Rose, ou un amour impossible 1

Pierre, veuf depuis de nombreuses années, heurte involontairement sur le marché un femme qui faisait ses courses. Apres mille excuses, les deux entament la conversation, et de fil en aiguille, comme un vieux couple ils font plusieurs étals, en papotant. Pierre trouve la femme sympathique, ce n'est pas un top-modèle, bien en chair cette inconnue, a beaucoup de charme. Pierre ose lui proposer de prendre un verre, la femme souriante accepte.


Les deux se rendent à la terrasse d'un café, et commandent une boisson. La matinée est merveilleuse, le soleil est au rendez-vous. Les deux se dévoilent au fur et à mesure que la conversation progresse. La femme au prénom de fleur (Rose) séduit Pierre par sa douceur et son langage posé, elle a quelque chose en elle que Pierre n'arrive pas décrire. La femme est très souriante, les deux se confient un peu plus au fil des minutes qui passent. Rose est divorcée d'un homme volage, elle vit seule, elle à une fille de Vingt-cinq ans qui vit à l'étranger, les deux se contactent régulièrement. Rose a à peu près le même âge que Pierre, elle approche la soixantaine.
Pierre déclare, que lui aussi à un fils de trente et un ans et qui vit avec lui. Les deux bavardeurs ne voient pas l'heure passée, il est grand temps de se séparer. Chaque jeudi, c'est jour de marché, Pierre s'y rend en espérant rencontrer Rose. Comme le hasard fait bien les choses, elle est là et fait ses courses. Ils se saluent, et finissent à la terrasse du café. Pendant de longues semaines, c'est le même rituel. Les deux s'apprécient énormément, ils deviennent de plus en plus fusionnels, et un jour, dans un recoin de la rue, ils échangent un premier baiser. Les deux amoureux semblent avoir des ailes, ils rient comme des enfants, se tiennent la main en faisant leurs achats. Un jour, Pierre propose à Rose de venir diner chez lui. Un peu gênée, mais finit par accepter sous l'instance de Pierre.


Pierre annonce la nouvelle à son fils Théo. Le jeune homme, fronce les sourcils en se disant qu'est-ce que son papa va encore amener à la maison. Pierre met les petits plats dans les grands, il prépare le repas avec amour, il est tellement heureux qu'il ne cesse de chantonner. Il est vingt-heures, la sonnerie de la porte d'entrée, se fait entendre. Pierre un peu fébrile va ouvrir la porte, il embrasse discrètement Son amour et la fait entrer au salon, il la débarrassé de son sac, et présente Rose à Théo. Les deux se saluent, Théo dévisage la femme un bon moment avant de lui proposer un verre. Rose s'enfonce dans un profond fauteuil, elle est très souriante, c'est elle qui entame la conversation. Elle raconte comment Pierre et elle se sont rencontrés.
Pierre s'excuse, il doit s'absenter en cuisine, pour terminer la préparation du repas. Malencontreusement, Rose en prenant son verre, sa jupe lui remonte à mi-cuisses, discrètement, elle tente de la rabaisser, mais la position est trop inconfortable pour pouvoir le faire. Comme le fauteuil et plus haut que la table du salon, Théo est aux premières loges. De temps en temps il entrevoit la culotte de Rose, cela le fait saliver. Il ne quitte pas du regard le compas entrouvert, espérant en voir davantage.



Rose déguste son verre, sans se rendre compte du spectacle qu'elle offre à Théo. Le bougre serre les poings, pousse de temps en temps un soupir. Il avale son verre d'un trait, pour s'en resservir un rapidement. Pierre revient, il a le sourire, il s'assoit sur le bras du fauteuil ou se trouve Rose, lui prend la main et l'embrasse longuement. Avant d'inviter Rose et son fils de passer à table. Rose se lève, Théo la suit du regard, le déhanchement naturel de La femme fait serrer les dents à Théo. Ses yeux brillent, le balancement des hanches larges de Rose, le font déglutir bruyamment. Enfin, il prennent place autour de la table dressée avec amour par Pierre. Le repas se passe merveilleusement, Pierre et Rose se regardent amoureusement, ils ne cessent de se sourire. Plusieurs fois volontairement pendant le repas, Théo fait tomber une chose ou l'autre. Le coquin, en se baissant, admire les cuisses magnifiques de Rose. Théo aperçoit la culotte, il commence à avoir une érection. Il sursaute lorsque le fin tissu, s'enfonce légèrement entre les grandes lèvres. A chaque mouvement de son bassin, les grandes lèvres de sa vulve, se frottent contre le tissu, et cela gêne Rose qui discrètement, d'un geste Habile, passe sa main sous sa jupe et tire sur la culotte pour libérer les grandes lèvres. Théo se redresse brusquement en se cognant la tête contre la table. Rose sursaute, elle comprend que Théo a vu son geste sous la table, elle rougit en croisant son regard, une gêne s'empare d'elle. Pierre regarde à tour de rôle Rose et son fils, il se doute que quelque chose se passe. Il lève son verre et dit :

-Trinquons, car vous en faites des têtes, il y a quelques chose qui ne passe pas ?


Théo répond :

-Non tout va bien, juste un coup de bambou, sûrement l'apéro !


Rose se force à sourire et réplique :

-Oui, je ressens ça aussi, mais cela va passer mon chéri !



Le repas reprend, l'heure tourne, il est temps de se quitter, sur le pas de la porte, Rose et Pierre s'embrassent fougueusement. Cela fait maintenant des mois que Pierre et Rose se fréquentent, ils décident de se marier. Pour l'occasion, elle présente sa fille Cloé, qui a fait le déplacement pour l'événement. Cloé est très jolie, Théo, en bon dragueur, ne la quitte pas d'une semelle. Les deux sympathisent et s'entendent bien. Le mariage se passe magnifiquement, Cloé reste plusieurs jours avant de repartir, mais ce laps de temps suffit pour que Théo et elle s'éprennent et font l'amour, ils promettent de ce revoir dès que possible.

Le temps passe, cela fait déjà quatre ans, que Rose et mariée à Pierre, le couple est heureux. Théo reluque sa belle-mètre en enviant son père. Souvent, il l'épie lorsqu'elle sort de sa douche en petite tenue, pour rejoindre sa chambre. Lorsqu'elle fait le ménage, elle est nue sous une blouse qu'elle ne ferme pas totalement, elle veut être libre de ses mouvements. Théo est dans un fauteuil, il feuillete une revue, il suit du regard Rose qui s'affaire à épousseter les meubles. Elle monte sur une chaise et se met en équilibre sur la pointe des pieds en frottant le haut du living. Les bras levés, font que sa blouse remonte plus qu'à mi-cuisses. Théo cesse de tourner les page et aperçoit une partie des lobes fessiers. Il serre les dents, déglutie, il a envie de cette femme qui le trouble depuis le premier jour. Rose se tortille sur sa chaise. À chacun de ses mouvements, sa blouse remonte de plus en plus en découvrant davantage une partie de son fessier. Théo ravale sa salive, sa queue se dresse dans son pantalon, il pose la revue dessus pour cacher son émotion.

Rose descend de son perchoir, se penche pour essuyer la table basse, sa blouse bâille à hauteur des seins. Théo défaille, il plonge son regard dans le profond sillon qui sépare les seins. Il sent dans sa verge le sang battre. Soudain la porte s'ouvre, c'est Pierre qui entre, il voit le trouble de son fils, puis pose son regard sur l'échancrure de la blouse, il sourirt et dit :


-Rose ma chérie, tu devrais faire attention, tu excites Théo !


Rose réalise, elle se redresse d'un coup, et serre le col de sa blouse avec ses deux mains pour couper la vue au voyeur. En regardant son beau-fils, elle dit en rougissant :


- Je suis désolée, c'est involontaire !


Théo, un peu gêné, répond :

-Il ne faut pas t'excuser, c'est moi qui aurai dû te laisser seul pendant ton travail !


Théo profite que son père embrasse sa femme pour s'éclipser en douce, en prenant soin de cacher la bosse qui a encore pris du volume. Il monte dans sa chambre et se jette sur son lit. Il baisse tant bien que mal son pantalon, et extirpe de son slip sa queue raide. Il commence un branlage énergique en se remémorant ce qu'il a vu. Il ne faut pas attendre longtemps le résultat, pour son membre envoie son sperme, sa main et son slip ne peuvent éviter les retombées gluantes. Il s'essuie avec son mouchoir. Change de slip, et va mettre le sale dans le panier à linge. Il voit une culotte de Rose dans le panier, il s'en empare et remonte dans sa chambre. Il hume l'odeur que dégage la culotte, sa queue se redresse, il prend soin de baisser son pantalon et son slip avant d'entourer sa queue avec la culotte de sa belle-mère. Le vicieux, se masturbe en geignant, sa queue est secouée de soubresauts, il se raidit en décharge dans la culotte de la femme qu'il désir. Il se rajuste et va remettre en place l'objet dérobé. La journée se passe bien pour Pierre et sa femme, pour ce qui est de Théo, c'est autre chose. Il ne quitte pas des yeux sa belle-mère, il sait que sous sa blouse, elle est nue. Une force irrésistible l'empêche de faire l'irréparable.


Après le diner, les trois regarde la télé, les deux hommes sont assis de chaque côté de Rose. Elle se blottit contre son mari en regardant le film. Théo à sa cuisse contre celle de sa belle-mère, il la plaque bien contre, pour bien sentir la chaleur la cuisse. Le film ne l'intéresse pas, dans sa tête, il se passe un scénario que la morale réprouve. Il ne peut contenir une érection qui commence à être douloureuse dans son pantalon. Il se lève, embrasse son père et sa belle-mère puis monte dans sa chambre. Il n'arrive pas à trouver le sommeil, il se tourne et retourne dans son lit en soufflant comme un bœuf. Le couple après le film monte aussi rejoindre leur chambre. Les parois sont si minces que Théo entend tout ce qui se passe dans la chambre voisine. Au bout de quelques minutes, il entendant Rose geindre, il entend aussi le lit grincer. Il serre les poings, sa belle-mère gémit de plus en plus fort. Sa bite se gonfle à nouveau, il l'enpoigne et la branle sauvagement. Il imagine qu'il fait l'amour à sa belle-mère, il s'agite sur son lit comme un malade. Soudain un long gémissement retentit, Rose vient de jouir, il entend son père grogner lorsqu'il remplit le ventre de sa femme avec son sperme. Théo jalouse son père, il donnerait cher pour être à sa place . Il se cabre et décharge




sur ses doigts et son ventre en disant :

-C'est pour toi Rose gave-toi de mon sperme mon amour !