Des voisins ordinaires 2

Marge enlace Lucie et lui dit :

- Oh ma chérie, comme cela se voit que tu manques de bites, mais ne t'inquiètes pas, Frédéric et moi nous allons y remédier, tu vas être gavée de sexe !

Elle fait tomber, un à un, les vêtements de son amie, lui soupèse les seins qui semblent lourds, pose sa bouche sur un mamelon en l'aspirant fortement. Lucie se cabre en grinçant les dents, la succion est terrible. Rapidement, la suceuse experte change de mamelon et lui fait subir tous les outrages. Les bouts, malmenés, deviennent énormes. Lucie gémit sous l'assaut buccal de son amante, elle serre les dents en se cambrant comme un pont en pleine tempête. Frédéric profite de ce moment de repos pour retirer ses fripes, sa queue est toujours opérationnelle, il la caresse en regardant les deux femmes, se faire des gâteries. Marge repousse Lucie, retire ses vêtements, puis se rue sur son amie, avec souplesse, elle la basculant sur le sol.

La bouche avide de Marge parcourt le corps fébrile de Lucie, qui geint de plus en plus fortement. Ses lèvres enserrent à tour de rôle les mamelons et les sucent comme des bonbons. C'est un délire pour Lucie, elle s'accroche à son amante en couinant comme un animal blessé. Ses râles deviennent plus rauques, lorsque les lèvres brulantes glissent sur son ventre en s'approchant dangereusement de son antre en feu.



La langue habile glisse sur sa peau laiteuse en n'omettant aucun recoin, Lucie agite frénétiquement son bassin, en geignant de plaisir. Soudain, elle se cabre en poussant un long râle, la bouche vorace de Marge vient de se poser sur son clitoris déjà hyper gonflé, et le suce avidement en grognant. Pour Lucie, c'est le summum du bonheur, c'est la première fois qu'une femme lui fait l'amour. Son corps est secoué de frissons que Lucie ne peut contrôler. Frédéric regarde sans dire un mot, il bave de désir en voyant la bouche de sa femme dévorer la boule de chair, qui enfle encore et encore. Il approche du duo et s'agenouille près de la tête de Lucie, il lui frotte contre les lèvres son gland aussi gros qu'un cèpe gascon. Excitée comme jamais, Lucie ouvre la bouche et gobe l'engin gorgé de sang. D'une main, elle enserre la verge, de l'autre, elle presse fortement les couilles de Frédéric qui rugit comme un fauve en cage. Elle se régale avec bonheur de la verge, qui lui manque tant dans son couple. Sa bouche fait des merveilles, Frédéric pousse des râles comme un animal sur sa proie.


Marge s'adonne à une succion monstrueuse du clitoris, Lucie de temps en temps doit lâcher la verge de Frédéric pour pouvoir gémir à sans retenues. La langue de son amante délaisse la boule d'amour, et plonge dans le puits intarissable. Lucie donne des coups de reins, elle recrache le gland et s'accroche à la chevelure de son amante en lui plaquant la tête contre sa chatte en ébullition. Les râles de Lucie sont monstrueux. Soudain, elle se tend comme un arc, retient sa respiration et jouit comme une malade en hurlant de plaisir. Marge veut sa part aussi, elle fait un tête-à-queue et offre à la jouisseuse sa chatte dégoulinante de cyprine. Les deux femmes se gouinent comme des affamées, les langues s'enfoncent dans les vagins en feux à la recherchent du plaisir total.

Dans le feu de l'action, les deux femmes roulent l'une sur l'autre. Frédéric admire la croupe de Lucie, il passe sa main sur le fessier, passe ses doigts dans le large sillon qui sépare les lobes fessiers, taquine du bout des doigts l'œillet brun ridé. Il crache sur la rosette, l'agace avec sa langue. Le muscle rectal frémit sous les coups de langue. De temps en temps, Lucie relève la tête pour geindre fortement. Frédéric place son mandrin tendu contre la chatte que sa femme ne cesse de brouter, il donne un coup de reins, sa bite s'enfonce jusqu'aux couilles dans le conduit inondé de jus. Lucie pousse un long râle, elle se cambre davantage pour offrir à son amant son corps brulant. pendant que le bougre défonce Lucie, Marge donne au passage des coups de langue sur la verge puissante de son mari, qui entre et ressort du puits d'amour à un rythme soutenu. Lucie défaille, elle fond de bonheur, la bite qui lui fore les entrailles la fait couiner comme une bête.


L'excitation et totale, Lucie se remet à dévorer la chatte de Marge, qui couine à son tour de bonheur. Marge se tend, elle s'arque-boute et jouit en hurlant son plaisir. La coquine remplit la bouche de son amie avec son jus abondant. Frédéric accélère, Lucie n'est qu'un jouet entre ses bras, il la défonce comme un forcené. Lucie se cabre et explose de jouissance. Son amant ne désarme pas, il donne de violents coups de reins comme pour traverser le corps de Lucie. Enfin, il se bloque et envoie un flot de sperme dans le ventre de Lucie qui jouit une seconde fois sous la décharge monstrueuse de son amant. Enfin, le trio se désaccouple pour reprendre des forces. Après une petite collation, Marge regarde son amie Lucie en souriant et lui :


-Maintenant ma chérie, tu vas connaitre la spécialisée de mon mari, moi personnellement, j'en raffole !

Lucie, un peu inquiète, demande :

-Quelle est la spécialisée de Frédéric ?

-Ma chérie, il encule à merveille, si tu ne connais pas cette pratique, je te la conseille !

Lucie écarquille les yeux et réplique :

-Mais cela doit faire rudement mal un engin comme le sien dans le cul !

Marge répond en souriant de plus belle :

-Oh que non, je vais bien te préparer avant ma chérie, Frédéric sait être doux quand il le faut !