Serge et Cloé

Serge et sa maman

Dans la salle de bain, devant le grand miroir, Cloé se contorsionne en regardant son corps sous toutes les coutures, elle fait la moue en contemplant ses courbes qu'elle croit disgracieuses. Cette femme mûre qui approche la soixantaine a un corps que beaucoup de femmes souhaiteraient avoir, mais il y a un hic.

Cloé subit quotidiennement des remontrances injustifiées de son mari jaloux Marc, souvent des scènes de ménages éclatent, il la soupçonne d'avoir des amants, l'insulte, la traite de pute, lui dit qu'elle est moche, qu'elle ressemble à une truie, et tout cela devant Serge leur fils de 19 ans, qui reste sans voix à chaque altercation. Cela fait des mois, que Cloé et Marc font chambre à part.

Souvent le soir Serge entend sa maman pleurer, et cela le rend malheureux. Un soir qu'elle était monté se coucher seule comme d'habitude, avant les autres. Serge en passant devant la porte de sa chambre, entend des bruits étranges, il plaque son oreille contre la porte, et écoute, fronce les sourcils et décide d'ouvrir la porte doucement il l'entrouvre, et passe sa tête par l'ouverture. Il sursaute, sa maman nue étendue sur le lit se fait un petit plaisir. Trop occupée, elle ne l'a pas entendue ouvrir la porte. D'une main elle se malmène le clito et de l'autre elle se travaille le vagin avec un gode de bonne taille. Elle grimace geint doucement, en s'arque boutant comme un pont.

Doucement, Serge entre dans la chambre. Il reste un instant figé le spectacle auquel il assiste, le fascine. Ses yeux ne quittent pas l'engin qui fore vigoureusement le ventre de sa maman. Lentement sa verge se met à enfler, il s'avance doucement. Sa maman en sentant une présence, se redresse et en poussant un cri de surprise remonte le drap sur son corps, et en béguant elle dit :

-Mais, mais, Serge qu'est-ce que tu fais dans ma chambre !

Serge, en s'approchant encore plus dit doucement:

-J'ai entendu des gémissements, j'ai cru que tu étais malade, et je me suis permis d'entrer, mais maman, avec ce que viens de voir, cela me rassure !

Cloé rouge comme une pivoine, ravale bruyamment sa salive, et parvient à dire :

- J'ai eu une envie soudaine, une pulsion incontrôlable. Tu sais que chacun de nous à besoin de sexe !

Serge en souriant lui répond tendrement :

-Mais maman, je ne te juge pas, moi aussi il m'arrive de me masturber, et en plus c'est en pensant à toi !

Cloé reste yeux écarquillés en entendant cette révélation, et demande :

-En pensant à moi tu te masturbes, c'est insensé, mais tu as une copine ?

En souriant il répond :

-Oui, mais ton corps me fait rêver, et sexuellement tu dois avoir plus d'expérience que Josie. Avant que papa et toi faisiez chambre à part, je le jalousais, lorsque je t'entendais gémir pendant vos baises, j'imaginais que c'était moi qui te prenais comme une bête,
et t'assure que je me faisais mal tellement que je me branlais !


Cloé reste bouche bée, elle est abasourdit par les révélations de son fils. Elle reste drap remonté jusqu'au cou, elle ne songe même pas à ôter le gode planter dans son ventre. Serge s'avance et tire brusquement sur le drap. Il découvre le corps sublime de sa maman, qui le fait rêver. Surprise après cet assaut rapide. Elle n'a pas le temps de retenir le drap, mais rapidement serre les cuisses, en coinçant involontairement le mandrin de silicone dans son ventre. Elle plaque ses mains sur l'engin comme pour le cacher. Serge s'assoit sur le bord du lit, et contemple le corps de sa maman qui tremble de honte. Il lui dit en posant sa main sur son ventre :

-Tu es magnifique maman, papa ne te mérite pas !

Serge a toujours était prévenant avec elle, il cherchait toujours à lui rendre service, souvent il lui caressait les mains, l'enlaçait, et lui donnait de petits baisers sur le visage. Ses gestes d'affection mettaient en émoi Cloé. Bien que se soit platonique, elle lui prouvait par de mots doux, qu'elle l'aimait aussi.


Cloé reste sans voix, ce soir, elle découvre une autre facette de son fils. Elle frémit lorsque sa main commence à faire de petits cercles sur son ventre fébrile. De temps en temps vicieusement, il frôle la gode de sa main. Sa maman ne sait ce qu'elle doit faire. Hurler ou repousser son fils qui devient de plus en plus audacieux. lentement, il saisit le gode d'une main et commence à faire un doux va-et-vient. Cloé sans savoir pour quelle raison écarte légèrement les cuisses. Serge prend soin d'enfoncer la bite factice le plus profondément possible dans le vagin, en arrachant à sa maman de faibles gémissements.


Tout en godant lentement sa maman, il lui donne de petits baisers sur le ventre qui ne cesse de frémir. la vulve ne peut retenir un flot de cyprine qui s'étend sur le lit. Le godage devient plus rapide, les gémissements de Cloé plus bruyants. De temps en temps Serge lui donne un coup de langue sur le clito gonflé de désir. Ce geste fait cabrer la maman qui grogne à chaque coup de langue. La bite factice voyage aisément dans la gaine fortement lubrifiée par l'abondante cyprine qu'elle sécrète. Les râles maintenant ressemblent à ceux d'une agonisante. Serge maintenant actionne le gode avec plus de vigueur, les pénétrations deviennent infernales. Cloé gémit comme une bête. Une violente jouissance la fait hurler, elle retombe lourdement sur le lit en haletant férocement. Serge donne encore quelques coups de gode, avant de le retirer du ventre de sa maman.

Il regarde l'orifice suintant bien ouvert et passe sa main dessus. Il le caresse longuement, insère ses doigts entres les grandes lèvres, et part à la recherche de la boule magique. Il la saisit entre ses doigts, et commence à l'agiter avec de plus en plus de rapidité. Le branlage vigoureux, fait couiner sa maman, qui délire de plaisir :

-Oh Serge mon chéri, nous sommes fous, mais c'est si bon, encore, encore, mon chéri j'ai besoin de jouir encore, vas-y, vas-y !*

les doigts habiles, ne ménage pas le clito qui enfle davantage. Tout en le branlant, ille presse plusieurs fois. Cloé se cabre en gémissant, à chaque pression sur sa perle sensible. La masturbation devient monstrueuse, Cloé grimace, elle agite son bassin en geignant comme un e bête blessée. Une seconde jouissance a fait hurler, elle dit en marmonnant :

-Oh mon chéri, tu tues ta maman, encore, n'arrêtes pas encore, encore !

Serge découvre que sa maman est une jouisseuse insatiable, et il va faire tout pour la rendre heureuse, et la faire jouir jusqu'à ce qu'elle demande grâce. Il se penche et aspire le clito devenu énorme, il le suce, le tète avec une telle férocité, que sa maman défaille :

-Oui, oui, mon chéri, continue à faire du bien à ta maman, salope !

Serge encouragé par ces mots, accentue les succions, il mordille le clito, l'étire le plus possible en faisant gémir sa maman de plaisir. les succions puissantes, finissent par trouver, ce qu'elles recherchaient. Cloé en poussant un long râle explose encore une fois. Elle se cambre terriblement en geignant, un filet intarissable de cyprine est rejeté par sa vulve en feu.

Comme une hystérique, Cloé, extirpe du pantalon de son fils, sa verge raide comme du bois. Elle la regarde, la décalotte et la gobe. Elle suce et tète comme une affamée le gland large et épais en faisant geindre de plaisir la chair de sa chair. Serge s'agrippe à sa chevelure, et donne des coups de reins de plus en plus violents. A chaque coup de reins, sa verge s'enfonce dans la gorge de sa maman qui reçoit une gorge profonde.
Un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres, ses yeux s'emplissent de larmes, mais elle subit avec courage la gorge profonde que lui inflige son fils amant.


Elle reçoit une puissante giclée, elle doit repousser son fils pour ne pas étouffer. Avec peine, elle réussit à avaler la semence épaisse que son fils lui a offert généreusement. les deux se regardent un moment, Serge présente sa queue gluante à la vulve débordante de jus, et l'enfonce d'un coup jusqu'aux couilles. La brusque pénétration, fait pousser à la maman un long gémissement. Elle s'agrippe à lui en soufflant comme un dragon. La pénétration est profonde, le gland frappe le col de l'utérus à chaque aller et retour. les râles de Cloé deviennent sonores.

la verge puissante coulisse dans les gaine gorgée de cyprine en faisant un bruit étrange. l'étui fortement dilaté par le membre qui voyage en lui, arrache à la maman des gémissements incontrôlables. l'excitation est à son comble, les coups de reins de Serge sont violents, à chaque coup, il pousse un grognement de bête, c'est comme s'il voulait faire entrer ses couilles dans le ventre de sa maman. Bien accrochée à lui, elle agite son bassin en marmonnant :

-Oh mon chéri, c'est trop bon, comme tu es puissant, frappe fort, punis ta maman incestueuse, fais lui mal mon chéri !

A la demande surprise de sa maman, Serge plaque sa bouche sur un mamelon et le mord férocement. Cloé pousse un long râle, entrecoupé de :

-Oui, oui, c'est bon !

Serge vient de découvrir que sa maman a une tendance maso, il lui mord les seins, donne des gifles violentes sur les lobes mammaires. Bien qu'elle grimace, Cloé l'encourage :

Vas-y, vas-y, corrige ta salope de maman, elle le mérite bien, oh c'est bon, encore, encore mon chéri !

La maman, en plein délire explose de jouissance en hurlant, elle serre fortement son fils dans ses bras. Serge lui pilonne le ventre comme jamais il ne l'a fait à une femme. Ses couilles frappent avec force la chatte en furie de sa maman qui geint comme une bête à chaque assaut. Enfin, il lui remplit le ventre de sperme en grognant comme un fauve.

Il se retire et observe le corps qui est secoué de spasmes violents. Cloé regarde son fils amoureusement, et elle lui dit :

-C'était merveilleux mon chéri !

Il ne répond pas, mais lui écrase un mamelon. Cloé se cabre elle dit faiblement avec dans la voix un peu de honte :

-Donne-moi une fessée mon chéri, je suis la chienne que tu dois dresser, ne la ménage surtout pas !

Elle se met sur le ventre sans attendre la réponse se son fils. Serge regarde le fessier bien rebondit de sa maman, le caresse longuement avant de donner le premier coup. Cloé se cabre, un deuxième coup plus brutal, s'abat sur sa croupe en la faisant gémir. Une volée de coups suit, la correction est sévère, Serge ne retient pas ses coups. Soudain, un long gémissements fait sursauter Serge, qui vient de comprendre que sa maman vient de jouir. Il cesse de frapper et caresse doucement les fesses rougis par les coups. Ses doigts glissent dans le large sillon, appuient sur le muscle rectal plusieurs fois, comme pour en connaitre la souplesse. Un pression plus forte, fait cabrer Cloé, la première phalange du majeur vient de disparaitre dans son anus, comme aspiré. Une seconde poussée, le fait entrer entièrement dans le rectum.

La maman ronronne comme une chatte, elle bègue :

-Mon chéri, fais de moi ce que tu veux je suis à toi !

Serge commence à fouiller l'antre étroit, il ajoute un second visiteur pour explorer le conduit anal le plus profondément possible. Cloé agite doucement sa croupe, elle répète :

-C'est bon mon chéri, ouvre-moi bien !

Un troisième doigt rejoint les deux autres. Le ramonage est profond, les doigts tournent dans la gaine anale en arrachant à la soumise des gémissements terribles. Une jouissance anale fait hurler Cloé, qui se cambre en offrant davantage son postérieur. Serge retire les visiteurs et présente sa verge à l'anus ouvert. Il m'enfonce jusqu'aux couilles d'un seul coup, en faisant rugir sa maman.


L'enculage est brutal, mais c'est cela que désir Cloé. A chaque coup de pilon elle grogne :

-Oui, oui, plus fort, plus fort mon chéri !

La bite gorgée de sang voyage dans le rectum, en faisant couiner la maman demandeuse. Ol ne faut pas longtemps pour que Cloé explose. C'est en hurlant qu'elle jouit du cul pour la seconde fois. Serge s'acharne, il ignorait que sa maman était aussi salope, et cela le réjouit. Il la défonce, en disant à chaque coups de reins :

-tiens, tiens, prends ça salope de maman, je vais te remplir le cul de mon bon jus !

Une décharge abondante remplit l'intestin de Cloé qui geint de bonheur. Il se retire et en la regardant, Serge lui murmure :

-J'aimerai te faire prendre par un copain, et t'offrir à sa jeune femme, cela te tente maman ?

Cloé sursaute et regarde son fils en fronçant les sourcils :

-Mais mon chéri, c'est la première fois que je trompe ton papa, et c'est avec toi, maintenant tu me demandes de faire la pute ?

Serge répond :

-Mais ce n'est pas faire la pute que de prendre du plaisir, tu viens de me confirmer tu es une bonne baiseuse, et que tu aspire à plus. Papa te néglige donc profite de ton corps et fais le jouir au maximum !

Cloé reste un instant figée et sans voix. Puis dit :

- C'est si rapide, laisse moi le temps de réfléchir mon chéri, il est vrai que ton papa, ne me connait plus !