jibé pris la parole en premier, il n’avait jamais apprécié Séverine sans que j’en connaisse la cause exacte, il n’arrêtait pas de la critiquer dans tout ce qu’elle faisait et elle défendait son point de vue, ha le monde du travail ! Alors qu’il vitupérait contre elle, j’appuyais sur mon écran tactile et aussitôt le visage fermé de la comptable austère se figea, elle devait garder son sérieux devant l’assemblée et essayait de contenir la montée du plaisir provoqué par ce petit œuf de plastique qui commençait à vibrer dans son vagin. Puis se fut à elle de prendre la parole, je changeais de mode vibratoire lorsqu’elle se leva , imperceptiblement ses traits se contractèrent, ses mains se crispèrent, je voyait que ses jambes avaient du mal à la tenir debout et qu’elle devait se concentrer pour ne pas se laisser envahir par cette douce sensation qui venait de son bas ventre, et lorsque je la sentis proche de l‘orgasme, je coupais. Sa voix avait été chancelante pendant un instant, Bertrand le sentis et s’interrogea :
« -Tout va bien Séverine, tu me semble pâle tout d’un coup ?

-oui, merci Bertrand, surement la chaleur dans cette pièce

-tu as raison, baissez un peu la clim’ voulez vous ? Bon considérons que l’incident est clos, Jibé, je ne veux plus vous entendre ! À toi Chris, il paraît Que tu as mis la main sur une nouvelle appli ?

-oui, voilà, c’est une extension pour télécommander à partir de son Smartphone, on peut brancher énormément d’appareil tiens, regarde j’ai préparé ceci pour une démo. »

Je sortait une petite voiture téléguidée de ma poche et lança mon appli, bien sur, j’avais branché la voiture sur la même fréquence que le sex-toy, si bien que lorsque je la mis en route, mon regard se dirigea discrètement vers Séverine.

Elle reprenait doucement ses esprit et soudain, une nouvelle vague de plaisir la submergeait, je la connaissais assez pour savoir lire dans son regard l’approche d’un orgasme. Trouvant le gadget amusant, mon téléphone passa de mains en mains : tout les monde présent à la réunion voulait jouer avec le véhicule, jouant également sans le savoir avec le sexe de notre comptable.

« -le plus beau avec ceci, c’est qu’il a une portée infini, on peut commander de son téléphone, donc partout dans le monde tant qu’on a du réseau… »

La réunion pris fin, Jibé continuait de pester dans son coin :

« salope, sale petite pute d’enculée ! « ho, je crois qu’il fait chaud ! » pétasse va !

-allons Jibé , calme toi un peu ! »

Mais rien ne pouvait le calmer…

Le reste de la journée fut consacré au travail, il fallait gagner son pain et nous avions pas mal de boulot.

17h45 retour à la maison, douche et je me poste à ma fenêtre, je guette l’arrivée de mon invitée

18h20 elle arrive, en avance c’est bien, elle entre. Elle n’allume pas la lumière, elle doit être en train de se désaper, lire le mot « ascenseur en panne », elle va devoir se taper les 5 étages par les escaliers… à poil. Discrètement, j’ouvre ma porte et jette un œil dans la cage d’escalier, elle commence à monter, discrètement, marche par marche en faisant attention de ne pas faire grincer le vieux parquet. J’allume les lumières, elle s’arrête, puis repart de plus belle, montant les marches 2 par 2 en faisant un boucan d’enfer. Je fais repartir l’ascenseur puis retourne dans mon appartement. Je l’entends sur le palier, elle frappe… je prends mon téléphone et compose son numéro. J’entends sa sonnerie, elle cherche dans son sac, il doit être au fond. Au moment ou elle l’attrape, je tombe sur son répondeur. Bon timing. Petit message « entre, c’est ouvert », je l’entends interroger sa messagerie vocale et elle ouvre ma porte, dans la tenue d’Eve comme je lui avait demandé.

« - enfiles chapeau et viens dans le salon ! »

Celui-ci est fortement éclairé en un endroit, elle mis le couvre-chef sur sa tête et s’approcha de la clarté.

« -mets toi dans la lumière, bien, écartes bien tes genoux, ne laisses pas tes bras ballants, croisent les dans ton dos et bombe le torse, ta poitrine est superbe ! Mets là en valeur ! Voilà, tu es magnifique comme cela ! Penche un peu plus ta tête en avant (le chapeau masquait plus son visage ainsi) et tourne la tête légèrement vers ta droite, regardes à la fenêtre ! »

Celles ci n’avait pas de rideau et elle pouvait voir le voisin d’en face à son carreau, armé d’un appareil photos, il n’arrêtais pas de mitrailler.

« -continu de te mettre en valeur comme ça, maintenant, glisse ta main gauche sur ta poitrine et caresses tes seins, il continu de te photographier, c’est bien, il va les mettre sur le net ensuite tu sais ? Cela t’excites ?

-mmm je ne sais pas ….

-laisses toi aller, tu t’es masturbé en regardant la vidéo de ta chatte en train de se faire raser, montre moi comment ! » Timidement, elle apporta sa main droite vers son pubis glabre

-mets-y plus de conviction ! C’est moi qui te gêne, ou mon voyeur de voisin ? Tu sais, je l’ai vu se branler sur le net tout à l’heure, il regardait ta vidéo. »

Cela eu l’effet que je souhaitais, elle commençait à prendre du plaisir et je voyait son désir monter. Je la laissais faire, elle devenait de plus en plus hardi dans ses gestes, oubliant ses spectateurs et lorsque je la sentais prête à jouir :

« - arrêtes immédiatement, ne jouis pas ! Tu as déjà jouis tout à l’heure alors maintenant tu devras rester comme ça ! Tu avais quelque chose à me dire il me semble … »

Sur mes ordres, elle se stoppa non sans amertume et commença à me parler, je la coupais net :

« -remets tes mains dans le dos quand tu me parles ! »

Elle obéit

« -voilà, c’est à propos de tous ça …

- tu veux arrêter ? Je ne pense pas car tu ne serais pas ici dans cette posture si c’était le cas !

- non, j’apprécie tout cela, c’est bien différent de tout ce que j’ai put connaître jusque maintenant, mais voilà… »

Elle m’expliqua qu’elle avait connu le sexe sur le tard, trop absorbé par ses longues études et que elle l’avait vraiment découvert que ce week end, elle n’était pas encore à l’aise avec son corps mais je contribuait à la mettre en confiance, et que surtout, de ce fait, elle n’avait pas de goût vestimentaire, elle avait voulu faire les boutiques en ligne mais ne savait pas quoi choisir.

Je programmais donc une petite séance shopping, elle me dit qu’elle reprenait ses gardes à partir de demain et elle était donc indisponible jusqu‘au début de la semaine suivante, j’envoyais un SMS à Séverine, elle allait être bonne conseillère également, pour qu’elle pose un RTT le mardi. Avant de la laisser partir, je lui donnait un œuf identique à celui de Séverine, garda ses vêtements et lui laissa le trench-coat blanc de la brune et une paire de bas.

« Voilà, glisse l’œuf dans ton vagin, tu devra l’y laisser sauf lorsque tu sera à l’hôpital, on va appeler un taxi qui va te ramener chez toi, tu ne va pas prendre les transports en communs seule habillée de la sorte, mais jeudi c’est exactement ça que tu devra porter. »

Une fois le taxi arrivé, je la laissait repartir, et lorsque je la vit fermer la porte du véhicule, je mettait son œuf en route et l’appela sur son portable.

« -dis moi, j’ai oublié de te demander quelque chose, tu devra me rendre service à l’hôpital.
Je trouvais se prétexte pour l’appeler bien sur, mais aussi pour commencer à mettre au point notre prochain samedi de débauche

« -comme tu veux, répondit-elle.

Au son de sa voix, je comprenais que le gadget fonctionnait très bien, elle se concentrait pour ne pas trop se laisser aller.

« - allons, ne te gêne pas pour le chauffeur, je suis sûr qu’il en a vu d’autre !! » et lorsque j’entendis son orgasme au bout de la ligne, je coupais le gadget.

Pendant cette soirée, où qu’elles soient, quoiqu’elles fassent, je pouvais le déclencher …

La semaine fut calme, Séverine avait ses règles et Jen était à l’hôpital, pas question pour moi de la perturber pendant son travail, toutefois, je lui donnait les consigne par mail pour le service que je lui avait demandé et elle s’en occupait très bien.


mardi 8h00

Nous nous étions donné rendez vous pas très loin de chez Jennifer, la station de métro en bas de chez elle, elle arriva pile à l’heure habillée comme je lui avais ordonnée : un simple trench cota blanc maintenu par une ceinture et une paire de bas, un contrôle furtif pour m’assurer qu’elle ne portait rien d’autre et c’était bon. Séverine portait une jupe fendue arrivant au dessus du genou, une épaisse veste bordeaux la couvrant du froid matin d’automne nous cachait son chemisier, ses longues jambes étaient comme à leurs habitudes gainées de basses coutures noires et elle était chaussée de simples escarpins rouges aux talons raisonnables pour la marche qui nous attendait. Une fois engagé dans la rame, la chaleur lui fit ouvrir sa veste, laissant voir un chemisier en soie blanche, plutôt étroit pour elle, et qui laissait sortir ses deux magnifique globes dont les tétons pointaient à travers le satin.

Station Aubert, changement, RER A, Marne La vallée, direction un grand centre commercial de l’ouest parisien, Séverine avait profité de son samedi pour y faire quelque repérage et voir les articles susceptible de nous intéresser.

Trouver de la place est mission impossible à cette heure, nous sommes là, debout, moi entouré de mes deux belles, mes mains se baladent et je croise le regard de quelques hommes bien envieux, j’entrouvre de temps à autre le manteau de la rousse, ils ont une vue sur le haut de ses cuisses imberbe, je glisse une main sur son pubis, mes consignes ont été respectées, je lui avais donné l’adresse de Vanessa et elle s’y était rendu la veille. Tout en embrassant la brune à pleine bouche, mes doigts se promènent le long de son mont de vénus si doux et je ne tarde pas à en glisser un dans sa grotte humide. Nous sommes secoués par un freinage, bousculés par la montée et la descente des passagers, les filles se retrouvent l‘une derrière l‘autre, Jen est prise en sandwich entre la brune et moi. La main de Séverine a remplacé la mienne tandis que je lui fais face, j‘attrape mon téléphone et lance l‘application « magique ». Aussitôt je vois leur visage changer, leur jambes se contracter.

Nouvel arrêt, des places assise se libèrent, rare ! On en profite, les demoiselles s’assoient comme je leur ai appris : leur genoux ne se touchent pas, je m’assoie face à elle et chacune de mes mains glissent entre leurs cuisses pour atteindre l’humidité de leur sexe, elles ne bronchent pas. Je peux sentir toutes les vibrations du gadget, toutes les contractions de leurs vulves. Elles se laissent bercé par le ballant du train qui traverse maintenant les champs de la Seine et Marne et s’abandonnent ensemble à leur discret plaisir.

9h00 Nouvelle station, nous sommes arrivé, descente et direction les boutiques repérées par Séverine. À cette heure matinale, elles ne sont pas encore ouvertes, nous déambulons dans les grandes allées du centre commercial pratiquement désert. Je m’approche de Jennifer et défait la ceinture de son manteau, les quelques boutons restent ouverts si bien que lorsqu’elle marche, on a une vue sur son corps nu.. Je laisse monter les filles à l’étage, elles se placent au bord de la mezzanine et d’en bas, j’ai une vue sous leurs vêtements, elles sont là, exposées aux regards des quelques curieux matinaux qui errent dans les allées. Je ne manque pas de prendre quelques vidéo, ma caméra ne me quittant jamais.

10h00, ouverture des boutiques, Séverine ouvre la voie, pénètre dans un magasin et se dirige sur d’elle dans les allées, prenant plusieurs articles.

- » tiens, commences par essayer ces robes ! »

Hésitante, la rousse laisse choir son trench, se retrouvant nue au milieu du magasin et enfile le premier article, il s’agit d’une robe de soirée bleue, très échancré et fendue sur un coté, elle met bien sa poitrine en valeur et ne la boudine pas trop.

« - parfait, je déclare, on la prend ! »

Deuxième essais, une vendeuse s’approche mais Jen ne se démonte pas, elle ôte le vêtement sous le regard surpris de l’employée et enfile un nouvel article : une mini jupe noire elle reste là, les seins à l’air pendant que nous regardons si cela lui va.
« -un peu grande, essayes la taille du dessous ! Lui dit Séverine. »

La vendeuse tente un rapprochement :

« -vous désirez quelque chose en particulier ? Elle essaie de faire abstraction de la poitrine nue de la rousse à coté d’elle, nous sommes ses premiers clients et pour le moment le magasin est vide, alors….

« -oui, vous auriez la même chose une taille en moins ?

-bien sur, je vais voir dans la réserve. »

Pendant qu’elle part chercher ce que nous lui demandions, Séverine tendis un autre vêtement à Jen, un petit top assez large qui masquait à peine le bas des globes de ses seins, laissant voir son ventre, je remarquait une petite gêne.

« -Cela ne te plais pas ?

- ben, je n’aime pas trop laisser mon ventre en apparence comme ça, à cause de mes petits bourrelets.

-ton ventre est très bien, je l’aime comme il est !

-mais quand on voit celui de Séverine, si plat, comment fais-tu ?

-un peu de gym, je te montrerais. »

Sur ce, l’employée revenait avec la jupe, Jen l’enfila. Difficilement car elle était très serrée.

« -je pense que la taille du dessus était mieux, hasarda aimablement la vendeuse.

-mais, on ne vous demande pas votre avis ! » Répondit sèchement Séverine

La pauvre devint rouge de honte, se faire ainsi brutalement réprimander par une cliente. Il est vrai que la jupe était étroite, mais encore plus courte de ce fait, et avec ce top cela ne cachait que les endroits stratégiques…, emballés pour les deux articles.

Changement de boutique, même scénario, Séverine choisi les habits et Jen les essais directement, cette fois il s’agit d’un corset mauve, il remonte la poitrine de Jen en laissant ses épaules nues, il s’arrête au niveau du nombril, laissant voir le piercing de la belle et c’est à ce moment que la vendeuse de ce magasin s’approche de nous. Elle va nous sortir sa phrase habituelle lorsqu’elle constate avec stupeur que la rouquine ne porte que le bustier et qu’elle est nue à partir de sa taille. Ne sachant quoi dire, elle retourne vers la caisse.

« -c’est ok pour moi ! Mais je crois qu’il ne va pas falloir s’attarder ici ! »

L’employé parle avec un homme à la caisse, apparemment son patron, Séverine tend une jupe écossaise à Jen pour compléter l’ensemble, elle l’enfile avant que l’employeur n’arrive. Elle s’adressa alors directement à lui avant même qu’il n’ouvre la bouche.

« -nous prenons le haut, mais il me faudrait la taille en dessous pour la jupe !

- bien madame. Il se dirige vers le présentoir et revient avec la taille désirée, Jen quitte alors celle qu’elle porte et enfile l’autre sous les yeux médusés de l’homme, il n’eu pas le temps de dire quoique que se soit que Séverine ôte également son chemisier, libérant sa poitrine de sa prison de satin.

« -j’adore ce bustier, il faut que je l’essaye ! »

Elle attrape un corset blanc et l’enfile, il lui enserre parfaitement la taille et épouse le galbe de ses seins, le haut était à la limite de ses tétons et il offre une vue plongeante sur sa gorge avantageuse.

Elle s’adresse au tenancier de la boutique qui restait sans voix.

« -parfait, qu’en pensez-vous ? »

-……

« -ok, on prend tout cela »

En un instant, les filles retirent les vêtement neufs pour remettre la tenue dans laquelle elles étaient entrées.

« -bon, une troisième jupe que j’ai repérée, celle-ci me plait aussi et je crois que je vais craquer également. Ensuite, les chaussures ! » Déclare Séverine en nous entraînant vers une troisième boutique. Elle y avait repéré une robe fuseau avec une fermeture éclair sur tout le devant, toujours les épaules nues. Même rituel pour l’essayage, les filles commencent à s’amuser à ce petit jeu et elles se déshabillent toutes les deux, Jen essaye une rouge et Séverine une bleue.

« -banco, on prend les 2 on les garde sur nous ! »

Direction le chausseur, boutique sympa et choix d’escarpin, talons aiguilles et bottes. Un vendeur s’approche.

« -bonjour monsieur, mesdames, vous chercher quelque chose en ^particulier, je peux peut-être vous aider ?

-bien sur, j’ai vue cette paire de botte pour moi, pointure 40 et pour mon amie on va essayer les même mais aussi ces escarpins en rouge, une autre en blanc et ces bottines.

Jen se liquéfia, les talons du modèle désigné par la brune faisaient bien 13 cm, la brune remarque son embarras.

« ça ne vas pas Jen ?

-ben, les talons, je n’ai pas l’habitude …

-ne t’inquiètes pas, on s’y fait, je vais t’apprendre, mais essaye, tu ne reconnaîtras plus tes jambes après ! Ta pointure ? »

-euh, 38 je crois »

-ok, dit le vendeur, asseyez vous un instant, je reviens avec du 38 et du 39 pour mademoiselle.

-il est sympa celui là les filles, il faudra être gentille !! »

Elles rigolent un moment et s’installent dans le sofa en attendant le retour du jeune homme. Lorsqu’il revint les bras chargés de boites, elles échangèrent un dernier regard complice.

- »on commence par ?

-les bottes, mais comme j’ai peur de filler mes bas, je préfère les enlever, dit la brune en se redressant, elle glisse alors ses mains sous sa jupe et fait glisser le dessous délicatement le long de sa cuisse, puis répète l’opération avec l’autre jambe sous les yeux exorbité de notre charmant accompagnateur.

« -tu devrais faire pareil, » conseilla-t-elle à Jennifer qui s’empresse de l’imiter. .

Une fois rassises, il sort les bottes de leurs boites pour les faire essayer, elles écartent alors largement les cuisses en levant un pied pour pouvoir enfiler la première. D’où il était, le vendeur a une vue immanquable sur leur intimité. Il en rougit instantanément mais ne détourne pas les yeux. Sans pudeur, elles refirent le même geste pour enfiler la seconde et se levèrent faire quelque pas dans le magasin.

« -ok, on les prend, vous pouvez nous aider à les enlever messieurs ? »

La aussi, assises et les cuisses largement écartées, elles tendent les pieds pour que nous puissions nous saisir des cuissardes et tirer dessus.

Pour les bottes s’était bon, Séverine remis ses escarpins et nous pouvions passer aux essais de talon aiguille pour la rousse, elle commence par les blanches.

« -la pointure, ça va ?

-oui, c’est bon , répondit-elle

-attends, j’ai besoin de voir l’ensemble, disais-je, essayes les avec ton ensemble noir »

Séverine pris le vêtement dans le carton tandis que Jen enlève sa robe devant le vendeur qui n’en revenait pas, elle se trouvait nue dans son magasin et enfile la robe de soirée acheté plus tôt.

« -très bien ça, on prends ! »

Une fois les dernières emplettes réglées, les bras chargés de paquet, nous nous dirigeons vers le parking où nous attend le véhicule loué que j’avais amené la veille (prévoyant hein ? Je ne me voyais pas reprendre les transports …). Nous avons passé une grande partie de la matinée à faire nos achats et pour le retour, je prévoyais un petit détour dans les bois alentours. Je mets les paquets dans le coffre du monospace et laisse les filles se placer à l’arrière, à peine sorti du parking, elle commence à se rapprocher, attendant un mot, une autorisation de ma part

« -allez les filles, passez le temps, amusez vous ! »

Je n’ais pas fini ma phrase qu’elles s’embrasent à pleine bouche et 1 kilomètre plus loin, elles sont nues. Une fois dans les bois, je trouve le parking, je repère les quelques voitures stationnées, m’y approche doucement. Les filles, sont trop absorbées par leur 69 pour se rendre compte que je me suis arrêté. Rapidement, quelques hommes sortent des sous bois et s’approchent de notre monospace tandis que je descends. Ils commencent à mater à travers les fenêtres. Jen, qui est allongée sur le dos voit l’un d’entre eux, elle en tient informée sa compagne qui relève la tête pour se retrouver face à un sexe en érection, l’homme commence à se branler à la vue du spectacle de cul qu’on lui propose. Rapidement, la voiture est encerclée de mâle en rut, la queue à la main tandis que les filles continuent leurs amours. Elles changent régulièrement de position, à la fois pour profiter de la vue autour d’elles et pour s’exhiber plus crûment, certains ne tardent pas à cracher leurs sperme sur les vitres, elles font alors mine de le lécher à travers le carreau.

Au bout d’une bonne demi-heure, je remonte dans la voiture et repart, direction la capitale, il me reste trois semaine à préparer notre prochaine rencontre et c’est juste.

À suivre ……
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Histoire de jeanmimel

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