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" Mère Superieure"...Ici la voix

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 17/12/2022

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La clarté de la lune dessine une ombre lugubre sur le pourtour du couvent.
Dans sa chambre, la sculpturale Jessica, la « Mère supérieur », sort de la douche, et se dirige vers son prie dieu, afin d’y prononcer sa prière du soir.
Puis, éreintée par une longue journée passée au champ, elle décide de s’allonger.
Mais voila que certaines apparitions érotiques la tourmente. Elle ôte son peignoir, et se retrouve entièrement nue, allongée sur le lit. Ses mains, jusque là immobiles, commence à se mouvoir, allant de ses superbes seins, jusqu’à sa chatte épilée.
- Oh Seigneur...si vous saviez...c’est dur…
« Mais mon enfant, dieu n’a jamais interdit à ses sujets de se donner du plaisir ».
- Je sais « Mon Seigneur », mais voyez dans quel état est mon clitoris.
« Je vois mon enfant...Dieu t’a fait des doigts...à toi de t’en servir…»
- Oh merci Seigneur…
« Prends bien du plaisir mon enfant. Bonne nuit ».
Cet échange irréel avec « Dieu », « Mère Supérieure » l’a souvent. Surtout quand certains fantasmes érotiques hantent ses nuits.
Mère supérieure éteint la lumière. Tandis que son majeur tourne sur son petit bouton, deux doigts branlent la chatte. Ce qui l’emmène à un terrible orgasme.
Il est huit heures en ce lundi de pâques, quand Gontran, au lit avec Mélanie, sa jeune et charmante épouse, reçoit un message du couvent de « Nôtre Dame ». Une intervention urgente sur une canalisation. Il s’apprête à ne pas donner suite à ce SMS, étant plus à même de satisfaire sa femme sur le point de jouir. Après avoir atteint l’orgasme, Mélanie, croyante jusqu’au bout des ongles, l’incite à intervenir.
Ce qui laisse l’opportunité à Damien, le jardinier du presbytère, de la rejoindre, et de poursuivre le travail, là ou Gontran l’a laissé. Finir de la baiser bien profond.
Gontran est plombier de métier.
Il arrive au couvent, et est reçu par sœur Armelle, à qui il demande s’il peut voir « Mère Supérieure ».
- « Mère Jessica »...bien sur. Elle doit être dans son bureau. Suivez-moi.
Arrivé devant la porte, il frappe...pas de réponse. Pourtant, elle est entre baillée. C’est à ce moment qu’il entend couler de l’eau. Pensant à la fuite pour laquelle il doit intervenir, il se permet d’entrer. Et là, stupeur. Il aperçoit, derrière un paravent transparent, une forme féminine. Il s’approche d’avantage, et découvre, de dos, un corps de femme, les cheveux noirs jais, jusqu’à la moitié du dos, des mains caressant les seins, le ventre, puis se poser sur les hanches. L’ensemble d’un mètre soixante dix, est d’une beauté à couper le souffle.
Soudain, Gontran perçoit quelques gémissements.
- Oh mon dieu… si vous saviez comme j’ai envie...Que faire « Mon seigneur »…
« Faites se que vôtre conscience vous dicte, mon enfant ».
- Mais c’est les mains d’un homme que j’aimerai sentir sur mon corps.
« L’endroit ne s’y prête pas mon enfant...tes vœux te l’interdise aussi...»
Incroyable, elle s’adresse à Dieu. Gontran n’en croit pas ses oreilles, la croit folle.
La « Mère Supérieur », est d’une fascinante beauté. Gontran trouve même dommage, que de telles créatures prononcent les vœux de chasteté, alors qu’elles pourraient faire le bonheur d’un homme. Mais bon, les voies du seigneur sont impénétrables.
A peine sorti de ses fantasme, et de la chambre, que la « Mère Supérieure » le rejoint, avertie par Soeur Armelle. Elle a juste enfilé un peignoir.
- Bonjour, dit-elle, je suis « Mère Jessica ».
- Bonjour...je suis le plombier, répond timidement Gontran.
Elle guide Gontran dans une chambre, ou passe les tuyauteries qui alimente les divers sanitaires. Bizarrement, un canalisation été arrachées. Ce ne peut-être du vandalisme, pas ici.
Quand il demande à Jessica ce qui a bien pu se passer, celle-ci rougit. C’est en allant à sa camionnette chercher des outils, qu’il croise une none qui a tout vue. Celle-ci lui dit avoir vue « Mère Supérieure », entièrement nue, montée sur un prie dieu, en train de se faire branler par une jeune religieuse. Elle a eu un orgasme terrible, au point de tomber du prie dieu. C’est là qu’elle s’est pendue au tuyau. Elle s’est vite rhabillée, et a quitté la chambre, les mains jointes, en priant.
Sous l’effet des aveux, Gontran ne put s’empêcher d’avoir un début d’érection.
Il se dit que, vue la beauté de la « Mère Supérieure », elle méritait mieux que se faire branler par une religieuse.
Une fois les travaux accomplis, il se dirige vers le bureau de « Mère Jessica », pour faire signer le bon d’intervention. Il frappe à la porte, et, n’ayant aucune réponse, pousse la porte, qui s’ouvre sans effort, et se permet d’entrer. Il l’a surprend derrière un paravent, en train de s’habiller. Il s’avance, et, à travers un séparation transparent, découvre le sublime corps de la « Mère supérieure ». Son sang ne fait qu’un tour. Les seins fermes, haut perchés, le ventre plat, le galbe des hanches, seul dieu est capable de faire une créature pareille. Par contre, Gontran ne le croyait pas capable d’épiler une chatte au micron près.
Gontran ne fit aucun bruit, préférant profiter du spectacle. Il vit la « Mère supérieure » se caresser les seins, un doigt jouer avec son clitoris, deux autres pénétrer la chatte. Puis vinrent les gémissement, annonciateur d’un orgasme proche.
- Oh mon seigneur...c’est si bon...je vous en supplie…
« Jessica...comment expliques-tu la disparition des cierges à l’autel.?»
- Mon Dieu, comment savez-vous ça...comprenez moi...c’est pour...
« Mais je t’ai fait des doigts, que je sache...à quoi te servent-ils? »
- A doigter mon petit bouton, « Monseigneur »...les cierges, c’est pour me les enfiler dans la chatte ou le petit trou.
Suite à ce court entretien avec Dieu, Jessica atteint l’orgasme. Il fut terrible, intense. La « Mère Supérieure » remercia Dieu de lui procurer autant de plaisir.
Apaisée sexuellement, elle sort de la douche, enveloppée dans une serviette, et se trouve face à Gontran, encore ébahi par ce qu’il vient de voir. Elle le regarde, à demi-surprise de le voir. Après tout, elle n’a pas fermé la porte à clés. Mais peut-être attend-elle quelqu’un d’autre...ou quelqu’une…
- Je suis venu pour faire signer le bon, bégaie-t-il.
- OK, dit-elle, ça ne vous dérange pas de me voir dans cette tenue
- Pas du tout, ma Soeur...ça ne me dérange aucunement.
Une fois le bon signé, elle pousse Gontran sur une chaise, s’assoit sur lui, jambes écartées. Gontran est surpris de voir la « Mère supérieure » ôter la serviette qui cache son superbe corps. Mais il ne se démonte pas, et retourne vite la situation à son avantage. Il commence à la caresser, la force à écarter d’avantage ses jambes, pour y glisser un doigt. Elle fait semblant de rebiffer, pour la forme.
- Arrêtez...gémit-elle, Dieu nous regarde...c’est un pêché…
- Mais non ma Sœur...prenez le plaisir de l’instant présent…
- C’est mal...vôtre doigt…sur mon...
- Clitoris...c’est le doigt de Dieu, ma Sœur…
- Je vais être punie pour ça...Dieu ne me pardonnera jamais d’avoir…
- Succombé au plaisir de la chair...mais vôtre petit bouton est si dur…
- Oh Mon Dieu...pardonnez-moi...je vais jouir…oh oui...
Jessica atteint l’orgasme sous le doigt vicieux de Gontran. Elle se retourne, lui prend les lèvres. Il ne savait pas qu’une religieuse pouvait embrasser aussi si fort, car le baiser est sulfureux
Mais Gontran n’est pas au bout de ses surprises.
Jessica se leva, fait face au plombier. Celui-ci peut admirer toute la plastique de « Mère supérieure », splendide dans toute sa nudité. Elle se baisse, dégrafe le bleu de travail de Gontran, d’où s’éjecte un sexe assez conséquent.
- Oh mon Dieu, dit-elle, le bâton du seigneur...merci mon Père…
Jessica prend la queue en main, le décalotte, joue avec. Puis elle se penche et le prend en bouche. Elle entame une lente fellation, pour le plus grand plaisir de Gontran, qui se demande s’il est vraiment dans un couvent. Il sent la sève monter en lui et se surprend à voir ses mains maintenir la tête de la « Mère Supérieure », alors qu’il est prêt à venir. Il lève ses mains, mais ce n’est pas pour autant qu’elle se retire quand il éjacule copieusement dans sa bouche.
- Oh mon Dieu...est-ce vous qui avez créé ce fameux nectar…
« Comme tous les millésimes « Mère Supérieure »...prêt à être bu et avaler...»
Jessica se relève, après avoir nettoyé le gland, montre à Gontran le sperme stocké dans sa bouche, et l’avale d’une seule gorgé.
Elle ne baisse pas l’intensité de ses lèvres sur la bite de Gontran, la maintenant en totale érection. Elle s’avance, écartant les jambes pour éviter les genoux de Gontran. Elle saisit la queue, la guide contre sa chatte, et s’y empale dessus, dans un cri de plaisir. Lentement, elle commence à se déhancher, les yeux mi-clos, bouche ouverte. Elle attire la tête de Gontran contre ses seins. Il se met à sucer les bouts durcit par le désir. La respiration de Jessica s’accélère.
- Enfoiré, tu me maques...tu prends plaisir à baiser la « Mère Supérieure » du couvent, et devant Dieu en plus...
- Elle est tellement bonne la « Mère supérieure », gémit Gontran, tellement salope…
- Vas-y...fais moi jouir...oh oui..je jouis...oh Dieu, regardez comme il baise ma petite chatte, comme il me fait jouir...pensez-vous que je dois lui offrir mon petit trou...dites-moi mon Dieu…
« Je dispose de ton âme, pas de ton corps mon enfant...c’est lui qui décide ».
- Mais Monseigneur, se queue est si belle, si vivante, si grosse...contrairement à nos plus beaux cierges, qui pourtant remplissent bien ma petite chatte…puis c’est meilleur de sucer une bonne queue, d’avaler du sperme, que sucer de la cire.
« Je fermerais les yeux, mon enfant ».
Encouragée par ses « paroles » elle se soulève, et place la queue de Gontran contre son petit trou. C’était sa première sodomie, aussi, elle y va doucement.
Petit à petit, le petit orifice se dilate sous la pression du mandrin, pour qu’enfin il y trouve sa place. Un cri déchirant s’échappe de sa bouche.
-Oh mon Dieu...aides moi...aides moi à traverser cette épreuve.
Gontran y va lentement, comprenant que s’est une première pour Jessica. Mais au fur et à mesure de la pénétration, le corps de la « Mère Supérieure » accepte l’intrus qui l’encule, pour y trouver du plaisir, qu’elle ne peut empêcher d’exprimer.
- Merci mon dieu pour vôtre aide si précieuse...si vous saviez comme c’est bon.
Ces paroles décuplent son envie, faisant monter d’un cran, l’intensité de cette relation. L’orgasme est terrible, au-delà de ce que Gontran pouvait imaginer. Elle se retire, prend la queue de Gontran en bouche, pour qu’il y s’y vide dedans.
Avoir des aventures avec des clientes, il connaissait, mais jamais, même dans ses fantasmes les plus fous, il n’aurait imaginé baiser la « Mère Supérieure » du couvent.
Elle s’essuie les lèvres, et lui donne un tendre baiser.
Autant la relation a été intense, autant la séparation est brutale.
- Vous m’envoyez vôtre facture, dit-elle, à moins que vous la meniez vous même?
- Heu...je sais pas...heu...peut-être…
- C’est comme vous voulez...vous connaissez le chemin...au revoir.
En allant récupérer ses outils, il aperçoit dans un coin, une vieille malle. Curieux, il ouvre, et ce qu’il découvre le clou sur place. Des photos de femmes et d’hommes, dans des positions des plus suggestives. Allant de la pipe, à la pénétration et à la sodomie. Il se dit que la « Mère Supérieure » n’est pas si innocente que ça.
Gontran hésite à renter chez lui, préfère s’arrêter au bar rejoindre ses copains. Mais pas question de raconter son aventure, ne voulant pas passer pour un fou,
Le coup à boire s’éternise, et c’est un peu éméché, qu’il rentre chez lui.
Arrivé devant son garage, il croise Damien qui sortait de chez lui.
- Bonjour Damien, bafouille-t-il ça va. Que vaut cette visite.
- Rien de spécial...je passais simplement vous dire bonjour.
- C’est sympa, dit Gontran.
Trois heures ce sont écoulées depuis l’intervention. Trois heures que Mélanie se fait baiser, sodomiser, taille des pipes au jardinier du presbytère.
Dés le lendemain, Gontran s’attaque à la facture du couvent. Il appelle ce dernier pour prendre rendez-vous avec la « Mère Supérieure ». Elle lui répond qu’elle est disponible, et de la rejoindre directement à son bureau.
Jessica est assise à son bureau. Elle doit sortir de la douche, car elle a juste enfilé un peignoir.
- Bonjour...montrez-moi vôtre facture...oh ça va, c’est correct.
- Merci...j’ai fait une petite remise.
- Pour compenser de m’être offerte...c’est ça…
Gontran ne réponds pas, fasciné qu’il est par la beauté de la « Mère Supérieure ».
- Autres choses ? Dit-elle
Elle semble avoir complètement oublié ce qu’il s’est passé la veille, ou elle a joui sous ses doigts, et sa queue. Gontran veut savoir à quoi elle joue.
Il passe derrière le bureau, incline la chaise en arrière, la maintenant en équilibre sur les pieds de derrières. Il dénoue et ouvre les pans du peignoir, met le corps à nu. Aucune résistance. Il caresse les seins, fait rouler les bouts entres ses doigts, qui de suite doublent de volume. Il descend sur le ventre, fait le tour du nombril, fait pression d’une main pour qu’elle écarte ses jambes. La « Mère Supérieure » ferme les yeux.
- Mon Dieu...donnez-moi la volonté de refuser…
« Pourquoi devrais-je intervenir, mon enfant.»
A entendre les gémissements de Jessica, Gontran devine que Dieu a autre chose à faire, que de gérer la sexualité de la « Mère Supérieure », qui préfère, et de loin, avoir une bonne queue dans la chatte, le cul ou la bouche, que de tenir un cierge.
La main a atteint son but. Il caresse la chatte toujours parfaitement épilée. Tout en haut, le petit bouton, en parti sorti, attend avec impatience le doigt vicieux qui va le faire jouir. Gontran joue avec les nerfs de la « Mère Supérieure », la fait râler.
- Oh Mon Dieu...guidez ce doigt...je vous en supplie Mon Dieu…
- Ton Dieu ne t’apportera jamais le plaisir que je te donne.
Gontran sort sa queue, la pose sur l’épaule de Jessica. Celle-ci tourne la tête, la saisit et la prend en bouche.
Dix minutes plus tard, ils se retrouvent dans le lit, entièrement nus, à reprendre leurs préliminaires.
Cette fois, la relation s’éternise une grande partie de la nuit. Jessica n’a pas arrêté de jouir, des orgasmes, plus puissant les uns que les autres. L’amant assure, et la « Mère Supérieure » ne s’en plaint pas, hurlant de plaisir à chaque orgasme, et il sont légions. Gontran se dit que dans une vie antérieure, la « Mère Supérieure » devait être une belle garce, une salope qui devait se jeter sur le premier mec, pour vu qu’il soit bien monté, et qu’il assure au lit.
Gontran lui demande si elle a connu d’autres hommes dans sa vie. Elle lui avoue avoir eu une relation platonique avec Damien, le jardinier.
- Cet enfoiré m’a laissée pour une femme mariée. Encore une salope qui trompe son mari. Il m’a dit que c’était une furie au lit, qu’il faisait ce qu’il veut avec elle.
« Mon enfant, un peu de respect...tu es entrain de dénoncer un adultère. Pense au rang que ta octroyait Dieu. »
- C’est vrai, pardonnez-moi Mon Seigneur...mes paroles ont dépassés mes pensées.
- Mais tu parles à qui là...à Dieu…demande Gontran
- Non, désolé, j’étais ailleurs.
Gontran, prit dans sa relation intense avec la « Mère Supérieure », ne fait pas le rapprochement. Et pourquoi le ferait-il, n’étant pas au courant.
A la surprise générale, Jessica dit à Gontran, qu’elle aimerait bien le revoir, mais en dehors du couvent. Elle lui propose un rendez-vous dans une maisonnette, que ses parents lui ont léguée. Gontran se dit qu’il serait fou de ne pas accepté.
Il doit trouver l’excuse d’un sortie entre potes, pour se libérer tout un week-end.
Bien évidemment, son épouse accepte, sachant que, elle aussi, allait passer le week-end à baiser avec le jardinier du presbytère.
Rendez-vous est prit sur la place de la mairie, ou il doit récupérer Jessica. Au bout d’un quart d’heure, toujours personne. Soudain, il voit s’approcher une femme, manteau long, capuche sur la tête. Il éclate de rire en la reconnaissant.
Elle monte dans la voiture, et à peine sortie de la ville, qu’elle ouvre son manteau.
Elle est nue dessous.
Elle se cale bien confortablement dans le siège, pose une jambe sur le tableau de bord, et prend la main de Gontran, qu’elle guide entre ses jambes.
- S’il te plaît...caresses-moi...bien sur mon clito.
- Et que va dire Dieu...est-ce qu’il nous voit de la haut.
- Dieu est partout mon chéri...je sais qu’il me pardonnera…
- Ou il t’enverra en enfer, sourit Gontran
- Déconnes pas...tu trouves que je suis assez chaude comme ça…
Tout en doigtant le petit bouton de Jessica, Gontran sort sa bite, mais reste concentre sur la route déserte. Jessica tend la main, et la branle.
Elle se penche quand elle sent qu’il va jouir. Pour ne pas salir les sièges, elle avale tout.
Les voilà arrivés. Il s’arrête dans une petite pinède, ou se dresse la maisonnette. C’est un coin paradisiaque, à une cinquantaine de mètres d’une petite plage privée. Jessica sort de la voiture, jette son manteau.
- On a plus besoin de ça ici...allez...à poils…
La première nuit est faite essentiellement de sexe, de baise. Deux pizzas sorties du congélateur, une bouteille de rosé bien frais, suffisent à les nourrir et les relancer dans leur folie érotique. Jessica se fait prendre dans toute les positions, dans tous les trous. En levrette, empalée sur la fabuleuse queue de Gontran. Elle se fait prendre dans l’eau, sur le sable. La « Mère Supérieure » est une vraie mangeuse, la fellation n’a aucun secret pour elle. Preuve en est quand elle se nourrit du sperme de son amant.
Le dimanche est dans la continuité du samedi. Les performances succèdent au performances, les orgasmes se défient, pour savoir lequel sera le plus fort.
Les amants, épuisés, s’écroulent sur le sable, le lit ou la moquette.
Et Dieu dans tout ça...veille-t-il sur eux. Il le devrait, car ce sont ses enfants, même si
« Mère Supérieure » s’est adonnée aux plaisirs de la chair, pour le plus grand plaisir de Gontran, même si les vœux prononcés le lui interdisait. Allait-elle quitter les ordres, ou faire plier Dieu à ses désirs sexuel.
En rentrant du week-end, Mère supérieure se rend à confesse. Elle s’adresse à Dieu, reconnaît ses fautes. Elle le remercie de l’avoir faite aussi belle, et demande de lui pardonner, si son corps inspire le pêché.
- Puis-je compter sur vôtre pardon, Mon Seigneur.
« Je ne peux approuver mon enfant, mais ne peux t’empêcher de prendre du plaisir ».
Gontran se dit que les voies du seigneur sont impénétrables.
Contrairement à la chatte, au petit trou, ou à la bouche de « Mère Supérieure », qui eux, restent largement ouvert.






























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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : " Mère Superieure"...Ici la voix

Le 06/02/2023 - 19:46 par Balista
Il y a juste ce qu'il faut d'anticléricalisme. J'ai adoré, amen
Le 17/12/2022 - 13:15 par valeriane
j'adore ce recit

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