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Une soirée...une danse...un verre de vin.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/08/2025

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Ce n’était pas la première fois que Marc partait pour le travail, mais ce soir-là, c’était après une dispute et j’étais angoissée.
La solitude semblait peser plus que d’habitude. La maison, habituellement pleine de ses mouvements et de ses gestes familiers, n’était plus qu’un lieu de silence.
Pour me changer les idées, j’avais décidé de m’accorder un instant rien que pour moi, un verre de vin rouge, un bain chaud et un film… Léger.
En principe, je finis allongée sur le lit, entièrement nue, m’amusant avec le jouet que Marc m’a offert pour satisfaire mes désirs. Je le fais glisser sur moi, explorant tous les recoins sensibles de mon sublime corps. Cela finit généralement par de terribles orgasmes.
J’étais sur le point de plonger dans la baignoire, lorsque mon téléphone vibra sur le plan du lavabo. Un message. Je le pris d’un geste distrait, pensant que c’était Marc, pour s’excuser de notre altercation, mais le nom qui apparut sur l’écran me surprit… Luc.
Luc était un vieil ami, quelqu’un que j’avais connu bien avant de rencontrer Marc. Avec les années, nos rencontres s’étaient espacées, réduites à des dîners de groupe ou à de rares occasions familiales.
Le message était simple :
« Salut, ça va, je pensais à toi et j’ai eu envie de t’écrire. »
Je souris, trouvant le moment étrange. Je lui répondis sans trop réfléchir, et en quelque
minutes, nous nous retrouvâmes à discuter comme si le temps n’avait jamais passé. Luc avait toujours eu une façon de me faire sentir spéciale. Ses mots étaient légers, plein de blagues qui me faisaient sourire.
Il me raconta sa dernière mésaventure au travail, ou il avait renversé un café sur son patron lors d’une réunion.
« Et toi, qu’est-ce que tu fais de beau, toujours occupé à sauver le monde », écrivit-il en faisant référence à mon travail d’infirmière.
Je me rendis compte que je riais toute seule dans la salle de bain tamisée. Mon verre de vin posé sur le bord de la baignoire était déjà vide. Alors, je décidais de m’en verser un autre. Après une heure de message, Luc me proposa de passer me voir.
Je restais un instant figé, était-ce une demande innocente ? C’était Luc, après tout.
Il me fallut quelques minutes pour répondre à sa proposition. Je regardais autour de moi, observant mon reflet dans le miroir embué. J’étais en peignoir, les cheveux encore humide. Je me trouvais extrêmement belle.
Était-ce vraiment une bonne idée d’accepter. Mais qui avait-il de mal à ça, c’était juste un vieil ami moi.
« Tu es toujours dans le coin, passe si tu veux, mais juste pour un verre de vin, je dois me lever tôt demain. »
« Parfait, j’arrive dans dix minutes. »
Mon esprit se mit en marche pour ranger rapidement le salon.
Je pliais la couverture sur le canapé, j’éteignis les bougies que j’avais allumées dans la salle de bain et vérifiais que j’avais assez de vin. Mon cœur battait un peu plus vite, mais je m’efforçais d’ignorer cette sensation.
Quand la sonnette retentit, j’ouvris la porte, l’accueillant comme un ami.
Luc était là avec son sourire décontracté habituel et une bouteille de vin à la main.
- Je me suis dit qu’un renfort ne serait pas de trop dit-il en tendant la bouteille.
Je l’invitais à entrer dans le salon et la conversation reprit exactement là où nous l’avions laissé dans les messages.
- Tu te souviens de cette fois au lac demanda Luc en versant le vin dans les verres.
Comment oublier cette journée, nous étions avec un groupe d’amis, et Luc avait essayé de nous impressionner en plongeant depuis le bateau, il avait perdu son maillot pendant le saut, montrant ses généreux attributs.
- Tu avais été la star de l’été, répondis-je en riant.
- Tu te souviens comme ma queue balançait dans le vide.
- Comment l’oublier...elle était tellement grosse, dis-je en rougissant.
La conversation devint un voyage dans les souvenirs avec des anecdotes et des rires qui faisaient remonter la légèreté d’autrefois. Je réalisais à quel point je me sentais à l’aise avec lui, comme si ces années n’avaient jamais exister.
- Marc a de la chance, dit-il soudain changeant de ton, tous les maris ne peuvent pas dire qu’ils ont une femme comme toi, aussi belle.
Je baissais les yeux, ressentant un léger malaise.
- Nous avons de la chance tous les deux, répondis-je, essayant de garder la conversation sur un terrain neutre.
La soirée continua et Luc semblait détendu, peut-être un peu trop. Il s’adossait au canapé, me regardant avec une expression que je n’arrivais pas à déchiffrer.
- Tu t’es déjà demandé comment aurait été notre vie si les choses avaient été différentes
demanda-t-il soudain.
Je reste un instant sans voix.
- Différente… dans quel sens
- Dans quel sens. Et bien, si nous ne nous étions pas perdus de vu, si nous avions essayé de… Je ne sais pas, explorer ce qu’il y avait entre nous.
Cette phrase fit retentir une alarme dans ma tête. Je savais que Luc avait toujours été attiré par moi, qu’il avait toujours été direct, mais cette confidence était inattendu. Pourtant, je ne me levais pas, je ne mis pas fin à la conversation, au contraire, je restais là essayant de répondre avec légèreté.
- Ça fait des années Luc, je ne pense pas qu’il y ait de place pour les « si » dans la vie.
Il sourit mais ne dit rien. Le silence qui suivit était chargé de quelque chose d’indéfinissable, quelque chose que je ne voulais pas admettre, même à moi-même. Luc ne lâcha pas le sujet, bien qu’il garda un ton léger, presque ironique.
- Alors, s’il n’y a pas de place pour les « si », on se contente d’un maintenant, juste deux vieux amis qui se retrouvent, dit-il, levant son verre pour un toast.
Je souris nerveusement, faisant teinter mon verre contre le sien.
- Exactement, juste deux vieux amis.
Mais il y avait quelque chose dans son regard qui semblait tester mes limites, comme si il voulait voir jusqu’où j’étais prête à aller. Je me levais pour aller à la cuisine chercher des amuses bouches, espérant que cette pause dissiperait cette tension qui s’était installée. Pendant que je préparais le plateau, je l’entendis s’approcher.
Il ne dit rien, mais sa présence était assez forte pour que je me retourne.
- Pas besoin de faire tant d’effort, ta compagnie me suffit, dit-il avec un sourire.
Je ris, essayant de rester naturel.
- Je pensais que le vin sans un petit accompagnement, c’était un crime.
Nous retournâmes au canapé, mais quelque chose avait changé. Luc semblait plus à l’aise, tandis que je me sentais de plus en plus consciente de sa proximité.
- Tu te rappelles quand tu m’as appris à danser au mariage de ta cousine, demanda-t-il.
Je ris en hochant la tête.
- Une vraie catastrophe, on aurait dit que tu essayais de gravir une montagne au lieu de suivre le rythme.
- Je n’étais pas catastrophique, c’est de danser avec toi qui me déconcentrais, te sentir dans mes bras, si proche répondit-il avec une pointe de malice.
Je ne pus m’empêcher de rougir.
- Ce n’est pas vrai, répliquait-je en essayant de détourner la conversation.
Mais Luc saisit l’occasion. Il se leva et me tendit la main.
- Allez, voyons si je me suis amélioré, lève-toi.
- Luc, je ne danse pas dans mon salon, dis-je en secouant négativement la tête.
- Juste une minute, allez, je veux juste voir si je me rappelle des pas, insista-t-il.
A la fin, je cédais, je posais mon verre sur la table basse, et pris sa main. La danse commença innocemment. Luc bougeait maladroitement, toujours aussi incapable, mais rapidement son rythme changea, tout comme la manière dont il posait ses mains sur moi, les faisant glisser lentement sur mes hanches.
- Tu vois, je me suis amélioré, dit-il avec un sourire, plongeant ses yeux dans les miens.
- Nettement mieux, admis-je essayant de ne pas remarquer à quel point il était proche.
Ses yeux semblaient me sonder, comme s’il essayait de lire quelque chose, que moi-même je voulait pas voir. Mon cœur battait plus fort et lorsqu’il rapprocha son visage du mien, je trouvais la parfaite excuse pour interrompre ce moment.
- OK, ça suffit pour ce soir, dis-je m’éloignant et retournant m’asseoir sur le canapé.
- Dommage, je commençais à m’amuser répondit-il, respectant ma décision.
La soirée touchait à sa fin, c’était du moins ce que j’essayais de lui faire comprendre sans paraître brusque.
- C’était sympa de te revoir. On devrait faire ça plus souvent.
- Certainement, dans une situation moins intime, dis-je, espérant qu’il capte le message.
- Je comprends, répondit-il avec un sourire énigmatique merci de ta compagnie, tu es toujours aussi attirante, tu le sais.
Ces mots me frappèrent plus que je ne voulais l’admettre. Je l’accompagnais à la porte, mais son regard resta fixé sur le mien un instant de trop.
- Bonne nuit Carole, dit-il avant de partir
Je fermais la porte, un mélange de soulagement et de confusion dans le cœur.
Je n’avais rien fait de mal, et pourtant j’avais l’impression d’avoir franchi une limite invisible.
Deux jours passèrent, mais mon esprit était encore hanté par cette soirée. Je repensais à Luc, à ses paroles, à ses gestes. Je me disais que ce n’était rien, juste une soirée entre amis, mais une autre partie de moi savait que quelque chose avait changé.
Dimanche soir, Marc était encore absent et le silence de la maison me pesait plus que jamais.
Un après-midi, après avoir regardé un film léger, je me couchais, emmenant avec moi le jouet de silicone. Je le suçais, le faisais parcourir mon corps, le faisait tourner sur mon bouton, puis l’enfonçais dans ma chatte, geste qui revenait habituellement à Marc. Mais ceci ne ressemblait pas aux mains virile d’un homme.
Après avoir joui, je pris mon téléphone et envoyait un message à Luc.
« Salut, merci encore l’autre soir, c’était sympa de te revoir. »
« Le plaisir était pour moi, on remet ça, cette fois je viens avec de quoi cuisiner ».
Je resta un moment à fixer l’écran, hésitante. Il n’y avait rien de mal à cette proposition, n’est-ce pas ? Pourtant, j’avais l’impression qu’accepter, c’était ouvrir une porte que je devais laisser fermer. Mais le besoin de ne pas me sentir seule l’emporta.
« D’accord, répondis-je, mais rien de compliqué, un repas simple ».
Luc arriva avec un sac d’ingrédients et son sourire habituel. Cette fois, cependant, il semblait plus sûr de lui, ce qui me mettait à la fois mal à l’aise et intrigué.
La soirée passa de façon agréable, bercée par les parfums du plat qu’il cuisinait et ses blagues qui allégeaient l’atmosphère. Après le dîner, nous nous retrouvâmes une fois de plus sur le canapé, un verre de vin main.
- Merci de m’avoir invité, je ne pensais pas que tu le ferais, dit-il, me regardant avec une intensité troublante.
- Pourquoi ne l’aurais-je pas fait ? Dis-je, essayant de me convaincre, tu es un ami.
Luc ne semblait pas convaincu, il posa son verre sur la table, se pencha légèrement vers moi, me fixant du regard. Je me levais, mis une douce musique de fond. Cette fois, c’est moi qui lui tendis la main et l’invitait à danser. Il posa immédiatement ses mains sur mes hanches.
- Tu es sûre que ce n’est que de l’amitié, Demanda-t-il d’une voix plus basse.
Mon cœur s’accéléra. Je ne répondis pas et ce silence fut ma condamnation.
Luc s’approcha davantage, ses lèvres effleurèrent les miennes, et en cet instant, je laissais tomber toutes mes résistances.
Ce ne fut pas qu’un simple baiser, mais une explosion d’émotion enfouie de désir, que je n’avais jamais osé admettre. Sa main glissa doucement le long de mon dos et je ne fit rien pour l’arrêter. Cette nuit-là, je franchis la limite que je m’étais promis de ne jamais dépasser.
Le lendemain matin, je me réveillais avec un tourbillon d’émotion, à côté d’un homme à qui je n’appartenais pas. Après avoir passé un peignoir, je me suis dirigée vers la fenêtre, pleine de culpabilité et de trahison d’avoir trompé mon mari.
Je ressassais cette nuit torride, faite de subtils préliminaires, de caresses perverses, de douces fellation et de profondes pénétration. Luc était passé maître dans l’art d’utiliser une femme, il avait les atouts physiques que Marc ne possédait pas.
Je le réveillais, lui disant qu’il fallait qu’il parte. Au lieu de ça, il m’attira au lit, me prit une dernière fois… Par derrière cette fois. Je ne me souviens pas avoir autant joui que cette nuit. Luc avait bénéficié de toutes les faveurs que j’avais toujours refusées à Marc.
Luc était parti avant l’aube me laissant seule avec mes pensées et le silence pesant de la maison. Je fixais le plafond, le cœur chargé d’un mélange de culpabilité et de confusion. « Qu’avais-je fait, comment avais-je pu laisser cela arriver dans le lit conjugal ».
Marc devait rentrer ce soir, et je me sentais comme si chaque coin de la maison portait la trace de ce qui s’était passé.
Mon téléphone vibra sur le chevet, le nom de Luc apparu sur l’écran.
« Bonjour, écrivait-il, je n’arrête pas de penser à toi. Cette nuit a été incroyable. »
Je fermais les yeux, essayant de repousser le frisson que ces mots faisait naître en moi.
Je ne répondis pas. Je me levais, essayant de remettre la maison en ordre, et avec elle, mes pensées, mais c’était inutile, tout me ramenait à lui, à cette nuit.
Quand Marc rentra ce soir-là, je fis de mon mieux pour agir comme d’habitude. Je me souvenais de notre dispute le jour où il est parti, mais fis comme si j’avais oublié. Je lui souris, lui demandais comment s’était passé son voyage. Je préparais le dîner comme si tout était normal, mais à l’intérieur. J’étais en pleine tourmente.
- Tu es bizarre, dit-il soudain pendant le repas.
- Bizarre, comment ça ? Demandai-je, essayant de garder mon calme.
- Je ne sais pas, tu sembles distante. Tout va bien ?
- Oui, Dis-je, la voix mal assurée.
Il se leva, mena son assiette au lave-vaisselle, marqua un temps d’arrêt.
- Tu as eu de la visite, Demanda-t-il.
- Ben non, pourquoi cette question ?
- Pour rien, comme ça…
Je me levais à mon tour, et m’aperçus de l’erreur. Sur l’évier, il y avait deux verres, dont un portait les traces de rouge à lèvres. À partir de là, un silence s’installa entre nous. Que devais-je faire, tout lui avouer ? Après quelques jours, notre relation reprit à peu près normalement.
Les jours suivants furent un mélange de tension et de confusion. Je faisait tout ce que je pouvais pour changer l’atmosphère après l’erreur du lave-vaisselle. Malgré tout, j’essayais d’éviter Luc, mais il semblait déterminé à ne pas me laisser m’éloigner.
Il continuait de m’envoyer des messages, demandant à me voir et chaque fois que son nom apparaissait sur mon écran, mon cœur s’emballait.
Un après-midi, alors que je faisais des courses au supermarché, je le vis. Il était là, dans le rayon boissons, et son sourire s’illumina dès qu’il m’aperçut.
- Carole, Dit-il en s’approchant.
- Luc, que fais-tu ici ? Demandais-je, tentant de garder un ton neutre.
- Ça ne se voit pas ? J’achète du vin pour notre prochain dîner, Répondit-il avec malice.
Je lui lançai un regard d’avertissement, mais il ne sembla pas s’en formaliser.
- Je t’écris plus tard, Dit-il, m’étreignant et m’embrassant avec fougue.
Je n’eus pas le temps de lui dire de ne pas le faire, que Marc était à la maison.
Je regardais autour de moi, espérant que personne n’avait remarqué le baiser que nous avions échangé. Je me sentais piégé dans une situation que je ne contrôlais plus.
Les semaines suivantes furent un véritable calvaire. Luc continuait d’insister pour me voir, me demandant de me libérer une nuit, et ce, malgré la présence de Marc. Je trouvais sans cesse des excuses. Chaque fois que mon mari me regardait, je pouvais voir le doute en lui. J’avais l’impression qu’il pouvait lire en moi tout ce qui s’était passé.
Un samedi soir, alors que nous étions sur le canapé à regarder un film, mon téléphone vibra. Marc le remarqua et me lança un regard interrogateur.
- Qui est-ce ?, Demanda-t-il.
- Personne, juste un message d’une collègue de bureau qui a accouché.
- Et tu ne lui adresses pas tes félicitations ? Dit-il.
- Je passerai la voir demain, mentis-je.
Le message était de Luc.
Je profitais que Marc soit allé à la douche, pour me retirais dans la chambre. Je me dépêchais à répondre à son message. Je me sentis submergée, je ne pouvais pas continuer ainsi, mettre mon couple en péril. Je ne savais pas comment sortir de cette situation sans détruire tout ce que j’avais construit avec Marc.
Après des jours de lutte intérieure, je décidais qu’il était temps d’affronter la situation. J’appelais Luc et lui demandait de me rejoindre dans un bar près de chez lui. Lorsqu’il arriva, son sourire s’évanouit en voyant mon expression.
- Il faut arrêter de m’envoyer des messages, Luc, certes, tu m’as donné énormément de plaisir, et ne regrette pas de m’être offerte à toi, mais ce qui s’est passé était une erreur. On ne peut pas tout détruire pour un moment de faiblesse, dis-je, essayant de garder ma voix ferme.
Il resta silencieux un moment puis hocha la tête.
- Je comprends, dit-il, un pincement au cœur, mais sache que je ne t’oublierai jamais la nuit passée avec toi.
Ces mots me touchèrent, mais je savais que c’était la meilleure décision à prendre. Après une douce étreinte et un baiser passionné, je rentrai à la maison, déterminé à reconstruire ma relation avec Marc, même si le poids de ce secret resterait avec moi pour toujours. Arrivé à la maison, je sautais au cou de Marc, l’enlacé.
- Alors…Me murmura-t-il à l’oreille Tu as réussi à régler ton problème ?
La tête posé sur ses épaules, j’ouvrais grand les yeux, me disant qu’il avait découvert quelque chose. Il me repoussa, me sourit, me donna un tendre baiser sur les lèvres, puis se dirigea vers la salle de bain.
En passant près de la table, il y déposa une enveloppe. Je m’approchais, l’a saisis, les mains tremblantes. Ce que je vis me glaça le sang. Une photo de Luc et moi, cet après-midi au bar, nous embrassant. Il avait découvert, ignorant sans doute ce qu’il s’était passé entre nous. Je m’apprêtais à le rejoindre, quand son téléphone vibra. Je me permis de l’ouvrir, découvrant un échange entre mon mari et Luc.
« Si tu t’approches encore de ma femme, je m’occuperai de toi personnellement. Tu trouveras en pièce jointe, le message que je vais envoyer à te femme ».
« Désolé mec, écrivait Luc… C’était une erreur…mais ne fais pas ça, ne détruit pas mon couple. Mon épouse est enceinte...Tu n’entendras plus parler de moi ».
Cet échange me surprit, signifiait-il que malgré ma trahison, Marc allait pardonner ?
En sortant de la douche, marc me demande de le suivre au salon.
- J’ai besoin de réfléchir à nous, dit-il calmement.
Une heure plus tard, il quittait l’appartement, me laissant seule avec ma culpabilité, ma trahison, mes doutes et mon désespoir.










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Histoire de Aurore34

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