L'étalon d'Edmonde

Edmonde embauche un homme qui, en plus de son travail, doit d'être super membré, et doit se plier à toutes ses exigences sexuelles. Pierre accepte, car le salaire est très attrayant, et selon ses performances une bonne rallonge est prévue. Pierre se dit, pourquoi pas joindre l'utile à l'agréable. À peine le contrat signé, Edmonde présente son nouvel employé à son mari Richard. Le vieux monsieur le regarde sous toutes les coutures, le fait tourner sur lui-même et lui dit :

- Déshabillez vous, faites voir vos attributs !

Pierre s'exécute, baisse son pantalon et son slip. Richard regarde avec attention la verge de Pierre qui même au repos est impressionnante, elle lui arrive à mi-cuisses, le vieil homme lui demande :

-Est-elle opérationnelle à tous moments !

Pierre surprit par cette demande répond :

-Ben oui !

-Faites voir ! répond Richard.

Pierre sans complexe commence à se masturber. Rapidement sa bite prend des proportions qui ferai pâlir un cheval. Richard s'approche, saisit l'engin raide comme un bout de bois, soupèse les couilles, décalotte le gland. Le vieux est émerveillé, il dit en regardant sa femme :

-Edmonde, là, vous avez trouvé un beau spécimen, regardez, son gland est aussi gros que poing d'enfant, et regardez la longueur, au moins trente centimètres, impressionnant non !

Edmonde sourit à son mari est dit :

-Oui, j'ai fait un bon choix, il à là de quoi satisfaire toutes nos volontés, nos amis vont être estomaqués !
Bon, habillez-vous, ne restez pas planté là, rejoignez Lucas, mon major d'homme qui se trouve derrière la porte, il vous montrera vos quartiers, la douche et après, rejoignez-moi dans ma chambre, entièrement nu !

Pierre sait que le travail sera dur, mais pour ses extra, il touchera une prime conséquente. D'ailleurs le travail ne court pas les rues. Edmonde rejoint sa chambre. Elle enfile une longue chemise en dentelle qui lui arrive aux chevilles, elle a pour particularité d'être très transparente. Elle attend étendue sur son lit. Luca frappe à la porte et introduit dans la chambre Pierre. Il est nu comme un ver, il regarde Edmonde, voit à travers le fin tissu une grosse touffe de poils noir au niveau du pubis, sur le torse, des seins lourds, avec des mamelons monstrueux qui appuient sur le tissu comme pour le percer. Edmonde lui dit :

-Approchez mon ami et fait sur moi tous les outrages que vous feriez à une grosse salope, surtout ne vous retenez pas, je veux savoir ce que vous valez sexuellement !

Pierre demande :

-Comme je le ferai réellement ?

Edmonde répond avec arrogance

-Ben oui, vous ne comprenez pas qu'on en vous parle mon ami !

Pierre s'avance bien de déterminé, il saisit la longue chemise et la déchire brutalement, Edmonde, surprise, à un geste de recul, mais c'est elle qui demandée d'être traitée comme une grosse salope. Les seins qui lourds pendent lamentablement sont munis de mamelons terribles, très larges et épais, ils ressembles à de petites bites dressées au centre des taches brunes fortement grenelées. Sa chatte vu dans l'état qu'elle est a dû subir des pénétrations phénoménales. Les grandes lèvres très charnues pendent affreusement. Pierre pousse violemment Edmonde sur le lit, et lui ordonne :

-Branle-moi sale truie !

Edmonde écarquille les yeux, jamais, on ne lui a parlé de la sorte, mais elle à fond pervers, les insultes l'excitent. Pierre réitère sa demande :

-Alors vieille salope, il te faut un bon de transport, aller branle-moi, je ne te le répèterais pas, ou alors c'est la fessée !

Les yeux d'Edmonde brillent, elle ravale sa salive, elle se dit qu'elle est tombée sur un type exceptionnel qui va bien la mater sexuellement. Comme elle ne bouge pas. Pierre la retourne sur le ventre, et lui frappe copieusement les fesses. Edmonde s'agite, se tortille en grognant. Rapidement, les fesses deviennent écarlates. Pierre pense que sa patronne a suffisamment dérouillée. II lui caresse les fesses pour apaisait le feu intense et cuisant qui fait gémir Edmonde de douleur. Ses doigts glissent dans la raie et tâtent l'anus. Le bougre est boursouflé, il a dû en connaitre des sodomies profondes pour être arrangé comme cela. Pierre le titille, appuie dessus, l'agace un long moment avant de le forcer. Le visiteur s'enfonce avec aisance dans le conduit anal. Edmonde pousse un petit grognement de satisfaction. Pierre sourit, et entreprend un ramonage avec de plus en plus de brutalité du rectum. Le bougre y arrive à y faire entrer quatre doigts dans la gaine qui se distend fortement. Edmonde se cabre et s'agite comme un cabri, Pierre sait que la vieille femme adore ce genre de traitement.

Le ramonage est si intense qu'Edmonde jouit de cul deux fois consécutivement. La queue de Pierre se tend de plus en plus. Il retourne brusquement sans ménagement sa proie, lui ouvre les cuisses et attrape le clito saillant grosse comme une noix. Pierre le presse comme pour en connaitre la texture. Edmonde se cabre sous la forte pression. Ses yeux deviennent de plus en plus luisants, elle à la bouche ouverte et, halète fortement. Pierre sait que c'est le moment, il branle comme un sauvage la perle magique qui double de volume. Le clito devient méconnaissable. Edmonde se cabre, pousse un hurlement et explose de jouissance. Pierre profite que sa maitresse soit cambrée, pour lui planter trois doigts dans le cul et le ramoner jusqu'à ce qu'Edmonde jouisse à nouveau du cul. Edmonde défaille, son amant semble être un expert. Il prend place entre ses cuisses et lui enfonce sa bite d'un seul coup dans le ventre. Le long membre bute violemment contre le col de l'utérus en tentant de forer. Edmonde rugit de plaisir, Pierre entreprend un pilonnage monstrueux, à chaque enfoncement de son baobab dans le ventre d'Edmonde, celle-ci se cabre en poussant des râles terribles, son utérus malmené s'ouvre et se referme constamment sous les poussées phénoménales de Pierre. Edmonde jouit encore, elle croit mourir tellement c'est intense.

Pierre et au bord de l'éjaculation, il grogne en serrant les dents, se raidit et remplit le ventre de la vieille avec un flot de sperme épais. Edmonde est hors sol, elle plane de bonheur, brusquement Pierre le retourne sur le ventre et sans crier gare, lui enfonce sa grosse bite dans le cul jusqu'aux couilles. Edmond hurle, elle s'agite comme une forcenée. Elle affectionne la sodomie, Pierre l'avait remarqué, donc le coquin ne la ménage pas. Il lui boure le cul comme un sauvage, les cris d'Edmonde l'excitent, la vieille agite sa croupe comme une possédée du démon. Ses grognements de femme insatiable donne encore plus de force à son amant. Il lui defonce le cul comme un soudard, ressort son engin monstrueux pour le replanter profondément dans le cul d'Edmonde qui couine de bonheur. Sa jouissance est monstrueuse, elle appelle :

Richard, Richard, c'est fabuleux, le cochon me démonte comme une grosse pute, oh mon Dieu ce qu'il est bon !

Richard qui regarde la défonce de sa femme à un écran, n'a rien loupé, car la chambre est truffée de cameras. Il entre, le vieux bande comme un cerf tout en avançant, le bougre se branle en regardant Pierre démonter sa femme. Soudainement, il retire son pantalon et son slip. Et crie :

-À moi, à moi maintenant !

Il plaque son torse sur le lit, ses pieds sont en appuies sur le plancher. Edmonde qui récupère difficilement de sa défonce mémorable dit en regardant Pierre :

-Allez mon ami, défoncez lui le cul, il est friand de bonnes queues !

Pierre place son engin encore gland de semence et le place sur la rondelle du vieux, et pousse. L'anus semble se déchirer tellement Pierre est membré. Richard hurle :

-Vas à fond, à fond !

Pierre exécute les ordres, il donne un coup de reins prodigieux et enfonce son, défonce cul jusqu'aux couilles dans les entrailles du vieil homme qui se cabre en grimaçant. L'enculage est violent, Richard couine à chaque enfoncement du pal dans son rectum. Le pilonnage intense le fait jouit affreusement. Pierre en peut plus se retenir, il remplit de son sperme brulant le cul du jouisseur.

Une fois repus et gavés de sperme, Richard et sa femme félicite Pierre et lui promet des jours prochains merveilleux avec ses amis, Mais il faudra qu'il soit à la hauteur du défit.