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L'apprentissage de Séverine 15

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Lue : 2894 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/08/2012

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Je l’invitais à se rassoir dans le fauteuil et lui proposais un cognac qu’il accepta volontiers, j’allais donc chercher le breuvage dans la cuisine, demandant au fille de m’accompagner, elles me suivirent sans insister.

« -alors voilà les filles, si tout ce passe comme prévu, vous aurez bientôt un nouveau jouet, allez d’abord vous doucher rapidement et revenez rapidement ! », pour ma part, je retournais dans le salon avec les deux verres du breuvage, entamait une conversation assez banale en attendant le retour des deux miss. Une fois celles-ci dans la pièce, elle se placèrent debout, face à nous, ne portant uniquement que leurs cagoules, dans la « position », je dirigeais alors la discussion vers un sujet plus personnel.

« -alors comme ça tu es marié ?

- oui

- et tu as déjà trompé ta femme ?

-et oui ! »

Je jetais un coups d’œil vers Séverine, elle venait de recevoir un coup violent et ses yeux au gris si doux et si profond se glacèrent soudainement.

- ha le coquin ! Comment ?

- ho tu sais, à l’hôpital les occasions sont nombreuses..

-et elle ?

-quoi elle ?

-crois tu qu’elle t’a déjà trompé ?

- non, j’en suis sur ! Pour elle le sexe est une chose sale, alors je me contente de l’honorer de temps en temps, cette mijaurée frigide…. »

Les mots blessaient la brune, je le sentais, elle voulait lui faire payer maintenant, toutefois, elle ne bougeait pas, attendant mon autorisation pour agir comme une fille bien éduquée qu’elle était. Jen comprenait se qui se passait, et partageait la douleur de sa compagne.

« - et dis moi là, laquelle t’excites le plus ?

- les deux sont bonnes !

-tu as envie qu’elles te sucent toutes les deux ?

-je dirais pas non !

- allez mesdemoiselles, à genoux devant notre invité ! »

Les filles vinrent se prosterner à contrecœur devant le fauteuil de Patrice, elles me lancèrent un regard qui en disaient long sur leur état d’esprit à ce moment là, mais elle ne bronchèrent pas, me faisant une confiance aveugle.

Elles commencèrent par lui lécher le gland, doucement, pour faire raidir cette peau molle, Jen descendit vers ses couilles et lui goba une boule poilue, Séverine elle s’appliquait à dresser le sexe dont le volume s’accroissait petit à petit.

« -elle suce bien hein ? Je t’ai dis que j’ai été le premier à lui cracher dans la bouche ?

-ha oui, c’est divin !

- ce n’est pas ta bourgeoise qui te ferait ça ?

-non, pour sur ! »

Séverine avala le chibre en entier, galvanisée par ce qu’elle venait d’entendre.

-et depuis, elle adore avaler. La brune, arrêtes ! Laisses ta copine et vient là ! »

Séverine obéit alors que Jennifer prenait le relais, lorsqu’elle s’approcha de moi, je fit mine qu’elle me parlait à l’oreille, et lui dit discrètement d’aller chercher ce qu’il y avait dans le buffet .

« -ok, tu sais ce qu’elle voudrait ?

-non

- sentir ta belle queue dans son cul. »

Si à ce moment là, ses yeux avaient été une arme je serais mort !

- mais avant elle voudrait savoir si tu t’es déjà fait enculer ?

- quoi ! Non bien sur ! Quelle idée !

- et pourquoi pas ? Après tout, on aime cette pratiquer la sodomie et nous sommes fait pareil.

- oui, mais ce n’est pas pareil »

Pendant que nous discutions, Séverine sortait du meuble le harnais et le gode.

« - tu vois, je pense qu’elle veut t’enculer avant que toi tu ne l’encule à ton tour. Laisses toi glisser un peu dans le fauteuil, Jen, lèche lui l’anus ! Tu verras, c’est très agréable! »

Il se laissa glisser, présentant son endroit le plus intime à la rouquine qui passa sa langue autour du petit œillet poilu. Le contact de cette langue sur la rosette lui arracha un braiement, il appréciait la caresse, et lorsqu’elle introduit sa lavette dans le petit orifice, un long soupir de délectation sortit de sa bouche. Il était conquis et se laissait aller, il n’offrit aucune opposition lorsque elle présenta son index, elle lorsqu’elle commença à l’introduire délicatement, je sentais que l’homme commençait à y prendre gout.

« -mais dis moi, si ta femme ne te plais plus, pourquoi ne la quittes tu pas ? Il y a tellement de femmes esseulée !

-ben tu vois, c’est elle qui à l’argent, je gagne bien ma vie mais elle descend d’une famille très riche, alors… »

Cette fois s’en était trop pour Séverine, je la sentais prête à exploser, je m’approchai d’elle et lui dit discrètement « soit patiente, il va très vite regretter, fais moi confiance ! »

« -ah je vois, dis-je en reprenant la conversation, monsieur profite et se fait entretenir, elle est bonne sa langue hein ?

-ouh ! Divine ! » répondit-il tandis que Jen passait de son anus à son sexe tendu.

-et toi, tu as déjà sucé un homme ?

-beurk, non ! »
Je fis signe à Séverine de se mettre devant lui.

« - alors, tu veux l’enculer hein ?

-oh oui !

- tu sais qu’elle va d’abord te prendre par l’arrière, ton trou est bientôt prêt, la Rousse s’en est bien chargé, mais d’abord, tu va lubrifier le gode avec ta salive ! »

Timidement, il approcha la bouche du sexe factice et le pris du bout des lèvres.

« -allons, ne fais pas ton timide, ce n’est pas comme ça que aime te faire sucer, hein ? »
À ces mots, Séverine attrapa rageusement la tête de son mari et lui força littéralement la bouche, s’enfonçant jusqu’à la gorge, il suffoquait.

« -voilà, c’est mieux comme ça, aller, salives bien dessus ! Maintenant, mets toi à quatre pattes sur la table basse »

Tout en parlant, je descendais mon pantalon en prenant garde de rester derrière lui, hors de sa vue, et indiqua à Jen de venir me sucer. Séverine elle se reculait en lui tirant les cheveux pour le diriger vers le guéridon, le gode toujours planté dans sa bouche. Une fois qu’il fut installée, elle passa derrière lui et se présenta devant l’entrée convoitée, elle posa avec précision le bâton en plastique et donna un violent coup de rein, le faisant ainsi entrer sans ménagement au fonds des intestins de son mari. Il eu un cri de douleur, mais tint bon par rapport à la promesse qu’on lui avait faite. Tandis que sa femme continuait à le bourriner avec rage, je m’approchait d’elle et lui intima l’ordre de se reculer, elle sorti à regret et je pris sa place.

Pour ma part, je n’avais jamais sodomisé un homme, je ne pense pas que j’aurais pu bander suffisamment, mais là avec l’aide de la rouquine, mon sexe était raide comme la justice et s’enfonça dans le conduit élargit par les assauts de Séverine.

« -et ta femme, tu l’as déjà enculé ?

- non,

- tu lui as déjà demandé ?

- ho non, cette pimbêche ne voudra pas, je ne suis pas prêt de lui foutre ma bite dans le cul, pourtant ça la décoincerais surement ! »

À ces mots, j’indiquais à Jen de maintenir fermement les pieds de Patrice.

« -tu sais, la brune c’est moi qui lui ais dépucelé le cul, et pour la rousse, elle ne voulait as au début mais elle s’est assise elle-même sur ma bitte ! »

Je continuais mes va-et-vient dans son conduit étroit, poussant jusqu’au fond, je sentais mon gland buter sa prostate, il était au bord de l’extase, j’indiquai alors à Séverine de se mettre devant lui et de lui tenir les mains, elle s’exécuta, ravie.

Voyant la brune passer à sa tête, il comprit qui était en lui, elle s’agenouilla, mettant son visage à hauteur du sien et ôtât lentement sa cagoule, l’expression « serrer les fesses » prenait pour moi tout son sens, le conduit anal se resserra soudainement autour de ma verge lorsqu’il reconnu sa femme.

« -et tu n’es pas prêt de la sodomiser, crois moi ! Dit-elle rageusement. Maintenant, chien, regarde bien ce qui arrive à des hommes de ton espèce ! Ça te fais quoi d’avoir une bite dans le cul ! »
Il restait bouche bée, plus aucun son ne sortait, sur le point de jouir, je quittait le sombre tunnel et présentai mon sexe salit à sa bouche.

« -voilà, chien, continua la cocue, maintenant tu va bien nettoyer cette belle bite qui m’a tant fait jouir, contrairement à la tienne, et avaler tout ce qui viendra ! »

À peine j’étais entré dans son orifice buccal, que je lâchais mon foutre, de longue giclée arrosaient le fond de sa gorge, et tout penaud, il s’efforçait de ne rien perdre, une fois que j’avais fini, il s’appliqua à me lécher tout ce qui il y avait sur ma tige, et il n’y avait pas que du sperme !

« -voilà mon chien, nettoie bien cette belle queue, une fois que tu auras fini, tu rentreras sagement à la maison avec ma voiture, moi je resterai pour profiter de cette belle bite que tu me nettoie, ta « mijaurée frigide » va se faire tringler encore comme une pute et tu resteras à m’attendre, on verra ce que la « pimbêche » décidera de faire de toi après ! »

À suivre…………
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Histoire de jeanmimel

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