La voyeuse 2

Lucie est très tentée par l'invitation de ses voisins, mais sa timidité tenace l'en empêche. Elle remonte à l'étage et entrouvre la fenêtre. Son cœur bat la chamade, elle avance une chaise près de la fenêtre et se laisse tomber dessus comme une masse. Elle souffle comme un fauve en regardant, Robert saisit sa fille par les hanches et la basculer sur le sol. Il s'allonge sur elle et lui embrasse le torse, sa queue est tendue comme jamais. Le bougre se frotte, s'agite comme un reptile entre les cuisses de sa fille. Sa bite bute contre le bas ventre de Julie, à chaque ondulation. La coquine serre les dents, ses doigts enserrent le manche vivant, qui bat entre ses doigts. Elle le dirige tant bien que mal vers son antre brulant. Solange regarde souriante le couple enlacé. Elle retire son maillot et s'approche le plus près possible du duo. Elle s'agenouille, caresse le large torse de son mari, ses mains descendent sur les reins, les palpent un instant avant que ses doigts ne s'aventurent, dans le sillon profond que forme les deux fesses. Robert se cabre, lorsque les longs doigts fins de sa femme, glissent entre les lobes et appuient sur la rondelle ridée. La coquine la taquine un instant avant de glisser avec délicatesse entre les cuisses musclées.


Les doigts habiles s'agrippent au membre gorgé de sang, que Julie n'arrive pas faire entrer dans son temple tellement que papa s'agite. Elle finit par y renoncer et repousse son papa qui tombe sur le dos, la queue tendue vers le ciel. Solange serre si fort la bite de son mari que le gland sort de son étui, il semble s'étaler comme un cèpe sur le sommet de la verge.
Lucie se lèche les lèvres, sa chatte se remet à suinter. Elle retrousse sa jupe et ouvre largement les cuisses, elle se presse fortement la chatte, pour tenter de faire cesser l'écoulement involontaire de cyprine. Son clito est méconnaissable, de sa main libre elle l'ecrase avec force en grognant.


Sur l'aire de jeu, Solange qui n'a pas lâchée la bite, la regarde en souriant. Julie se redresse, elle regarde sa maman et lui dit :

-Maman, laisse-moi m'empaler sur ton cochon de mari, je veux sentir gicler, dans mon ventre, sa semence, regarde sa queue comme elle est grosse, hum !

Solange sourit à sa fille et lâche l'engin, Julie enjambe son papa, c'est sa maman qui dirige la queue de son mari vers le volcan en ébullition de sa fille. Lentement, Julie descend son corps. Le gland appuie sur ses grandes lèvres, les écarte et s'engage dans son conduit brulant. Julie souffle comme un dragon. Sa maman lui caresse les fesses, en prenant soin de lui titiller l'anus avec deux doigts. Julie s'agite, les couilles pleines de semence frappent à chaque descente ses fesses charnues. Lucie, de son observatoire, ne loupe pas une image, sa chatte est en fusion, malgré les pénétrations vigoureuses qu'elle sinflige, elle n'arrive pas à assouvir, le manque de sexe. Le spectacle est tel que, ses doigts, seuls, ne lui suffissent plus. Elle se lève d'un bon en grognant et se dirige vers la cuisine, elle sort du bac à légume un concombre et deux belles carottes. Elle remonte quatre à quatre l'escalier qui l'amène à son poste d'observation. On peut la suivre à la trace, sa chatte laisse échapper des gouttes de cyprine qui s'étalent sur le sol, à chacun de ses pas. Elle reprend place sur son siège, elle voit Julie monter et descendre sur la queue de son papa comme une forcenée en gémissant. La bougresse se cabre lorsque sa maman lui enfonce deux doigts dans l'anus. À chaque descente de son corps, la coquine s'empale davantage sur les deux intrus qui lui forent l'intestin.

Lucie est au bord de la syncope, son souffle est court, elle vocifere des mots inaudibles. Elle pousse un long râle lorsqu'elle s'enfonce le concombre au plus profond de sa chatte. C'est en serrant les dents qu'elle se ramone sauvagement les entrailles. Elle s'avance sur sa chaise, et place contre son anus une carotte, elle grogne en agitant sa croupe pendant la pénétration du légume dans son rectum. Lucie se ramone les orifices avec ardeur, elle grimace, tellement les bites factices, s'enfoncent profondément en elle. Le concombre qui but contre le col de son utérus la fait couiner comme un animal.

Julie pousse des grognements de plus en plus aigus, son corps est au bord de l'explosion. Sa maman l'encourage :

-Jouis, jouis, ma chérie, vas-y vas-y !

Julie pousse un cri et jouit comme une malade, sa jouissance est si puissante qu'elle se laisse tomber sur le torse de son papa. Sa maman en profite pour lui dévaster le cul en ajoutant un troisième larron. Le pilonnage est si intense que Julie jouit du cul comme jamais, elle ne l'avait fait. La maman, très intentionnée, lui ramone encore un long moment le rectum avant de retirer les envahisseurs. Elle repousse doucement sa fille, elle veut profiter, elle aussi, de la queue de son mari. Elle enjambe le mâle en rut et saisit sa queue, elle la dirige vers sa chatte détrempée, et se laisse tomber de tout son poids. Elle pousse un râle lorsque la bite s'enfonce totalement en elle. La chevauchée commence, au pas, puis au trot, pour finir au galop. Les gémissements de Solange sont bruyants, son visage est déformé par un rictus monstrueux, son corps s'agite fortement.


Lucie, elle, est comme un automate, elle ragarde les amants en se défonçant les orifices avec rage, ses yeux sont écarquillés, elle se cabre et pousse un long râle rauque, elle jouit si fort que son corps se met à trembler, elle rejette le légume, sa chatte dégouline de cyprine, une petite flaque s'étale sur le sol. Elle souffle comme un bœuf, elle agite la carotte avec rage en criant :

-Jouis, salope, jouis, Robert, bourre là bien ta salope de femme au putain comme c'est bon !

Lucie jouit du cul, elle arrache la carotte de son rectum, se penche par la fenêtre pour bien voir et entendre Solange jouir. Solange ne retient pas ses cris, elle jouit comme une dingue. Robert regarde Lucie et lui dit :

-Mais, viens bon dieu, regarde ma queue, elle n'attend que toi, Solange, va te laisser la place, aller viens, tu en meurs d'envie !

Il repousse sa femme et exhibe sa queue qui n'a pas encore crachée son venin. Lucie, chaude comme de la braise, ne tient plus, elle descend l'escalier en courant et sort de chez elle, elle se dirige vers la maison voisine, ouvre le portail et arrive devant le trio, Julie suce la queue de son papa en épiant du coin de l'œil la nouvelle arrivante.