Mari voyeur, femme nymphomane.1

Louise est une femme de 33 ans accro au sexe, elle ne pense qu'à cela. Son mari âgé de 44 ans ne peut plus suivre le rythme, que sa femme nymphomane lui impose. Donc, avec l'accord de son mari, elle doit chercher d'autres personnes pour assouvir sa libido débordante, lui il n'en peut plus et accepte de recevoir chez lui les amants de sa femme.



Par une matinée ensoleillée, vêtue d'un chemisier largement ouvert et d'une jupe très courte, elle arpente les allées ombragées du parc voisin, à la recherche d'une proie, elle porte son dévolue sur un couple qui profite des rayons du soleil assis sur un banc. Louise s'assoie en face du couple, elle chausse de grosses lunettes de soleil et sort un livre de son sac. Elle fait mine de lire le bouquin, mais souvent elle regarde par-dessus ses lunettes et observe le couple.




La coquine ne cesse de croiser et décroiser ses jambes, le manège intrigue la femme qui donne un léger coup de coude a son compagnon. Celui-ci délaisse son portable et regarde, aussi Louise qui joue avec le compas de ses longues jambes. Mécaniquement sa jupe remonte sur ses cuisses. Vicieusement, Louise ouvre lentement ses cuisses et offre à la vue du couple sa culotte. Tout en faisant semblent de lire, sa main se pose sur son entre jambes et commence à frotter doucement son intimité à travers le fin tissu.



Le couple est estomaqué par le culot de Louise. La bougresse pose son livre, fait un grand sourire au deux personnes qui sont stupéfaites par son comportement. Sans se démonter, elle écarte sa culotte pour frotter plus énergiquement sa fente, le couple se parle doucement puis se lève, il s'approche et se place de chaque côté de la masturbatrice, qui ne cesse de se frotter. La femme pose sa main sur la cuisse de Louise et l'approche du temple, sa main rejoint celle de Louise qui retire la sienne et laisse l'inconnue agir. Les doigts de la femme glissent sur la culotte qui s'humidifie à vitesse grand V.  Louise ferme les yeux et rejette sa tête en arrière.




L'homme ne reste pas inactif, il écarte le tissu qui recouvre la vulve et encourage sa compagne.

- Vas-y ma chérie elle va jouir accélère !



La femme obéissante augmente la vitesse de masturbation, elle regarde Louise qui geint comme un animal en rut. Il ne faut pas attendre longtemps pour que Louise explose. Sa cyprine gicle, elle jouit si fort que sa cyprine gicle. Les inconnus sont étonnés de la puissance du jet, l'homme glisse ses mains dans l'échancrure du corsage et pétrit fermement les seins comme de la pâte. Louise pousse un grognement en serrant les dents, c'est à la limite du supportable.




Soudain d'autres promeneurs arrivent, l'homme retire ses mains, la femme rapidement rabaisse la jupe. Louise frustrée ronchonne des mots inaudibles. Les promeneurs flânent dans l'allée. Louise propose aux inconnus de prendre un verre chez elle et pourquoi pas, continuer ce qu'ils ont commencé. Le couple se regarde et accepte la proposition alléchante. Pendant le chemin Louise explique qu'elle est accro au sexe et que son mari lui permet des écarts.


Enfin le trio arrive à destination. Louise présente son mari Paul, les deux personnes se présentent à leur tour, elle Virginie 54 ans, lui Charles 57 ans, les deux sont avocats. Paul les place au salon pour prendre un verre, les verres se succèdent. Les langues se délient, le couple avoue être très libertin et souvent Virginie et Charles organisent des soirées avec des personnes de la haute comme on dit.



Louise rien que de parler de soirées spéciales s'échauffe, elle avale son verre et se dirige vers la salle d'eau pour une douche rapide. Elle en ressort vêtue d'un peignoir. Les invités prennent aussi une douche, mais ils réapparaissent enroulés dans une serviette éponge. Paul débarrasse la table basse, car cela s'annonce chaud. C'est Louise qui enclenche les hostilités. Elle s'approche de Virginie, fait tomber la serviette, l'observe un bon moment puis, l'enlace les têtes se rapprochent, les lèvres se frôlent et finissent par se joindre. Les langues se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler.


Charles retire la serviette qui cachée ses attributs, se plaque contre Louise et fait tomber le peignoir qui la recouvre. Il frotte son bas-ventre contre le fessier de Louise, qui commence à onduler du bassin. Elle sent contre sa raie le membre de Charles qui comment à prendre du volume. Elle la sent coulisser dans le sillon qui sépare les lobes fessiers. Elle tire fortement sur les fesses de Virginie, les deux toisons se frottent l'une contre l'autre, comme par miracle les fentes se mettent à suinter.


Paul lui, décide de préparer le repas pendant que le trio s'adonnent à son sport favori. Les lèvres des deux femmes se séparent, Virginie se laisse tomber à genoux, elle saisit Louise pas les hanches et lui embrasse avec rudesse le ventre, sa langue tourne sur le nombril de nombreuses fois. Louise se cabre, lorsque la langue rapeuse de Virginie, s'insère dans le sillon des grandes lèvres. Avec agilité, la langue taquine la petite protubérance qui enfle de lus en plus sous les coups de langue de l'experte.


La verge de Charles, a atteint un volume qui n'est pas négligeable. Elle glisse entre les deux demi-sphères charnues, bute contre la rondelle ridée. Le coquin pousse doucement, le muscle rectal résiste, le coquin doit y renoncer et se résout à faire glisser son engin entre les cuisses. Le doux va-et-vient, fait prendre encore du volume à sa queue. Virginie gobe la perle et l'aspire, Louise se cabre sous la violence de l'aspiration, elle geint de plaisir, en agitant sa croupe au rythme de la succion. La bouche vorace délaisse le bouton sensible, pour que la langue agile s'enfonce dans le conduit brûlant et en fouille chaque recoin.


Les râles de Louise sont terribles, elle couine comme un animal blessé, soudain elle se cabre et jouit dans la bouche de la suceuse vorace, qui avale le jus suave avec gourmandise. Virginie abandonne sa proie, Charles en profite pour basculer Louise sur la table basse. Comme un automate, la femme en chaleur ouvre largement les cuisses. Charles frotte son gland contre la chatte détrempée de Louise qui le supplie de la prendre. Un petit coup de reins suffit, pour que le mandrin large et épais s'enfonce jusqu'à la garde dans le volcan en ébullition. Louise s'accroche à son pourfendeur, elle agite son bassin avec rage pour être bien empalée.


La queue coulisse de plus en plus vite dans la gaine de chair, le va-et-vient est dévastateur, Louise gémit bruyamment. Charles ressort sa queue et la replonge sauvagement dans le puits d'amour. Louise pousse un râle affreux lorsque le gland but le col de son utérus. Elle hurle :

- Oui, oui plus fort vas-y !

Charles prend plaisir à réitérer le mouvement de nombreuses fois, les râles de Louise sont presque inhumains. Elle est au bord de l'explosion, elle donne de terribles coups de reins pour bien sentir en elle le membre la défoncer. Elle s'arc-boute en hurlant de plaisir sa jouissance est phénoménale. Sa tête bascule de gauche à droite, un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres, un rictus affreux déforme son visage.



Charles s'acharne sur elle ses coups de boutoir sont violents, le bougre ne la ménage pas, il se bloque et remplit de sa semence le ventre de Louise qui geint faiblement. Virginie s'approche pendant que son compagnon besogne Louise elle lui caresse l'anus. Elle enfonce trois doigts dans la gaine étroite de Charles qui grogne de bonheur. La coquine sait comment s'y prendre avec lui, elle le ramone jusqu'à ce qu'il jouisse à nouveau dans le corps de Louise.



Enfin elle retire ses doigts du fondement de son compagnon, lui se désaccouple de Louise. Sa queue est gluante, il s'approche du visage de la soumise et lui offre. C'est avec gourmandise que Louise suce le gland violacé et lèche la hampe visqueuse. La coquine se régale, mais elle en veut encore.