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Soirée torride entre étudiants

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Lue : 18014 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 04/05/2010

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Suite de la narration : http://www.histoires-intimes.com/baise-moi-en-plein-cinema-732.html

La séance de galipettes débridées en plein cinéma était l'assouvissement de son fantasme à elle et c'est donc le coeur battant et les sens encore en ébullition qu'ils se retrouvent attablés - les yeux dans les yeux et un sourire malicieux aux lèvres - dans un petit bar, où il a ses habitudes et quelques copains à rencontrer.

Encore seuls en cette fin de journée très érotique, ils s'embrassent fougueusement, se caressent par-dessus leurs vêtements chiffonnés de leurs ébats passionnés au cinéma, savourent leurs mutuels désirs de sensations encore plus intenses et libertines.

Lentement sous la table, elle passe son pied dénudé sur son entrejambe et - de ses orteils habiles - lui masse la braguette qui se marque déjà d'une belle bosse d'excitation. Tout en détaillant d'un regard lubrique son décolleté plongeant sur ses seins généreux, il lui propose un nouveau challenge, tout en se pourléchant déjà les babines.
- "A toi maintenant de me faire un merveilleux plaisir, ma p'tite chérie. Tu veux bien assouvir mon fantasme personnel ce soir ?"
- "Demandé si suggestivement, comment te refuser quoi que ce soit, mon bel étalon ? Tu m'as déjà tant fait jouïr cette après-midi, que je deviens de plus en plus gourmande de toi ! Que veux-tu ?"
- "Heu... c'est un jeu sexo un peu inhabituel encore entre nous...mais, si tu me fais confiance et que tu acceptes, je te promets que tu ne regretteras pas ta soirée !"
- "Tu me fais peur, là ... inhabituel ? ... c'est quoi ? dis-moi STP ce que tu me réserves !"
- "Non pas encore, c'est une petite surprise très très excitante que je rêve qu'on fasse ensemble ... laisses-toi faire, tu n'as qu'à te lâcher entièrement à tous tes envies les plus chaudes ! Je bande déjà rien que d'y penser, ma tendre petite salope à moi" lui murmure-t-il mystérieusement, avec un petit clin d'oeil de connivence.

Elle n'a pas le temps de réfléchir ni de répondre quoi que ce soit, quand brusquement deux de ses potes de fac' entrent dans le bistrot. Ils se sourient amicalement, se font la bise après qu'il leur ai présenté tout simplement "ma p'tite chérie à moi" et s'installent devant quelques verres de bière bien fraîche.

Tout en évoquant gaiement les potins de la fac', les deux copains lorgnent de plus en plus vers cette fille plutôt mignonne, aux rondeurs appétissantes, aux grands yeux verts pétillants de malice et à la bouche humide prête à savourer mille-et-un délices. Au fur et à mesure que les verres se suivent, chacun d'eux devient plus entreprenant et lui caresse furtivement un bras ou lui frôle doucement la jambe ... et elle continue à leur sourire, heureuse que son homme à elle apprécie qu'on la désire de manière si évidente !

Voulant prouver à ses copains qu'elle était toute à lui, il prend "sa petite femme à lui" tendrement dans ses bras, lui passe une langue dévorante sur la nuque et termine par un fougueux baiser sur ses lèvres humides. Elle se sent fléchir sous ses assauts et lui rend son câlin par de rapides coups de langue dans sa bouche, lui titillant le palais, car elle sait bien que ce petit jeu coquin entre eux se poursuit généralement par des caresses encore plus sensuelles. Ses amis les regardent se lécher mutuellement la bouche et cachent déjà difficilement leur gêne devant tant d'élan. Mais ils ne sont pas au bout de leur surprise en tant que voyeurs bien involontaires : prise d'un désir fulgurant, elle tend son opulente poitrine vers le torse de "son bel étalon" et il plonge habilement la main dans son décolleté pour introduire ses doigts sous la fine dentelle de son soutien-gorge, lui caresser fébrilement les seins et en pincer les pointes érigées jusqu'à ce qu'elle pousse un petit cri de plaisir en plein bistrot !

Dans son excitation, et avec pour toute connivence les regards lubriques de ses deux acolytes, il sort subrepticement un beau sein blanc de sa robe et - tout en continuant à le masser sur toute la surface de sa peau - exhibe fièrement un de ses tétons tout rouge et grossi, qu'il suce frénétiquement tout en faisant glisser sa main libre vers l'entrejambe de sa "p'tite chérie". Déjà elle ferme les yeux du délice qu'elle ressent et écarte imperceptiblement les cuisses, pour que ses doigts habiles se frayent un passage entre deux boutons fermés de sa robe et viennent lui titiller la chatte nue, trempée de désir. D'un coup d'oeil complice à ses deux copains, il laisse les pans de sa robe béants et - par l'interstice des deux boutons - il leur laisse entrevoir le minou glabre et luisant de sa compagne, ses douces lèvres intimes qui - grâce à son bassin arc-bouté - démontre déjà d'intenses frissons de plaisir, lorsque sa peau sent la chaleur de ses doigts frôler sa fente humide.

Les deux copains, rouges de honte devant ce spectacle sexy dans un lieu public, ne peuvent cependant cacher leur émoi, car leur pantalon semblent de plus en plus étriqués, de par leurs sexes gonflés d'excitation et ils ont de plus en plus envie d'une bonne masturbation pour libérer la pression croissante dans leur testicules et leur verge. C'est à ce moment-là que le petit couple libertin entre plus activement en scène. Il murmure quelques mots coquins à sa belle qui - sous l'emprise de la boisson et du plaisir imminent - acquiesce non sans une certaine hésitation.
- "Tu es certain que c'est çà que tu veux ?" lui dit-elle, dans un dernier doute.
- "Oh oui, ma tendre p'tite chérie... tu sais ils sont puceaux tous les deux et tu peux les soulager ... tu es si bonne et ma belle p'tite femme à moi ... mais tu veux bien assouvir mon fantasme, en faisant du bien à mes potes, comme tu me le ferais à moi ? De toute manière, tu ne risques rien : prends ton pied, je reste à tes côtés et ton antre d'amour reste à moi pour toujours ... je ne fais que prêter ta jolie petite chatte pour un moment de plaisir en groupe !"
- "Je ne sais pas. C'est si bizarre ce que tu me demandes. Tu m'aimeras toujours après ?"
- "Evidemment, ma p'tite chérie, je t'en aimerai encore plus, car ce sera une expérience unique, notre petit secret sensuel à nous ... STP fais çà pour moi : deviens une chienne en chaleur pour un soir !"
- "OK, mon bel étalon, à condition que tu restes à mes côtés et que j'arrête ce petit jeu quand je veux" dit-elle dans un souffle frémissant.
- "Pas de souci, tu es la maîtresse de la soirée, mon coeur" lui répond-il en l'embrassant de plus belle.

Petit aparté entre les 3 jeunes hommes, après avoir encore une fois laissé entrevoir - avec gourmandise - un sein tendu et son abricot béant : malgré une certaine gêne mêlée d'excitation des deux puceaux, ils se mettent d'accord de se retrouver ensemble au club des étudiants de la fac' ; vu l'heure tardive, le local leur appartiendra entièrement. Ils paient rapidement leurs consommations et quittent le bar, savourant par leur imagination les moments coquins qu'ils vont vivre !

Grisés à la fois par l'excitation de pouvoir assouvir leur fantasme en toute complicité mais aussi par les vapeurs enivrantes des quelques verres avalés allègrement, les quatre futurs amants d'un soir se hâtent vers le lieu de leurs petits jeux libertins. Effectivement, la fac' est entièrement vide et c'est dans une lumière tamisée qu'ils s'installent prestement dans le local du club : les 3 garçons sur des chaises en rangée le long du mur, elle en face d'eux semi-assise sur une table de réunion.
- "Vas-y, ma chérie, montre-nous et particulièrement à mes potes quelle merveilleuse petite salope tu peux être ! Fais-nous le grand jeu, pense que tu fais çà rien que pour me faire plaisir, et fais-nous bander ferme. Allez, ma princesse, montre-nous ton beau corps et caresse-toi jusqu'à la jouissance !"

Elle se mord un instant les lèvres d'un dernier signe de pudeur, puis ferme les yeux de plaisir anticipé et sous les regards inquisiteurs des trois compères elle entame un lent effeuillage. Prestement, elle dénoue ses longs cheveux châtains et les secoue sur ses épaules qu'elle dénude lascivement. Elle défait les boutons de sa robe un à un, dévoilant lentement sa généreuse poitrine qu'elle commence à masser, à triturer, à faire sauter en cadence ... elle titille et câline ses beaux seins lourds, dont les tétons durcissent à vue d'oeil sous ses premiers gémissements de plaisir. A la vue de ce spectacle excitant, ses copains ont défait leurs pantalons et sorti leur queues qu'ils caressent doucement en cadence.

En les regardant tous les trois, un éclair malicieux passe dans son regard de femme voluptueuse : elle se sent belle, désirée et désireuse de poursuivre cette soirée coquine ! Langoureusement, elle continue à déboutonner lentement sa robe, se dandinant pour faire passer le tissu par-dessus son petit cul et laisse tomber à ses pieds tout rempart à sa nudité, à présent largement étalée à l'appréciation excitée de son public masculin. Pendant qu'ils se branlent de plus en plus frénétiquement, elle tourne un instant ses fesses vers eux, leur laissant entrevoir son bel abricot charnu gonflé de désir. D'une pirouette elle se remet en place et s'assied plus confortablement sur la table, son entrejambe à la hauteur de leurs visages ébahis. Avec une moue coquine, deux doigts posés candidement sur sa bouche, elle écarte les cuisses lentement, effleure sa peau d'une main habile courant de ses seins vers son ventre ... et pose enfin ses deux pieds sur la table, dans une posture naïvement impudique ... les cuisses largement évasées, sa chatte frémissante prête à s'ouvrir à la moindre caresse.

- "Oh ma Belle, tu es magnifique ! Vas-y ma petite pute, branle-toi le clito ... montre-leur comment une vraie femme prend du plaisir !" l'encourage son amant, tout essoufflé de sa propre masturbation frénétique et fier de son audace soumise face à ses amis. Elle entend à présent aussi quelques soupirs venant de leur part, accompagnés des légers clapotis des frottements de leurs pénis, desquels perlent déjà les premières gouttes de désir.

Encouragée de la sorte par le plaisir visuel qu'elle leur donne et excitée par la tournure que prend cette soirée érotique, elle laisse ses mains la conduire vers la jouissance et s'abandonne totalement à sa masturbation en solo : ses caresses intimes se font plus précises ... sa corolle s'entrouvre délicatement et son bourgeon d'amour frémit sous ses titillements fougueux ... sa vulve palpite lorsqu'elle s'introduit deux doigts dans son antre secret trempé de cyprine ... elle gémit et arc-boute son bassin à la rencontre de ses va-et-vient impatients au tréfonds de sa chair tuméfiée. Elle oublie son environnement et se lâche totalement à son plaisir personnel ... elle sent des frissons lui parcourir l'échine ... elle miaule en fermant les yeux ... elle se concentre sur ces zones érogènes sensibilisées à l'extrême ... et dans un râle profond, elle jouit de tout son être !

Essoufflée et un peu hagarde de ce merveilleux orgasme, elle reprend ensuite ses esprits pour apercevoir ses 3 admirateurs à présent debout devant elle, les yeux exorbités et le visage en sueur, leurs bites au garde-à-vous et leurs couilles gonflées, prêts à quémander les faveurs délicieuses qu'elle peut aussi leur prodiguer. En souriant, elle leur fait signe de s'approcher et tend généreusement son corps à leurs bons plaisirs.

- "Moi d'abord, quand même, ma chérie" lui dit son homme ... "laisse-moi m'occuper de ton adorable minou et fais-moi une chaude place dans ton vagin, ma Belle. Vous les gars, je vous laisse vous partager les autres parties du corps de ma tendre p'tite pute à moi !"

Aussitôt, il se penche vers son antre écartelé et lui lèche les lèvres intimes avec gourmandise. "Mmmmmhhhhh ouuuuiiiiiiiiii, j'adore ... encore !" soupire-t-elle de bonheur, tandis qu'il introduit ses doigts dans son antre d'amour.
"Et vous les gars, venez ici !" Les deux puceaux ont rapidement perdu leur timidité et, tandis que l'un lui malaxe malhabilement les nichons tout en têtant goulûment une pointe durcie, l'autre tend son gland décalotté vers sa bouche charnue.

Hyper-excitée par le vigoureux cunni de son amant et par les caresses buccales de l'autre copain sur ses seins, elle saisit les bourses dodues à portée de mains et les caresse avec frénésie ; elle entrouvre aussi les lèvres et prend en bouche la grosse verge du troisième larron. Ses sensations sont diversifiées de toutes parts et elle ne peut plus contrôler ni ses désirs, ni son plaisir : des mains et des langues lui parcourent tout le corps, elle suce avidement une bite le long de son palais, elle tressaille des petites morsures effectuées sur ses tétons, elle malaxe des testicules sous pression et elle sent son vagin fougueusement pénétré par une solide queue bien connue ... l'extase imminente éveille tous ses sens !

Ce ne sont que des soupirs, des gémissements, des râles de plaisir, de désir, de lubricité, de relâchement qui s'entendent dans ce lieu de débauche sensuelle ... quatre jeunes (HHHF) qui se lâchent totalement à tous les plaisirs et qui en oublient le temps et l'espace pour savourer chaque frisson de leur chair en fusion !

Son homme, le maître de cette cérémonie libertine, reprend cependant les rennes de la situation : au moment où son pote pompé goulûment murmure "Oh oui je vais venir !", il le retire prestement de la bouche féminine pour le faire décharger de longs jets puissants de sperme sur ses seins et son ventre. Dans un cri rauque, le jeune gars savoure sa belle éjaculation spasmodique et va ensuite se rasseoir essoufflé, tout en matant la suite de l'orgie. Doucement, l'organisateur écarte l'autre copain qui bande encore comme un âne sous les doigts habiles de la belle et lui dit : "Pénètre-la comme une chienne, tu verras comme c'est bon !"

Tendrement, il retourne sa docile compagne et la place en levrette sur la table, son petit cul rebondi bien tendu et sa chatte écartée à souhait, prête à engloutir une nouvelle verge dans son chaud antre trempé. La bite du puceau entre sans difficulté et il entame à son tour de vigoureux mouvements de va-et-vient, les couilles claquant sur ses fesses. Elle a à présent son "bel étalon à elle" face à son visage, et- en cadence avec les rythmes de contraction de sa grotte fourrée à fond - elle le suce, le dévore, le pompe avec délectation, en le regardant amoureusement dans les yeux ... son vagin brûle des fougueuses pénétrations, son corps frémit de plaisir, le membre de "son homme à elle" gonfle sur sa langue tuméfiée ... ensemble, ils sentent leur orgasme monter ... et, lorsque elle contracte une dernière fois sa vulve sur le pénis de celui qui jouit puissamment en elle, son amant expulse sa chaude semence le long de sa bouche et elle ressent une décharge électrique le long de son échine ... un vrai feu d'artifices d'orgasmes respectifs !

Chacun reprend son souffle et ses esprits : ils se sourient en toute connivence, s'embrassent une dernière fois passionnément, s’essuient tant bien que mal et se rhabillent dans un silence serein, gardant en mémoire cette intense soirée de plaisirs partagés qui restera leur petit secret intime !!!

En sortant dans l'air frais de la nuit, elle se blottit amoureusement dans les bras son amant et lui dit dans un murmure : "Je t'aime, mon bel étalon ... j'ai fait çà pour toi ... j'y ai pris du plaisir, mais tu restes le seul homme de ma vie" et il lui répond en l'embrassant câlinement : "Moi aussi je t'adore, ma p'tite chérie, merci pour cette belle soirée ... je me souviendrai longtemps que tu as assouvi mon grand fantasme ... excuse-moi pour certains mots crus qui ont mis du piment mais que je ne pense pas de toi ; car à présent c'est rien que nous deux contre le monde entier!"
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Commentaires du récit : Soirée torride entre étudiants

Le 14/03/2012 - 20:11 par Julie592
Bonsoir,j'ai bien aimé ton récit.Juste un peu trop soft à mon gout.

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