Mardi avant-midi

Mardi avant-midi, 10:00.

Je suis seul à la maison, comme tous les jours à cette heure-là. Aujourd’hui, il pleut, en plus, et je suis resté en pyjama. Du moins, ce qui me sert de pyjama… Un vieux short un peu trop grand qui descend juste à la limite de mon pubis quand je suis debout.

Je viens de finir mon deuxième café et je pense m’en verser un troisième. Mais je sais que personne ne sera de retour avant plusieurs heures, et je peux m’en refaire n’importe quand. Il fait vraiment chaud dehors et, même s’il pleut, les fenêtres sont ouvertes. Et je sue sur le divan… En plus, je sens mon pénis durcir dans mon pyjama… Ça fait quelques jours que je ne me suis pas satisfait : je suis un peu tanné d’être seul et de le faire. Aujourd’hui, par contre, j’en ai envie… Par la fenêtre du salon, je vois la pluie tomber très fort… En parcourant des yeux, je suis attiré par la fenêtre de la voisine, en diagonal : les stores de la chambre sont grands ouverts et il y a une silhouette debout. En plissant les yeux, j’aperçois la voisine, entièrement nue. Elle est magnifique! Je l’avais remarquée, en la croisant sur la rue, mais je ne pensais pas qu’elle était si belle.

Même si elle était au début de la quarantaine, et que j’en avais 18, ses seins semblaient tenir droit, sans support, pointant bien haut. Ils n’avaient pas l’air trop gros : tout au plus, avaient-ils le format d’une pomme. Je la regardais et je me sentais durcir davantage. Ses fesses étaient belles et semblaient rondes juste à souhait! Elle avait les cheveux bruns, détachés, juste plus haut que les épaules. Vraiment, elle me faisait bander solide! Je sentais mes hormones monter en moi!

J’ai remarqué qu’elle se caressait, une main sur les seins, l’autre s’activant sur son clitoris. Peut-être allait-elle se pénétrer avec un doigt ou deux. Ce qui est sûr, c’est qu’elle n’était pas gênée de le faire devant sa fenêtre! Je ne sais pas si elle souhaitait être vue ou non, mais je me rinçais amplement les yeux. Et ma main glissait sous mon short, agrippant doucement ma queue toute dure. Je m’imaginais à côté d’elle, à la regarder se masturber, alors que je le faisais aussi, espérant qu’elle me fasse signe pour lui toucher le corps. J’aurais le goût de prendre ses seins et de les mettre dans ma bouche, de lui caresser les fesses. Je passerais ma bouche sur chaque parcelle de sa peau.

J’ai envie d’aller la rejoindre. Je ne sais pas ce qu’elle dirait, mais j’aimerais tellement la caresser. Je pense me rhabiller, traverser la rue et cogner à sa porte. Peut-être même à la porte de sa cour… Mais je suis tout dur, je me branle doucement en l’imaginant. Peut-être qu’une autre fois, j’irai la rejoindre, mais pas là.

Je me masturbe, en la regardant par la fenêtre et en imaginant sa bouche sur ma queue. Juste au moment où j’augmente la vitesse de mon va et vient, je sens mon sperme monter et être sur le point de jaillir. Je retrouve la fenêtre de ma voisine, mais elle n’y est plus. Impossible de savoir si elle se caresse encore ou si elle est même encore dans sa chambre. Malgré cette déception, la tentation de jouir est beaucoup trop forte et je ne peux me retenir… J’explose de plaisir, mon sperme coule le long de ma queue. J’aimerais tellement qu’il coule dans sa chatte, à la place, mais pour cette fois, du moins, je devrai aller m’essuyer, comme j’y suis tellement habitué.