L'étalon d'Edmonde2

La semaine se passe normalement, Pierre se fait à son nouveau travail. Régulièrement, il doit honorer ses partons. Edmonde raffole des assauts de Pierre, elle est un peu jalouse lorsqu'il sodomise son mari.
C'est samedi. Edmonde a invité comme souvent ses amis pour des défonces mémorables, auxquelles elle les a accoutumés. Quatre couples d'amis arrivent, prennent place autour de la table. Le déjeuner commence, Pierre en tenue de pingouin sert les plats avec deux autres serviteurs. L'alcool coule à flot, les esprits s'échauffent et comme à chaque fois, cela dérape. Une femme retroussée jusqu'à la taille, se fait prendre sauvagement sur le bord de la table, une autre chevauche son partenaire, en gémissant. Deux femmes robes retroussées, en fait une place sur la table en poussant les assiettes, elles se broutent mutuellement la chatte en couinant de plaisir. Un homme encourage les deux gouines, sa bite est hors de son pantalon. Il se caresse en incitant les deux femmes à plus de plus voracité. Un autre offre à Edmonde sa queue, à sucer. Comme une affamée, la coquine s'acharne sur la verge tendue de son ami. Richard lui ne quitte pas des yeux Pierre, le vieux à une envie pressante de se faire enculer grave.

Les serviteurs débarrassent comme ils le peuvent la table, que deux couples occupés à se défoncer n'ont pas l'intention de céder la place. Les gémissements sont bruyants, les jouissances approchent à grands pas. Les deux lesbiennes jouissent en même temps. Sur la chaise, la femme à califourchon sur son compagnon jouit également. L'autre couple qui se défonce sur la table, résiste plus longtemps avant l'explosion finale. Edmonde reçoit dans la bouche une puissante décharge de sperme, la coquine s'empresse d'avaler. Elle s'essuie d'un revers de la main. Elle saisit un verre et le frappe avec un couteau pour attirer l'attention :

-Mais amis, aujourd'hui, je vous ai réservé, un amant exceptionnel que nous devrons nous partager !

Elle appelle Pierre, et elle dit :

-Regarder la bête mes amis !

Elle invite Pierre à se dénuder. En voyant la bite impressionnante au repos, qui balance sur le bas-ventre du serviteur, un flot d'applaudissements se fait entendre. Une femme se jette immédiatement sur lui, elle lui saisit la bite et la branle sans la quitter des yeux. Rapidement le monstre lève la tête, la femme décalotte le gland qui est hors norme, elle ouvre la bouche et en se déboitant presque les mâchoires, parvient avec difficultés à gober le gland. Elle le tète, le suce sous les regards des autres femmes envieuses. Le la femme doit recracher le gland, sa mâchoire devient douloureuse. Edmonde interdit formellement à Pierre de donner sa semence à d'autre qu'à elle-même. Elle plce un anneau qu'elle serre, juste au-dessus des couilles de Pierre, cela l'empêchera de d'envoyer son sperme dans les corps affamés. Les vêtements s'entassent, sur une chaise. Les deux lesbiennes reprennent du service, elles se bouffent la chatte en se faisant gémir de plaisir.


La femme pousse Pierre sur une chaise et l'enjambe, elle lui attrape la verge et s'empale en poussant un râle de bête blessée. Elle grimace la queue monstrueuse, lui dilate le vagin comme jamais, il ne l'a été. Edmonde regarde la femme faire l'ascenseur sur la queue de Pierre. Elle couine, geint en serrant les dents. Soudain la femme se cabre, s'accroche au cou de Pierre en poussant cri terrible. Sa jouissance est atroce. Rapidement la bougresse est chassée du pal qui lui fore le ventre, par une autre affamée. Elle s'empale en poussant un long râle rauque, ses yeux lâchent quelques larmes, tellement la pénétration et atroce. La femme, fait comme la précédente amante, elle fait des montées et des descentes sur la bite gorgée de sang. Les couilles de Pierre comment à devenir violacées. À chaque descente de la femme sur son pieu, Pierre tire sur ses hanches pour l'empaler profondément. La femme pousse des cris horribles, lorsque le gland frappe le col de son utérus. La cadence que la femme s'impose est soutenue, c'est en grognant fortement qu'elle jouit. Pierre retire son engin luisant de cyprine du corps de la femme qui grimace encore.


Les hommes regardent avec un air penaud la verge énorme dressée comme un mat sur le bas-ventre du serviteur. Ils le jalousent, et veulent le toucher. Les bougres soupèsent les bourses pleines de semence, enserrent avec deux mains le monstre qui fait tant de bien à leurs femmes. Richard se masturbe en ne quittant pas des yeux la verge de Pierre qu'il affectionne. De temps en temps, ses doigts taquinent son anus. Pierre doit encore honorer les deux lesbiennes, avant de prendre comme une bête Edmonde. Il monte sur la table, se place derrière la brouteuse de minou et sans lui laisser le temps de comprendre, il lui plante sa bite le plus profondément possible. Il la déglingue comme un soudard, la femme, a les yeux écarquillés, elle geint comme une malade sous les assauts de Pierre qui ne faiblit pas. Elle jouit en se ployant comme un pont. La femme s'écroule sur le côté en continuant de gémir, cela arrange Pierre qui peut ainsi baiser l'autre lesbienne. Il la démonte, frottement, il voudrai bien la fait jouir rapidement, car il ne sent plus ses couilles. Il la besogne de plus en plus violemment, la femme pousse des cris inhumains. Dilatée au maximum, la femme défaille, elle grimace tellement le pilonnage est sévère. Enfin, elle pousse un long gémissement et jouit comme jamais, elle ne l'a fait. Edmonde félicite Pierre, elle lui retire l'anneau qui empêchait le sang de circuler dans ses couilles.

Edmonde lui triture doucement, les masse doucement pour que le sang circule à nouveau. Les couilles reprennent une teinte normale. Edmonde souriante tente de gober le gland énorme, malgré la douleur de ses mâchoires, elle suce et tète en geignant comme une bête malade. Pierre ne peut résister plus longtemps au traitement que lui inflige Edmonde, il lui dit :

-Madame, je vais jouir !

Edmonde recrache le gland et lui répond avant de reprendre en bouche le champignon :

-Donnez-moi tout, Pierre, j'ai soif de votre sperme !

Elle s'acharne, tête suce comme un vorace, sa mâchoire est douloureuse. Pierre, comme annoncé, envoie un flot dans la bouche D'Edmonde qui manque d'étouffer tant la décharge est importante. Elle ejecte la bite de sa bouche, ses yeux sont remplis de larmes, elle grimace et finit par avaler tout le sperme de son amant. Les deux amants se regardent un moment avant qu'Edmonde lui dise :

-Bouffez-moi la chatte Pierre, faite voir à mes amis comment vous savez me faire jouir !

Richard est au bord de la syncope, il saisit la bite d'un de ses amis et la suce comme un affamé, pour la faire grossir encore un peu. Puis lui dit :

-Vas-y encule-moi, mon étalon est occupé, j'en peux plus !