Des voisins ordinaires 1

Lucie est une femme délaissée, son mari, René, gère une petite entreprise qui lui demande beaucoup de temps. Il mange sur le tas, rentre si tard, que femme dort depuis un bon moment. Tous les jours, c'est le même rituel. Lucie, pour compenser ce manque de relations sexuelles, s'adonne à quelques attouchements digitaux, pour se faire jouir. Cette femme de cinquante-cinq ans, très bien conservée, se lie d'amitié avec ses voisins
Frédéric et Marge. Souvent pendant les longues absences de rené, elle invite ses voisins prendre un verre, ou elle est invitée chez eux. Au fil des jours, les trois deviennent très amis, ils ne se cache rien. Pendant les petites collations, fréquemment, ils parlent de sexe. Lucie avoue à ses amis que René, très pris pas son travail, la délaisse.

Marge en souriant répond :

-Moi ma chérie, lorsque Frédéric à des moments de faiblesses, j'utilise mes amants !

Lucie sursaute et demande :

-Tu as des amants ?

Marge éclate de rire et réplique :


-Oui, je vais te les montrer !

Marge s'absente un moment et revient peut de temps après avec plusieurs godes et vibros, elle dit :


-les voila mes chéris, si tu veux, tu peux les utiliser, mais rien ne vaut une bonne bite de mec !


Lucie soupire en levant les yeux au ciel, elle sait que son amie dit vraie. Régulièrement les discutions reviennent sur le sexe, les deux chauffent Lucie, ils profitent de la situation, et cela, met mal à l'aise Lucie qui rougit. Les trois sont confortablement installés sur le canapé, Frédéric et Marge, s'embrassent, s'enlacent, se caressent devant Lucie qui ravale sa salive. Lorsqu'elle voit la main de Marge caresser sans honte à travers le pantalon la verge se son mari, elle sursaute, ses yeux ne quittent plus la main qui voyage sans discontinuer sur la braguette.
Rapidement, la verge emprisonnée dans le carcan de tissu prend du volume. Lucie frémit, Frédéric cambre son bassin, pour que Lucie, voit bien la bosse. Marge et Frédéric, sourient à pleines dents en regardant Lucie. Les deux exhibitionnistes s'enhardissent. Marge enserre la verge entre ses doigts et doucement la branle à travers le tissu.
Lucie ne tient plus sur sa chaise, ses yeux jettent des éclairs, elle serre les poings. Frédéric regarde Lucie en ronronnant de bonheur. Malgré la gêne causée par le pantalon, Marge s'évertue à branler son mari, sous les yeux hagards de Lucie qui serre les dents. Frédéric, pose sa main sur la cuisse de Lucie qui se tend comme un arc. Le bougre presse plusieurs fois la cuisse fébrile, avant de glisser lentement sa main sous la jupe. Marge accélère le branlage, elle sourit en voyant la main de son mari progresser sous la jupe de Lucie.



Lucie semble hypnotisée, elle ne repousse pas la main baladeuse qui caresse sa cuisse, et vient buter contre son aine. Elle est chaude comme de la braise, elle entrouve même les cuisses pour faciliter l'accès vers son jardin d'amour. Le bout des doigts passe de nombreuses fois sur la fente protégée que par la culotte qui s'humidifie de plus en plus. Lucie rejette sa tête en arrière, elle respire bruyamment, ses yeux se troublent. Marge cesse de branler son mari, et extirpe du pantalon la verge tendue, elle la décalotte et gobe le gland avec ses lèvres charnues. Elle fait à son mari, une fellation dont, seule, elle en a le secret. Frédéric agite son bassin en grognant, la bouche de sa femme fait des merveilles sur son mandrin raide comme du bois. Les succions bruyantes sur la verge rendent Lucie encore plus fébrile, elle ne perd pas une image de la fellation magistrale, que s'évertue à faire Marge. Enfin la suceuse recrache le gland. Elle saisit la main de Lucie et la place sur le membre tendu. Lucie, comme un automate, enserre la verge avec ses doigts. Elle sent battre dans les veines monstrueuses le sang, puis, machinalement, commence par agiter doucement l'engin plein de vie. Marge, lui murmure à l'oreille :

-Oui ma chérie, fais-toi plaisir, rattrape le temps perdu !


Frédéric retire sa main de sous la jupe de Lucie, et se met à ronronner comme une chatte en fermant les yeux. Marge se place face à son amie, glisse ses mains sous sa jupe et s'agrippe à la culotte. Avec art, elle la fait descendre jusqu'au sol. Lucie réalise enfin ce qu'il lui arrive, elle branle avec plus de conviction la verge de Frédéric qui couine comme un animal. Il donne des coups de reins en permanence. Soudain, il se s'arque-boute, et envoie en grognant comme un fauve, plusieurs décharges de spermes. Les doigts de Lucie sont englués par le liquide visqueux qu'a propulsée la verge.
Elle cesse de branler, mais ne lâche pas l'engin, au contraire, elle le sert très fort comme pour punir Frédéric de l'éjaculation féroce qu'il a eu. Enfin, elle delaisse la verge enduite de sperme, La regarde un long moment. Marge, lui dit en souriant :

-Si le cœur t'en dit ma chérie, suce-la !

Lucie, déglutie bruyamment et saisit maladroitement le membre d'une main, elle se penche pour lécher le gland gluant qu'elle a pris soin de décalotter. Sa langue tourne sur le cèpe marbré, titille le frein, puis monte et descend sur la hampe pour en récupérer le jus. Sans rechigner, Lucie avale le nectar que très rarement son mari lui offre. Marge a retiré sa culotte, retrousse sa jupe et enjambe son mari. Elle s'empale brusquement sur la queue bien raide, et commence à agiter son corps comme une forcenée. La coquine fait de son corps un ascenseur infatigable, à la recherche du plaisir. Ses mains sont posées sur les épaules de son mari qui rugit sous les assauts de sa femme. Lucie est en feu, elle retrousse sa jupe et écarte ses cuisses. Elle se frotte énergiquement en couinant le clito qui est devenu méconnaissable. La coquine sait se servir de ses doigts pour faire monter la pression dans son corps. Les deux femmes jouissent presque en même temps. Dans la pièce, ce n'est que gémissement et râles. Le cœur de Lucie bat à se rompre, elle regarde Marge accouplée à son mari. Les regards se croisent, Marge lui dit en souriant :

-Prends ma place ma chérie, il n'a pas encore déchargé mon bonhomme, profite de sa queue !

Marge cède volontiers sa monture à son amie, Lucie regarde la queue tendue de Frédéric, elle n'hesite pas, la tentation est bien trop forte, le manque de sexe aussi. Elle s'empale en poussant un long râle sur la queue de son amant. Elle le chevauche comme une damnée sans faiblir. Les gémissements des deux amants sont très bruyants, Frédéric s'accroche aux hanches de Lucie et à chaque descente du corps de son amante, donne un grand coup de reins. Le coup est si puissant que Lucie pousse un cri en agrippant à son étalon. Marge est étonnée par la fougue de son amie, elle l'envie presque. Soudainement, Lucie pousse un râle, elle se plaque contre Frédéric en jouissant comme une malade. Frédéric se déchaîne, il redouble ses assauts, se cabre et envoie tout se qu'il a dans les couilles dans le ventre de Lucie qui halète comme une bête malade. Marge est heureuse de voir son amie jouir, sous les coups de reins de son mari.

Elle sait maintenant que le duo, devenu un trio, n'est qu'au début son délire. Les trois se sourient sans se dire un mot. Frédéric dit :

-Il faut en faire plus mes chéries, désormais la glace est rompue, délirons comme des malades sans tabous !