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L'Aviateur

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Lue : 11853 fois - Commentaire(s) : 5 - Histoire postée le 16/05/2010

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J’ouvris les yeux, une douleur fulgurante transperça ma tête, je poussais un petit cri, une ombre blanchâtre se pencha sur moi, j’entendis un bruit de pas précipités qui s’éloignait, puis une cavalcade, une porte qui s’ouvre brutalement et la pièce se remplit de halos qui tournent autour de moi. Avant de retomber dans le néant j’entendis Il ouvre les yeux !...je crois que cela va aller !.

L’ombre me pinça la joue si fort que je criais de nouveau : il réagit ! il réagit ! il est sauvé ! Tanya ! tu ne le lâches plus, tu notes toutes ses réactions, vérifie toutes les fonctions vitales ! toutes ! tu entends ?Demain matin on fait le point ! Avant que la meute ne s’éloigne je reçus une dernière gifle qui se voulait amicale.

.......
Je sentais la présence de Tanya, elle s’occupait de moi, me remuait doucement les bras, les jambes, la tête, les mains, les doigts, par moment je gémissais lorsqu’elle me faisait mal, je devais être cassé de partout. Elle me palpa consciencieusement. Durant cet examen je prenais un peu de connaissance entre deux replongées dans un abîme noir et profond.


Tanya me caressa le torse, puis les reins, les cuisses qu’elle écarta, une douceur envahie alors mon bas ventre et je me rendis compte qu’elle frôlait mon sexe, j’étais bien, c’était doux, je n’avais pas mal à cet endroit, je me sentis rigide entre ses doigts, j’avais les yeux fermés et je m’offris davantage en levant mon ventre, en serrant mes fesses.


Une main sur ma hampe, l’autre captant les couilles l’une après l’autre, je gémis mais de plaisir cette fois. Puis ce fut doux et chaud, je sentis monter la vie doucement comme la lave pâteuse d’un volcan très sage. J’ouvris les yeux, je voyais et je pris conscience, Tanya penchée sur moi me suçait le sexe, elle l’absorbait de plus en plus, elle devait aspirer car le plaisir m’inonda et le volcan de ma verge déborda de bonheur et se répandit dans la bouche salvatrice.


Ce ne fut pas un orgasme fulgurant qui était mon lot habituellement mais un très long moment de bonheur, de douces sensations dans mon membre. Chaque goutte de liqueur aspirée par cette bouche prévenante drainait dans ma hampe un plaisir indéfinissable, tout mon être était centré sur mon bas ventre et cela dura une éternité me sembla t’il. Durant tout ce temps de plaisir, je ponctuais chaque crête de jouissance de mots sans suite :
- Oui, oh ouiii ahhh Tanya...Tanya.....


Quand je repris connaissance, j’étais bien installé dans le lit, Tanya assise à mes côtés me tenait la main.
- Tanya ?
- Oui je suis là, je veille sur toi, as tu mal à la tête ?
- Non, je suis bien
- Tu reviens de loin... je t’expliquerais


J’appris par la suite qu’au cours d’une de mes sorties journalières d’essais en vol mon avion super sonique avait flashé mais j’avais réussi à éviter une grosse agglomération en restant aux commandes le plus longtemps possible m’éjectant trop tard quelques secondes avant l’embrasement en ras de campagne. J’étais un héros d’après les journaux, oui mais dans quel état ? C’est ce que je découvrais peu à peu.



- Tu es belle Tanya !
- Tu me vois ?
- Oui, es tu un ange ?
- Non ton infirmière de nuit simplement
Je lui serrais longuement sa main, sa peau était douce
- Je t’ai examiné partout, je crois que cela va aller maintenant ! Une simple commotion ! enfin d’après moi, tu t’en tire bien !
- Je m’en souviens vaguement, j’étais mal au début et puis tu t’es penchée sur moi et là j’étais bien, très bien même et longtemps
- C’est très bon signe, maintenant je vais prendre ta tension, je la prends toutes les heures



Doucement elle me prit le bras le coinçant entre ses cuisses pour ajuster le brassard, je devais aller mieux car profitant de la position idéale de ma main je l’insérais entre ses cuisses ouvertes et remontant le gainage de ses bas j’atteignis l’entre cuisses sur le fin nylon de son slip. Tanya comme insensible continuait son contrôle mais par d’imperceptibles mouvements de son bassin conforta ma position et elle prit tout son temps laissant mes doigts prisonniers dans cet écrin soyeux lui pincer le sexe. Fatigué sans doute je m’endormis ainsi.



A mon réveil, Tanya comme si rien ne s’était passé me fit prendre un cachet en me relevant la tête puis s’installa pour revérifier ma tension. Quand elle reprit mon bras guidant ma main vers ses cuisses magnifiques je murmurais :
« Tanya tu es belle...tu es douce ... tu es chaude ! »
Tanya souriait, elle me laissait faire, ma main passée maintenant entre les pans ouverts de sa blouse et s’insérant dans le magnifique compas de ses cuisses, je me rendis compte qu’elles étaient nues, chaudes et lisses, elle avait du quitter ses bas, je cherchais sa source et l’empaumais de ma main et là je frémis de tout mon corps, l’infirmière.... Tanya... n’avait pas de culotte..... n’avait plus de culotte !


Je compris qu’elle m’offrait sa chatte, dans ma tête tout se remettait en place petit à petit, ma main retrouva les gestes qu’il faut pour donner du plaisir, mes doigts écartant les grosses lèvres avant de les presser, de les faire glisser l’une sur l’autre, immédiatement un abondant mucus favorisa mes introspections et je sentis ma cible s’animer lentement .


Dans cette position mon bras figé dépassait du lit, ma seule main libre de ses mouvements, Tanya s’était mise debout et à bonne hauteur l’avait enfourchée, c’est elle maintenant qui par des allers et retours, par des avancées et des reculs de son ventre offrait à ma main immobile tous les trésors de son entrecuisses. Seuls mes doigts, ma paume pouvaient agacer ce qu’elle me présentait. Ainsi je flattais le petit barbiquet de poils soyeux de son ventre, avant de retrouver sa vulve, la raie du cul avec le petit trou imberbe de l’anus, ces fesses, enfin, écartelées que ma main pouvait caresser avec délice.


Les mouvements de Tanya d’abord lents et réguliers devinrent assez rapidement contorsions incontrôlées, manifestement le plaisir qu’elle se donnait sur ma main devenait impérieux, exigeant, quand elle écrasait sa chatte mes doigts pouvait la pénétrer et c’est elle qui s’enfonçait sur eux, si elle s’échappait c’était pour qu’ils se vautrent sur son clitoris raidis dans son petit capuchon, l’instant d’après elle me fit comprendre qu’un petit doigt dans son cul serait le bienvenue et elle n’eut de cesse en tortillant de la croupe qu’il obtempère et s’agite en lui un long moment.


A partir de cet instant Tanya ne fut plus qu’une plainte et d’un coup recentrant son vagin elle devint comme folle en criant sa jouissance, trois de mes doigts la pistonnaient en se tordant dans sa chatte en furie. C’est en pleine orgasme qu’elle se pencha sur moi et après avoir soulevé l’ample chemise de l’hôpital me saisi le sexe et le porta à sa bouche. Je pouvais voir ses seins dans l’échancrure largement ouverte de sa blouse, jamais je crois je n’en avais vu de si beaux, la couleur de la peau d’abord, bronzée, sans le moindre défaut et puis leur forme, leur grosseur, leur maintien, le raccord de ses merveilleux volumes par une vallée profonde, harmonieuse, parfumée ; comme je serais heureux de pouvoir les peloter, avec mes mains, mes doigts, ma bouche ; mais mon état m’en empêchait.


Pourtant j’allais mieux car de ma verge raidie le plaisir irradia mon ventre de plaisir, il se dressait gros et arqué Tanya continuait de s’exciter sur ma main mais d’un coup elle s’échappa et elle monta sur le lit elle m’enjamba se mettant à califourchon sur moi mais en sens inverse, à genoux, cuisses écartées, elle avait en hâte retroussée sa blouse jusqu’à la taille, elle me saisit le membre, le centra dans sa chatte et faisant mine de s’asseoir sur moi, dans un grand cri elle s’empala la cramouille sur mon énorme phallus. Mon état m’empêchait de participer comme je l’aurai voulu à ces virils emmanchements mais je goûtais à la joie d’être passivement violé, serré, allongé par le mouvement alternatif de cette croupe avide. C’est Tanya qui faisait tout, réglait la montée chatte serrée se relâchant en descendant.


J’avais alors le spectacle de ses fesses magnifiques s’écartant, s’écrasant sur mon ventre dur. C’est lors d’une remontée que tel un moteur poussé je lui fis une injection de ma semence, mon piston lubrifié lui fit perdre tout contrôle, Tanya hurlait de plaisir Plus vite, plus vite Mais le rythme était limité par l’inertie de mon corps et sa musculature médiocre, elle restait alors, le phallus emmanché jusqu’aux couilles et par de rapides circonvolutions de sa croupe me tordait la hampe dans sa chagate dilatée.


J’essayai par des mouvements de mon bassin de conjuguer nos fréquences d’ébranlement mais mon état me le fit conjuguer à l’imparfait, néanmoins cela suffit à la faire sombrer dans une hystérie totale. Je la prenais par sa taille nue, l’aidant ainsi à rebondir sur mon ventre et à s’emmancher plus fort, plus profond en moi. Faisant éclater sa blouse je lui pris les seins durcis par la jouissance par devant ce qui la fit hurler de surprise.


C’est à cet instant que la porte de la chambre s’ouvrit laissant entrer le médecin et l’infirmière de jour.
- Espèce de salope ! tu ne peux pas attendre qu’il soit sur pied ! tu n’as pas ton compte ici à l’hôpital peut être ? Regarde dans quel état tu as mis notre héros
Sournoisement je fermais les yeux comme si je n’étais pour rien aux sévices sexuels infligés par la belle de nuit. Dans le ton du carabin j’avais senti une pointe de jalousie.
- Espèce de fumier toi même, regarde son sexe et compare-le au tien pauvre taré
Je sentis qu’on m’agitait la verge
- Ca c’est du super !
- Je vais t’en foutre du super, Gloria ferme la porte on pourrait venir


J’entendis un bruit de bagarre et de cris hystériques, et dans le même temps mon sexe dressé en drapeau se réchauffa d’une douce chaleur humide. J’entrouvris les yeux et j’aperçus le médecin pantalon aux chevilles enfiler Tanya en position de levrette sur le fauteuil de cuir de la chambre, tous les deux gueulaient l’un de plaisir, l’autre de rage. Quand détournant mon regard de ce tableau érotique je regardais d’où me venait cette douce sensation sur ma queue, je vis Gloria l’infirmière de jour qui me regardait, penchée à genoux sur le lit entre mes cuisses, tenant la base de ma verge d’une main avec mon sexe au plus profond de sa bouche, entre ses lèvres je sentais sa langue lovée sur ma virilité.


Dans cette position elle offrait son cul en remuant sa croupe. Cette offrande n’échappa pas au carabin qui délaissant Tanya se présenta sur l’arrière de ma pompeuse et à leurs mimiques je compris qu’il l’enculait, c’est ma queue qui en eu tout le bénéfice et j’allais me laisser aller dans cette gorge profonde quand d’un coup ma vue fut masquée, Tanya comme cette nuit s’excitait la chatte sur moi, mais au lieu que se soit sur ma main, c’était sur mon visage. Elle s’était installée accroupie au dessus de moi face à Gloria et se tenant aux bois de lit elle animait sa croupe d’avant en arrière, elle n’eut de cesse que ma langue lui remplisse la vulve et le cul.


Je crois que nous avons joui tous les quatre ensemble, je devais être vraiment sorti du coma car cette fois ma jouissance fut fulgurante dans la bouche de Gloria qui pris tout mon foutre.

Quand tout ce monde se désaccoupla satisfait j’entendis Tanya s’adresser au médecin
« Vous m’aviez dit de vérifier toutes ses fonctions vitales, je n’ai fait qu’obéir ! »
« Bon passons, je crois qu’il à rien, c’est un dur ! »
« Très dur oui, je te l’affirme »

La journée se passa bien, il s’avéra en effet que je m’en sortais sans mal, la vie était belle et j’attendis fébrilement la nuit et….Tanya.


Elle souriait quand elle entra dans ma chambre, elle était resplendissante, épanouie dans sa blouse moulée sur son corps. Quelle chance j’avais eu de lui plaire et de la baiser. Je voyais encore dans ma tête la danse de ses fesses ouvertes qui s’agitaient sur moi, ses seins qui dodelinaient sous mes coups de boutoirs.


Je me levais, allais au devant d’elle et tout naturellement nous nous jetèrent dans les bras l’un de l’autre. Elle se dégagea doucement en me faisant…Chut… et elle alla fermer le verrou de la porte de ma chambre.
« Cette nuit nous serons tranquille, je t’assure ! baise-moi ! tu vas pouvoir ? »


Si je pouvais ! Elle le vit de suite à la vigueur de mon sexe. J’avais ôté la rugueuse chemise de l’hôpital, j’étais nu et son regard se porta sur ma verge érectée, pointée, arquée sur mon ventre musclé, le gland décalotté. C’est en souriant qu’elle quitta sa blouse et m’apparue nue elle aussi dans toute sa splendeur de femme épanouie, libérée et jouisseuse pour mon plus grand plaisir.


Ce furent d’abord des caresses, des frôlements, des glissements de nos corps nus lovés l’un contre l’autre. Elle avait prit ma verge entre ses doigts et faisait jouer mon prépuce sur ma hampe, découvrant et recouvrant mon gland. De temps à autre elle soupesait mes couilles délicatement. C’était bon et je lui rendis ses caresses en passant ma main en arrière entre ses fesses. J’empaumais les grosses lèvres de sa chatte, deux doigts pinçant son clitoris. Positionné de la sorte mon pouce n’eut aucun mal à presser son autre petit cratère et peu à peu en scrutant son visage je me sentis autorisé à l’enfoncer bien à fond en l’agitant dans son antre.


« Suce-moi les seins ! » me dit-elle
Je les pris dans ma mains libre et les portait à ma bouche grande ouverte, m’attardant en aspirant sur l’un avant de m’occuper de l’autre. Je fis durer cette caresse buccale sur sa poitrine gonflée par le plaisir, sur ses mamelons raidis aussi longtemps que Tanya n’exprima une envie plus pressante. En se tortillant contre moi elle me susurra :
« Baise moi chéri, maintenant…..tu veux ? »


Elle se laissa renverser en travers du lit, et je m’avançais entre ses cuisses ouvertes, ma verge dans la raie de sa chatte offerte au bord de la couche. Je me penchais sur elle reprenant ses seins dans mes mains, ma bouche dans son cou gracieux et sensible. Par des mouvements de reptation j’allais et venais dans son intimité lubrifié par sa mouille. Mais comme elle s’impatientait je pris ma verge en main pour la détacher de mon ventre et me centrer sur sa vulve.


Tanya était prêtre à me recevoir et ce fut un délice de m’enfoncer en elle et par des mouvements de nos bassins de se laisser aller moi en elle. Il était loin le temps des caresses langoureuses, c’était hard maintenant il fallait que je la baise rudement, de plus en plus fort, de plus en plus vite, de plus en plus profond. Il fallait lui peloter durement les seins, pincer ses tétons, mordre la chair tendre se ses épaules.


Le martellement de mes bourses sur ses fesses donnait le tempo de plus en plus rapide. Depuis l’introduction de sa chatte Tanya jouissait, un rictus aux lèvres laissant passer une plainte continue. Moi j’étais bien mais je me réservais pour que son plaisir dure et j’étais heureux de mon pouvoir. Le pouvoir de donner du plaisir de faire jouir une femme magnifique qui s’offrait. J’aurai voulu que cela ne s’arrête jamais. Il n’en fut rien car je reçu un ordre bref mais impératif :
« Encule moi maintenant chéri….Je le veux »


Ce n’était pas pour me déplaire car j’ai toujours adoré entrer dans ce puits d’enfer, cet œil magique si serré qu’il peut broyer des verges plus délicates que mon pieu d’acier. Je sais m’y prendre pour faciliter cette délicate situation. Je sais amadouer les anus les plus serrés, et quand j’entre dans ce monde des ténèbres ce n’est que plaisir pour ma partenaire.


Avec Tanya ce fut facile, elle ne devait pas être vierge de ce côté qui avait sans doute déjà vu le loup. Ce ne fut que du plaisir pour nous deux. Durant tout le temps où je l’enculais nos regards se croisaient, complices et quand son orgasme se déclencha, puissant, dévastateur, quand sa croupe s’anima de mouvements incontrôlés, quand elle se serra sur moi broyant mon sexe, quand elle poussa un grand cri de jouissance je me laissais aller et j’éjaculais dans son cul souillant ses fesses de ma semence.


Nous restèrent ainsi l’un dans l’autre ivre de bonheur, enlacés, reprenant cette fois nos caresses lascives qui nous menèrent jusqu’à l’aube où l’hôpital se réveilla.
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : L'Aviateur

Le 18/05/2010 - 18:49 par Pierre le Grand
Je vous remercie toutes pour vos commentaires . Pour moi les mots crus mettent en valeur le texte, la situation et le style. Vous m'encouragez à poursuivre ce mode de récits qui plaisent et qui sont très lus ce qui me conforte à continuer ainsi. Décibel le sait bien. Je vous conseille de lire ses nombreuses histoires sur le site qui avec un langage plus châtié ne sont pas moins érotiques. Donnez votre avis j'en ai besoin Pierre
Le 18/05/2010 - 14:35 par Decibel
Très belle narration !!! Mais - si je puis me permettre un petit avis personnel - c'est un peu dommage de mélanger un merveilleux style rempli de superbes métaphores, avec quelques termes plus (trop) crus ;o)
Le 17/05/2010 - 11:46 par elie
tjr aussi douer!!! j'ador et j'en redemende!!!!
Le 16/05/2010 - 18:50 par Paradise Kiss
Encore une belle histoire qui nous laisse reveur ...et exité !!!

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