La haine du voisin.

Juliette et George, son voisin, se portent l'un pour l'autre une haine qui date depuis un petit accrochage à cause des enfants. À chaque fois qu'ils se croisent, leurs yeux jettent des éclairs, il se regardent en serrant les dents pour ne pas se jeter l'un sur l'autre. À la remise des diplômes de leurs enfants à la fin de leurs études, ils se recouvrent l'un, à côté de l'un de l'autre, à table, sans vraiment le vouloir. Juliette foudroie George du regard. Il tente d'entamer le dialogue, elle grince des dents en répondant sèchement à ses questions. George, bonne pâte, tente d'améliorer la situation. Juliette reste campée sur les faits qui réellement semblent anodins, elle n'en demord pas. George se lève et va chercher des boissons, il en offre une à Juliette qui fronce les sourcils, mais l'accepte tout de même. Une fois la cérémonie terminée, les deux attendent leurs enfants. George regrette ce qui s'est passé par le passé, les enfants s'entendent bien entre eux. Il veut à tout prix enterrer la hache de guerre. Juliette et plus réticente, surtout très rancunière. Elle n'est pas près de pardonner.


Les jours se suivent, George tente toujours d'engager le dialogue avec Juliette, un jour au cours d'un barbecue, Juliette coupe quelques fleurs dans son jardin. George la hèle et l'invite à venir boire l'apéro avec son mari Paul avec lequel il a de bonnes relations et les enfants, elle consulte son mari puis accepte. Pour George, c'est une victoire. À l'ombre d'un arbre, la table est dressée. Les invités prennent place. Juliette regarde George comme un chien de faïence, elle le foudroie du regard. Marie, la femme de George s'occupe de ses invités comme une mère poule. L'apéro coule à flot, les jeunes montent dans la chambre pour converser comme bons leur semblent, à l'abri des oreilles des adultes. Marie discute amicalement avec Paul, le courant passe très bien entre eux, les invités sont priés de rester diner. George se rend à la cuisine, pour achever les entrées. Étrangement, Juliette lui emboite le pas. Un moment, ils se retrouvent face à face, se regardent longuement. George, sans savoir pourquoi, il l'enlace, il la plaque contre lui, les visages sont très près l'un de l'autre. Les souffles se mêlent, Juliette semble déstabilisée, elle dit avec des trémolos dans la voix :

-George, mais qu'est-qui te prend !

Sans réfléchir, elle l'enlace aussi et plaque ses lèvres sur les siennes. Le baiser est torride. Les deux halètent fortement, leurs cœurs battent à se rompre. George désir cette femme depuis longtemps, il vient de comprendre qu'elle aussi le desir secrètement. Une fois le baiser terminé, Juliette lui dit :

-Tu sais, je pensais à toi chaque jour, tu hantais mes nuits mon salaud !

George répond en souriant :

-Moi qui croyais que tu me détestais, je suis heureux que ce ne soit pas le cas, moi aussi, je te désirais comme un fou !

Les deux s'embrassent une nouvelle fois avant de rejoindre la table. Maintenant les regards sont plus tendres, les sourires fréquents montrent que la paix règne. Marie aussi semble heureuse de discuter avec Paul, de temps en temps, discrètement, il lui caresse la main. Marie rougit, mais ne repousse pas son voisin. Elle est charmée par cet homme aux tempes grisonnantes. Souvent les deux comme de vieux complices, échangent des sourires. Juliette remarque que son mari à un ticket avec Marie, cela la rassure, elle se sent moins fautive. Dessous la table, Paul fait du pied à Marie qui n'oppose aucune résistance, elle regarde Paul en écarquillant les yeux, il ne cesse de lui sourire. Marie se sent fébrile, jamais, elle n'a trompée son mari, son cœur est prêt à exploser. Juliette discrètement fait tomber sa fourchette, elle se penche rapidement et voit le pied dénudé de son mari, escalader le mollet de Marie. Cela la fait sourire, elle se redresse et regarde George. Leurs yeux brillent, ils sont vraiment amoureux l'un de l'autre. Elle aussi fait du pied à George, elle retire sa claquette et monte son pied entre les jambes de George qui surprit, écarquille les yeux, il croise les yeux rieurs de Juliette, qui lui fait un clin d'œil. L'intrus passe entre les cuisses de George qui n'a pas d'autre issue que de les ouvrir. Les orteils agiles lui agacent, le membre encore endormit. Paul aussi devient fébrile, son pied tremblant passe entre les cuisses de Marie qui rougit fortement. Sa culotte est déjà humide, Marie est dans un état d'excitation incontrôlable, elle se lève d'un coup et fonce dans la salle de bain, elle relève sa jupe, écarte sa culotte et se masturbe comme jamais, elle ne l'a fait, sa jouissance est monstrueuse, lorsqu'elle jouit, elle prononce inconsciemment le nom de Paul. Elle se passe le gant de toilette sur sa vulve trempée, puis monte dans sa chambre changer de culotte. Elle redescend apaisée. Elle reprend place à table, le repas se passe grès bien.


Il est tard, les enfants regagnent leurs chambres respectives, les femmes regardent les hommes comme des êtres exceptionnels, car les coquins les flattent sans aucune retenue. George n'en peut plus, il decide de prendre le taureau par les cornes, il dit avec courage :

-Paul, je dois t'avouer que j'aime Juliette, elle me rend fou !

Sans se démonter, Paul réplique :

-Eh bien moi, je viens de me rendre compte que j'aime Marie, nous sommes quittes, mais qu'on pense nos épouses, Juliette, je te pose la question ?

-Toi, tu aimes George ?

Elle serre les dents et répond :

-Oui, je suis folle de lui !

-Eh toi Marie, tu m'aimes ?

Marie devient rouge comme une pivoine, elle repond en béguant :

-Je dois dire que tu ne me laisses pas indifférente, Paul oui, je suis depuis peu amoureuse de toi !

Les deux hommes se regardent et faisant une moue qui en dit long. Paul enlace Marie, George, Juliette, ils échangent un baiser d'enfer. Les mains deviennent audacieuses, les quatre se retrouvent rapidement nus. Mati regarde la verge de Paul qui semble bien plus imposante que celle de son mari même au repos. Juliette ne quitte pas des yeux celle de George, c'est elle qui entame les hostilités, elle saisit la verge de George et commence un branlage énergique.