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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 03/09/2025
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La Ferme
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C'est mon histoire, qui se déroule dans les Vosges. Appelé pour un dépannage dans une ferme dans les hauts, je me rends vers 13 h30 dans une ferme dans la montagne Vosgienne , pour un dépannage ; sur un tank à lait, et une chambre froide en panne, Nous sommes en juillet 1995 et il fait très chaud, Comme je ne supporte plus la chaleur, j'ai un t-shirt très léger sur le dos, et un short large. Pas de sous vêtement ; il fait trop chaud, Je prends la route qui conduit a la ferme, 20 minutes de trajet ; quand même, Arrivé a la ferme, il, y a un homme dans la court qui s'affaire autour d'un tracteur , un chien berger allemand à ses côtés. Je sort du véhicule, le fermier arrive avec le chien a ses côtés, vous êtes le dépanneur ?
Je me présente , le chien vient me renifler . . . Il me demande de le suivre pour me montrer ou est le tank a lait . Dans le local il y a une femme d'une quarantaine d'année environ , que l'homme me présente comme sa sœur, je regarde le tank a lait vite fait puis il m'emmêne, au local ou se trouve la chambre froide, Je ressort avec l'homme dans la cour pour prendre mon matériel ; manomètres et clefs diverses, et je retourne dans le local du tank a lait, nous faisons connaissance , je suis Brigitte et mon frère c'est Gérard, Il me faut me coucher sur le carrelage pour accéder au compresseur, et elle me dit ; attendez je vais chercher un carton comme cela vous serez plus a l'aise . Elle revient avec le carton, et le chien la suivit. J'installe le carton me couche dessus sur le côté et branche mes manomètres. Plus rien le circuit et vide, et j'ai vite fait de trouver la panne. Le tube capillaire et sectionné au niveau d'une soudure, et certainement que les vibrations y sont pour quelques choses. Je ne peux pas me relever, car le chien à mis sa truffe dans mon entrejambe. Brigitte dis au chien ; Sultan dehors ! Le chien sort de la salle, et moi je peux me relever. . . Vous m'excuserez pour le chien , mais vous savez comment il sont , il veule sentir les étrangers. . . Je sort chercher ma caisse à outils dans ma voiture, et ramène en même temps la pompe a vide, Je suis obliger de retourner au véhicule, car il me faut aussi mon poste à souder pour refaire la brasure des tubes, le chien est a nouveau à mes côtés. Je rentre dans la salle , Brigitte est en train de mouler des fromages. Je prépare les tubes, fait ma brasure à l'argent, et raccorde ma pompe à vide que je mets en marche. Je retourne au véhicule, pour chercher la balance et la bonbonne de gaz réfrigérant, le chien ma suivi, et renifle à nouveau mon entrejambe,je sens sa langue rapeuse sur ma colonne et mes couilles ca commence a bouger en desous dans mon short !! Sur ce Brigitte arrive et, Sultan se fait rappeler à l'ordre une nouvelle fois. A la niche ! Le chien la tête basse obtempère et va dans sa niche. Je sort du véhicule le short légèrement tendu , je pense que Brigitte là remarqué, je suis légèrement rouge dans le visage, mais elle ne fait aucune allusion. Je retourne auprès du tank a lait, ferme les vannes, arrête la pompe, et branche la bonbonne de gaz.
J'ouvre les vannes et met le tank a lait en marche, tout en surveillant le niveau dans le voyant. Quand le circuit est plein, je referme la vanne de la bouteille, donne un coup d' oeil au manomètre, la pression et bonne, il n'y a plus qu'à laissé tourné l'ensemble. A présent ma verge tend complètement le short au niveau de l'entrejambe, l'effet de la langue de Sultan sur mon pénis la réveillé de sa torpeur, et il faut que je me relève, pour faire la réparation de la chambre froide.
Je me met difficilement debout, et là ; Brigitte s'exclame : beau travail de Sultan, et se met à rire. Moi je suis rouge ,de confusion, n'aillez crainte me dit-elle, je sais ce que c'est une bitte raide qu'elle me dit et, là on commence à discuter ; elle me dit qu'avec son frère, ils s'occupe de l'exploitation car leurs parents sont mort dans un accident de voiture il y a quinze ans, et qu'ils ont du se débrouillé seul pour vivre. Elle m'apprend qu''il ne sont pas mariés et qu'ils vives comme un couple, en prenant bien évidemment leurs précautions. Elle me dit que son frère c'est fait stériliser, comme cela elle n' à pas besoin d'aller voir un docteur pour la pilule. Je lui demande de m'amener a la chambre froide, car Gérard ne ma pas laisser le temps de me repairé, et moi je n'ai pas trop le sens de l'orientation. Elle m' emmène jusqu'au local, j'ouvre la porte de la chambre froide, qui est plutôt chaude, et je m'aperçois que l'évaporateur est accroché au plafond et qu'il me faut un escabeau, que je n'ai pas dans mon véhicule.Brigitte me propose d'aller chercher le sien, et je retourne au tank à lait pour vérification de la réparation, tout va bien le groupe est arrêté , la cuve a +3° ; je peux tout débrancher, et rapatrier le matériel pour la chambre froide. Brigitte a déjà mis en place l'escabeau, il ne me reste qu'à brancher les manomètres, et voir. Verdict me demande t-elle ? Et bien il faut changer le détendeur. Je retourne a la voiture et revient avec. Après avoir rapatrier les gaz, je monte sur l'escabeau , avec mon érection qui n' à pas baissée 'forcément , je cogite. . .) pour démonter le détendeur, d'abord libéré le bulbe ensuite démonter les raccords, ce qui prends quelques minutes. Pendant ce laps de temps, je sens une main qui s'aventure doucement vers ma tour Eiffel, oh dis Brigitte, je comprends que Sultan soit très intéressé, vous n'avez pas de slip , me dit elle !
Je réponds ; il fait trop chaud, et vous ? Elle me répond moi aussi je ne porte pas de culotte. . . Donc, nous sommes a égalité luis dis-je,mais elle n' à toujours pas pour autant lâcher ma bitte, quelle astique lentement ! Il faut que je termine ma réparation, sinon elle va vous coûter trop chère que je lui dis ; elle me réponds on va s'arranger avec mon frère, sur ce elle me lâche la bitte, et sort de la chambre froide. Je termine ma réparation consciencieusement , remet l’installation en route et vérifie le voyant liquide, il manque un peu de gaz, donc je rectifie et fait l'appoint. La température dans la chambre descend régulièrement, je peux terminer et ranger mon matériel dans le véhicule.A ce moment là, Brigitte revient accompagné de Sultan ; elle dit au chien : cherche, cherche, aussitôt le chien vient dans mon entrejambe, et passe se langue sur mon pénis qui commençait a se calmer, Sultan stop dit-elle, le chien arrêta aussitôt et s'assit à côté de Brigitte, vous préparez votre facture et on vous attends a la cuisine, il fait plus frais ! Je cogite, tout en rédigeant ma facture ( elle à dit : on vous attends. Donc elle à parler a son frère ! Que je me dit).
Je reviens à la cuisine avec la facture, venez dans le salon me dit Gérard et asseyez vous sur le canapé.
Je fais comme dit Gérard, Brigitte revient avec l'argent a la main et, une bouteille de champagne bien frais ! Je prends l'argent et je la remercie.. Gérard revient habillé pour tout vêtement, qu'un slip de bain moulant bien sa queue, et bien remplit ! Je suis un peu interloqué, le temps que mes yeux s'habitue à la situation, Brigitte c'est éclipsée , Gérard vient s'assoir sur le canapé à ma gauche. Il débouche la bouteille de champagne et, remplis trois flûtes . Gérard me dit : alors tu ne portes pas de slip ? C'est Brigitte qui me la dit, et Sultan ta sucé ! ! (j'en convient secrètement que sa sœur lui a tout raconté ! )Brigitte vient nous rejoindre sur le canapé, elle se met a ma droite,elle et en slip de bain,, les seins a l'air son magnifiques , et un postérieur à damné un saint. Elle prends une flûte et me la donne, une autre pour Gérard, et la dernière pour elle. A nos amours , dit-elle, je réponds a nos amours ! Nous trinquons tout les trois debout, Brigitte pose sa flûte, sur la table basse, et, aussi vite que l'éclair, descend mon short, sur mes chaussures, je n'ai pas le temps de reprendre mon souffle, que je sens mon pénis qui trempe dans le champagne, aussitôt une bouche happe ma bitte qui est profondément aspirée, mes couilles son triturées, j'avais fermé les yeux et en les ouvrants ma bitte et dans la bouche de Gérard, et mes couilles dans les mains de Brigitte ! Ouah, quel accueil ! ! Brigitte lâche mes couilles,a ce moment là, elle enlève son slip de bain, Gérard, lâche ma bitte raide, en fait autant. Je vois la bitte de Gérard en érection ; putain, le morceau … cela ne m'étonne plus que Brigitte n'ait pas cherché ailleurs, il est monté comme un taureau, une Bitte de 25 cm par 5,5 , et une paire de couilles bien remplies et qui pendent bien en dessous§ Qui commence dit Gérard , je lui propose pour commencer un 69 , tout les deux ; aussitôt Brigitte dit ,ça me vas, je vais m'occuper de la rosette de Michel, comme cella je vais être excitée. Gérard se couche dans le canapé, je viens tête bêche il enfourne ma bitte, et moi, la sienne. Nous nous sommes mis d'accord, d'avaler chacun le sperme de l'autre avant de boire une nouvelle flûte de champagne. Chacun commence a déguster la bitte de l'autre, et je sens peu de temps après un liquide huileux sur ma rosette, Brigitte n' à pas perdu de temps, ses doigts commencent leur travail de sape et, peu après que Gérard me suce et me lèche avec sa langue mon gland qui devient de plus en plus sensible, Brigitte en profite pour m'enfoncer 2 doigts, elle dit a Gérard, va doucement, sa fleur commence doucement à s'ouvrir. Je sens qu'il relâche la pression, et je fais de même. Soudain je sens plusieurs doigts qui s'enfoncent plus en avant, Brigitte et en train de me préparer pour le fist … Non d'une pipe ,je pense qu'ils ont du en discuter avant les cochons, je ne serais déçu de ce dépannage ! Moi qui ne baise plus avec ma femme depuis quelle à été enceinte , cela fait 15 ans déjà que sa chambre m'est interdite. . .
Heureusement qu'il y a , la veuve poignet, et quelques compensations masculines !
Je bloque ma respiration, car je sens que Brigitte et en train de tourner dans mon anus, pour y faire rentrer sa main ! Gérard reprend de plus belle son travail sur ma bitte, et mon cul est à la fête car Brigitte dit a son frère ; je sens sa prostate et je la masse, tu vas pouvoir goûter sa liqueur ! Effectivement ma prostate, sollicitée se met à déverser des flots de foutre dans la bouche de Gérard, et que moi aussi j'avale le sien qui n 'est pas en reste, car il déverse aussi de la semence dans ma gorge !
Il me dit , ne bouge pas, Brigitte va te libérer l'anus ! En effet Brigitte extrait doucement sa main de mon anus en tournant celle-ci de gauche à droite, Tu verrais dit-elle a son frère, il a un beau trou qui n'attends que d'être rempli ! Nous nous désaccouplons, et reprenons place sur le canapé . Nous prenons nos flûtes et portons un toast a cette belle après-midi. Nous discutons de ce que nous venons de subir avec bonheur. Ils me posent plein de questions, et mes réponses fusent comme pour me libérer d'un secret enfoui au plus profond de moi même. Ils apprennes ainsi beaucoup de choses, et je me sens en sécurité pour la première fois de ma vie, Je m'épanche en leur révélant mes penchants bisexuels depuis longtemps refoulés en moi même.
De discuter, je remarque que nos verges ont repris de la raideur, ils est temps me disent-ils, de continuer a faire connaissance, car c'est bien la première fois que Brigitte et moi avons à faire , a quelqu'un de sympathique et qui s'assume ! Quel compliment pour moi, cela me va droit au cœur, j'ose espéré que nous n'en resterons pas là maintenant nous allons de faire connaître quelque chose que tu ne soupçonne peut être pas, Brigitte va s'allonger sur le tapis, et tu vas la pénétrée vaginalement, après tu la baisera lentement et il y aura une surprise ! Brigitte s'allonge, et écarte bien les jambes , son abricot et ouvert et brille de ses sécrétions, je viens au dessus, et je guide ma verge dans son antre chaud et humide, Gérard me dit vas y doucement, nous avons le temps. J' embrasse Brigitte, et nos langues s'entremêle pour notre plus grand bonheur, cela fait longtemps que je n'ai pas embrasser de cette façon, heureusement que l'on n'oublie pas le mode d'emploi. . .
Je m'employai a nous donner du plaisir, quand il est revenu , Brigitte me dit changeons de position, je ne te sens pas assez en moi, je vais me mettre a quatre pattes, et tu va me prendre en levrette, comme cela je vais sentir ta bitte sur mon utérus et je vais avoir un bel orgasme et, nous serez content tout les deux car tu m'aura bien remplie.Brigitte se met a quatre pattes et je viens m'enfoncer jusqu'au couilles dans son antre chaud et humide qui n'attendait que cela, je sens quelque chose qui me chatouille le gland, sent tu mon utérus qui te caresse ? Un instant je pense a la bitte de 25cm de Gérard, qui doit lui pénétrer son utérus, ça doit être jouissif que je me pense en moi même. Absorbé par mes pensée, je suis ramené, à la réalité par une langue rappeuse , qui me lèche copieusement l'anus qui s'ouvre sous cette caresse. Gérard me dit, attends ne bouge plus, Satan va te sodomisé comme je le ferais après lui !!Je sens le même produit couler dans mon conduit ouvert, puis deux pattes gantées qui s' appuies sur mon dos, et une bitte qui cherche mon trou, Gérard me dit ne bouge pas ; je guide Satan, et après je le laisse te travaillé, appuie juste ton gland sur l'utérus de Brigitte, elle va ressentir les assauts de Satan dans son cul ! ! Ben dis donc, Satan en a une bonne car, mon fondement est bien rempli et, sa enfle encore. . . J'espère que cela ne va pas m'éclater la rondelle, ses coups de reins deviennent de plus en plus intense, et je sens quelque chose qui gonfle dans mon ampoule rectale , qui me rempli complètement, le sperme commence a se déverser sans discontinuer , je vais être remplit comme je ne l'ai jamais été, a ce moment j'éjacule en gueulant tellement c'est fort, je n'ai encore jamais jouis comme cela ! Le chien a arrêter ses mouvements de va et vient, et cela continue de couler.
Gérard me dit restez comme vous êtes vous en avez pour un moment, car jusque Satan débande il y en a pour au moins pour un quart d'heure, car son knot et coincé dans ton ampoule rectale, ta prostate et comprimé et tu ne vas pas débander ; c'est maintenant que Brigitte va te faire rejouir, avec ses va et vient ! Effectivement au bout d'un moment, je ressens monter du sperme, et je remplis a nouveau Brigitte qui se met a éructer des mots sans suite, je sens ma bitte ramollir, j'entends un flop ; c'est Satan qui décule, et qui aussitôt est remplacé par la bitte monstrueuse de Gérard ! Du coup ma verge reprend de la vigueur , pour le plus grand bien de Brigitte.
Heureusement que cela faisait 3 jours que je ne m' étais pas branlé, car là, ils vont me vider complètement les couilles. Brigitte continue de son côté ses va et biens , pendant que de l'autre côté, la bitte de Gérard me ramone le conduit intensément, Ses coups de queues deviennent de plus en plus fort, une crispation qui vient de loin , me remonte dans les couilles, cela me fait mal, mais une troisième giclée de sperme inonde a nouveau l' utérus de Brigitte qui geint tellement c'est aussi fort pour elle, tandis que Gérard décharge tout son sperme dans mon fondement, il en ressort après avoir déchargé, je n'ai pas le temps de comprendre, qu'une main vient prendre le relais dans mon fondement rempli de sperme, cela rentre tout seul, Brigitte a libérer ma bitte, elle vient sous moi est prends ma bitte flasque en bouche, tandis que la main cherche un chemin dans mon cul qui est complètement distendu , sans me faire mal et qui remonte mes boyaux. . . Ma bitte sous la suçon de la bouche et le traitement de mes couilles reprends du volume, je suis complètement interloqué par un tel traitement, je n'aurais jamais imaginé cela dans mes turpitudes, je prends un plaisir inoui à subir un tel traitement, et je ne peux que remercier , frère et sœur de leur inventivité ! Une quatrième décharge de sperme s'annoncer dans ma bitte, elle y sera arrivée, Brigitte, cela me fait mal, je me tortille,pendant ce temps la main sort doucement de mon anus sans pour autant oublier de me masser la prostate pour faire sortir le peu de jus qui reste. Brigitte jubile, Gérard, nous l'avons fait jouir quatre fois, cela j'en suis sûr ne lui est jamais arriver ! Je m' affale par terre, sur le dos vidé de ma semence. Le sperme coule de mon cul, sur le tapis .
Brigitte me temps un verre de champagne, tandis que Gérard est allé cherché des toasts pour reprendre des force, je ne sais pas quel heure il est, mes hôtes me disent, on a encore du temps devant nous, il n'est que cinq heure et demie ! Nous nous asseyons sur le canapé , est dégustons les toasts de saumon avec une énième flûte de champagne, et au fil de la conversation, tu n' as pas encore tout découvert des possibilités de nous . . Et le Sultan, qu'en pense tu ? Je lui répond , s'était un de mes fantasme , car j'ai vu des vidéos de femmes se faire prendre, et des homos se faire enculé par un cheval ! ! La dessus, Gérard me demande ; as tu aimé, tous ce que tu as subit ? Et je lui réponds ; vous avez entendu me plaindre ? Non que frère et sœur , répondes en cœur !
Elle se met à genoux devant moi, et me palpe les couilles et la bitte, je lui dit, je vais devoir attendre une semaine, avant que tout soit en état d'éjaculer. Brigitte me dit, j'aimerais bien voir cela ; je lui demande avez vous internet et Skype , et une caméra ? Elle me répond , oui notre pseudo : BG255 ! Bon je vous contacte samedi soir après 20h on pourra faire des cochonneries par caméra interposé, je lui dit chouette, parce que je vous montrerais quelques trucs, que vous ne soupçonnez même pas je pense. Sur ce Ils m'invite a allez me doucher , car je sens l'odeur du sperme, me remonter dans les narines. Brigitte m'emmène a la douche, a l'italienne, il y a de la place pour deux, donc elle vient avec moi sous la douche, Gérard nous suit, pour voir, Brigitte et moi entrons dans la douche l'eau chaude coule sur nous cela fait du bien. Ensuite elle me savonne le corps entièrement, sans oublier les recoins ; elle en profite pour me titiller l'anus avec ses doigts, et il s'ouvre comme s'il n'en avait pas eu assez. Un doigt y passe, et les suivants rentres sans problème, avec le savon, sa main est aspiré , ma bitte relève la tête, Gérard applaudi et dis, continue frangine, tu est sur la bonne voie, elle continue son avance et commence à me masser a nouveau ma prostate ; ça y est je bande à mort, Gérard , arrive enfourne ma bitte dans sa bouche, et la valse redémarre cela va durer quand même un certain temps, mais ils y arrive quand même j' envois une salve de sperme dans la bouche de Gérard qui lâche ma bitte, et m'embrasse à pleine bouche avec mon sperme ; Là je suis complètement hs, la main de Brigitte est expulsée avec un grand flop, je me rince est sort de la douche.
Gérard prends ma place, la bitte raide, et entre dans le vagin de sa sœur lèvres grandes ouvertes, et ils remette le couvert à fond, 5 minutes, juste le temps de m'essuyer correctement, et la jouissance les entraînes dans un trémolos de sons dingue. Ils se rince, et sortes de la douche pour se sécher. Nous allons au salon pour nous rhabillé , le slip de bain pour Gérard, le slip du bikini pour Brigitte , ils me racconpagnes jusqu'à la voiture, je ne peux m'empécher de passer la main sur le slip de Gérard pour sentir sa grosse bitte, je lui roule une pelle, ensuite je caresse les seins de Brigitte en lui roulant aussi une pelle, je les remercie encore pour tout ce qu'il m'ont fait subir et découvrir ; a samedi 20 h, et je redescends chez moi. Il est 18 h 45 Je pense que Brigitte doit aussi se faire fister la moule, et le fondement, il faudra que j'en discute par Skype. Je suis fourbu, mais je n'en laisse rien paraître, mes couilles sont encore douloureuse, mais une bonne nuit de sommeil nous fera du bien.
Je me présente , le chien vient me renifler . . . Il me demande de le suivre pour me montrer ou est le tank a lait . Dans le local il y a une femme d'une quarantaine d'année environ , que l'homme me présente comme sa sœur, je regarde le tank a lait vite fait puis il m'emmêne, au local ou se trouve la chambre froide, Je ressort avec l'homme dans la cour pour prendre mon matériel ; manomètres et clefs diverses, et je retourne dans le local du tank a lait, nous faisons connaissance , je suis Brigitte et mon frère c'est Gérard, Il me faut me coucher sur le carrelage pour accéder au compresseur, et elle me dit ; attendez je vais chercher un carton comme cela vous serez plus a l'aise . Elle revient avec le carton, et le chien la suivit. J'installe le carton me couche dessus sur le côté et branche mes manomètres. Plus rien le circuit et vide, et j'ai vite fait de trouver la panne. Le tube capillaire et sectionné au niveau d'une soudure, et certainement que les vibrations y sont pour quelques choses. Je ne peux pas me relever, car le chien à mis sa truffe dans mon entrejambe. Brigitte dis au chien ; Sultan dehors ! Le chien sort de la salle, et moi je peux me relever. . . Vous m'excuserez pour le chien , mais vous savez comment il sont , il veule sentir les étrangers. . . Je sort chercher ma caisse à outils dans ma voiture, et ramène en même temps la pompe a vide, Je suis obliger de retourner au véhicule, car il me faut aussi mon poste à souder pour refaire la brasure des tubes, le chien est a nouveau à mes côtés. Je rentre dans la salle , Brigitte est en train de mouler des fromages. Je prépare les tubes, fait ma brasure à l'argent, et raccorde ma pompe à vide que je mets en marche. Je retourne au véhicule, pour chercher la balance et la bonbonne de gaz réfrigérant, le chien ma suivi, et renifle à nouveau mon entrejambe,je sens sa langue rapeuse sur ma colonne et mes couilles ca commence a bouger en desous dans mon short !! Sur ce Brigitte arrive et, Sultan se fait rappeler à l'ordre une nouvelle fois. A la niche ! Le chien la tête basse obtempère et va dans sa niche. Je sort du véhicule le short légèrement tendu , je pense que Brigitte là remarqué, je suis légèrement rouge dans le visage, mais elle ne fait aucune allusion. Je retourne auprès du tank a lait, ferme les vannes, arrête la pompe, et branche la bonbonne de gaz.
J'ouvre les vannes et met le tank a lait en marche, tout en surveillant le niveau dans le voyant. Quand le circuit est plein, je referme la vanne de la bouteille, donne un coup d' oeil au manomètre, la pression et bonne, il n'y a plus qu'à laissé tourné l'ensemble. A présent ma verge tend complètement le short au niveau de l'entrejambe, l'effet de la langue de Sultan sur mon pénis la réveillé de sa torpeur, et il faut que je me relève, pour faire la réparation de la chambre froide.
Je me met difficilement debout, et là ; Brigitte s'exclame : beau travail de Sultan, et se met à rire. Moi je suis rouge ,de confusion, n'aillez crainte me dit-elle, je sais ce que c'est une bitte raide qu'elle me dit et, là on commence à discuter ; elle me dit qu'avec son frère, ils s'occupe de l'exploitation car leurs parents sont mort dans un accident de voiture il y a quinze ans, et qu'ils ont du se débrouillé seul pour vivre. Elle m'apprend qu''il ne sont pas mariés et qu'ils vives comme un couple, en prenant bien évidemment leurs précautions. Elle me dit que son frère c'est fait stériliser, comme cela elle n' à pas besoin d'aller voir un docteur pour la pilule. Je lui demande de m'amener a la chambre froide, car Gérard ne ma pas laisser le temps de me repairé, et moi je n'ai pas trop le sens de l'orientation. Elle m' emmène jusqu'au local, j'ouvre la porte de la chambre froide, qui est plutôt chaude, et je m'aperçois que l'évaporateur est accroché au plafond et qu'il me faut un escabeau, que je n'ai pas dans mon véhicule.Brigitte me propose d'aller chercher le sien, et je retourne au tank à lait pour vérification de la réparation, tout va bien le groupe est arrêté , la cuve a +3° ; je peux tout débrancher, et rapatrier le matériel pour la chambre froide. Brigitte a déjà mis en place l'escabeau, il ne me reste qu'à brancher les manomètres, et voir. Verdict me demande t-elle ? Et bien il faut changer le détendeur. Je retourne a la voiture et revient avec. Après avoir rapatrier les gaz, je monte sur l'escabeau , avec mon érection qui n' à pas baissée 'forcément , je cogite. . .) pour démonter le détendeur, d'abord libéré le bulbe ensuite démonter les raccords, ce qui prends quelques minutes. Pendant ce laps de temps, je sens une main qui s'aventure doucement vers ma tour Eiffel, oh dis Brigitte, je comprends que Sultan soit très intéressé, vous n'avez pas de slip , me dit elle !
Je réponds ; il fait trop chaud, et vous ? Elle me répond moi aussi je ne porte pas de culotte. . . Donc, nous sommes a égalité luis dis-je,mais elle n' à toujours pas pour autant lâcher ma bitte, quelle astique lentement ! Il faut que je termine ma réparation, sinon elle va vous coûter trop chère que je lui dis ; elle me réponds on va s'arranger avec mon frère, sur ce elle me lâche la bitte, et sort de la chambre froide. Je termine ma réparation consciencieusement , remet l’installation en route et vérifie le voyant liquide, il manque un peu de gaz, donc je rectifie et fait l'appoint. La température dans la chambre descend régulièrement, je peux terminer et ranger mon matériel dans le véhicule.A ce moment là, Brigitte revient accompagné de Sultan ; elle dit au chien : cherche, cherche, aussitôt le chien vient dans mon entrejambe, et passe se langue sur mon pénis qui commençait a se calmer, Sultan stop dit-elle, le chien arrêta aussitôt et s'assit à côté de Brigitte, vous préparez votre facture et on vous attends a la cuisine, il fait plus frais ! Je cogite, tout en rédigeant ma facture ( elle à dit : on vous attends. Donc elle à parler a son frère ! Que je me dit).
Je reviens à la cuisine avec la facture, venez dans le salon me dit Gérard et asseyez vous sur le canapé.
Je fais comme dit Gérard, Brigitte revient avec l'argent a la main et, une bouteille de champagne bien frais ! Je prends l'argent et je la remercie.. Gérard revient habillé pour tout vêtement, qu'un slip de bain moulant bien sa queue, et bien remplit ! Je suis un peu interloqué, le temps que mes yeux s'habitue à la situation, Brigitte c'est éclipsée , Gérard vient s'assoir sur le canapé à ma gauche. Il débouche la bouteille de champagne et, remplis trois flûtes . Gérard me dit : alors tu ne portes pas de slip ? C'est Brigitte qui me la dit, et Sultan ta sucé ! ! (j'en convient secrètement que sa sœur lui a tout raconté ! )Brigitte vient nous rejoindre sur le canapé, elle se met a ma droite,elle et en slip de bain,, les seins a l'air son magnifiques , et un postérieur à damné un saint. Elle prends une flûte et me la donne, une autre pour Gérard, et la dernière pour elle. A nos amours , dit-elle, je réponds a nos amours ! Nous trinquons tout les trois debout, Brigitte pose sa flûte, sur la table basse, et, aussi vite que l'éclair, descend mon short, sur mes chaussures, je n'ai pas le temps de reprendre mon souffle, que je sens mon pénis qui trempe dans le champagne, aussitôt une bouche happe ma bitte qui est profondément aspirée, mes couilles son triturées, j'avais fermé les yeux et en les ouvrants ma bitte et dans la bouche de Gérard, et mes couilles dans les mains de Brigitte ! Ouah, quel accueil ! ! Brigitte lâche mes couilles,a ce moment là, elle enlève son slip de bain, Gérard, lâche ma bitte raide, en fait autant. Je vois la bitte de Gérard en érection ; putain, le morceau … cela ne m'étonne plus que Brigitte n'ait pas cherché ailleurs, il est monté comme un taureau, une Bitte de 25 cm par 5,5 , et une paire de couilles bien remplies et qui pendent bien en dessous§ Qui commence dit Gérard , je lui propose pour commencer un 69 , tout les deux ; aussitôt Brigitte dit ,ça me vas, je vais m'occuper de la rosette de Michel, comme cella je vais être excitée. Gérard se couche dans le canapé, je viens tête bêche il enfourne ma bitte, et moi, la sienne. Nous nous sommes mis d'accord, d'avaler chacun le sperme de l'autre avant de boire une nouvelle flûte de champagne. Chacun commence a déguster la bitte de l'autre, et je sens peu de temps après un liquide huileux sur ma rosette, Brigitte n' à pas perdu de temps, ses doigts commencent leur travail de sape et, peu après que Gérard me suce et me lèche avec sa langue mon gland qui devient de plus en plus sensible, Brigitte en profite pour m'enfoncer 2 doigts, elle dit a Gérard, va doucement, sa fleur commence doucement à s'ouvrir. Je sens qu'il relâche la pression, et je fais de même. Soudain je sens plusieurs doigts qui s'enfoncent plus en avant, Brigitte et en train de me préparer pour le fist … Non d'une pipe ,je pense qu'ils ont du en discuter avant les cochons, je ne serais déçu de ce dépannage ! Moi qui ne baise plus avec ma femme depuis quelle à été enceinte , cela fait 15 ans déjà que sa chambre m'est interdite. . .
Heureusement qu'il y a , la veuve poignet, et quelques compensations masculines !
Je bloque ma respiration, car je sens que Brigitte et en train de tourner dans mon anus, pour y faire rentrer sa main ! Gérard reprend de plus belle son travail sur ma bitte, et mon cul est à la fête car Brigitte dit a son frère ; je sens sa prostate et je la masse, tu vas pouvoir goûter sa liqueur ! Effectivement ma prostate, sollicitée se met à déverser des flots de foutre dans la bouche de Gérard, et que moi aussi j'avale le sien qui n 'est pas en reste, car il déverse aussi de la semence dans ma gorge !
Il me dit , ne bouge pas, Brigitte va te libérer l'anus ! En effet Brigitte extrait doucement sa main de mon anus en tournant celle-ci de gauche à droite, Tu verrais dit-elle a son frère, il a un beau trou qui n'attends que d'être rempli ! Nous nous désaccouplons, et reprenons place sur le canapé . Nous prenons nos flûtes et portons un toast a cette belle après-midi. Nous discutons de ce que nous venons de subir avec bonheur. Ils me posent plein de questions, et mes réponses fusent comme pour me libérer d'un secret enfoui au plus profond de moi même. Ils apprennes ainsi beaucoup de choses, et je me sens en sécurité pour la première fois de ma vie, Je m'épanche en leur révélant mes penchants bisexuels depuis longtemps refoulés en moi même.
De discuter, je remarque que nos verges ont repris de la raideur, ils est temps me disent-ils, de continuer a faire connaissance, car c'est bien la première fois que Brigitte et moi avons à faire , a quelqu'un de sympathique et qui s'assume ! Quel compliment pour moi, cela me va droit au cœur, j'ose espéré que nous n'en resterons pas là maintenant nous allons de faire connaître quelque chose que tu ne soupçonne peut être pas, Brigitte va s'allonger sur le tapis, et tu vas la pénétrée vaginalement, après tu la baisera lentement et il y aura une surprise ! Brigitte s'allonge, et écarte bien les jambes , son abricot et ouvert et brille de ses sécrétions, je viens au dessus, et je guide ma verge dans son antre chaud et humide, Gérard me dit vas y doucement, nous avons le temps. J' embrasse Brigitte, et nos langues s'entremêle pour notre plus grand bonheur, cela fait longtemps que je n'ai pas embrasser de cette façon, heureusement que l'on n'oublie pas le mode d'emploi. . .
Je m'employai a nous donner du plaisir, quand il est revenu , Brigitte me dit changeons de position, je ne te sens pas assez en moi, je vais me mettre a quatre pattes, et tu va me prendre en levrette, comme cela je vais sentir ta bitte sur mon utérus et je vais avoir un bel orgasme et, nous serez content tout les deux car tu m'aura bien remplie.Brigitte se met a quatre pattes et je viens m'enfoncer jusqu'au couilles dans son antre chaud et humide qui n'attendait que cela, je sens quelque chose qui me chatouille le gland, sent tu mon utérus qui te caresse ? Un instant je pense a la bitte de 25cm de Gérard, qui doit lui pénétrer son utérus, ça doit être jouissif que je me pense en moi même. Absorbé par mes pensée, je suis ramené, à la réalité par une langue rappeuse , qui me lèche copieusement l'anus qui s'ouvre sous cette caresse. Gérard me dit, attends ne bouge plus, Satan va te sodomisé comme je le ferais après lui !!Je sens le même produit couler dans mon conduit ouvert, puis deux pattes gantées qui s' appuies sur mon dos, et une bitte qui cherche mon trou, Gérard me dit ne bouge pas ; je guide Satan, et après je le laisse te travaillé, appuie juste ton gland sur l'utérus de Brigitte, elle va ressentir les assauts de Satan dans son cul ! ! Ben dis donc, Satan en a une bonne car, mon fondement est bien rempli et, sa enfle encore. . . J'espère que cela ne va pas m'éclater la rondelle, ses coups de reins deviennent de plus en plus intense, et je sens quelque chose qui gonfle dans mon ampoule rectale , qui me rempli complètement, le sperme commence a se déverser sans discontinuer , je vais être remplit comme je ne l'ai jamais été, a ce moment j'éjacule en gueulant tellement c'est fort, je n'ai encore jamais jouis comme cela ! Le chien a arrêter ses mouvements de va et vient, et cela continue de couler.
Gérard me dit restez comme vous êtes vous en avez pour un moment, car jusque Satan débande il y en a pour au moins pour un quart d'heure, car son knot et coincé dans ton ampoule rectale, ta prostate et comprimé et tu ne vas pas débander ; c'est maintenant que Brigitte va te faire rejouir, avec ses va et vient ! Effectivement au bout d'un moment, je ressens monter du sperme, et je remplis a nouveau Brigitte qui se met a éructer des mots sans suite, je sens ma bitte ramollir, j'entends un flop ; c'est Satan qui décule, et qui aussitôt est remplacé par la bitte monstrueuse de Gérard ! Du coup ma verge reprend de la vigueur , pour le plus grand bien de Brigitte.
Heureusement que cela faisait 3 jours que je ne m' étais pas branlé, car là, ils vont me vider complètement les couilles. Brigitte continue de son côté ses va et biens , pendant que de l'autre côté, la bitte de Gérard me ramone le conduit intensément, Ses coups de queues deviennent de plus en plus fort, une crispation qui vient de loin , me remonte dans les couilles, cela me fait mal, mais une troisième giclée de sperme inonde a nouveau l' utérus de Brigitte qui geint tellement c'est aussi fort pour elle, tandis que Gérard décharge tout son sperme dans mon fondement, il en ressort après avoir déchargé, je n'ai pas le temps de comprendre, qu'une main vient prendre le relais dans mon fondement rempli de sperme, cela rentre tout seul, Brigitte a libérer ma bitte, elle vient sous moi est prends ma bitte flasque en bouche, tandis que la main cherche un chemin dans mon cul qui est complètement distendu , sans me faire mal et qui remonte mes boyaux. . . Ma bitte sous la suçon de la bouche et le traitement de mes couilles reprends du volume, je suis complètement interloqué par un tel traitement, je n'aurais jamais imaginé cela dans mes turpitudes, je prends un plaisir inoui à subir un tel traitement, et je ne peux que remercier , frère et sœur de leur inventivité ! Une quatrième décharge de sperme s'annoncer dans ma bitte, elle y sera arrivée, Brigitte, cela me fait mal, je me tortille,pendant ce temps la main sort doucement de mon anus sans pour autant oublier de me masser la prostate pour faire sortir le peu de jus qui reste. Brigitte jubile, Gérard, nous l'avons fait jouir quatre fois, cela j'en suis sûr ne lui est jamais arriver ! Je m' affale par terre, sur le dos vidé de ma semence. Le sperme coule de mon cul, sur le tapis .
Brigitte me temps un verre de champagne, tandis que Gérard est allé cherché des toasts pour reprendre des force, je ne sais pas quel heure il est, mes hôtes me disent, on a encore du temps devant nous, il n'est que cinq heure et demie ! Nous nous asseyons sur le canapé , est dégustons les toasts de saumon avec une énième flûte de champagne, et au fil de la conversation, tu n' as pas encore tout découvert des possibilités de nous . . Et le Sultan, qu'en pense tu ? Je lui répond , s'était un de mes fantasme , car j'ai vu des vidéos de femmes se faire prendre, et des homos se faire enculé par un cheval ! ! La dessus, Gérard me demande ; as tu aimé, tous ce que tu as subit ? Et je lui réponds ; vous avez entendu me plaindre ? Non que frère et sœur , répondes en cœur !
Elle se met à genoux devant moi, et me palpe les couilles et la bitte, je lui dit, je vais devoir attendre une semaine, avant que tout soit en état d'éjaculer. Brigitte me dit, j'aimerais bien voir cela ; je lui demande avez vous internet et Skype , et une caméra ? Elle me répond , oui notre pseudo : BG255 ! Bon je vous contacte samedi soir après 20h on pourra faire des cochonneries par caméra interposé, je lui dit chouette, parce que je vous montrerais quelques trucs, que vous ne soupçonnez même pas je pense. Sur ce Ils m'invite a allez me doucher , car je sens l'odeur du sperme, me remonter dans les narines. Brigitte m'emmène a la douche, a l'italienne, il y a de la place pour deux, donc elle vient avec moi sous la douche, Gérard nous suit, pour voir, Brigitte et moi entrons dans la douche l'eau chaude coule sur nous cela fait du bien. Ensuite elle me savonne le corps entièrement, sans oublier les recoins ; elle en profite pour me titiller l'anus avec ses doigts, et il s'ouvre comme s'il n'en avait pas eu assez. Un doigt y passe, et les suivants rentres sans problème, avec le savon, sa main est aspiré , ma bitte relève la tête, Gérard applaudi et dis, continue frangine, tu est sur la bonne voie, elle continue son avance et commence à me masser a nouveau ma prostate ; ça y est je bande à mort, Gérard , arrive enfourne ma bitte dans sa bouche, et la valse redémarre cela va durer quand même un certain temps, mais ils y arrive quand même j' envois une salve de sperme dans la bouche de Gérard qui lâche ma bitte, et m'embrasse à pleine bouche avec mon sperme ; Là je suis complètement hs, la main de Brigitte est expulsée avec un grand flop, je me rince est sort de la douche.
Gérard prends ma place, la bitte raide, et entre dans le vagin de sa sœur lèvres grandes ouvertes, et ils remette le couvert à fond, 5 minutes, juste le temps de m'essuyer correctement, et la jouissance les entraînes dans un trémolos de sons dingue. Ils se rince, et sortes de la douche pour se sécher. Nous allons au salon pour nous rhabillé , le slip de bain pour Gérard, le slip du bikini pour Brigitte , ils me racconpagnes jusqu'à la voiture, je ne peux m'empécher de passer la main sur le slip de Gérard pour sentir sa grosse bitte, je lui roule une pelle, ensuite je caresse les seins de Brigitte en lui roulant aussi une pelle, je les remercie encore pour tout ce qu'il m'ont fait subir et découvrir ; a samedi 20 h, et je redescends chez moi. Il est 18 h 45 Je pense que Brigitte doit aussi se faire fister la moule, et le fondement, il faudra que j'en discute par Skype. Je suis fourbu, mais je n'en laisse rien paraître, mes couilles sont encore douloureuse, mais une bonne nuit de sommeil nous fera du bien.
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