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.Ce soir là, les planètes étaient alignées pour me faire baiser

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/09/2025

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Je rentrais nue dans la salle de bains, y trouvais Jeff, mon mari face au miroir, nu lui aussi. Je remarquais sa queue en érection dans la glace, comme si elle aussi s’y regardait. Je m’approchais, le ceinturais, saisis sa bite, fis coulisser le prépuce et le décalottais
- Un problème à résoudre avant de partir ? Dis-je l’embrassant au creux de ses épaules.
Je vis son sourire coquin dans le miroir. Il se retourna, saisit mes hanches et me monta sur le plan du lavabo. Je sentais sa queue taquiner mon clitoris, courir sur ma fente encore sèche. Puis, il me pénétra, me faisant mouiller instantanément. Je me pendis à son cou, nouant mes jambes dans son dos.
Soudain, le téléphone vibra, privant mon corps de l’orgasme qui se profilait. C’est donc en restant sur un échec que je quittais la salle de bains pour regagner ma chambre.
Tout a commencé ce vendredi soir. Je me préparais pour une soirée, me sentant bien, vêtu simplement d'une mini jupe et d'un haut Basic. Ce genre de tenues qui donne confiance, qui vous font dire « Ouah, ce soir, je suis canon ».
Mon mari et moi étions censés rejoindre quelques-uns de ses amis dans un bar. Honnêtement je n'étais pas trop emballé. Mais il voulait que je l’accompagne, et ne tenais pas à le décevoir. Bref, j'ai terminé de me préparer. Je vérifiais mon reflet dans le miroir, me sentant bien. La tenue était simple, mais audacieuse, juste ce qu'il fallait, pas trop révélatrice, mais assez pour que je ne passe pas inaperçu. Je me suis dit pourquoi pas, ce soir allait être sympa, mais je ne m'attendais pas du tout à ce qui allait arriver.
Nous sommes arrivés dans ce bar, rien de très chic, juste un endroit sympa où tout le monde se retrouve après une longue semaine. Dès qu'on est entré, mon mari a repéré ses amis, et il est parti les rejoindre directement. Je suis restée là, debout, me demandant ce que j'allais faire. Je sens les regards des mâles me scanner sur mon passage, tandis que les femmes juge certainement ma tenue extravagante. Les chuchotement vont bon train. Parmi eux, quelques uns attirent particulièrement mon attention.
« Tu crois qu’elle sait ? » « Quoi, que son mari la trompe ? » « Aucune idée. »
Ces mots me paralysent, je sens le sol se dérober sous moi. Je ne crois pas un instant que Jeff puisse me tromper. Il est vrai que ces jours-ci, il était souvent au téléphone, et l’arrêtait quand j’apparaissais, mais de là à envisager le pire. Je me retournais, le regardais, me persuadant que c’était une erreur. Je ne tenais pas à gâcher la soirée, et décidais de le confronter une fois à la maison, si toutefois les ragots que j’avais entendu se confirmait.
En me dirigeant vers le bar, j'ai remarqué Karl, un des bons amis de mon mari. Il était en train de discuter avec quelques personnes. Quand il m'a vu, il a fait une double prise. Je veux dire, il m'a vraiment regarder, pas juste un coup d'œil rapide, mais un regard insistant. C'était comme s'il m'évaluait ou quelque chose comme ça. Oui, je savais que j'étais belle ce soir là, bien habillé, mais la façon dont Karl me regardait me mettait mal à l'aise. Ce n'était pas juste un regard qu'on lance à la femme d'un ami, non, c'était différent.
Mon cœur s'est mis à battre un peu plus vite. Je n'avais jamais vraiment fait attention à ce genre de chose, mais c'était impossible à ignorer, et le pire c'est que je ne savais comment réagir. Devais-je juste faire comme si de rien n'était, ou avait-il remarqué que j'avais perçu cette tension entre nous.
Tout à coup l'atmosphère était devenue plus pesante. J'essayais de rester détendue, sirotant mon verre. Karl continuait de discuter avec ses amis, et pourtant ses yeux revenaient constamment vers moi. Je pouvais sentir son regard.
J’étais au bar, essayant de garder mon sang froid, prétendant ne pas avoir remarqué que Karl me fixait J'avais mon verre à la main, mais mon esprit était ailleurs. Puis, sans prévenir, il s'est avancé vers moi. Je l'ai vu se frayer un chemin à travers la foule et mon estomac s'est noué. Je le trouvait toujours aussi charmant, aussi séduisant. J'ai essayé d'agir normalement, mais mon pouls s'accélérait, et je n'arrivais pas à me défaire de ce sentiment, qu'il allait se passer quelque chose d'étrange, quelque chose pour lequel je n'étais pas prête. Il est finalement arrivé près de moi et il y a eu ce moment gênant où on s'est juste regardé, un peu trop longtemps.
- Salut Audrey, dit Karl d’un ton un peu trop décontracté.
Je voyais qu'il essayait de la jouer détendu, mais il y avait une tension dans sa voix.
- Salut, ai-je répondu esquissant un demi-sourire, gardant la conversation légère.
Je pensais, c'est l'ami de mon mari. Je ne devrait pas ressentir ce moments étranges, mais au lieu du bavardage habituel, il a dit.
- Tu es magnifique ce soir.
Ce n'est pas totalement inhabituel que les gens se complimentent, non ? Mais quelque chose dans sa façon de le dire me mise mal à l'aise. C'était comme s'il voulait me faire comprendre qu'il ne parlait pas juste de mon apparence en général, il parlait d’autre chose, quelque chose de plus personnel. La façon dont ses yeux s'attardaient sur moi, c'était comme s'il voyait plus qu'une simple femme, plus que la femme de son ami.
- Merci, ai-je dit, essayant de balayer ça d'un revers de main.
Je ne pouvais pas m'empêcher de remarquer à quel point Karl se tenait proche de moi. Il n'y avait plus aucun espace entre nous. Il agissait comme si on était de vieux amis, comme s'il ignorait complètement que j'étais la femme de son meilleur ami.
- Jeff n’est pas là, demanda-t-il en se penchant un peu trop.
- Devine, dis-je, il est avec ses potes, comme d’hab..mais il va bien.
- Comment laisser seule une femme aussi ravissante
Je me suis tendue immédiatement, et je savais ce qu'il essayait de faire. Je vis un sourire éclairer son visage, comme si lui aussi savait quelque chose. Mon esprit se troublait, tandis qu’il tentait de ramener la conversation sur un terrain sûr, moins ambigu. Mais ça ne marchait pas, c'était comme s'il le faisait exprès, presque comme s'il testait les limites.
J'essayais de garder mon calme mais la tension était insupportable. Karl a hoché la tête, ses yeux ne me quittant toujours pas. Il m'a touché légèrement le bras, un geste rapide, presque imperceptible, mais qui m'a traversé comme une décharge électrique. Qu'est-ce qu'il faisait.
Je tente d’ignorer la situation, mais mon cœur bat à tout rompre. Ce n'est pas du tout ainsi que j'imaginais la soirée. Il ne recule pas immédiatement, au lieu de ça, il reste là à me regarder, comme s'il attendait une réaction de ma part. Je n'arrive même plus à respirer correctement. C'est le meilleur ami de mon mari, quelqu'un qu'on connaît depuis des années et jamais je n'ai ressenti quelque chose d'aussi troublant.
Je sentais le souffle de Karl effleurait ma peau, et tout mon corps se figeait. - Si belle et si seule...quel gâchis.
Je fus surprise par sa réflexion. Parlait-il de ma beauté, ou mettait-il en cause ma tenue vestimentaire, et pire encore, est-ce qu'il sous-entendait autre chose. Calmement, Karl me prit par la taille et m’entraîne au bar. J’aurai refuser, partir. Mais mon mari m’ignorait, et ce n’était qu’un verre. Le verre se déguisa en deux, puis en trois. Je sentais la main de Karl parcourir mon dos. Un certain trouble s’installa en moi.
- Je te voudrai audacieuse ce soir, vivante, souffla-t-il.
- L’audace d’un femme seule qui cherche de la compagnie, c’est ça.
J’essayais de ravaler ce que j’avais dit, ne voulant qu’il croit que j’étais une proie facile.
Soudain, il me prit la main, me tira sur la piste de danse. Là encore, j’acceptais son invitation. Il me prit par la taille, tandis que je nouais mes bras autour de son cou. Je pouvais sentir la dureté de sa queue contre mon ventre, je la jugeais imposante, au-delà de celle de mon mari en tout cas. Il tenta de m’embrasser.
A ce stade, j’essaie de le repousser, lui montre que je ne suis pas intéressé. Peut-être qu'il arrêtera, mais bien sûr ce n'est pas ce qui se passe.
J'essaie de partir vraiment. Je fais un petit pas en arrière, espérant qu'il comprendra et me laissera tranquille. Karl ne recule pas, au lieu de cela il avance d'un pas, pas vraiment pour me bloquer mais juste pour me faire comprendre que je ne peux simplement fuir cette conversation. Et là, ça devient encore plus inconfortable. Il esquisse un sourire, un sourire qui montre clairement qu'il sait qu'il m'agace et dit.
- Ouais, dit Karl, se penchant encore plus près, sa voix soudainement basse comme s'il me révélerait un secret. Tu es sûre que tu n’es pas intéressé par un peu de... fun.
- Fun ? Est-ce qu'il venait vraiment de dire ça.
Karl savait parler aux femmes. Il vantait ma beauté, me murmurait à l’oreille des mots que mon mari ne m’avait fit depuis longtemps, il me disait que j’étais la plus belle fleur de la soirée, que je méritais un tuteur qu’il pouvait me fournir. Mon estomac se noua, ce n'était plus juste un compliment innocent, ce n'était plus une conversation amicale, c'était autre chose, quelque chose de beaucoup plus troublant. Devinait-il mes envies, devinait-il que Jeff m’avait laissée insatisfaite dans la salle de bains, que mon corps brûlant avait besoin de caresses.
J’aurai dû prendre mon verre, me retourner et rejoindre mon mari. Mais pour une raison que je ne comprends pas, je suis restée figée sur place, ma respiration saccadé, mon esprit en ébullition. Je ne savais pas ce qu'il attendait de moi, mais je savais que je n'aimais pas la tournure que prenait la situation.
Il me coinça dans un coin sombre du bar, une main effleurant subtilement ma taille. Ce n'était pas un contact accidentel, c'était intentionnel. Il voulait que je le sente, il voulait que je sache qu'il n'allait pas reculer. A cet instant, je sentis sa main glisser sous ma courte jupe. Je me sentais comme prise dans un jeu étrange. Lorsqu’un doigt traça un sillon sur ma chatte à travers mon string, ma réaction n’était pas celle d’un refus.
- Qu'est-ce que tu fais ? Soupirais-je.
- Dis-moisi si tu veux que j’arrête.
Au lieu de ça, J’enroulais mes bras autour de sa nuque, sentant la chaleur de ses doigts. Le dernier rempart avec mon intimité fut vite écarté. Un doigt sillonnait ma chatte humide, jusqu’à mon clitoris qu’il avait décalotté avec soin. Je sentais son souffle dans mon cou, tandis que je le traitais « d’enfoiré ». Il se moquas de me voir atteindre, orgasme.
Il avait deviné mes envies de sentir ses main sur moi, ses doigts en moi. Il recula, me fixa, se contentant de sourire. Ce n'est pas un sourire amical, c'est le genre de sourire qui vous fait comprendre qu'il sait quelque chose que vous ignorez. Je me tenais là, devant le meilleur ami de mon mari, mes lèvres soudées aux siennes, prise dans un moment où tout semblait mal. Je ne savais comment y mettre fin. Avant même que je puisse réfléchir à ce que je devais faire, il se pencha plus près encore et me murmura quelque chose qui bouleversa profondément.
- Pourquoi tu ne viendrais pas avec moi, on pourrait s'amuser, juste tous les deux.
Pendant une fraction de seconde, je restais là, me demandant si j'avais bien entendu.
- Karl, murmurais-je ma voix à peine audible, je suis mariée, de quoi parles-tu.
- Tu sais exactement de quoi je parle, tu le ressens non ? La façon dont tu t’es offerte, tu ne peux nier le plaisir que tu as eu, tu ne peux prétendre que tu n'en as pas envie.
Karl était le genre d'homme qui aimait la compagnie des femmes, qui abordait tout avec désinvolture, et qui ne s'engageait pas. Les femmes étaient également attirées par lui, mais disons qu'il n'était pas exactement le genre de candidat pour prononcer les vœux sacré.mariage.
Un tourbillon d’émotions s’installait dans mon esprit.
J’imaginais Karl me prendre par la taille, m’entraînais dans une salle à l’arrière du bar. Là, nos lèvres se rencontraient dans un baiser passionné, nos mains découvrant nos corps. Les caresses de Karl étaient douces, perverses. Il me retournait contre le mur, enroulais ma jupe autour de ma taille. Je sentais sa queue se faufiler entre mes cuisses. C’est moi-même qui écartait mon string pour qu’il puisse me pénétrer. La relation était courte, mais intense, atteignant rapidement l’orgasme, tandis que Karl se vidait en moi. Nous sortions, respectant quelques minutes, pour ne pas être vu ensemble.
« Que m’arrivait-il ? Comment pouvais-je penser à ça ? Me venger de mon mari infidèle.»
Quand je rejoignis enfin mon mari, je fis tout mon possible pour agir normalement, mais à l'intérieur, tout s'effondrait. Ce moment avec Karl n'était pas une erreur, c'était quelque chose que je devais refouler, et pourtant c'était toujours là, me rongeant. Une partie de moi se demandait si j'aurais pu agir différemment, mais qu'est-ce que cela disait de moi.
Je me retrouvais enfin auprès de Jeff, tentant tant bien que mal de garder mon sang froid. Mon cœur battait encore à tout rompre, l'adrénaline parcourait toujours mon corps. Je ne sais pas pourquoi, mais j'étais ébranlé, comme si je venais de descendre d'un manège et que je n'arrivais pas à retrouver mon équilibre. Jeff riait avec ses amis, complètement inconscient de ce qui venait de se passer, complètement insouciant et pendant un instant, je me dis que c'était peut-être mieux ainsi.
Je tente de me concentrer sur la conversation autour de moi, d'utiliser le bruit pour noyer les pensées qui tourbillonnent dans ma tête, mais plus j'essaie d'ignorer, plus je réalise que je ne peux pas. J'ai l'impression d'être piégée dans un mensonge. Chaque fois que je ris, chaque fois que je souris, une partie de moi sait que je ne suis pas honnête, pas avec moi-même, pas avec Jeff, pas avec personne.
Puis, au moment où je pense commencer à me ressaisir, je croise le regard de Karl à travers la pièce. Il me regarde, je vois ses yeux se plisser lorsqu'il rencontre les miens. Je détourne rapidement les yeux, mais je sais qu'il a vu il a vu ma réaction quand je l'ai remarqué. J’ai l’impression de sentir ses doigts sur mon intimité, de mon abandon à lui.
Je sens mon pouls s'accélérer à nouveau, comme si j'étais encore dans ce moment dangereux avec lui, ce moment où tout est allé trop loin, et ce n'est pas seulement son regard qui me trouble, c'est ma propre réponse à cela.
Je voulais m'éloigner, le voulais vraiment, mais pourquoi ne lui ai-je pas simplement dit d'aller au diable. La soirée s'éternise, mais je suis totalement absente, c'est comme si je regardais tout à travers une épaisse paroi de verre. Je vois Jeff rire, discuter avec ses amis, mais ne suis pas vraiment là. Je jette des coups d'œil furtifs à Karl, essayant de ne pas être évidente. Mais chaque fois que nos regards se croisent, c'est comme une décharge dans ma poitrine, je n'arrive pas à me débarrasser de cette erreur de m’être offerte à ses doigts pervers. Ce moment, cette étrange rencontre avec Karl plane encore dans un coin de mon esprit, comme une ombre.
Ça ne prend pas longtemps avant que je ne sente mon téléphone vibrer dans ma poche. Je le sors rapidement, espérant un message d'un ami. Mais non, c'est un texto de Karl. Mon cœur rate un battement quand je lis.
« J'attends toujours ce moment de plaisir, tu sais que tu ne peux pas continuer à prétendre que rien ne s'est passé »
Je fixe le message pendant quelques secondes, mon pouce suspendu au-dessus de l'écran. Une partie de moi veut l'effacer, faire comme si ça n'avait jamais existé, mais une autre partie est curieuse, curieuse de savoir pourquoi il insiste, ce qu'il veut vraiment. Je verrouille mon téléphone et le remet dans ma poche, essayant d'ignorer cette sensation persistante dans ma poitrine. Je ne veux pas céder, je ne veux pas être celle qui gâche tout pour une stupide décision irréfléchie. Mais c'est trop tard, le mal est fait.
Je continue d'essayer de me concentrer sur Jeff, de me rappeler pourquoi je suis ici avec lui, c'est mon mari, c'est lui que j'aime, il reste l’homme de ma vie malgré son infidélité. Mais à chaque minute qui passe la présence de Karl devient plus oppressante, comme si elle m’étouffait. Plus j'essaie de l'ignorer, plus l'attraction devient forte. Je me lève de ma chaise, les nerf en miette et dis à Jeff que je vais prendre un peu d'air, que j'ai besoin de respirer.
Dès que je sors, l'air frais de la nuit me frappe, et je me sens instantanément plus ancré. Je prends de grandes inspirations, essayant d'apaiser la tempête en moi. Mais c'est inutile, je sais ce que je dois faire. Je suis là à tenter de faire le vide dans ma tête, quand j'entends des pas derrière moi, des mains saisir ma taille, des lèvres flirter avec mon cou. Lentement, les mains enroulent ma courte jupe à ma taille. Je sens alors la dureté de sa queue entre mes fesses. C’est moi-même qui écarte mon string pour qu’il me pénètre. Je gémis, me disant qu’enfin, il avait ce qu’il voulait, me posséder. Il s’arrête soudain, me fait faire un demi-tour, m’oblige à m’agenouiller, et a le prendre en bouche. Sa queue est magnifique, légèrement plus grosse que celle de Jeff. II fait de légers mouvements, posant doucement sa paume sur ma nuque. Je donne tout mon savoir dans cette fellation, sors, enroule ma langue autour du gland, l’aspire de plus belle. Je reste immobile, alors qu’il continue à pousser des soupirs silencieux, tandis qu’il dépose son plaisir dans ma bouche, sur ma langue. Je reste un instant accrochée à ce calibre qui m’a donné tant de plaisir.
Soudain, la porte s’ouvrit violemment.
- Que se passe-t-il ici, gronda l’intrus.
C’est Jeff. Ce qu’il découvre est sans équivoque, moi essuyant mes lèvres, les attributs de Karl toujours exposés. Je le regarde, les yeux écarquillés. Dans un mot, les poings serrés, il quitte précipitamment la soirée.
Je faillis m’évanouir devant l’ampleur de ma trahison. La culpabilité m’accable, tandis que Karl, bizarrement, reste impassible, ignorant que, peut-être , je venais de détruire mon couple
Je demande à Karl de me ramener à la maison. Ce salaud voulait me posséder jusqu’au bout. Il m’obligea de régler la course avec de douces fellations, m’obligeant à tout avaler.
Je trouve Jeff dans la chambre, en train de préparer ses affaires. Je lui demande ou il va. Il me répond qu’il quitterait la maison demain matin et irait chez son frère. Il me dit que ce qu’il a vu était impardonnable, une trahison.
- Et toi, me tromper avec d’autres femmes, je dois appeler ça comment ? Dois-je pardonner ? Je me suis juste vengée, c’est tout.
- C’est ça ton excuse ? Te venger de quoi ? Je ne t’ai jamais trompée moi.
Je m’apprêtais à répondre, quand mon téléphone vibra. Un message de Karl. Je l’ouvris.
« Tu vois comme un simple mensonge peut rendre une femme infidèle. »
Je jetais mon téléphone. Mon visage se figea. Comment avait-il me faire ça. Comment m’avait-il menti pour tromper mon mari, alors que lui ne l’avait jamais fait. Je me levais, courrais à la salle de bain. Quand je ressortis, je vis Jeff, les bras ballant, tenant mon téléphone en main. Il avait certainement lu le message. Je le regardais, des larmes coulant sur mon visage, et filais à ma chambre.
Quand je me levais le lendemain matin, Jeff était sur le canapé. Je voyais le venin dans son regard. Je lui expliquais ce que j’avais entendu, puis les avances de Karl auxquelles j’avais fini par succomber. Je n’avais aucune excuse. Il me reprocha de ne pas être venu le voir, de lui en avoir parlé. Je lui dis ne pas vouloir gâcher la soirée. Il me dit avoir besoin de réfléchir, que dans un premier temps, il allait réglerait le problème avec Karl.












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