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Belle vengeance

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 06/02/2024

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Julia, femme d'une soixantaine d'années, mène son entreprise d'une main de maitre, femme autoritaire, elle méprise ses employés. Elle Les rabaisse plus bas que terre. Mais comme le travail est rare dans la région, les employés supportent sans rien dire les humiliations quotidiennes. Un seul ose lui tenir tête, c'est Thomas, un homme d'une cinquantaine d'années qui est cadre dans l'entreprise. Pendant les réunions, souvent le ton monte entre eux. Thomas est un homme qui connait parfaitement son travail, il ne compte pas ses heures dans l'entreprise. Julia, sans se l'avouer, a plus qu'un petit penchant pour cet homme rebelle. C'est pour cette raison que Julia ne le licencie pas, elle a trop besoin de ses services.


Au cours d'une visite, dans l'atelier, en compagnie de clients potentiels, elle croise Thomas, les deux se jettent un regard morbide. Elle lui demande de les accompagner pour expliquer aux clients le fonctionnement des machines. En se penchant sur une machine, Julia sent le souffle de Thomas sur son cou, il est si proche que lorsque qu'il lui frôle involontairement les fesses avec son bas-ventre, elle se met à frissonner. Sans savoir pourquoi, elle n'arrive plus à prononcer un mot. Il lui faut un moment avant de reprendre ses esprits. Elle épie du coin de l'œil Thomas, qui prend plaisir à parler avec une cliente, qui ne cesse de lui sourire en lui posant un millier de questions.


Julia commence à froncer les sourcils, elle n'admet pas, de ne pas être la pièce centrale de la petite délégation, et surtout, que soit son employé qui profite de la situation. Elle ronge son frein en faisant un sourire forcé aux visiteurs. La visite continue, ils passent dans un petit couloir étroit. Thomas doit prendre la tête du groupe, il double un à un les clients, il croise la femme avec laquelle il parlait il y a un moment. Les deux corps se frottent fortement, les deux complices se sourient.
Avec les hommes, le croisement, mais avec eux, c'est beaucoup plus rapide. Enfin, il passe Julia, vicieusement Thomas frotte son bas-ventre contre le sien. Julia se cabre, sa respiration s'accélère. Thomas prend son temps pour dépasser sa patronne. Lui souriant la regarde en la toisant de haut, elle, a les yeux qui étincèlent, elle pince fortement les lèvres en rougissant. Thomas, malicieusement, donne un petit coup de reins sur le bassin de Julia, qui sursaute, en poussant un long soupir.


Enfin, la visite s'achève, le groupe arrive dans une pièce, ou quelques rafraîchissements les attendent. Une fois les visiteurs partis, Julia demande à Thomas de la suivre dans son bureau. Elle s'assoit sur le bord du bureau, en croisant les bras sur sa poitrine, dit d'un ton hautain :

-Alors, monsieur se permet de draguer les visiteuses pendant son temps de travail, je ne peux tolérer de tels agissements dans mon entreprise, si cela se reproduisait, je serais dans l'obligation de me séparer de vous !



Thomas la regarde droit dans les yeux, il lui relève le menton avec deux doigts et dit :

-La jalousie est un vilain défaut, ma vieille dame !



Il lui donne un baiser très appuyé sur les lèvres. Julia en a le souffle coupé, elle reste sans voix un moment, puis en béguant répond :

-Moi jalouse de vous, mais, monsieur, apprenez que j'ai qui je veux quand je le veux !



Toujours en lui maintenant le menton, réplique :


-Peut-être, mais pas moi, du moins pas encore, je te sens frissonner lorsque je me frotte à toi, tu me veux vieille peau, avoue, je le sens. Alors, tu peux me virer, je m'en tape, j'irai chez la concurrence !



Il redépose un baiser, mais reste collé à ses lèvres, Julia les serre en les pinçant fortement. Thomas la saisit entre ses bras et la descend du bureau. Les deux corps sont l'un contre l'autre, Thomas habilement frotte son bassin contre celui de sa patronne. Il l'empoigne par les fesses et la tire fortement contre lui en agitant encore rapidement son bassin, elle souffle fortement, mais ne le repousse pas, il dit en la regardant droit dans les yeux :

-Si tu veux ma bite, demande-le vieille salope, je peux te faire gueuler comme une chienne !



Julia écarquille les yeux, malgré les insultes, répond en retenant son souffle :

-Baise-moi, baise-moi là tout de suite, oui, fais-moi gueuler !


Sans aucune précaution, Thomas arrache les vêtements de Julia, c'est en lambeaux que le tailleur de marque, tombe sur le sol. Julia se retrouve en soutien-gorge et en culotte devant son employé. Il lui dit d'un ton autoritaire :

-tu es prête à faire tout ce que je te demanderai vieille salope !


Sans réfléchir, Julia répond :

-Oui, oui, tout ce que tu voudras, baise-moi, baise-moi mon chéri, depuis le temps que j'attends ce moment !


Thomas dit :

-Branle-toi, vas sur la chaise, branle-toi, et ne fais pas semblant !


Julia retire sa culotte et prend place sur la chaise, elle écarte les cuisses et commence une masturbation énergique. Elle grimace tellement elle se frotte le clito. Thomas prend sur le bureau une petite bouteille en verre pleine d'eau. Il regarde la branleuse qui s'acharne sur sa chatte. Il lui tend la bouteille et dit :

-Gode-toi avec ça salope !


C'est en tremblant que Julia saisit la bouteille. Elle la place contre sa fente humide et pousse. L'introduction est difficile, elle serre les dents, grimace, mais avec insistance, l'engin s'enfonce lentement dans son ventre. Elle regarde Thomas, ses yeux sont pleins de larmes, elle en dit :

-Regarde mon chéri, j'ai réussi, oh comme je suis dilatée, regarde comme je me défonce pour toi mon chéri !


Le va-et-vient prend de la vitesse, Julia ne quitte pas des yeux Thomas qui doucement retire son pantalon et son slip. Le bougre bande comme un âne, il caresse sa queue en regardant Julia se faire mal. Il approche et offre sa queue aux lèvres de la godeuse. Julia, sans se faire prier, ouvre la bouche et gobe le gland large et épais de Thomas. Sans omettre de se défoncer avec la petite bouteille d'un quart de litre. Soudain Thomas retire sa bite de la bouche de Julia et hurle :


-Va à fond sale pute, éclate-toi la chatte !



Julia répète plusieurs fois :

-Oui oui, mon chéri, je vais me défoncer à fond regarde mon chéri !


La bouteille s'enfonce profondément dans le vagin sur-dilaté, il ne reste qu'une petite partie du goulot haut de la chatte. Thomas lui dit :

-Voilà quand tu veux hein, maintenant, je veux t'entendre jouir vieille salope !


Julia souffle comme un taureau, le ramonage est violent, elle pousse un gémissement à chaque enfoncement du gode improvisé dans son ventre. Elle se cabre et en poussant un long râle, elle jouit. Thomas semble satisfait, il lui redonne sa bite à sucer. Avec gourmandise, Julia lui tète le gland, elle branle e, même temps qu'elle suce, pour Thomas, c'est le bonheur. Mais il ne tient pas la distance, il se raidit et remplit la bouche de Julia avec son sperme brûlant. La coquine avale jusqu'à la dernière goutte la semence visqueuse. Il lui retire la bouteille, il lui demande de lui laisser la chaise. Julia lui cède la place e, regardant la bite gluante toujours opérationnelle. Il dit :


-Embroche-roi sur ma queue et ne ménage pas tes efforts !


Julia enjambe son amant, lui saisit le membre et le dirige vers sa chatte insatiable. Lentement, elle descend son corps, le gland appuie sur ses grandes lèvres, d'un coup, elle se laisse tomber de tout son poids pour être totalement empalée. Elle commence une chevauchée que je qualifie de fantastique. Elle grogne en domptant du mieux qu'elle peut sa monture rebelle. Thomas se tend comme un arc et envoie dans le ventre de Julia une puissante décharge de sperme en grognant comme un animal. Julia accélère, ses mouvements sont rapides. Soudainement, accrochée au cou de son amant, elle se plaque contre lui en poussant un long gémissement de jouissante.










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Commentaires du récit : Belle vengeance

Le 14/02/2024 - 11:35 par OlgaT
Une prise en mains efficace!
Le 10/02/2024 - 21:46 par Lila
Ah... J'avais pas vu qu'il y avait un premier chapitre. Alors c'est sûrement une patronne audieuse, mais lui c'est un vrai pervers sans limite. Je n'apprécie pas ce genre de personnes. Mais, tu as beaucoup d'imagination...

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