Trahi par la famille.

Je m’appelle Aurélien, vingt huit ans, et suis marié depuis peu avec Jenny, très belle femme de vingt quatre ans, avec un corps à damné un saint.
Je vais vous raconter l’histoire qu’il m’est arrivée...non, je la refais, la tuile qu’il m’est arrivée.
Après un mariage somptueux, une nuit de noces torride, et une inoubliable lune de miel, deux mois se sont écoulés.
Tout juste rentré de ce fabuleux voyage, je dois m’absenter dix jours, afin de représenter ma société au salon de Berlin.
Aussi, pour que ma jeune épouse soit moins seule, et surtout en sécurité, je l’emmène chez mes parents, Charles et Marie, la soixantaine, ou elle peut se reposer, profiter des promenades en forêt, et de la piscine.
Il n’est pas rare que mon frère Renaud, vingt deux ans, ne vienne passer le week-end, avec des potes, pour faire la fête, organiser des parties de poker. La demeure est tellement vaste, qu’il n’ y a aucun problème d’hébergement.
Cependant, ces jours là, je demande à mon père de surveiller Jenny, ne connaissant aucun pote de mon frère.
Quand je rentre de mon déplacement, mon père me raconte tout. Comment ma ravissante épouse s’est comportée, si elle s’est plu ici etc...etc.
Ce qui m’inquiète le plus, c’est que certain week-end, mon frère organise de petites fêtes, et j’ai peur que, prise par l’alcool, mon épouse soit vulnérable, au point de succomber au charme d’un invité coquin.
Combien de fois ne l’ais-je sortie de situations périlleuses, dont la dernière, ou le l’ai surprise en train de tailler une pipe à un jeune maghrébin, dans les toilettes d’un restaurant. Elle avait encore du sperme sur les lèvres quand elle est revenu à table...et cela s’est passé six mois avant le mariage.
D’où la surveillance de Charles, mon père.
Un week-end, cette surveillance avait portait ses fruits.
De la terrasse de sa chambre, mon père m’a raconté, qu’un soir, vers vingt trois heures, Renaud et ses potes, jouaient dans la piscine, et que Jenny les avait rejoint. Mon père ne peut rien affirmer, mais il croit avoir vu le maillot deux pièces de ma femme atterrir su les margelles.
Il en avait déduit, qu’elle devait être entièrement nue sous l’eau, ce qui expliquerait pourquoi mon frère et ses potes étaient collés à elle. Il pensait que leurs mains, et celles de mon épouse, ne devaient pas rester inactive. Sa bouche non plus, car il me dit avoir remarqué des traces de sperme sur ses lèvres quand elle est sortie. Il me dit aussi que certain soir, elle allait voir la télé dans la chambre de mon frère, et que ses potes les rejoignaient. Il la croisait tôt le matin, entièrement nue, la chatte, le petit trou et la bouche souillées de sperme.
Elle se dirigeait vers la salle de bain.
Ces salauds avaient dus s’amuser avec elle toute la nuit, à la baiser, se faire sucer, l’enculer même, pensais-je.
Pourtant, Jenny m’a toujours juré être fidèle, et qu’il ne s’était jamais rien passé Suite à ça, je demande à mon père de redoubler de surveillance.
Il est vingt trois heures quand j’arrive à Montpellier. Je dois récupérer ma ravissante épouse installée chez mes parents, depuis une dizaine de jours.
Ce soir là, mon frère avait organisés une soirée, à laquelle, hélas, je n’ai pu participé. Avec les embouteillages, j’arrive chez eux vers vingt trois heures. C’est mon père qui m’accueille. Il y a environ, une dizaine de convives. Ce sont pour la plus part, des voisins, ou des potes à mon frère.
Je jette un rapide regard circulaire pour chercher ma femme, quand mon père, d’une main ferme sur l’épaule m’entraîne au buffet.
On prend une coupe de champagne, tandis que les gens autour de nous, parle de tout et de rien. On saisit, ça et là, des bribes de conversations.
Soudain, l’une d’entre elle attire particulièrement mon attention. Derrière nous, légèrement à l’écart, deux hommes discutent. Je tend l’oreille et suis surpris par la teneur de la discussion.
« Putain, t’as eu de la chance sur le dernier tour ».
« Franchement, je n’y croyais pas. Surtout un gain pareil ».
« T’as raison...j’espère que tu l’as bien niquée ».
Je tends l’oreille pour ne rien perdre de cette discussion. D’autant que leurs propos clairs, me mette un doute.
« Oh putain, comme elle est bonne, comme je l’ai baisée...»
« Vu le temps que tu as passé, je devine que tu as dû t’amuser ».
« Si tu savais comme elle suce...comme elle gueulait la salope...ouah»
« A ce point, ben dis dont, c’est son mec qui doit être content ».
- Je crois plutôt qu’elle est mal baisée...elle m’a demandé de lui faire des trucs ».
Je regarde mon père, lui demande ce qu’il s’était passé. Et s’il avait vu ma femme. Il me prend le bras, et me tire à l’écart.
- Ben voila, ils ont crées une nouvelle règle du poker. D’entrée, ils tirent le gain que remportera le vainqueur. Ils tirent au sort, pour connaître la mise, parmi les femmes, si elles acceptent, bien sur. Et ta femme a accepté.
- Quoi...mais c’est pas vrai….ou est-elle maintenant.
- Ben, pendant qu’elle se faisait baiser, entre temps, il a eu un autre gagnant.
Elle est au lit avec lui en ce moment en train de se faire enfiler.
Je n’en croyais pas mes oreilles.
Moi qui pensais que ma femme serait en sécurité chez mes parents, voila que j’apprends qu’elle passe ses nuits dans la chambre de mon frère, et s’offre au poker, suite à un règlement sordide. Le pire, c’est quand au petit matin, ma mère me prend par le bras, et m’entraîne vers la chambre de Jenny, pour la rejoindre.
Je pousse la porte déjà entre ouverte et reçois la plus grosse déception de ma vie de jeune marié...c’est l’estocade.
Je suis scotché devant le plaisir que prend ma femme, à se faire enfiler en levrette, par mon père. Lui même y va à grand coups de reins, agrippé à ses hanches. Je l’entends gémir de plaisir.
- Ouah...elle est bonne vôtre queue, beau papa…oh oui…
- Elle te plaît, hein ?
- Oh oui...elle est grosse...elle remplit bien mes trous...
- Ta chatte, ton petit trou et ta bouche sont si accueillant ma chérie…
Jenny atteint un orgasme terrible, hurle de plaisir...beau papa...beau papa…
Le plus dur pour moi survient quand Jenny le supplie de la sodomiser. Je bouche mes oreilles quand elle hurle son deuxième orgasme. Puis je la vois avaler le sperme tant convoité, quand elle prend la queue de mon père en bouche. Puis ils s’écroulent sur le lit, enlacés, lèvres soudées.
- Vous pensez que Aurélien se doute de quelques choses.
- J’espère surtout ne pas te mettre enceinte…on devrait se protéger.
- Oh là...ce serait terrible, d’autant que vôtre fils est stérile...
- C’est pourquoi il faut être prudent.
- Tout à fait, j’imagine mal Aurélien donner le biberon à l’enfant de son père.
Je descends au salon, ou le petit déjeuner est servi. Jenny et Charles arrivent séparément, s’installent en face moi. Jenny est très belle dans sa nuisette transparente. On voit nettement qu’elle est entièrement nue dessous.
Pas un mot, aucune allusion de ma part. Je suis perdu dans mes pensées.
Je m’aperçois que pendant mes absences, Jenny ne reste pas inactive, et s’offre bien volontiers au désir de mon père, de mon frère, et même à ses potes.
Soudain, un message tombe sur mon portable, qui m’annonce rien de bon.
« Vous devez vous rendre impérativement au salon de Paris ».
- Ça va pas mon chéri ? Demande mon épouse.
Je ne réponds pas.
Je prépare mes affaires, les range dans le coffre de la voiture, et démarre.
La dernière image que j’ai dans mon rétro, c’est celle de Jenny appuyée à la baie vitrée de la chambre. Je remarque qu’elle ne porte plus la nuisette qu’elle portait au petit déjeuner. J’aperçois le reflet de mon père derrière elle. Il a une main posé sur un sein, mais aussi deux doigts enfoncés dans sa chatte.
Ils n’attendent même plus que je sois parti.