...Et jaillit le dandy

L’histoire se passe sans un institut culinaire « La Fourchette d’Or » situé dans le sud de la France. C’est de cette école professionnelle que sortent les nouveaux chefs étoilés. En ce début d’année, les nouvelles recrues investissent l’institut.
On les surnomme les « Premières Années ». Ils ont entre seize et dix huit ans.
Parmi eux, il y a Rayan et Nelly, de jeunes fiancés à l’aube de leur dix huit ans. Ils n’ont à ce jour, jamais consommés, et son toujours vierge pour elle, et puceau pour lui. Ils sont décidés de garder leur virginité jusqu’au mariage. Et le fait que les chambres, filles et garçons soient séparés, conforte l’espoir de le rester.
Tous les élèves sont accueillis autour d’un pot de bienvenue. S’en suive les présentations. Sylvie, une deuxième année, sympathise de suite avec Nelly, et lui propose même de partager sa chambre. Rayan lui, sera en colocation avec un autre élève. Parmi les serveurs, il y a Brandon, un troisième année qui gère le service.
Brandon est un jeune, bientôt la vingtaine, très séduisant, cheveux mi-long, barbe de trois jours, on le surnomme le « Dandy ». Sylvie met Nelly en garde, lui dit de se méfier de lui, qu’elle évite de l’embrasser, car il a un baiser qui tue. D’ailleurs, Brandon est le seul de l’institut, à avoir une chambre seule. C’est là qu’il reçoit ses potes, ou les jeunes filles qu’il a levé dans la journée.
Alors que la réception se termine, Rayan et d’autres élèves vont visiter les cuisines. Brandon en profite pour draguer Nelly, et l’invite à visiter la cave à vin. Novice, elle accepte l’invitation. C’est en la tenant par la taille que le jeune garçon l’entraîne au sous-sol. Le fin chasseur qu’est Brandon, commence à poser ses pièges. Il vante la beauté de la jeune fille, et celle-ci n’est pas insensible à ça.
Lentement, il la tire à lui, lui donne un tendre baiser sur les lèvres, qui devient vite sulfureux. La langue de Nelly est emprisonnée dans celle de Brandon. Pris par le désir de ce baiser, elle passe ses bras autour du cou du jeune dandy. Ils s’écartent légèrement, puis remettent ça, à l’initiative de le jeune fille cette fois.
Les élèves se retrouvent tous dans la salle de réception, discutent entre eux, de leur vie, leur loisirs. Au cours de l’une de ces discutions, Rayan parle de son couple, et dit que sa fiancée, lui a jurés de garder sa virginité, jusqu’au mariage.
Brandon, placé derrière eux, saisit la conversation, et un sourire éclaire son visage.
Le lendemain, les élèves travaillent en binôme. Un troisième année et une première année. Et bizarrement, Brandon propose à Nelly de se mettre avec lui. Rayan étant avec Sylvie. D’ailleurs, celle-ci surveille de loin le jeune couple.
Pendant la confection du plat, Brandon n’a de cesse de vanter la beauté de l’élève, et Nelly tombe vite sous le charme du troisième année.
A la pause, Brandon propose de lui faire visiter à Nelly le parc. Celle-ci le suis.
Ils s’assoient sur un banc, et tout en discutant, Brandon passe un bras autour de cou de Nelly. Il lui murmure des mots doux à l’oreille, qui la font rire.
Puis il lui proposa de passer derrière un buisson, à l’abri des regards indiscret.
Pendant ce temps, à l’institut, Rayan cherche sa fiancé.
- Tu n’aurais pas vu Nelly ? Demande-t-il à Sylvie.
- Non, et elle n’est pas à la chambre ?
- C’est pas grave, si tu l’as vois, dis lui que je suis aller faire un tour dans le parc.
En passant devant une haie, Rayan entend des bruits bizarres, comme des plaintes. - Salaud...qu’est ce que tu fais à ma chatte…
- Je te la branle...t’aimes pas, elle est toute mouillée…
- Oh mon dieu...je vais jouir...oh oui...je jouis…
Rayan secoue sa tête en souriant, l’oreille tendue mais ne reconnais pas la voix de sa fiancé, déformée par le plaisir.
- C’est à toi maintenant de me faire jouir, dit Brandon en ouvrant sa braguette, et sortant sa queue. A ce jour, Nelly n’a vu que la bite de Rayan, sans jamais y touché.
- Ouah...mon dieu qu’elle est grosse…
- Tu peux jouer avec si tu veux...prend la dans ta main...voila, comme ça…
Brandon profite de l’innocence de la jeune élève, veut lui imposer des trucs jusqu-ici inconnus pour elle.
- Mais j’en fais à peine le tour…
- Tu crois qu’elle rentrerait dans ta bouche...tu veux pas essayer ?
Brandon guide lui même le visage de Nelly, jusqu’à ce que sa queue soit à la portée de ses lèvres. A la vue de cette bite tendue, Nelly ouvre la bouche, et l’engloutit. Puis Brandon rythme la cadence de la bouche sur son calibre.
Soudain, Nelly sent un liquide chaud giclé au fond de sa gorge. Brandon maintient la pression, veut que la jeune femme avale son sperme.
C’est à ce moment que Rayan écarte les branches, et voit sa fiancée tout avaler, et nettoyer le gland de ses lèvres. Tel un automate, il regagne l’institut.
Depuis ce jour, Nelly prend de la distance avec Rayan, et se rapproche de plus en lus de Brandon. D’autant plus que ce dernier à fait un pari avec ses potes, celui de prendre la virginité de le jeune fille.
Rayan se raccroche à fiancée, l’invite à la soirée prévue dans une demeure proche de l’institut. Mais elle lui répond qu’elle à promis à Brandon de l’accompagner.
Rayan a l’impression qu’on vient de lui asséner un grand coup sur la tête.
Il comprend qu’il est en train de perdre sa fiancée, au profit de Brandon, ce dandy minable. Mais Brandon a su trouver les mots qu’il fallait pour troubler la jeune élève. Il a aussi éveiller le désir chez elle, pour qu’elle succombe à ses charmes, et tenait en tirer tous les fruits, tout en tenant Rayan à l’écart.
En ce samedi matin, les élèves s’occupent de la déco de la salle, et de l’installation d’un dortoir, car il est prévu qu’ils couchent ici, dans des sacs de couchage.
Le soir venu, les élèves arrivent en bus à la demeure, pour faire la fête.
Un vaste buffet est dressé, garni de petits fours et autres toast. Sous l’ordre du directeur, l’alcool est formellement interdit. Seul les bières sont tolérées.
Nelly est pendue au bras de Brandon, ignorant totalement Rayan, son fiancé. Ce dernier est accompagné de Sylvie, et son petit copain. Un élève s’improvise DJ et envoie une série de slow. Sylvie invite Rayan, qui refuse, préférant surveiller sa fiancée qui roucoule dans les bras de Brandon. Celui-ci tient Nelly par la taille, tandis qu’elle a nouée ses bras autour du cou de son cavalier. Malgré la lumière tamisée, Rayan voit nettement leurs lèvres se souder dans un langoureux baiser.
Vers trois heures du matin, les couples regagnent l’étage pour aller dormir. Fait exprès, le sac de couchage de Rayan est tout près de celui de Brandon et Nelly. Il est juste séparé par celui de Sylvie, qui la déserté pour rejoindre le sac de son copain.
Jusqu’au petit matin, Rayan entend Nelly gémir, probablement sous les caresses expertes de Brandon. Il ne compte pas moins de trois orgasmes. Il s’appuie sur un coude, et à la clarté des blocs de secours, il aperçoit la queue de Brandon aller et venir dans la bouche de sa fiancée. Il voit même des filets de sperme apparaître, avant qu’elle n’avale. Épuise par tant d’humiliation, il parvient à s’assoupir.
Le lendemain fut une journée de récupération. Chaque élève étant libre. Ils étaient tous allongé dans le parc, à discuter, à s’embrasser pour certain. Puis la fête reprit, plus calmement.
Vers vingt et une heures, Rayan vit Brandon murmurait à l’oreille de Nelly. Celle-ci lui sourit, et accepta la main tendue par le jeune dandy. Il les suivit du regard, et les vis emprunter les escaliers menant aux chambre. Il compris qu’ils allaient coucher ensemble. Rayan prit sa tête entre ses mains, sachant qu’il était en train de perdre sa fiancée. Malgré tout, il eut le courage de monter à l’étage, tendre l’oreille à la porte de la chambre de Brandon. Il avait mal, au bord des larmes en l’entendant gémir.
Soudain, il sentit une main se posa sur son épaule. C’était Sylvie.
Elle essaya maladroitement de le rassurer, en lui disant que ce n’était pas grave si Brandon lui prenait sa virginité, qu’il aimerait autant malgré ça.
- Tu dis que c’est pas grave ? Il est en train de lui prendre sa virginité.
- Dis toi bien qu’il vaut mieux qu’elle la perde avec un mâle expérimenté. Aurais-tu été capable de faire ça, comme lui sait le faire ?
- Je n’aurais jamais l’occasion de le savoir...Mais quand cela va-t-il cesser…
- Penses à vôtre avenir...tu sais qu’elle t’aime...
- Mais tu entends comme il la fait crier...même son nom, à en oublier le mien.
Voyant l’état de Rayan, elle marque une pause, le prend tendrement dans ses bras.
Elle voit le malheur du jeune garçon, mais les propos qu’elle tient ne font rien pour l’apaiser. Bien au contraire.
- Tu sais, des soirées comme celle-ci, Nelly en connaîtra d’autres. Il va même inviter des potes, qui eux aussi, vont la baiser, elle va leur tailler des pipes, tout avaler. Il va peut-être même t’inviter un soir, pour assister à sa jouissance, à entendre ses cris quand elle atteindra l’orgasme. Faudra pas t’en inquiéter, c’est comme ça, ça fait parti des aléas de la vie. Quand tu la retrouveras, elle aura acquis l’expérience nécessaire pour devenir ta femme. Elle te rendra heureux, et tu profitera de tout ça. Pense que vous allait vous marié dans trois mois.
Rayan est déçu par les propos libertins de Sylvie, et ne sais quelle attitude adopter.
Sera-t-il prêt à pardonner cette trahison de la part de sa fiancée. Les promesses faites pour s’offrir vierge pour leur nuit de noces, se sont perdus dans le lit d’un jeune dandy, qui a su profiter de l’innocence de la jeune fille. Leur relation est allé au-delà de ce qu’il avait rêvé. Il la baisée, lui a appris à sucer des bites, à se faire prendre par d’autres partenaires. Bref, il l’a initiée aux plaisirs de la chair.
Ce week-end, c’est la visite des parents. Ils viennent pour encourager leurs enfants, mais aussi pour régler le trimestre.
Il est quinze heures en ce samedi après-midi, quand une « Golf » cabriolet jaune, se gare dans la cour de l’institut. En sort une sculpturale blonde, d’une beauté à couper le souffle, sublime dans un tailleur noir, dont la jupe arrive à mi-cuisse. Les élèves, garçons ou filles, ainsi que les professeurs, se retournent sur son passage.
C’est Sarah, la maman de Nelly, qui est accueillit par le jeune couple. Elle les prend dans ses bras dans une étreinte maternelle.
Sarah ne trouve pas Rayan bien en forme. Elle le prend à l’écart. Ryan lui raconte ce qu’il s’est passé. Sarah, très en colère, promet à son futur gendre d’intervenir.
Lors du repas du soir, Rayan, assis à côté de Sarah, désigne du doigt Brandon, le responsable de la perte de virginité de Nelly.
Vers vingt deux heures, Sarah regagne sa chambre, et ne trouvant pas le sommeil, se met à feuilleter une brochure vantant les mérites de l’institut. Prise d’une petite envie, elle enfile un peignoir, et se rend aux toilettes situé au bout du couloir.
En revenant, elle voit de la lumière filtrée sous la porte de Brandon. Elle frappe, bien décidée à mettre les choses au clair avec ce dandy. Brandon ouvre, enroulé dans une serviette de bain. Il a pris une bonne douche,après avoir fini de ranger la salle.
- Oui, Madame...bonsoir, dit-il, c’est pourquoi ?
- Dis, petit morveux, comment t’as fait pour séduire ma fille.
- Comme ça, dit Brandon en attirant Sarah, et en lui prenant les lèvres.
Malgré sa résistance, Sarah succombe au baiser, tout comme sa fille. Comme à sa fille, Brandon lui emprisonne la langue. Prise dans la tourmente de ce sulfureux baiser, Sarah passe ses bras autour du cou du jeune garçon, et répond au baiser. Quand ils se séparent, la serviette de Brandon tombe au sol. Sarah ouvre grand les yeux en voyant la queue du jeune élève, deux fois et demi plus grosse que celle de son mari. Sarah ôte son peignoir. L’admiration pour son superbe corps, et équivalent à l’hommage que la maman de Nelly, à rendu à son sexe.
Elle fixe ce pieu, et ne peut s’empêcher d’éprouver une incontestable attirance vers lui. Elle tombe à genoux, veut le prendre en bouche, mais Brandon l’arrête, lui tend la main, et l’entraîne au lit.
- Que vas-tu me faire ? Dit-elle à vox basse
- Ce que j’ai fait à vôtre file...vous baiser.
Ses sens bouleversés eurent vite raison de ses états d’âme. Dans un faible gémissement, elle s’abandonna sans retenue aux exigences sexuelles que ce jeune élève lui imposait, éprouvant même un certain plaisir à s’offrir ainsi.
Tout à ses désirs pervers, Brandon la força à écarter ses jambes au maximum, à s’écarteler, impudique, dans une posture affreusement éhontée, que seul son mari se permettait de lui faire prendre. Jamais en plus de vingt ans de mariage son mari ne lui avait demandé de s’exposer ainsi, de manière aussi lubrique.
L’élève de troisième année contempla longuement l’entrecuisse, ou apparaissait une fente parfaitement épilée. Les deux lèvres intimes délimitaient l’entrée de la chatte, lieu des plus suaves plaisirs.
Se laissant enfin tomber à genoux à même le sol, il insinua son visage entre les cuisses de Sarah, impudiquement offerte à ses désirs. De ses pouces il écarta les grandes lèvres, découvrant les chairs luisantes de la chatte largement dilatée. Soudain assoiffé de luxure, Brandon plaqua sa bouche contre la fente humide qu’il entreprit de lécher. Avec délectation, il enfonça sa langue dans la cavité, léchant avec une gourmandise avide les parois gorgées de suc. Tout en lapant le sublime nectar qui suintait de la chatte de Sarah, il s’ingénia à frotter son nez sur le clitoris, qui avait jailli de son nid douillet.
- Salaud...tu es fou de me faire ça...je suis mariée tu sais…
- Chut...détendez-vous, dit Brandon sûr de lui.
Sous ces caresses incroyablement excitantes, et qu’elle n’avait plus connu depuis fort longtemps, Sarah se cambra agrippée aux draps. Prise d’une frénésie sexuelle elle agita violemment son bassin, lançant passionnément sa chatte en fusion au-devant de cette langue agile qui la fouillait intimement. Incapable de contenir plus longtemps son plaisir, elle laissa échapper un long gémissement avant d’encourager le vicieux élève.
- Oh oui… C’est trop bon … Oh oui…Lèche-moi bien …Vas-y …tu l’as fait ça à la chatte de ma fille...vas-y, bouffe-moi…
Stimulé par les encouragements et les plaintes que laissait échapper Sarah, Brandon remonta lentement depuis la commissure de la longue fente, jusqu’au haut des grandes lèvres, ou se nichait le luxueux petit bouton.
Plusieurs fois, lors de son érotique léchage, sa langue vint fouetter le clitoris érigé fièrement hors de son nid, arrachant un petit cri de plaisir à Sarah.
Brandon s’appliqua à procurer un maximum de plaisir à la maman de Nelly.
Profitant de l’écartèlement que s’imposait son impudique proie, Brandon lui saisit les fesses à deux mains pour les écarter l’une de l’autre. Séparant largement les fesses, il s’ouvrit le chemin de la chatte, y engouffra son énorme bite. Dès les premiers va et vient, Sarah commença à gémir. Elle se dressa sur ses coudes, regarda ses lèvres intimes se calibrer autour de la queue de Brandon, puis jeta violemment sa tête en arrière dans un cri de plaisir.
Ce ne fut pas long pour atteindre un orgasme puissant, interminable.
- Oh putain...pourquoi mon mari ne me baise pas comme ça….
Brandon se retira, se pencha, et glissant sa langue depuis la chatte ruisselante, atteignit l’œillet plissé et copieusement humidifié par l’abondante mouille. S’étant rendu compte combien Sarah avait cet endroit sensible, Brandon la pénétra, alterna alors la chatte et le petit trou. Impudiquement offerte, Sarah, le corps secoué de spasmes voluptueux, s’abandonna sans pudeur à l’extraordinaire pénétration, que lui prodiguait le talentueux élève. Il y avait bien longtemps que son mari ne lui avait dispensé un tel plaisir. Avait-il seulement tenté un jour de la sodomiser. Retrouvant un plaisir depuis longtemps oublié, elle s’offrit sans interdit à son jeune partenaire, rejetant loin d’elle la pensée de ce que son abandon la rendait infidèle.
Retrouvant avec délectation des sensations dont elle avait perdu le souvenir, elle se polarisa sur le plaisir qu’elle sentait monter du fond de ses entrailles. Comme l’avait espéré Brandon, l’exploration de son petit trou avait décuplé son plaisir.
Soudain une violente jouissance, aussi soudaine qu’inattendue la fit se cambrer fiévreusement sur le lit de draps blancs. Une onde dévastatrice explosa au plus profond de sa chatte en feu, irradiant son bas-ventre avant de se propager dans tout son corps, la submergeant tel un raz-de-marée puissant et sauvage. Un torrent brûlant et incontrôlable surgit des profondeurs de ses entrailles, bouleversant ses chairs intimes avant de jaillir en un flot, de sa chatte ravagée.
Une longue plainte de volupté déchira le silence de la chambre.
Sarah sentit que le jeune garçon allait venir. Elle pivota, prit la bite en bouche, juste au moment ou Brandon éjaculait. Elle le garda quelques secondes prisonnier entre ses lèvres, le temps de tout avaler. Elle se retira, noua sa langue autour du gland, ou perlé encore quelques gouttes de sperme.
Étendue sur le lit, Sarah, les yeux mi-clos, les doigts refermés sur sa magnifique poitrine, les cuisses largement ouvertes sur sa chatte trempée, haletait doucement, savourant l’intense plaisir que lui avait offert le jeune élève.
Brandon se pencha sur elle, lei prit goulûment les lèvres, pour un dernier baiser.
Il lui dit qu’un prochain week-end, peut-être…
Sarah quitta la chambre de Brandon, vers six heures du matin. Elle croisa Rayan qui allait prendre sa douche, lui fit un grand sourire.
« L’enfoiré, se dit-il, il a baisé la fille, et cette nuit, la mère ».