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Rose, ou un amour impossible 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/11/2023

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Théo a les doigts et le ventre plein de sperme, il doit se lever pour essuyer les dégats, il ouvre la porte de sa chambre pour ce rendre à la salle de bain. Il passe devant la chambre de son père, s'arrête, et plaque son oreille contre la porte, il n'entend que des souffles. Doucement, il tourne la poignée et pousse doucement la porte, la lampe de chevet est encore allumée. Il voit sur le lit entierement nue Rose et son père, Pierre dort profondement quant à Rose, elle a la main sur son bas-ventre et se caresse doucement la toison en soupirant doucement. Théo n'en croit pas ses yeux, l'amour de sa vie est nue devant lui. La coquine n'en a pas eu assez, car elle cherche de nouvelles jouissances en taquinant son temple de vénus.


Théo, ne cesse de déglutir, il avance lentement vers Rose, il la désir tellement qu'il prend tout les risques. Il se retrouve juste à côté d'elle, Rose sursaute en voyant l'intrus. Théo lui pose la main sur la bouche et lui fait un signe de ne pas crier. Rose opine de la tête. Théo retire sa main. Rose ne pense même pas à retirer sa main qui taquine sa fente. Théo se penche sur elle et lui donne un baiser sur les lèvres en lui caressant les seins. Rose surprise par cette agression, se cabre et montre la porte avec son doigt. Le beau-fils décu, sort de la chambre sans faire le moindre bruit, et se rend a la salle de bain. Il secoue la tête en disant :

-Non, non qu'est que je peux être con, mais qu'est que j'ai dans la tête !


Il se nettoie et remonte se coucher. Rose passe la nuit à se poser pleins de questions, elle ne parvient qu'à s'endomir tard dans la nuit. Le lendemain matin, Théo se lève et descend. Trop nerveuse pour rester couchée, cela fait déjà un baîl que Rose est lèvée. Son mari lui est déjà à son travail. Enveloppée dans un peignoir noué avec une ceinture, Rose regarde Théo d'un sale oeil, il l'embrasse sur la joue pour la saluer, elle ne repond pas, mais le foudroie du regard. Penaud, il prend place à table, Rose lui sert son café et sinstalle face à lui. Elle le dévisage, en secouant négativement la tête. Théo en soupirant dit :


-Pour hier, je te demande pardon, je t'aime si fort que je que fais des conneries !


Elle le regarde et répond :

-Tu sais, ce que tu as fait hier soir est inadmissible, si ton père apprenait ça, tu te rencomptes le bazar que cela ferait !


Les yeux de Théo se remplissent de larmes, il dit avec de nombreux trémolos dans la voix :

-C'est plus fort que moi, je n'arrive pas me contôler, mon amour pour toi est si fort que je ne pense qu'à toi jour et nuit !

Rose sent que son beau-fils est sincère, elle dit :

-je te pardonne pour cette fois, mais contrôle tes pulsions avant que cela ne dégénére !


Théo éclate en sanglot et répond :

-Jamais je n'y arriverai, te savoir nue sous ton peignoir, je bande comme un cerf !



Il se lève et fait constater les dégâts que causes Rose sur lui. Elle écarquille les yeux en effet une énorme bosse gonfle son pantalon de pyjama. Pour qu'elle se rende bien compte de l'effet qu'elle produit, il baise son pyjama et son slip. Sa bite se détend d'un coup et balance entre ses cuisses. Rose a un geste de recul, elle reste sans voix en voyant l'engin de son beau-fils osciller sur son bas-ventre. Le bougre reste debout devant elle, la queue à l'air. Les yeux de Rose ne peuvent se déttacher du mandrin. Elle soupir profondement, c'est en béguant qu'elle demande :

-Range-le, s'il te plait, cela me met mal à l'aise !


Théo prend sa verge d'une main et commence à se branler lentement. Il prend soin de décalotter le gland à chaque descente de son poignet. Les yeux de Rose restent figés sur le mat de son beau-fils qui accélére le mouvement. Théo, tire sur la ceinture, le peignoir s'ouvre et laisse apparaître la face avant du corps de Rose qui tente de refermer les pans du peignoir mais Théo, rapidement l'enlace. Il la serre dans ses bras, tente de poser ses lèvres sur les siennes, mais Rose détourne la tête. Il lui donne des baisers sur le cou et sur l'épaule qu'il a réussit à dénudé. Il se laisse tomber à genoux passe ses mains dans le peignoir et s'agrippe à ses fesses. Il lui donne des baisers sur le ventre, sur la toison, donne des coups de langues sur la fente en ne cessant de répéter :

-Je t'aime, je t'aime, je suis fou de toi mon amour !


Rose passe ses mains dans les cheveux de Théo en disant :

-Mais moi aussi je t'aime, mais c'est platonique, il est impossible que tu m'aimes, je suis la femme de ton papa, soit raisonnable Théo reprends-toi !


Théo se relève et comme un amoureux évincé, comme on dit, repart la queue entre les jambes. Il entre dans la salle de bain en marmonnant. Rose déstabilisée, se laisse tomber sur le canapé, elle respire difficilement, son corps tremble.
Théo prend une douche rapide, il ressort nu, son corps mal essuyé, ruisselle de goutelettes. Il voit Rose qui est toujours sur le canapé, la pauvre femme semble ailleurs. Il s'assied à côté d'elle la regarde longuement, puis commence à lui caresser le ventre en faisant de petits cercles avec sa main. Ses doigts descendent et s'enfoncent dans la toison, s'accrochent au clitoris et le caressent. Rose semble sans vie, ses yeux sont vitreux. Un à un Théo enfonce jusqu'à trois doigts dans le vagin de Rose et en faisant avec ses doigts un crochet, ramonne un court instant mais rapidement le temple. Il retire ses doigts, un petit jet de cyprine est expulsé du vagin. Rose serre les dents elle rugit. Théo reprend possession du vagin et le ramonne encore plus rapidement mais plus longtemps. Rose se cabre, elle se cambre tellement que son bassin décolle du canapé. Elle pousse un hurlement, Théo retire brusquement ses doigts et là, c'est un geyser qui se met à gicler. Rose se laisse retomber sur le canapé, elle éclate en sanglot et hurle :


-Tu es un monstre, je te hais Théo, je ne veux plus te voir !

Théo monte dans chambre pour s'habiller, il en redescend un instant après, Rose est toujours sur le canapé jambes légèrement écartées, une flaque de cyprine est étalée sur le sol devant elle. Sa respiration rapide est bruyante. Il lui relève le menton avec deux doigts et lui donne un baiser sur les lèvres. Il referme comme il peut les pans du peignoir. Rose est ailleurs, elle ne réagit pas. Enfin l'amoureux part au boulot.


Les deux hommes rentrent de leur travail, à l'heure du dîner, la table est déjà mise. Une fois les mains lavées, les deux hommes prennent place autour de la table. Rose évite le regard pesant de Théo, elle à honte de se qui c'est passé. Le repas prend fin et comme un rituel, c'est devant la télé que les trois se rejoignent. Rose se blottit contre son mari, Théo appuie sa cuisse contre celle de la femme de sa vie. Il l'a sent frissonner lorsqu'il appuie plus fort sa cuisse contre la sienne. Comme dab, Théo trouve le film inintéressant. Il se lève, souhaite une bonne nuit au couple, puis monte dans sa chambre. Il se met en pyjama et s'allonge sur son lit pensif, il regarde le plafond pendant de longues minutes. Quelque temps après, son Père et Rose rejoignent à leur tour leur chambre. Il les entend faire l'amour, Rose crie et gémit plus fort que d'habitude. Théo, donne des coups de poings dans son oreiller. C'est entre deux mastubations et des vociférations de jalousie, qu'il passe on peut le dire une nuit de merde.


C'est le week-end, Théo fait la grâce mâtinée. Son père et dèjà dans son potager, faire quelques semis. Rose, quant à elle, s'affaire à la cuisine. Elle porte une blouse assez courte, qui est toujours mal fermée. Enfin Théo émerge, il descend vétu de son pantalon de pyjama, le torse nu. Il s'étire comme un chat, ses yeux sont cernés, il est blême. Rose sert le café, au retardataire, qui la salue en l'embrassant juste à la commissure des lèvres. Rose ne bronche pas, elle rejoint l'évier pour faire une vaisselle. Théo la suit des yeux, il la déshabille du regard. Il à tellement envie d'elle que sa bite se met en érection. Il n'en peut plus, il se lève et se plaque contre elle en l'enlaçant fortement. Rose cesse tout activitées, elle reste collée à son évier. Théo se frotte contre elle, elle ne peut ignorer, la verge tendue qui appuie fortement contre son fessier. Il Lui murmure à l'oreille :

- Je te demande pardon pour hier, mon amour, je t'aime tant que je ne fais que des conneries !


Il lui donne de nombreux baisers sur la nuque et dans le cou. Rose pousse des soupirs profonds, elle sent coulisser entre ses fesses le mat de chair. Elle reste pendant de longues minutes sans dire un mot. les mains de son amoureux, glissent sur ses hanches s'agrippent au bas de sa blouse et lentement la remonte. Théo se décolle légèrement, pour pouvoir laisser au tissu la place pour remonter sur les cuisses juqu'aux hanches. Il regarde garde les fesses bien rebondies de l'amour de sa vie qui pour l'instant le laisse faire. Il se replaque contre elle, sa verge raide comme un morceau de bois vient se placer dans le large sillon qui sépare les lobes fessiers. Rose s'accroche à l'évier, son souffle s'accélére. Enfin elle réagit. Elle se trotille et parvient à se dégager de l'étau humain. Elle se retourne pour lui faire face. Elle a les yeux remplis de larmes, elle renifle souvent. Elle dit en béguant :


-Voila que tu recommences, mais tu es incorrigible Théo !


Les visages sont si près l'un de l'autre que les souffles se mêlent, et que les lèvres s'effleurent. Théo lui dit tendrement :


-Oh comme je t'aime, tu me rends fou !

Il pose ses lèvres sur les siennes, elle veut le repousser, mais elle fait le contraire, elle le prend par le cou et les deux échangent un long baiser fougueux. Théo croit rêver, il est sur un nuage. Les langues se nouent comme deux reptiles qui s'accouplent. Le baiser prend fin, Rose et rouge comme une pivoine, elle baise la tête tellement elle a honte. Théo un à un fait sauter les boutons de la blouse, il ouvre les deux pans et decouvre le corps de la femme de sa vie. Rose dit en laissant couler quelques larmes sur ses joues :


-Non, Théo c'est pas raisonnable, nous allons commettre l'irréparable, pense à ton papa et à moi, pense aux conséquences !


Pour toutes réponses Théo la bascule sur la table de la cuisine. Il lui embrasse les seins, lui suce les mamelons, les étire avec ses dents, avant de les rouler entre ses doigts un long moment pour les faire durcir. Rose souffle comme un bœuf, elle stresse terriblement, son corps tremble.






















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Commentaires du récit : Rose, ou un amour impossible 2

Le 20/11/2023 - 22:51 par OlgaT
C'était previsible et inévitable!

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