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Sport étude

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Lue : 4121 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/04/2017

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Je m’appelle Alice, j’ai 18 ans, je suis blonde, mesure 1 m 70, fais un 90 B et passe pour assez jolie sans atteindre le potentiel d’un mannequin ; le plus étrange est que je suis toujours vierge. J’ai bien eu un ou deux copains au lycée ; nous nous sommes embrassés mais j’ai toujours eu peur de franchir le pas. Je pensais que je me réservais pour le grand amour. Et puis, il y a aussi ma pudeur, excessive me disent mes copines : je n’arrive pas à me regarder nue dans une glace, je trouve cela indécent. Et si je m’épile les aisselles ou taille mon duvet pubien, c’est pour qu’on ne voit rien, de la même façon que je me brosse les dents pour qu’elles restent propres. Je ne me suis donc jamais caressée non plus : se mettre la main à cet endroit, c’est sale ! Cette année, j’entame ma première année universitaire ; mes parents m’ont trouvé un studio sympa dans un quartier calme et tranquille.
Pour m’entretenir physiquement, je vais à la piscine le plus souvent possible c’est-à-dire au moins 4 fois par semaine, je possède à cet effet plusieurs maillots une pièce. Vu mes horaires de cours, je peux me faire une fois un 14-16 h mais c’est le moins agréable en bruit car les trois-quarts du bassin sont réservés pour des scolaires, par contre je peux nager librement, le public étant rare. Les trois autres fois, j’y vais de 17 à 19 h ; c’est plus calme mais il y a plus de monde et il faut nager en faisant attention aux autres. Cela fait quinze jours que j’ai remarqué un homme qui est là comme moi de 17 à 19 h : assez grand, carré mais avec un peu de bedaine, les jambes tout en muscles, cheveux bouclés sombres, la quarantaine. Je l’ai remarqué à cause de sa prestance : il a l’air sûr de lui mais toujours attentif aux autres, jamais il ne touche personne dans le bassin et son visage est tout le temps souriant comme s’il avait trop de bonheur et qu’il veuille le partager. Je l’ai aussi aperçu une ou deux fois à l’extérieur, en sortant, alors qu’il partait vers le parking : pantalon à pince, veste en harmonie et chemise cravate. Il est intrigant et donne envie de lui parler.

Hier, j’ai quitté le bassin la dernière. En sortant de l’eau, je me suis aperçue que j’avais oublié ma serviette. Direction le bureau des surveillants de baignade pour en emprunter une… personne ! Que faire ? J’en aperçois une bien pliée, toute douce et moelleuse sur un banc. Je me dis que j’ai de la chance, je vais l’emprunter et la laisser sécher dans les vestiaires comme ça le personnel de ménage pourra la mettre avec celles trouvées. Je viens de m’en emparer et me dirige vers les douches quand mon mystérieux inconnu arrive : pas de chance c’est sa serviette. Je rougis et voudrais disparaitre dans un trou de souris. Je lui explique la situation. Il rit et me dit que ce n’est pas grave car il en a toujours une de secours dans son sac. Il m’invite à l’utiliser et à la lui rendre à la sortie. Sa voix est aussi chaude et plaisante que son physique, elle contribue à le rendre encore plus attirant. Une fois douchée et changée, je me dirige vers la sortie. Je porte un jean, un tee-shirt et une veste en jean. Il est là à m’attendre ; je lui propose de la laver et de la lui rendre après. Il me répond que sa machine n’est pas à une serviette près. Une fois de plus, en lui rendant sa serviette, je me confonds en excuses. Il sourit et, voyant combien je suis gênée, me dit que, si personne ne m’attend, il partagerait volontiers son repas avec moi au self-service asiatique un peu plus loin. J’accepte tant j’ai envie de l’entendre parler et puis, vu mon budget, un repas offert n’est jamais à dédaigner. Vu que je n’emprunte que les transports en commun, il me propose une place dans sa voiture. Le repas est super. Je me raconte : l’éloignement de la maison familiale, la solitude, le besoin de faire du sport sans perdre trop de temps à cause de mes études (je suis en Licence de langues étrangères), le niveau de travail. Il se raconte : veuf depuis un peu plus de deux ans, un fils de 22 ans qui poursuit ses études (master par apprentissage) à 500 km de là, son boulot de cadre dans une grande entreprise internationale, son besoin de sport pour garder une certaine forme physique, sa ténacité pour ne pas se laisser submerger par la peine et la solitude suite à la mort de son épouse… J’aime sa conversation, j’ai le sentiment qu’il m’écoute quand je parle. Il me met à l’aise et ne se comporte ni comme un père envers son enfant ni comme un mec face à une proie. A la fin du repas, il me raccompagne chez moi pour m’éviter toute attente au bus. Au pied de l’immeuble, c’est très naturellement que je lui fais la bise pour lui dire au-revoir, il m’embrasse sans équivoque, une main légère sur mon épaule ; le contact de sa joue sur la mienne m’électrise !

Deux jours plus tard, j’arrive à la piscine en espérant le rencontrer à nouveau. Ce coup-ci, je n’ai pas oublié ma serviette… Il n’est pas là quand je commence mes longueurs et j’avoue ressentir une légère déception. Mais bientôt il arrive, me cherche des yeux et me fait un petit signe avant de descendre dans le bassin pour nager. Nous sortons les derniers et il me demande, moqueur, si j’ai une serviette. Je ris. Il me demande alors si j’accepte le rejoindre à la sortie ; je m’empresse d’acquiescer, j’ai envie d’être avec lui. Je me change, j’ai mis une robe à manches courtes arrivant au-dessus du genou la température étant plus douce et j’ai pris un gilet en cas de besoin mais ne le porte pas ; enfin je suis jambes nues. Il m’attend et me fait un compliment sur ma tenue quand j’arrive. Il me demande si je veux partager son repas. Comme je proteste sur le fait de me faire entretenir, il me dit qu’il s’est préparé une pizza maison qu’il n’a plus qu’à la cuire et me propose de la partager chez lui. J’accepte et il me guide jusqu’à sa voiture en me prenant par le coude ; j’aime le contact de sa main sur mon bras. Arrivés chez lui, il m’installe au salon, mets la pizza (réellement maison) au four et nous sert un verre de rosé. Il s’assoit à côté de moi dans le canapé et notre conversation repart de plus belle. Très vite, il me pose des questions sur ma vie personnelle, mes amours, mes relations… Alors que je cache autant mes sentiments que mon corps, cet homme m’inspire confiance, je me sens bien avec lui et je réponds franchement à tout ce qu’il veut savoir, charmée qu’il s’intéresse à moi, qu’il ait retenu des détails de notre précédente conversation et qu’il ait un véritable don de l’écoute. Nous mangeons dans le salon, il boit peu et ne me fait pas boire : il a même prévu une bouteille d’eau. Par contre il me touche à chaque fois qu’il me sert ou en discutant ; la plupart du temps il me prend ou me caresse le bras, une ou deux fois sa main se pose un court instant sur mon genou mais toujours sans insistance. Le repas fini, je l’aide à débarrasser et il me propose, en guise de digestif, un dernier verre de rosé, nous n’avons même pas bu la moitié de la bouteille ; je lui en suis reconnaissante car je n’aime pas les alcools forts. Comme je donne des signes de fatigue après une journée de cours et deux heures de natation, il me prend par les épaules et m’allonge sur le canapé, la tête sur ses genoux. Je me sens tellement bien avec lui que je m’avachis ainsi sans problème. Tout en discutant sa main libre (l’autre tient un verre de vin) me caresse les joues et le cou et les bras et je me laisse aller à ses câlins. Ses questions passent du personnel à l’intime sans pour autant insister lorsqu’il me sent hésitante. J’en suis un peu gênée car très pudique autant de mon corps que de ma vie mais Je lui dis ma virginité, mon manque absolu d’expérience même avec une copine, ma non connaissance de la masturbation et de l’orgasme. Tout pendant ce temps, sa main me caresse la joue, le cou, le bras, le ventre (par-dessus la robe) et, à la fin, elle s’arrête sur un de mes seins. Je frémis mais je dois reconnaître que je me sens bien. Il me demande si je veux rester vierge… Je ne sais pas ce qui me prend mais, sans réfléchir, je lui réponds « non si c’est vous qui m’initiez ! ». Il me sourit, pose son verre, me redresse et me tourne vers lui puis approche sa tête de la mienne et m’embrasse une main posée sur mon cou avec son pouce caressant ma joue, l’autre posée sur mes jambes. Il se redresse un peu, me demande si je suis sûre de moi et j’acquiesce. Il me lâche un instant pour écarter mes genoux avec ses deux mains, je me laisse faire. Il remonte alors le bas de ma robe jusqu’à apercevoir ma culotte. Sa main s’insinue entre mes cuisses, pleine de chaleur et de douceur, je ne me sens pas forcée. Un nouveau baiser nous unit et je tressaille quand sa main se pose sur ma culotte. Il ne la bouge plus et continue son baiser. Je mêle ma langue à la sienne avec délice. Sa main posée sur ma vulve appuie plus ou moins fermement en petits cercles. J’ai l’impression que plus il le fait, plus mon sexe s’ouvre… Des sensations étranges parcourent mon corps, je me sens bien mais comme grisée et j’ai l’envie de me coller à lui. C’est à ce moment-là qu’il me lâche. Il se lève et me prend par la main. Je le suis. Nous arrivons dans sa chambre. Je m’arrête face au lit. Il est dans mon dos, il se penche sur mon épaule et m’embrasse tout en baissant la fermeture de ma robe qui bientôt tombe à mes pieds. Nos lèvres se séparent, il me regarde tendrement et je ne le quitte pas des yeux. Je sens ses mains caresser mon corps jusqu’à s’insinuer dans ma culotte pour me masser la vulve. J’ai à la fois peur (peur d’être nue sous son regard, peur d’avoir mal…) et envie car je suis bien dans ses bras. A nouveau caresses et baisers cessent, alors que je réajuste ma culotte je sens qu’il me dégrafe mon soutien-gorge. Il me retourne et l’enlève, je tends les bras pour l’aider et, simultanément, cache mes seins de mes mains. Il écarte mes mains et m’embrasse un sein ; un frisson me parcourt, mon ventre s’emplis de décharges de plaisir, je ne lutte plus. Tout doucement, il me pousse sur le lit ; je m’allonge sur le dos. Il s’agenouille à mon côté, se penche, m’embrasse un court instant en me caressant les seins puis sa bouche quitte la mienne, descend sur mon cou puis sur ma poitrine. Pendant que sa main caresse mon minou, à même la peau, ses lèvres dévorent mes seins. Tour à tour, il lèche et mordille mes tétons, je découvre un merveilleux supplice. Sa main dans ma culotte a trouvé mon clitoris mais ne le frotte que peu alors que j’en meure d’envie. Il se redresse, arrête caresses et baisers, place ses mains dans l’élastique de ma culotte, prêtes à la descendre et il me regarde intensément ; il veut mon autorisation. J’ai abandonné ma pudeur et ai tellement envie de ses caresses que je ferme les yeux et soulève les hanches. Ma culotte s’envole, me voilà nue et déjà il écarte mes jambes pour s’installer entre elles. Je sens son souffle sur mon pubis puis ses lèvres se posent sur mon intimité. Sa langue écarte mes grandes lèvres et me goûte ; c’est comme si je la sentais s’enfoncer en moi. Ses mains caressent mes fesses. Brusquement je sursaute : sa langue vient de bousculer mon clitoris, j’adore ! La pression monte, je gémis et ondule tant c’est intense et je finis par éclater sous ses caresses buccales ; jouir c’est extraordinaire. Il a senti mon plaisir, il se redresse et vient m’embrasser. Je goûte mon corps à travers sa bouche et trouve ça agréable. Il me laisse pantelante sur le lit, se redresse et je le vois se déshabiller. Concentrée sur cette découverte du plaisir, j’avais oublié que mon partenaire aller vouloir jouir aussi. Un sentiment de peur m’assaille quand je découvre son sexe tendu vers moi. Sa taille m’effraie. Il s’approche, me dépose un doux baiser sur les lèvres et prend ma main. Il m’apprend à le caresser. La chaleur de son vit brûle ma main mais, quand je le vois réagir sous mes caresses, j’ai envie de continuer. Il prend ma tête et me demande de le sucer comme s’il s’agissait d’un sucre d’orge… Je m’approche mais ai un peu peur d’être dégoutée ; je passe juste le bout de la langue et, tout en percevant son odeur, m’aperçois que c’est plutôt agréable. Je dois ouvrir grand la bouche pour l’enfourner ; ma langue tourne autour de son gland et je sens son excitation monter, ça me provoque des frissons dans le ventre. Je redouble d’activité mais très vite il m’arrête, m’allonge et se met à genoux entre mes cuisses qu’il remonte sur les siennes. Ses doigts titillent mon clitoris qui gonfle d’envie, puis il approche son sexe trempé de ma salive et de son envie et, tout doucement, commence à me pénétrer. D’une poussée, il franchit ma barrière provoquant un léger picotement vite passé vu le plaisir qu’il m’inflige. Je me tends vers son sexe qui arrive au fond de ma grotte. Il commence par de lents aller-retours qui bientôt s’accélèrent jusqu’au moment où le plaisir déferle en vagues fortes. Il exécute encore deux ou trois va-et-vient avant de m’inonder. J’en suis pantelante. Nous restons immobiles jusqu’à ce qu’il me quitte, son sexe ayant perdu de son importance. Cette soirée se termine par une douche commune et câline avant qu’il ne me reconduise chez moi. Cette fin d’année scolaire s’est terminée par un rendez-vous éducatif hebdomadaire ou presque ; il m’a enseigné la découverte de mon corps et du plaisir.
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Commentaires du récit : Sport étude

Le 27/03/2024 - 14:48 par Homedou
Humm, quelle plaisir de lire une si belle histoire

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