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Dessins

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/09/2025

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DESSINS
Je fais partie d'une association qui aide les gens issus de quartiers et de milieux défavorisés pour que leurs talents puissent éclore.
C'est comme ça que j'ai fait la connaissance de Maeva.
Elle venait d'un quartier populaire et ses parents tiraient le diable par la queue.
Elle dessinait remarquablement bien, et son talent méritait sans nul doute d'être valorisé. Elle avait un book qui comptait des dizaines et des dizaines de dessins, faits avec des stylos, des feutres, des crayons à papier, sur des thèmes divers, des paysages, des personnes, des personnages, des scènes fantastiques, et ça explosait qu'elle avait un coup de crayon absolument fabuleux. Elle aurait pu faire une école de graphisme, d'animation, si elle avait eu de l'argent, une bourse. Assez ironiquement, ses parents, contremaître pour le père, agent d'entretien pour la mère, dépassaient de quarante euros la somme admise pour un droit à une bourse.
Je suis graphiste. Je travaille pour une agence publicitaire, je fais aussi des projets pour moi, des dessins sur un site, et des illustrations pour des éditeurs. Et j'ai énormément de matériel. Le lien entre Maeva et moi était tout trouvé. On s'est rencontrés pour la première fois au siège de l'association. C'était une jolie blonde, pas très grande, et très ronde, souriante et optimiste, bien que les chances ne soient pas totalement de son côté. Elle respirait la joie de vivre.
Ma proposition était simple: je lui mettais à disposition mon grand atelier, celui que j'avais installé à côté de chez moi, et où je travaillais quasiment tout le temps. En effet, deux matinées par semaine, je partais à la rencontre de mes commanditaires, et je pouvais donc lui proposer le lieu où je n'étais pas. Elle aurait du matériel de meilleure qualité que celui qu'elle avait pour le moment. Je lui proposais même une tablette graphique, au cas où elle voulait concevoir autrement.
Cette proposition l'a enchantée. Enthousiaste, elle s'est précipitée et elle m'a sauté dans les bras. J'ai senti l'épaisseur de son corps, sa chaleur, les formes de seins ronds, d'un ventre rond...J'ai rentré le mien, saisi par une énorme érection.
Notre relation a été particulière. Je lui ai donné un double de mes clefs, dans une confiance totale, de la sorte, elle pouvait accéder à l'atelier, mais si elle le souhaitait, elle pouvait aussi aller à la maison, si elle avait faim par exemple.
Ironiquement, nous ne nous croiserions pas, puisque ces matins-là, je partais très tôt, et je rentrais sur le coup de 14 ou 15 heures.
Mais j'aimais bien l'idée que quelqu'un comme elle puisse occuper les lieux. D'abord je contribuais à lui permettre de développer un talent que je trouvais bien réel. Ensuite, j'avais été très sensible à son charme. Non sans culpabiliser d'ailleurs. Elle avait 20 ans, j'en avais 38, elle appartenait en plus à une association dans laquelle je tutorais des gens...Mais elle me plaisait et m'avait énormément plu...Il y avait en elle de la chaleur, de la fraîcheur, et puis un corps voluptueux comme je les aimais...Ça faisait quelques mois que je ne vivais plus avec personne...Je n'y pensais plus trop d'ailleurs, parce que ça marchait bien pour moi, et je consacrais tout mon temps au travail...
Ça a été la deuxième semaine que j'ai remarqué qu'elle laissait quelque chose.
Mon atelier était immense, et pas forcément bien rangé, et c'est en recherchant des ébauches que je voulais développer, que j'ai trouvé trois dessins, pas forcément cachés d'ailleurs, qu'elle avait laissés.
Une manière de me remercier sans doute.
Il y avait trois dates, qui correspondaient aux trois fois où elle était déjà venue, et sa signature, donc les dessins avaient été faits par elle.
J'avais déjà remarqué qu'elle aimait, très simplement, travailler avec une pointe Bic, et ils avaient été faits avec, et sans doute sans y passer trop heures, mais elle avait un coup de main tellement sûr... Comme elle me l'avait dit, je dessine, sans arrêt, sans arrêt pour m'améliorer. Bien sûr, il y avait le talent au départ...Mais aussi pas mal de travail. J'étais d'ailleurs absolument convaincu qu'il s'agissait d'une question de temps avant que son talent n'éclate vraiment et qu'elle ne soit aussi demandée que moi.
Sur les trois dessins, elle s'était mise en scène dans des poses qui tenaient plus de la pornographie que de l'érotisme. Entièrement ou partiellement nue, et se masturbant. Sur le premier, elle était calée sur un siège, j'avais bien reconnu le fauteuil rond et creux, hommage aux années 70 que j'avais dans la pièce, et, entièrement nue, elle tirait sur une lèvre d'un sexe qu'elle avait dessiné avec une précision de détail, comme le reste de son corps et de son visage d'ailleurs. Elle était plus vraie que vraie.
Sur le deuxième dessin, elle était calée devant le frigo, ouvert, sur une chaise, et elle enfonçait un gode entre les lèvres de son sexe, la tête en arrière, yeux mi-clos, avec une expression de plaisir sur le visage. Et le troisième, elle était à quatre pattes, totalement nue aussi, cul tendu vers celui qui regardait, et elle poussait le même gode ou un gode ressemblant dans sa chatte, tête tournée vers moi, puisque le dessin m'était destiné, je l'ai bien compris, avec une expression qui disait clairement: 'Tu peux me baiser autant que tu veux...Viens remplacer le gode avec ta queue!'
Il y a des situations où on se sent peu de choses, et où on ne sait trop quoi faire. C'est bien ce qui m'est arrivé. Ces dessins étaient vraiment très puissants, très érotiques, elle avait un coup de patte extraordinaire, ce qui n'est pas donné à tout le monde. C'était elle, la créature de papier, c'était bien elle, dévoilée, magnifiée, troublante au possible. S'offrant ainsi. Comment rester indifférent, d'autant que, que je l'admette ou non, elle m'avait troublé dès la première seconde.
Ça a continué comme ça pendant un moment. Chaque visite se soldait pas un dessin plus puissant pour moi qu'une estampe japonaise. Des positions ultra-troublantes, pour se masturber, une nudité offerte, une expression qui disait à quel point elle s'offrait...
J'avais envie de lui faire un mot, de lui dire qu'il ne fallait pas continuer sur cette voie, et en même temps, pourtant, j'en avais terriblement envie. Difficile de savoir quoi faire. J'avais envie d'elle, et en même temps, je me le reprochais.
Ça faisait un mois qu'on fonctionnait sur ce schéma quand les choses ont changé.
Je suis rentré un mardi après-midi, et tout était différent. En fait, clairement, j'ai senti une présence dans la maison...J'ai d'abord été inquiet, parce que j'ai pensé à un cambriolage. Et puis en partant vers l'étage, j'ai senti un parfum, un parfum agréable. J'ai pensé qu'il me rappelait quelque chose avant de comprendre que oui, il me rappelait quelque chose: c'était celui que portait la jeune femme que je tutorais.
Elle était allongée dans mon lit, défait, entièrement nue, et les dessins qu'elle avait pu faire la rendaient parfaitement. Un corps pulpeux, des formes pleines, pas mal d'audace dans le regard, sur le visage...Elle se masturbait, faisant tourner ses doigts au niveau de son gland clitoridien, qui était gonflé de sang, en érection donc. Son sexe était dilaté et ses liquides intimes coulaient d'elle, un flux abondant.
— Je t'attendais. J'ai envie que tu me baises. Tu vois je suis prête.
— Il n'y a pas de dessin aujourd'hui?
— Aujourd'hui, il y a la réalité. Moi, en trois dimensions. Tu aurais préféré un dessin?
— Je ne suis pas sûr que tu aies fait un bon choix. Il y a beaucoup de choses qui nous séparent...A commencer par l'âge...
--Il y en a aussi beaucoup qui nous rapprochent. Quand je t'ai vu pour la première fois, tu m'as aussitôt plu. Et c'est réciproque,non? Nous sommes deux artistes, c'est un autre point commun, et un point commun important. Et j'ai bien vu que je te plaisais aussi. Viens au lit avec moi.
Je sentais que je faiblissais. Comment pouvait-il en être autrement, d'ailleurs? Elle était là, nue, offerte, se caressant, avec une envie de sexe qui la tenaillait. Elle avait su faire habilement monter en moi une envie sinon similaire, du moins proche, en m'offrant ses dessins, suggestifs et puissants. Et puis, c'était bien vrai, dès les premiers moments, elle m'avait attirée. Il y avait des filles qui dégageaient quelque chose de très fort. D'autres non. Elle, clairement, elle dégageait quelque chose d'intense, un goût pour le sexe très très fort...
Je suis venu me caler sur le lit près d'elle. Pendant qu'elle continuait de se masturber, autant pour me provoquer, m'allumer, que pour avoir du plaisir, j'ai amené mes mains sur elle, sur ses formes pleines, opulentes, avec sans doute quelques kilos en trop. Elle avait des cuisses, des seins, des fesses...J'ai effleuré son corps, lui laissant à elle son sexe. Elle avait la peau douce, parfumée, et sa chaleur, si intense, montait dans mon corps. Difficile de ne pas éprouver du plaisir à son contact. Elle a gémi et je me suis demandé si c'était parce qu'elle se masturbait, parce que je la caressais, ou les deux réunis. Elle ruisselait, trempant les draps, trempant ses chairs qui luisaient. Je me suis penché sur un de ses tétons, érigé, j'ai enveloppé le bout de son sein de mes lèvres, et je suis venu frotter le téton. Elle a gémi de plaisir, et le téton s'est allongé encore plus dans ma bouche.
Je suis passé à l'autre pendant qu'elle venait chercher ma queue dans mon pantalon, lâchant sa moule bien ouverte, dont les muqueuses internes, roses, étaient visibles aussi bien en largeur qu'en profondeur. Son clitoris était en pleine érection, fin et long.
Elle m'a défait pendant que je travaillais son deuxième téton, a trouvé une queue gorgée de sang qu'elle a caressé doucement.
Je me posais encore beaucoup de questions, mais j'étais dans un moment où je ne me voyais pas reculer. J'avais envie, très envie. Les remords seraient pour plus tard.
On a basculé sur d'autres moments, d'autres positions...
Elle est venue vers moi, m'a poussé en arrière, et a entamé des caresses sur ma queue, venant balader sa langue dessus, me mettant dans tous mes états, avant de me gainer de sa bouche, et de faire aller et venir celle-ci sur ma verge. Un copain m'avait dit un jour qu'entre être dans le vagin d'une fille et dans sa bouche, il optait plus facilement pour la deuxième possibilité. Je ne partageais pas forcément ce point de vue, mais c'était vrai qu'il y avait quelque chose de vraiment être bon à être dans sa cavité buccale. Elle s'immobilisait par moments, laissant ma queue simplement reposer dans cet antre chaud et humide. Venait agacer mon gland de sa langue. Reprenait le va-et-vient. S'immobilisait à nouveau. Tentait une autre technique, frottant ma hampe.
Je ne sais pas comment j'ai tenu. Et c'est sans doute parce que je ne tenais plus que je me suis dégagé et que, l'attrapant par les hanches, je l'ai faite basculer, pour venir caler ma tête entre ses jambes. J'aurais pu lui faire un cunni de bien des façons, j'ai opté pour sucer ce gland clitoridien fin, mais suffisamment conséquent pour que je puisse le prendre dans ma bouche et faire aller et venir celle-ci dessus. Les cris qu'elle poussait me faisaient clairement comprendre que c'était, au cas où j'en aurais douté, une zone hyper-sensible. Elle n'a pas arrêtéde crier tout le temps que j'ai sucé son clitoris, et de couler, m'arrosant le bas du visage de ses liquides les plus intimes, qui devenaient, au fur et à mesure, plus épais.
— Mets ta queue dedans, maintenant, j'en ai trop envie. Depuis que je te connais, quand je me branle, c'est en pensant à ta queue. Je veux que tu la mettes dedans et que tu me fouilles bien. Tu crois que c'est possible?
— C'est largement envisageable.
— Tu as des capotes, au moins²?
Coup de chance, parce que je n'avais pas planifié ce qui se passait, j'avais effectivement une boite de préservatifs dans le tiroir de la table de chevet. J'ai récupéré la boite, pendant qu'elle compensait ce moment de délaissement en se fourrant deux doigts dans la chatte et en les faisant aller et venir avec des bruits visqueux. Quand elle poussait ses doigts en elle, du liquide jaillissait autour.
J'ai vérifié la date de péremption. Elle était encore lointaine. Bon, on était bien partis.
Elle m'a arraché le préservatif emballé pour déchirer l'enveloppe d'alu et venir poser la rondelle de latex sur mon gland. J'avais rarement été aussi gros, et pour plein de raisons. Le désir qu'elle m'inspirait bien sûr, tout près de moi, ainsi offerte, mais surtout la persistance de ce désir depuis plusieurs semaines, qui pouvait enfin s'exprimer. Ce moment rattrapait tant de jours de désir dans une manifestation massive. Ma tige s'était allongée, épaissie, mon gland très volumineux, et je suintais autant qu'elle mouillait. Elle est venue planter sa langue dans mon méat, l'a poussée aussi loin qu'elle le pouvait, cherchant autant à forer dans ma chair et aller plus loin qu'à laper mon jus. Je n'aurais pas tenu bien longtemps, elle l'a compris et elle s'est dégagée. La suite a été plus traditionnelle. Elle a ajusté le latex sur ma queue, le descendant quasiment jusqu'à la racine de ma queue. Je l'ai laissée prendre la main, enfin dans ce cas c'était plutôt prendre ma queue. Elle est venue se caler au-dessus. Il y avait quelque chose d'extatique sur son visage. Un rêve enfin accompli. Elle s'est laissé descendre vers ma verge, l'a guidée du bout des doigts vers l'ouverture de son sexe...Et c'est rentré...Je m'étais ces derniers temps plus consacré à mon travail qu'à la recherche d'une femme, ou plus simplement du plaisir sexuel. Tout revenait, et avec d'autant plus de force qu'elle était très attirante, elle me plaisait en tout cas, elle n'aurait pas forcément plu à d'autres...Pour moi, elle avait la sensualité, la volupté que j'appréciais chez beaucoup de femmes. Mais sans doute aussi plus simplement, je redécouvrais avec elle des sensations très simples que j'avais oubliées, et qui m'auraient donné du plaisir avec n'importe quelle femme, Comme d'être enveloppé par ce sexe chaud, gaine de chair d'une extrême délicatesse, dont la caresse, alors que nos sexes se frottaient, me donnaient infiniment de plaisir, comme sans doute sentir ma queue caresser ses parois intimes la mettait dans tous ses états. J'avais rarement eu une partenaire qui semblait prendre autant de plaisir. Elle se frottait les pointes des seins pour avoir plus de plaisir, enfin c'était ce que j'imaginais.
Tout en restant accrochée à moi, elle m'a entraîné dans d'autres positions, son dos contre mon ventre, ma queue allant et venant dans sa muqueuse sous un autre angle, pour un plaisir aux nuances différentes, puis se redressant, m'attrapant pour que ma queue ne quitte pas sa vulve, glissant à quatre pattes, et me collant à elle pour que je la remplisse bien et que je la fouille bien aussi.
— Je sens que je vais bientôt jouir. Je veux qu'on jouisse chacun dans la bouche de l'autre.
On s'est calés tête-bêche, mais dans une figure circulaire.
— Le premier qui joui a perdu, et l'autre a le droit de lui faire ce qu'il veut pour le round deux.
— Parce que tu as prévu le round 2?
— On ne va pas s'arrêter en si bon chemin. Mais pour l'instant...
Plus que l'habileté de ses caresses, ce qui me plaisait, c'était de voir qu'elle avait envie, d'une manière vraiment intense, et qu'elle se donnait à fond, caressant ma queue en la frottant de la langue, en faisant aller et venir sa bouche dessus, de telle sorte que je sentais le plaisir monter en moi, sans pouvoir rien retenir. Mais elle n'était pas lotie à une meilleure enseigne, parce que je m'acharnais sur son entrejambes ruisselant, masturbant d'une main son gland clitoridien, qui, en ces moments où elle était dilatée à l'extrême, avait des dimensions que je n'avais jamais observées auparavant, il s'était encore allongé, et avait pris de l'épaisseur, et léchant ses chairs qui étaient toutes gonflées. Je m'étais concentré sur un aspect d'elle, glissant ma langue à l'entrée de son sexe, suffisamment ouvert pour que j'aie un accès aisé, et venant frotter, en essayant d'aller haut, ses parois internes, la bouche remplie de ses ruissellements. J'ai senti clairement son orgasme arriver. J'ai senti aussi le mien arriver...Difficile de dire lequel d'entre nous à joui le premier. En fait ça a été quasi simultané. Elle a poussé un cri, un vrai cri, qui a du alerter tout le voisinage, et aux liquides translucides qui se déversaient dans ma bouche ont succédé des jaillissements crémeux et épais qui ressemblaient à du sperme, mais n'en étaient pas, très crémeux, ils ont rempli ma bouche, tandis que moi, je crachais mon sperme dans sa bouche, qu'elle avait resserré pour ne rien laisser perdre. Abreuvés de liquide, nous sommes restés accrochés l'un à l'autre, avec en ce qui me concernait, un sentiment de plénitude qui était lié au plaisir que je venais de ressentir tout autant qu'à la joie d'être avec elle. J'avais le sentiment qu'on s'accordait bien, au moins pour le plaisir.
— J'ai joui une seconde avant toi, je lui ai dit, j'ai perdu.
Sans un mot, elle s'est dégagée du lit, me laissant profiter de son corps à l'oeil nu, et elle a été fouiller dans un très grand sac en cuir rouge. Elle en a tiré un objet dont j'ai eu du mal à matérialiser la forme et l'utilisation, avant de comprendre qu'il s'agissait d'une queue en plastique modelée sans doute grossièrement, et sans la volonté de faire une reproduction, comme c'était le cas pour certaines queues artificielles. Je ne l'avais pas remarqué immédiatement, mais dans son autre main, elle avait un tube, avec sans aucun doute dedans une crème, un gel, dont j'ignorais l'utilité, en tout cas je n'arrivais pas à lire les lignes trop petites.
— J'ai envie te de baiser moi aussi. D'avoir les sensations qu'on peut ressentir quand on pénètre quelqu'un. Alors bien sûr, ce n'était pas une vraie queue, mais crois-moi ,les sensations, je les ai.
Elle a pris le gode, et elle en a rentré une extrémité dans son vagin. C'était une grosse boule irrégulière, et j'ai compris que c'était une queue postiche nouvelle génération. Qu'elle n'avait pas besoin de harnachement, mais plutôt qu'elle se calait tout naturellement dans sa vulve, grâce au dessin de la prothèse, et qu'elle restait stable...C'était vraiment, plus que si elle avait été harnachée, comme si une queue lui était poussée, et elle devait avoir cette sensation.
Comme si elle lisait dans mes pensées, elle m'a dit:
— C'est bon, tellement bon comme ça...Avant j'avais un harnachement...Le gode frottait contre ma vulve, ça me mettait dans tous mes états...Là c'est encore mieux. Le socle est dedans...Il y a du plaisir dès les premières secondes...Ça me rend folle...Ah si tu savais...Mais toi aussi tu vas avoir du plaisir...Tu t'es déjà fait sodomiser par un homme ou une femme?
— Ça ne m'est jamais arrivé, je lui ai répondu.
J'avais eu une période, lointaine aujourd'hui, mais jamais oubliée, où j'avais noué une relation homosexuelle avec un garçon...On avait fait pas mal de choses ensemble, mais, jamais, il n'y avait eu de pénétration. On s'embrassait, on se masturbait mutuellement, on se suçait la queue...Ça n'avait pas été plus loin...
Mais c'était déjà beaucoup, et j'aurais sans doute été avec un autre homme si l'occasion s'était présentée. Ce qui comptait pour moi, c'étaient les élans du cœur, et la proximité.
Elle allait me sodomiser, mais je n'aurais pas dit non. Au contraire, c'était un grand, un immense oui. C'était une expérience nouvelle, et je savais que, si elle et moi nous allions plus loin, il y avait et il y aurait de l'imagination, de la créativité, de la différence. C'était une artiste, elle créait. Tous les artistes sortent des sentiers battus, même pour le sexe.
— Regarde, c'est de la lidocaïne...C'est pour éviter que tu aies mal. Quand ton anus sera détendu, on n'en aura plus besoin. Et tu en redemanderas. Par le cul, le plaisir est cent fois plus fort. Pour les garçons, mais pour les filles aussi.
Tout était dit, mais je ne m'attendais pas à ce qu'elle fasse ce qu'elle a fait, ce que même mon copain ne m'avait jamais fait. Elle a plongé entre mes cuisses, délaissant ma queue ou mes couilles, pour venir appuyer sur ma zone anale, me caressant de la pointe de la langue avec ardeur. Je n'aurais pas imaginé que ça puisse être aussi bon. Ça a été curieux en tout cas, parce que ma zone de plaisir a été décalée, passant de ma queue à mon anus, et j'ai en partie débandé. Elle a attrapé ma queue, la masturbant pendant qu'elle continuait de caresser ma muqueuse anale, et j'ai bien senti que les choses s'équilibraient.
Elle a enfin attrapé le tube de lidocaine, en a déposé une noisette sur la pulpe de son index, et elle a frotté mon anus. Je me suis demandé si ça n'allait pas anesthésier mon plaisir. Et puis j'ai cessé de me poser des questions. Elle est venue se caler sur moi, posant le gland contre ma muqueuse anale. Elle a commencé à rentrer en moi. Je craignais que la lidocaine n'anesthésie mes sensations, mais il n'en a rien été. J'ai eu le plaisir sans la douleur. Un plaisir intense. Elle m'a pénétré très lentement. Son visage, son expression m'ont dit très clairement qu'il y avait un effet boomerang et qu'elle aussi éprouvait du plaisir. Elle m'a rempli peu à peu. Quand elle a été aussi loin qu'elle le pouvait, elle a attrapé ma queue, qui avait sérieusement dégonflé, et elle l'a masturbée. Ça a été pour cette première fois, une sorte de balance entre ma queue et mon anus, une sphère globale de plaisir, mais avec des pointes d'un côté ou de l'autre. Les fois suivantes, puisque fois suivantes il y a eu, ça a été mieux réparti.
Elle s'est mise à bouger en moi. Du plaisir à l'état pur, Elle revenait régulièrement masturber ma queue, gérant aussi son plaisir à elle, qui n'était pas négligeable.
Le plaisir est venu très vite, que j'ai tenté de ralentir, mais qui a bientôt explosé en moi. Il y a eu un moment où ma queue s'est érigée, est restée érigée, grosse comme elle n'avait jamais été grosse...Une vague de plaisir a envahi mon corps, comme rarement, dont le meilleur signe a sans doute été les jaillissements de sperme, si copieux, qui sont sortis de mes couilles. Jamais, je crois, je ne m'étais vidé comme ça. J'ai crié mon plaisir, qui est arrivé avant le sien...Elle a crié, s'est tordue, éjaculant autour du socle du gode.
Il faut savoir accepter ce qui vient vers soi. Assez curieusement, après ce moment, je n'avais plus aucun regret, je ne me faisais plus aucun reproche...Les choses étaient ce qu'elles étaient, Il y avait ce plaisir ensemble, cette complicité entre nous, pour le sexe et ensuite pour d'autres choses.
Bref, quand elle venait, je n'étais pas là, mais quand moi j'arrivais, elle était là.
Pour le meilleur...et pour le meilleur.
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Histoire de JamesB

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