Crise de jalouisie de Valeriane 1

Histoire réelle.



Valériane vit depuis de nombreuses années avec Isabelle. Les deux femmes s'aiment profondément malgré la différence d'âge. Mais, il a un hic. Valériane est explosive, surtout très jalouse, Isabelle est l'opposée, elle est très calme, douce, jamais un mot plus haut que l'autre, lorsque le ton monte, elle tente d'arrondir les angles.

Un sortant de son travail, Valériane décide de se rendre au restaurant ou isabelle travaille pour prendre un verre avec elle. Sur le parking du restaurant, Isabelle et devant sa voiture, elle discute avec un homme qui lui tient la main, les deux rient aux éclats. Le sang de Valériane ne fait qu'un tour, elle descend de sa voiture et avance à grands pas vers le couple joyeux. Elle rugit, l'homme surpris lâche la main d'Isabelle. Isabelle tente de calmer la furieuse, mais en vint, dans l'état d'excitation qu'est Valériane, rien n'y fait. L'homme s'éclipse discrètement. Valériane, honteuse du comportement de Valériane, monte dans sa voiture et démarre. Elle est suivie de furieuse. Une fois dans la maison, Valériane ne décolère pas, malgré les tentatives infructueuses d'Isabelle, Valériane ne se calme pas.


Isabelle prend une décision qui lui coute cher, elle dit les yeux pleins de larmes :


-Je ne supporte plus ses crises de jalousies injustifiées, je te demande de partir de la maison !


Valériane, en marmonnant, prend quelques affaires, et avec sa valise sort de la demeure. Isabelle s'affale sur le canapé en sanglotant. Elle a du mal à reprendre le dessus, mais pour donner le change au travail, elle est souriante comme d'habitude. À chaque sortie de son travaille, Valériane passe devant la maison d'Isabelle dans l'espoir de la voir. Mais comme plus rien ne l'attend à la maison, Isabelle quitte de plus en plus tard. Il se passe une semaine sans que les deux femmes se rencontrent. Un soir très tard. Isabelle trouve assise sur le pas-de-porte Valériane. Son cœur se met à battre rapidement, ses yeux brillent. La température est fraiche, Valériane grelotte. Les deux femmes croisent leur regard. Isabelle fait mine de l'ignorer. Elle prend sa clé et ouvre la porte, elle regarde Valériane et lui dit :

-Entre tu vas prendre froid !

Valériane, ne se fait pas prier, elle emboite le pas de son amour, et entre. Une fois à l'intérieur, elle se jette dans las bras d'Isabelle en répétant sans cesse :

-Mais qu'est-ce que je peux être conne, mais conne alors !


Elle ajoute :

-Mais pourquoi tu ne gifles pas lorsque je déconne ?


Isabelle la regarde et répond :

-Mais je ne ferai que ça alors !


Valériane éclate de rire et lui dit :

-j'ai passé une semaine de merde, mais comment que j'ai pu rester une seule journée sans toi mon amour !


Elle enserre fortement Isabelle, et lui donne un millier de baisers sur tout le visage, Isabelle avoue :

-Toi aussi, tu m'as manqué, mais je crois que tu prends plaisir à me faire souffrir !


Valériane répond en se frottant contre son amour :

-Je te demande pardon ma chérie, je ne recommencerai plus !


Isabelle sourit, et réplique :

-Ce sont les paroles d'un alcoolique qui promet d'arrêter de boire, mais qui ne le fait jamais !

Valériane hausse les épaules et cherche les lèvres d'Isabelle, les deux échangent un baiser langoureux, les respirations s'accélèrent, les souffles deviennent courts. Enfin le baiser cesse, les deux amoureuses se regardent, leurs yeux pétillent de bonheur. Valériane prend la main de son amour et l'entraine vers le canapé. Elle la bascule et s'agenouille devant elle, elle passe ses mains sous la jupe et saisit la culotte. Isabelle la stoppe et lui dit :

-Laisse-moi prendre ma douche mon amour, j'ai transpiré toute la journée, je suis sale !


Valériane descend la culotte en disant :

-Cela n'a aucune importance, j'ai trop envie de toi, je vais te dévorer, rattraper le temps perdu !



Isabelle opine de la tête négativement en soupirant fortement. Une fois la culotte sur les sol, Valériane lui retrousse la jupe. En la regardant droit dans les yeux, elle lui ouvre doucement les cuisses. Isabelle ferme les yeux, elle sait que Valériane arrive toujours à ses fins. Elle avance sa tête vers le temple, hume fortement l'effluve que la vulve délaissée depuis une semaine dégage. Avec douceur, Valériane pose sa bouche sur la fente, donne de nombreux coups de langues. Isabelle se cambre légèrement en poussant un soupir qui en dit long. La langue agile s'insère dans le sillon des grandes lèvres, voyage de bas en haut en cherchant la perle précieuse. Elle tourne autour, l'agace en la titillant. Les grognements que tente d'étouffer Isabelle, en se mordant le poignet, sont rauques. Elle agite doucement son bassin, en soufflant comme un dragon. Elle gémit plus fortement, lorsque la langue de Valériane s'enfonce profondément dans son vagin en ébullition.


Valériane, s'acharne, sa langue fouille, chaque rejoint, voyage en faisant des aller et retour du conduit brulant au clitoris gonflé. Isabelle s'agite de plus en plus rapidement, elle appuie sur la tête de la dévoreuse de chatte, qui accélère le va-et-vient. C'en est trop pour Isabelle qui explose en s'agrippant à son amante. Valériane, avant de se redresser, aspire le jus que la vulve rejette. Enfin, elle se relève, regarde en souriant son amour haletant sur le canapé. Elle lui ouvre le corsage, dégage du soutien-gorge, les petits seins que la coquine connait très bien, elle saisit les mamelons larges et épais qui trône aux centres des aréoles grenelées. Elle les roules entres ses longs doigts fins, les étire le plus possible pour faire geindre Isabelle, qui semble ne pas refuser ce genre d'attouchement, au contraire. Elle raffole d'un mélange de douceur et de douleur bien dosé.


Elle petrit consciencieusement les petits lobes bien fermes, enfonce ses longs doigts dans la chair souple pour faire couiner l'amour de sa vie. Elle gobe un à un les petits mats de chair et les tète avec une voracité inouïe, Isabelle geint comme une bête blessée. Elle se cabre, lorsque les dents de son amour lui mordillent les mamelons. Pendant qu'elle lui dévore les tétons, elle passe une main sur le temple en feu, saisit la boule magique et la branle de plus en plus vite. Le traitement qu'elle inflige à Isabelle porte ses fruits. Elle se raidit en se cambrant comme un pont et jouit terriblement. Valériane se redresse, elle est souriante. Elle commence à se dévêtir et dit :


-À ton tour, mon amour, de te servir de mon corps comme bon te semble !