Elle retrouve son amour de jeunesse 3

Son gland laisse encore échapper quelques gouttes du précieux nectar. Il place son gland gluant contre les grandes lèvres fortement gonflées, et il l'aide à s'étendre sur le l'herbe, automatiquement, elle ouvre les jambes. pousse en s'accrochant aux hanches de Myriam. Joël, en regardant la vulve trempée, prend place entre les branches du compas
Excité comme elle est, l'engin, plein de vie, s'enfonce aisément, dans le conduit naturellement lubrifié par l'abondante cyprine qu'il sécrète.
La pénétration bien que non brutale fait grimacer Myriam. Elle s'agrippe à son amant, et commence à geindre de plaisir sous le doux va-et-vient, qui prend peu à peu de la vitesse.



Les gémissements et les souffles de Myriam sont très bruyants, elle grogne :

-Oui, oui, mon amour, oh comme c'est bon, encore, encore !

La bite vigoureuse qui voyage dans la gaine détrempée, fait marmonner la femme amoureuse.

-Mon chéri, je t'aime, je t'aime, oui, oui, vas bien profond mon chéri, fais-moi mal !



Joël accélère le rythme, ses coups de bélier deviennent plus puissants, à chaque coup de reins, Myriam pour un cri, le gland appuie fortement sur le col de son utérus comme pour le forcer. C'est le plaisir total, elle agite son bassin en soufflant comme un bœuf. La pénétration, menée de mains de maitre, arrive au résultat escompté. Myriam pousse un long râle rauque et explose de jouissance.
Son corps se met à trembler, il est parcouru de nombreux frissons que Myriam ne peut contrôler. Joël maintenant cherche son propre plaisir. Il donne de coups de boutoir féroces comme pour traverser le corps de son amante.


C'est en serrant les dents, qu'il se bloque, en remplissant le ventre de Myriam avec son sperme épais. Les deux amants, halètent en cœur. Joël s'écroule sur le corps de son amant, les deux sont en sueur. Soudain, une voix se fait entendre derrière eux. C'est Isabelle et Georges qui apparaissent en titubant. Isabelle, en regardant les deux amants, dit :

-Eh bien, on ne se fait pas chier ici, regarde Georges comme non mari baise ta femme, alors pourquoi se gêner, Cocu entre cocu, on doit bien s'entendre non !

Myriam repousse son amant, se redresse et avec pudeur tente de cacher son intimité. Isabelle qui a du mal à mettre un mot devant l'autre, dit :


-Pourquoi que tu te caches, tu as honte de ton corps, moi, je le trouve magnifique, hein Georges que ta femme est bandante !



Le bougre ne peut que de hocher la tête pour confirmer. Isabelle s'approche de Myriam, elle s'accroupit à côté d'elle, et sans une once de gêne, lui saisit les seins et les pétrit en enfonçant ses doigts profondément dans la chair. Myriam grimace, mais étrangement, ne repousse pas Isabelle. Pour Isabelle, cela veut dire qu'elle a le champ libre. Elle regarde Georges et lui dit en arborant un large sourire :

-Je vais faire l'amour à ta femme, elle l'a fait avec mon mari, elle me doit bien ça la défourneuse de mari !


Joël s'écarte du duo, sa queue est toujours opérationnelle, il dit en regarde isabelle :

-Tu ne préférerais pas le faire avec moi ?



Isabelle fronce les sourcils et répond :

-Alors toi, comme faux cul, on ne fait pas mieux, tu me trompes ouvertement avec Myriam, et tu ne veux pas que moi aussi, je profite du corps de ta maitresse, mais c'est tout un monde ça !


Joël pour se défendre évoque :

-Oui, mais toi avec Georges, tu ne te gênais pas tout à l'heure !


Isabelle hausse les épaules et dit :

-Oui, mais nous n'avions pas baisé, NOUS !


Joël, déstabilisé, n'a plus d'arguments pour répondre. Prise en flagrant délit d'adultère, Myriam n'ose pas dire un mot, coupable, elle est prête à tout accepter pour remettre les pendules à l'heure. Georges regarde sa femme qu'Isabelle ne cesse de peloter, il est tellement alcoolisé, que tout ce que dit Isabelle est évangile. Il reconnait qu'Isabelle et lui en des comptes à recevoir des deux infidèles. Il encourage même Isabelle :

Vas-y déglingue cette pute Isabelle, venge-nous !



Isabelle retire ses vêtements, c'est nue qu'elle bascule Myriam, elle se couche sur elle et ondule comme un serpent entre ses cuisses. Les deux vulves se frottent l'une contre l'autre, sans se ménager. Le surplus de sperme s'échappe de la chatte de Myriam et englue les poils de la vulve en ébullition d'Isabelle. Les lèvres vaginales fortement gonflées se frottent effrontément. Les deux hommes, surpris par la détermination des deux femmes, restent sans réagir. La bouche avide d'Isabelle se pose sur les mamelons de Myriam, et les suce voracement. Myriam est sous l'emprise de son amante, elle geint sous les fortes succions. Ses bouts deviennent douloureux, elle grince des dents en se cabrant sous les assauts répétés de son amante. Les deux voyeurs bandent comme des mulets. Ils marmonnent des mots inaudibles en ne quittant pas des yeux les deux amantes.




Isabelle se place à quatre pattes entre les cuisses de Myriam, et commence un broutage de chatte féroce. La croupe qui s'agite met Georges dans un état second. Il se caresse la verge en ne quittant pas des yeux le fessier charnu qui s'agite devant lui. Il s'approche, et sans aucune préparation, il enfonce sa queue raide comme du bois dans le ventre d'Isabelle qui pousse un râle en délaissant sa proie :

-Oui, oui, baise-moi bien à fond Georges, oh putain comme ta queue et grosse mon cochon !

Isabelle reprend en bouche le clito de Myriam et lui fait subir les pires outrages, très sollicité la boule de chair devient méconnaissable. Myriam gémit de plaisir. Georges pilonne allégrement Isabelle, qui entre chaque coup de reins pousse un gémissement approbateur. Joël regarde le trio, s'ébattre, sa queue est tendue au maximum. Il s'agenouille près du visage de son amour et lui offre son gland à téter. Myriam ne se fait pas prier, sa bouche dévore le gland violacé sans discontinuer. Les quatre protagonistes geignent comme des bêtes en ruts.