Un homme bon.

Je tiens à souligner, que ce récit est une histoire vrais, seuls les noms ont changé.


Manon, depuis sa plus tendre enfance, subit avec sa maman la violence d'un papa alcoolique. Au décès de sa maman, elle trouve un petit appartement au même étage que celui de Jean. C'est un homme de 75 ans qui passe une retraite paisible dans cet immeuble. La jeune femme de 30 ans et lui sympathisent rapidement. Manon est caissière dans une grande surface. Elle fait la connaissance d'un client habituel qui la drague ouvertement, elle tombe sous le charme de ce beau parleur. Ils finissent par vivre ensemble. L'homme très fainéant vit aux crochets de Manon qui lui en fait souvent le reproche. Les scènes éclatent, Manon tout d'un coup revit de s'en enfance, les coups pleuvent sur elle. Elle court se réfugier dans le couloir.

Les cris font sortir de chez lui Jean, qui voit Manon appuyée contre le mur en larme, le visage marqué. Il fait ni, ni deux, il ouvre brusquement la porte de Manon et empoigne le type, il le décolle du sol en le menaçant fortement. Malgré son âge, Jean est une force de la nature. Le mec penaud ne demande pas son reste et s'enfuit. Il est vrai qu'il est plus facile de s'en prendre à une femme qu'à un homme costaud. Il fait entrer chez lui Manon, lui offre une boisson chaude avant de lui appliquer sur les bleus du visage de l'arnica.

Mais l'accalmie n'est que de courte durée, Jean entend des hurlements et des coups. Manon tambourine à sa porte en criant :

-Il veut me tuer, il veut me tuer !


Elle entre presque de force chez Jean, il sort sur le palier et regarde l'homme titubant, très alcoolisé. Il ne veut pas aggraver les choses et fait appel aux forces de l'ordre qui emballent l'homme violent. Manon se jette dans les bras du vieil homme en tremblant de peur. Jean lui caresse doucement le dos et pour la rassurer, il lui dit :

-Écoute, en attendant que cela se passe je te propose de vivre ici, regarde mon appartement est grand, il y a de la place pour deux !

Manon, encore sous le choc et très apeurée, répond :

-Je peux rester chez vous ?

-Mais puisque je te le propose !

Manon accepte, cela fait maintenant quelques jours, qu'elle vit chez son sauveur comme elle dit. Ils passent des jours heureux avec une complicité remarquable. Lui, il attend son retour du travail avec impatience, il est heureux comme un grand-père qui reçoit sa petite fille. Chaque fois, c'est le même cérémonial, elle l'embrasse chaudement en le serrant très fort contre elle. Depuis qu'elle habite là, elle ressent de la chaleur humaine et la bonté de cet homme, qui s'en occupe comme de sa propre fille. Un jour qu'il était occupé, elle vient par derrière et l'enlace en le serrant très fort. Jean surprit, se retourne doucement, il lui relève le menton et lui demande tendrement :

-Il y a un problème ma princesse !

-Elle répond en souriant :

-Oh que non, je suis heureuse depuis que je vit avec toi, je repends gout à la vie !

Il est vrai que Manon rayonne de bonne depuis quelque temps. Elle le regarde avec tendresse, leurs lèvres sont si proches que la tentation est trop forte. Manon écrase les lèvres de Jean avec les siennes. C'est un vrai baiser d'amoureux qu'ils échangent, mais Jean lucide reprend ses esprits et dit en souriant :

-Il faut-être sage ma princesse, je pourrai être ton grand-père ! Manon hausse les épaules, elle semble déçue. Le soir, Jean est allongé sur son lit en pyjama, il lit un livre. Manon entre, elle porte une nuisette très courte transparente. Jean remarque, qu'elle est nue en dessous. Sans dire un mot, elle s'étend à côté de lui en regardant le plafond. Puis, au bout d'un long moment de silence, elle dit :

-Comment tu me trouves Jean ?

Mais tu es très belle ma chérie !

-Je te plais ?

-Tu es très ravissante, comment ne pas me plaire !

Elle regarde toujours le plafond et dit :

-Fais-moi l'amour !

Jean sursaute, se redresse, prend, appuie sur ses coudes et la regarde longuement, il répond un peu déboussolé :

-Mais tu te rends compte de ce que tu me demandes là Manon ?

Dans un calme parfait, elle répond :

-Oui, fais-moi l'amour, aime-moi, j'ai si besoin de toi, fais-le je t'en prie !

Presque tétanisé, jean se met sur le flanc et timidement pose sa main sur la cuisse de Manon. Lentement, en poussant de longs soupirs, il la fait glisser délicatement jusqu'à l'aine, sa main tremble, elle caresse avec douceur le ventre plat de Manon qui soupire de bonheur. Elle caressant le corps superbe, la nuisette remonte à chaque progression de la main maladroite. Jean regarde ému le triangle soyeux qui garni la vulve de Manon. Il parvint à découvrir la poitrine, il regarde en écarquillant, les yeux, les petits seins qui semblent bien fermes. Les mamelons paraissent gouteux, Jean les dévore des yeux. Avec une délicatesse remarquable, il pose sa bouche sur les petits mats et pratique quelques petites succions qui font geindre Manon. Manon se dit que jean devait-être un bon amant, très attentionné pour sa maitresse. Elle ne se trompe pas.

La bouche mielleuse fait délirer Manon de plaisir, les mamelons enflent sous les petites aspirations qui font pâmer Manon. La bouche descend sur le torse, laiteux qui ne cesse de frémir. La bouche humide, donne de nombreux baisers sur le ventre, qui se met à frissonner. Elle arrive sans se presser juste au-dessus du temple, Jean en hume l'odeur parfumée qui s'en échappe, puis pose sa bouche dessus. Manon se cabre. La langue habile glisse sur sa fente, qui rapidement s'humidifie. Elle titille la boule qui surplombe la fente, Manon gémit en agitant son bassin. La tension est telle qu'elle jouit fortement en grognant comme un animal.