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Un couple a la recherche, d'une libido perdue 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 18/08/2025

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Un couple à la recherche d'une libido perdue 1


Marcel et Maryse, mariés depuis de nombreuses années, s'aiment vraiment, mais la routine s'installe dans leur vie sexuelle. Leurs ébats ne sont plus aussi explosifs qu'avant, au fil des mois ils se dégradent.

Marcel projette, de faire subir à sa femme l'amour pluriel, et cela l'excite tellement,
qu'un soir dans le lit, en la caressant, il lui en parle. Maryse elle très outrée par cette proposition indécente, réplique :


-Mais Marcel, tu deviens fou, c'est quoi cette idée de dépravé. Mais ou vas-tu chercher des délires pareils, tu veux me partager avec d'autres, mon corps n'est pas un objet, que l'on peut prêter. je suis ta femme et non un jouet !

Marcel se plaque contre elle, il lui prend doucement la main et la pose sur son sexe tendu comme un arc, et dit faiblement :

-Tu sais très bien que nos baises, ne sont plus aussi ardentes, que nos désires, s'épuisent. Notre libido diminue, est un jour, elle va finir par s'éteindre. Sens dans quel état que je suis en t'imaginant, sucer un autre bite que la mienne, et prendre dans le ventre un membre puissant qui te dilate la chatte !

Maryse se raidit, mais ne répond pas immédiatement, elle sait que leurs ébats sont moins fougueux et voir bâclés. Avant de parler, elle presse le membre et répond :

-Mon chéri, tu as une imagination trop fertile, suppose un instant que je devienne accro à d'autres membres, et qu'il m'en faut de plus en plus, tu réagirai comment ?

En sursautant, Marcel réplique :

-Mais je ne demande que cela, que tu sois prise comme une chienne et que tu jouisses comme une malade, c'est un fantasme que j'ai depuis longtemps !

En secouant la tête négativement, Maryse pousse un gros soupir et lâche l'engin gonflé de désir. Marcel passe sa main sous la nuisette, et la passe sur le ventre plat de sa femme en faisant de petits cercles. Elle s'approche de plus en plus de sa vulve. Le coquin lui souffle à l'oreille :

- Ma chérie, ferme les yeux, et imagine que c'est la main d'un autre !

Sans réfléchir plus, Maryse ferme les yeux. Au fil des minutes, sa respiration s'accélère, son souffle devient rapide. la main douce qui la caresse, n'est plus celle de son mari, mais celle d'un autre homme. Les doigts agiles glissent sur sa vulve, caressent délicatement les grandes lèvres, avant de s'insérer dans le sillon qui sépare les deux lèvres bien dessinées. les intrus montent et descendent délicatement dans le sillon, avant de s'accrocher à la boule magique, qui a déjà pris du volume. Très doucement, il l'agite entre son pouce et son index. Maryse se cambre en geignant, sa peau frissonne, son corps tremblant est fébrile.

Marcel regarde sa femme, toujours yeux fermés, elle agite son bassin. Peu à peu, Marcel retrouve la femme chaude qu'elle était, il y a quelques années, elle marmonne :

-Oui, oui, encore n'arrête pas, n'arrête pas !

Les doigts souples de Marcel, savent faire cabrer la femme, qui retrouve avec son imagination, de nouveau les plaisirs du sexe. Un violente jouissance la fait hurler. C'est si violent que Marcel sursaute. Il retire sa main , sa femme haletant croise son regard, il lui demande en souriant :

-Alors ma chérie, avec qui tu as joui ?

Maryse ravale sa salive et avec des trémolos dans la voix et beaucoup de la gêne, répond :

-Oh mon chéri, j'ai honte de te l'avouer, mais j'imaginais que c'était Pierre notre voisin !

Il faut dire que Pierre à un certain âge, et cela étonne Serge, qui retire son boxer, retrousse sa nuisette et prend place entre ses cuisses. Il dit en souriant :

-Pense encore à lui ma chérie :

Et il lui enfonce sa verge profondément dans le ventre, et la chevauche comme un soudard. Sa bite puissante en voyageant dans le ventre de Maryse, lui arrache des gémissements rauques, elle s'accroche à lui en donnant elle aussi des coups de reins violents. Elle lui griffe le dos, lui mord l'épaule. Ses gémissements ont un autres son, que ceux qu'elle faisait lorsqu'ils faisaient l'amour, avant cette étreinte fougueuse.
Cela encourage Serge qui la défonce avec force et vigueur. Maryse jouit terriblement en serrant fortement son mari dans ses bras. Dans un ultime assaut, il lui remplit le ventre de semence. les deux s'endorment enlacés jusqu'au matin. Serge est le premier debout, toujours en boxer, il prépare le petit déjeuner, et attend que sa femme descende.

Enfin elle descend, un à un l'escalier en s'étirant fortement comme un félin. Son bassin balance comme une danseuse orientale. Sa courte nuisette transparente, cache mal ses formes. Serge en souriant la dévore des yeux, son regard ne quitte le bas-ventre. Il distingue la fine toison au travers le fin tissu. Il n'en revient encore pas que sa femme c'est donnée à lui comme une chienne hier soir. Il va faire son possible pour qu'elle accepte d'avoir d'autres partenaires.

Il l'imagine soumise à des amants vigoureux qui la font hurler de plaisir. Elle approche de lui, en lui souriant, elle semble radieuse. Elle l'embrasse, il en profite pour passer sa main sous la nuisette. Il constate que les poils du pubis sont enduits de sperme séché. Cela le fait sourire, et en l'embrassant fougueusement, il lui enfonce deux doigts dans le vagin. Maryse se cabre et dit :

-Ce n'est pas le moment mon chéri !

C'est déçu que Serge retire ses doigts du temple, qu'il dompte faire visiter à d'autres personnes. Le petit déjeuner se passe tranquillement, quelques allusions à l'ébats de la veille, font sourire Maryse. Serge lui parle encore, de son fantasme, qui est de faire participer d'autres partenaires aux ébats. Maryse se crispe, se pince les lèvres et répond :

-Mon chéri, mais tu es obsédé par cette idée, j'admets que cela est tentant, mais je ne suis pas encore prête pour sauter le pas, j'aurai l'impression d'être une grosse salope, voir une pute, qui trompe son mari devant lui !

Serge en la serrant tendrement contre lui, dit avec un petit sourire vicieux :

-J'aimerai que tu sois une grosse salope, que tu bouffes des bites que tu en prennes dans le ventre et même dans le cul, oh comme c'est bon de t'imaginer soumise et vorace !

En haussant les épaules Maryse réplique :

-Serge, tu me vois défoncé par de nombreuses bites, et cela t'excite. Je rêve là ou je deviens folle !

Il l'embrasse, il ressent chez elle, comme une excitation, son corps se met à frissonner. elle se frotte contre lui, en agitant son bassin contre le sien. Rapidement la verge de Serge s'éveille. Elle l'extirpe de son boxer, tombe à genoux la décalotte. Elle approche sa tête de l'objet convoité, ouvre la bouche et le gobe. Elle suce et tète comme jamais elle ne l'a fait. Serge découvre une autre femme en Maryse, elle suce et tête en poussant des gémissements qu'elle ne peut contenir. Pendant de longues minutes, elle s'acharne sur le gland large de son mari qui finit par lui remplir a bouche de semence. Elle se redresse, pince les lèvres, regarde son mari, et avale la crème onctueuse qui glisse doucement dans sa gorge.

Il lui dit en souriant :

-C'est mon sperme, ou celui d'un inconnu que tu viens d'avaler ?

Maryse se blottit contre lui et lui dit en miaulant :

-Imbécile, je t'aime !

Il enfonce le clou :

-Si tu m'aimes, acceptes ma proposition !

En se pinçant les lèvres, avec un moment d'hésitation, elle dit entre deux respirations :

-D'accord mon chéri, je suis disposer à faire ce que tu veux !


Serge fou de joie, l'embrasse comme un fou, les langues se nouent, un flot de salive s'échange. Après une bonne douche, Serge et Maryse, cherchent sur le net une boite spéciale pour échangismes. Il y en a une à quelques kilomètres, ils regardent les commentaires qu'ils y a, ils semblent flatteur. Serge note l'adresse, et décide avec l'accord de Maryse de s'y rendre le samedi prochain, pour 22 heures. Le samedi matin, Maryse ne tient plus en place, elle est nerveuse, stresse à mort. Plus l'heure approche plus elle panique. Sous les conseils de son mari, elle enfile une tenue sexy. jupe courte qui lui arrive à mi-cuisses, et corsage bien échancré, surtout pas de sous vêtements.

Elle se contorsionne devant le miroir de la chambre, observe toutes ses formes, et en faisant une moue, dit :

-Serge mon chéri, j'ai l'air d'une pute attifée comme ça, jamais, je n'oserai me montrer là-bas !

Serge l'enlace et lui dit :

-Tu es magnifique, tu vas faire un malheur dans la boite, rien qu'à te regarder, je bande, regarde. En effet, une bosse commence à déformer son pantalon !

Maryse la saisit brutalement et la presse fortement avant de la lâcher. Elle dit :

-Mais toi une chèvre avec un chapeau te ferai bander !

Serge éclate de rire, il lui donne un baiser très appuyé sur la nuque. Enfin Maryse, en soupirant fortement dit :

-Bon, s'il faut ressembler à une pute pour allez la bas, eh bien je suis prête !

Après quelques kilomètres en voiture, ils arrivent dans un grand parc. Ils garent la voiture, et font quelques pas pour enfin arriver à l'entrée, un homme en garde l'accès. Il les oriente vers le bar. Devant le bar de hauts tabourets, sur l'un d'en eux, une femme, sirote un verre de champagne. Maryse prend place à côté de l'inconnue, et Serge s'assoit près de sa femme. Les deux femmes, se dévisagent longuement avant de se saluer. La femme a de belles formes, elle à les jambes croisées ce qui fait remonter au maximum sa jupe sur ses cuisses. De temps en temps, Maryse pose ses yeux dessus. La femme demande :

-Vous êtes nouveaux ici, je ne vous ai jamais vu ?

Maryse un peu gênée répond timidement :

-Oui c'est la première fois !

La femme en souriant dit :

-Ici vous trouverez tous les plaisirs du sexe, c'est d'ailleurs pour cela que je viens aussi si souvent !

La femme trinque avec les nouveaux venus, la confiance comme à s'installer. Ils se présentent. La femme voluptueuse se prénomme Olga. Serge, lui offre un verre, le tutoiement s'impose. Au fil des minutes, Olga pose sa main sur la cuisse de Maryse, et en la caressant doucement lui dit :

-Tu as de belles cuisses, on doit y être bien entre !

La main monte doucement et atteint l'entrejambes, les doigts glissent délicatement, sur la fente, sans protection. Maryse rougit, un peu paniquée, elle regarde son mari, qui lui souffle à l'oreille :

- Tu es ici pour redevenir a Maryse d'autre fois, ose te faire plaisir ma chérie !

En ravalant sa salive, Maryse ouvre légèrement les cuisses, elle tremble. Les doigts passent de nombreuses fois sur les grandes lèvres, en les faisant gonfler. La femme retire sa main et dit :

- Venez nous allons trouver une alcôve, nous serons plus à l'aise !


Olga les entraine dans le lieu prévu à la débauche. Elle dit :

-Mettons nous nus mes chéris, il me presse de prendre du plaisir avec vous !

Les trois acteurs se mettent nus, Serge regarde le corps d'Olga en salivant, elle regarde la verge endormit qui pend sur le bas ventre velu de Serge. Mais rapidement, elle enlace Maryse, la regarde dans les yeux et lui dit :

-Tu dois être vachement bonne toi, je le sens !

Elle pose ses lèvres sur celles de Maryse qui frémit. Les langues se nouent, le baiser dure un long moment. Serge est émerveillé par le courage qu'à se femme de se livrer aux plaisirs lesbiens, pour la première fois de sa vie. Les deux femmes roulent sur la paillasse, se caressent longuement, se tâtant les formes. Rapidement les chattes suintent, Maryse est une bonne élève, elle apprend vite, elle se retrouve sur Olga tête bèche. les bouches voraces se fouilles le ventre, glissent sur les anus frétillants, et aspirent le jus qu'elles récoltent.

Serge bande comme un cerf, il s'approche du duo en folie, et la première bouche qui se relève pour respirer, il lui offre son gland épais. C'est Olga qui est l'heureuse élue, elle suce et tète comme une affamée, pendant que Maryse lui fouille les orifices de sa langue. Serge change de méthode il saisit sa femme par es hanches et lui plante sa bite tendue dans le ventre, il lui besogne la chatte comme un soudard, la défonce comme un forcené. De temps en temps, il redonne sa queue à sucer à Olga, qui pendant que Serge travaillait la chatte de sa femme, donnait de grand coup de langue bien ajustées, sur le clito de la soumise.

Maryse est déchainée, elle donne des coups de croupe, tout en dévorant la chatte d'Olga. Les deux femmes geignent comme des bêtes. Maryse explose en poussant un hurlement. Olga rapidement s'empare de la queue de serge et le suce jusqu'à ce qu'elle reçoive sa récompense. Un flot visqueux lui remplit la bouche, elle avale sans rechigner la semence au gout suave. Maryse descend de sa monture, elle est radieuse. Sa chatte gorgée de sperme suinte. Olga en souriant dit :

-Oh la vache il t'a bien remplit le salaud, à moi maintenant, pour toi ma chérie, je vais chercher un ami, qui est un amant merveilleux, je l'ai aperçu avant d'entrée dans l'alcôve !

Olga s'absente quelques minutes. Pour patienter, le couple ne reste pas inactif. Maryse dévore la bite de son mari, qui geint grimaçant. Olga revient, elle est accompagnée par un homme. Serge et Maryse sursautent, cette personne n'est autre que Pierre leur voisin. Lui aussi est surprit de les voir là. Maryse rouge comme une pivoine, plaque ses mains sur ses parties intimes, elle est très gênée elle n'ose le regarder. Serge dit en souriant :

-Ma femme et moi cherchions de quoi pimenter notre vis sexuelle, c'est pour cela que nous sommes ici !

Pierre répond au sourire par une autre sourire et répond :

- Lucette et loi venions ici depuis pas mal d'années, nous pouvons ici réaliser tous nous délires !

Serge fait des grands yeux et demande :

-ta femme est là aussi si je comprends bien !

Pierre l'affirme, et dit :

-J'irai la chercher, dès qu'elle en aura finit avec son partenaire !

Maryse reste sans voix, elle connait ses voisins depuis de longues années, jamais elle n'aurait imaginé que malgré leurs âges, ce sont des échangistes. Pierre ajoute :

-Olga m'a demandée de venir, je pense que c'est pour toi Maryse ?

Olga répond :

-Oui, je vais me faire son mari, pendant que toi tu honoreras Maryse !

Pierre sourit et dit :

-Cela me fait grand plaisir, souvent je disais à Lucette, Maryse à un cul d'enfer je me la pointerai bien !

Serge éclate de rire et réplique :

-Il un a peu de temps lorsque je lui faisais l'amour, je lui est demander d'imaginer, que c'est une autre personne qui la prend. Une fois qu'elle à jouir, je lui est demandé à qui elle pensait, eh bien elle à rependue Pierre !

Pierre surprit répond :

-J'espère, que je vais être à la hauteur de son désir. Commence par me sucer ma chérie !

Maryse, ravale sa salive et comme un automate s'approche de l'homme mûr. Elle saisit en tremblant sa verge et commence à l'agiter. Serge est estomaqué, sa femme est bien disposée à prendre dans les entrailles la bite d'autres hommes. Pendant que Maryse branle allégrement Pierre, Olga s'occupe de la queue de Serge. Elle la gobe, et lui fait une fellation extraordinaire qui lui fait pousser des grognements de bête.

Maryse semble hypnotisée par la queue de Pierre, elle l'observe tout en l'agitant. Il est vrai, que le bougre est bien doté. la hampe épaisse est zébrée de grosses veines apparentes, qui rendent l'engin monstrueux, des testicules énormes pendent sous le mât tendu. Le poignet de Maryse, à chaque descente décalotte le gland large qui semble redoutable. Pierre gémit, il repousse Maryse et la bascule sur ma paillasse. Il lui ouvre les jambes et place sa tête entre les cuisses ouvertes. Il hume les effluves odorantes que la vulve en feu, ne peut retenir. Puis plaque sa bouche sur la chatte suintante de désir. Il aspire ce que le temple lui offre si généreusement. Il suce les lèvres, si fort que Maryse grogne en grimaçant. lorsque la langue s'enfonce profondément en elle, elle se cambre en poussant un long gémissement. Le vieil homme connait son affaire, il fouille la gaine en arrachant à Maryse de couinements de bête. Sa langue agile, n'omet aucun recoins, enfin, il aspire la boule magique et la suce comme un bonbon acidulé.

Serge ne reconnait plus sa femme tellement, elle geint, grogne, se cabre à chaque aspiration, que Pierre s'évertue à faire sur le clito, qui ne cesse de grossir. En appuyant fortement sur la tête de son amant, Maryse explose de jouissant, c'est si violent que repousse brusquement son amant. Elle se met en chien de fusil, et en grimaçant, plaque ses mains sur sa vulve qui rejet son jus.
Pierre souriant, est satisfait de lui, sa verge tendue, fait écarquiller les yeux à Maryse qui sous sa violente jouissance, ne cesse de trembler.

Serge après avoir déversé sa semence dans a bouche d'Olga, profite qu'il ne débande pas, pour lui enfoncer sa bite dans le ventre. Il la rudoie de coups de reins violents, qui la font couiner comme une bête malade. Elle s'accroche à lui en grignant de plaisir. rapidement la coquine jouit en se cabrant fortement. Encore quelques estocades avant que Serge ne remplisse le ventre d'Olga, qui ne cesse de gémir.

Pierre approche sa queue du puits d'amour de Maryse, et frotte un instant son gland épais sur la fente dégoulinante. Il le pose contre les grandes lèvres, et pousse. Les lèvres s'écartent, et laisse le passage au gland monstrueux, qui doucement s'enfonce dans la gaine qu'il dilate. Maryse grimace, serre les dents, sont souffle s'accélère. le pieu s'enfonce lentement dans son ventre. Elle à l'impression que sa chatte va s'ouvrir en deux. Enfin, les couilles pleines de semence, viennent buter contre sa chatte distendue au maximum. Pierre laisse Maryse reprendre son souffle un instant, avant de lâcher les chevaux.

Il commence le va-et-vient qui au fur et à mesure prend de la vitesse. Maryse se cramponne à son amant en baragouinant :

-Serge, Serge, oh mon Dieu, regarde comme il m'ouvre, je vais mourir !

Serge écarquille les yeux, il regarde la bite monstrueuse voyager dans le ventre de sa femme, en lui arrachant des grognement d'agonisante. Le ramonage dure longtemps, le gland à chaque enfoncement dans le corps de Maryse, lui racle le col de l'utérus. Elle gémit, en se cambrant davantage, la douleur semble s'atténuer. Maintenant, les gémissements deviennent des gémissements de plaisir. Serge est surpris, sa femme donne de grands coups de reins pour s'empaler totalement sur la queue colossale, qui lui laboure le ventre. elle marmonne :

-Oh comme c'est bon, oui, oui, Pierre défonce-moi oui, oui ça vient !

Pierre ne la ménage pas, il se donne à fond, lui qui désirait sa voisine, là, elle est devenue son amante. Soudain, elle hurle, une jouissance terrible la fait cambrer. Elle tremble, délire et grogne :

-Pierre, vas-y, vas-y, je suis ta chose, défonce-moi fort. Une seconde jouissance la fait hurler encore, son corps retombe lourdement sur la paillasse. Pierre en grimaçant donne des coups de boutoir terribles, il se raidit et en se bloquant, envoie dans le ventre de Maryse un flot important de sperme brûlant.



Il reste en elle un moment avant de ce retirer. Serge regarde le trou béant rejeter le surplus de semence, et en secouant la tête dit :

-Oh la vache comme il l'a arrangé, regarde Olga !

Olga sourit et dit :

-Je le subis souvent, je sais comment il travaille les chattes le cochon !

Serge se penche vers sa femme et lui dit :

-ça va ma chérie ?

En haletant, Maryse répond :

-Oh mon chéri c'est démentiel et merveilleux à la fois, mon Dieu, comme Pierre m'a fait jouir !

Serge rassuré ajoute :

-Tu en veux encore ma chérie ?

Maryse en cherchant un second souffle répond :

-Oui, oui, mon chéri, je veux encore jouir, c'est si bon !

Olga en souriant, dit :

-Je lui conseille, de se faire prendre par le cul, Pierre est un artiste en la matière !

Serge regarde sa femme, ses yeux lancent de éclairs, il lui dit :

-Oui ma chérie, fais toi éclater le cul, oh comme je voudrais voir ça !

Maryse en ravalant sa salive dit :

-Sa verge et bien trop grosse, jamais elle n'entrera dans mon rectum !

Olga encourage sa nouvelle amie :

-Ne t'inquiète pas Maryse, les anus sont très extensibles, souvent Pierre me sodomise, je dois dire que les jouissances anales sont encore plus violentes, ne t'en prive pas ma chérie d'ailleurs tu es là pour redevenir l'amante que tu n'es plus !

Serge dit excité comme une puce :

-Olga prépare la bien !

Soudain une voix se fait entendre :

-Non si vous le permettez, c'est moi qui vais la préparer !

C'est Lucette la femme de Pierre qui vient d'entrer dans l'alcôve.
































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Histoire de valeriane

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