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La fête des voisins

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 30/01/2023

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Je me souviens qu’on nous avez demandé, à Lucie, ma ravissante copine, et à moi, d’organiser la fêtes des voisins, ou chacun devait participer, en portant à manger, ou à boire. Malgré mon inexpérience à ce niveau, j’avais accepté.
Les quatre immeubles partageant la même petite cour, j'en ai profité pour inviter le plus de personnes possible à venir partager un verre autour d’un apéro entre voisins, et pour faire, pour certains, connaissance. Pour nôtre part, nous ne connaissons pas les relations de voisinage, et ce n'est pas le style dans l'immeuble. Le couple du dessus qu'on croise quand ils descendent les poubelles, et nôtre voisine d’en face, d’une beauté à couper le souffle, et que je mâte tous les matins, quand elle fait sa gym sur sa terrasse. On s’est rencontré une paire de fois. Elle nous dit se prénommer Céline, et son copain Karim...pas l’air sympa du tout.
- Quelle tronche de con ce mec, me fait remarquer Lucie...
Mais pour tout planifier, on a quand même besoin de conseils, et seul les plus anciens du quartier, peuvent nous en donner. C’est pourquoi, nous prenons rendez-vous avec nos plus proche voisins.
Deux jours plus tard, dans l'entrée, nous sortons ma copine et moi pour aller chez eux.
- Attendez... nous interpelle une petite voix.
C’est nôtre rayonnante Céline, dans sa petite jupe plissée. La chaleur aidant, sa tenue est légère et affriolante. Nos regards se croisent, nous nous faisons la bise, et je sens comme quelque chose de légèrement plus "coquin" dans cette bise furtive.
Nous discutons quelques secondes avec elle, puis chacun repart de son côté.
Le couple de cinquantenaire qui nous reçoit ne nous avait pas fait forte impression mais quand j'ai appris que a jolie brune Céline, serait là, j'ai quasiment forcé ma copine Lucie de m’accompagner. Une soirée un peu ennuyante je dois l'avouer, nos hôtes étant très bavards, on ne peut pas en placer une. Mais Céline est là. On se dévore des yeux. Je ressens une envie que j'ai rarement ressenti, et que j'ai du mal à retenir. Ma copine étant absorbée par une discussion de vacances, je suis Céline qui ramène quelques plats à la cuisine. Arrivé là bas, je la retourne rapidement et l'embrasse sans un mot. Un baiser volé, torride, rapide, qui la fait sourire et lui fait briller les yeux.
Elle me repousse doucement, mais avant de retourner au salon, elle passe ma main sur la bosse de mon pantalon, la caresse en faisant quelques allers retours, et me regarde de manière coquine en se léchant les lèvres.
A la fin de la réunion, nous décidons de nous revoir après quelques jours de vacances.
Nous rentrons de deux semaines de vacances, et depuis nôtre retour, la porte fenêtre d’en face, reste désespérément close. Et puis ce matin, seul chez moi, je profite du soleil sur le balcon et je la vois Céline en train de faire sa gym. Je la regarde faire pendant vingt minutes. Elle se relève. Croise mon regard, me sourit en s’appuyant sur la rampe. Nous sommes à cinq mètres, trop loin pour pouvoir nous parler facilement.
Ce n'est pas avec son haut de sa tenue que je vais pouvoir profiter d'un beau décolleté.
Étonnamment en se regardant comme ça, je me sens bien, je sens qu'elle est bien. On échange juste des sourires, des regards, quelques minutes. Puis je vois du mouvement derrière elle. Elle rentre après m'avoir fait un petit clin d’œil et fait s’envoler un baiser vers moi. Je reste quelques secondes à contempler le balcon vide, et aperçois Karim…
Il est entièrement nu, la queue fièrement dressée.
Céline réapparaît, nue elle aussi, le sourire aux lèvres. Elle saisit cette queue tendue, la tient à pleine main. Elle joue avec, elle sait faire, elle paraît experte. Elle garde un air joueur, sait tenir son partenaire. Elle est magnifique. Les lumières tamisées de son appartement mettent en valeur son corps nu, ses courbes, ses seins remuant au rythme de la masturbation qu'elle prodigue. C'est juste superbe. Elle s'approche, mais doucement, comme si elle craignait autant qu'elle désirait cette bite dressé. Ses lèvres se posent autour du calibre gonflée, le parcourant délicatement du bout des lèvres, osant sortir une langue pour en titiller le gland. Elle remonte doucement vers le haut, sa langue s'arrêtant pour jouer, ses lèvres en profitant pour déposer un baiser. La fellation est sûrement un art quand on la voit pratiquée ainsi.
Avec Lucie, on est scotchés devant cette scène torride, qui nous excite, et nous donne des envies. Mais on ne peut détourner les yeux, de ce fabuleux spectacle.
Sa main accélère le mouvement, pourtant tous ses gestes sont emplis d'une sorte de grâce. Le temps paraît suspendu avant que ses lèvres ne s'écartent délicatement pour avaler ce gland gonflé de désir... Elle commence à sucer, doucement, les yeux fermées, écartant d'une main la mèche de cheveux qui la gène. Karim est tendue, reins cambrés.
Au rythme de la masturbation, elle descend petit à petit plus profondément sur la queue, la faisant pénétrer plus profondément dans sa bouche, jouant de sa langue avec le gland, ses mains expertes continuant de masturber à un rythme lent mais profond... Quelques minutes de ce jeu coquin auquel elle semble prendre un malin plaisir, et la voilà qui glisse une main entre ses cuisses, se donnant encore plus de plaisir qu'elle n'en prend à sucer cette belle queue. Sa chatte est trempée, elle la caresse pour que sa fellation s'accompagne de gémissement irrésistible. Vite, elle n'en peut plus. Elle lâche se sexe à regret, et se lève, offrant à la lumière la douceur de ses courbes, ses fesses parfaites, son ventre plat, ses seins fermes…
Lucie glisse sa main entre mes cuisses, saisit ma queue entre ses doigts.
- Ça t’excite salaud, me souffle-t-elle à l’oreille..
- Tu dors pas ?
- Comment veux-tu que je dorme en voyant ça...
Je me retourne subitement, le cœur bondissant dans la poitrine. Ma copine part vers la chambre en se frottant les yeux. Je m’apprête à ranger les jumelles dans leur boîte, et m'éloigne de mon poste d'observation tout doucement. Un dernier coup d’œil sur le balcon d'en face, et je vois Céline en train de chevaucher Karim, se tenant les cheveux en remuant, empalée sur l’énorme bite.
Je bande comme rarement. Ce plaisir voyeur m'a excité au plus haut point.
Je regagne mon lit et tente une caresse sur Lucie, collant ma bite dressé contre ses fesses. Elle s'est déjà rendormie. Je tente de fermer les yeux, mais je ne vois que les superbes courbes de Céline... Mes rêves vont être dirigés vers l'appartement d'en face cette nuit...
La soirée fatidique est enfin arrivée.
Lucie et moi accueillons donc les premiers invités, essayant de lancer des sujets divers, pour que les conversations partent. Pas facile. Mais on découvre vite quelques voisins sympas avec qui discuter, les petits apéros faisant leur effet, et tout le monde se déride.
C'est à ce moment qu’arrive Céline. Elle que j’ai mâté en train de se faire baiser par son copain toute la nuit. Elle m’avait promis qu’elle viendrait.
Cette jolie brune à la peau mate, fine sportive, souriante, féminine, vraiment belle, était un peu mon fantasme. Je l'ai par contre bien souvent regardée, sur mon balcon l'air de rien, quand elle faisait sa gym sur sa terrasse, en petite tenue. Je flipper grave.
Elle, elle n'a pas l'air effrayée par moi, puisqu'elle vient nous voir rapidement pour nous féliciter pour l'organisation. Enfin...ils viennent nous féliciter, elle et son copain Karim, dont le regard ne quitte le corps de ma copine. Je remarque toutefois, que l’attitude de Lucie a changé vis à vis de lui, tout en me disant qu’elle avait horreur de ce genre de mec. Je pense qu’ils ne vont pas s’apprécier tous les deux.
La soirée se déroule plutôt bien, un petit groupe d'une dizaine de personnes reste plus longtemps que les autres pour discuter. Dans un coin, je vois Lucie et Céline boires une bière, tout en papotant, souriante. Je lis de la surprise sur le visage de Lucie...Mais bon.
Elles sont d’une beauté à couper le souffle toutes les deux, et je les imagine dans un lit, amantes, entièrement nues, en train de faire l’amour, tendis que je jouerais les voyeurs.
Hélas, c’est Lucie qui va faire les frais de mes fantasmes, quand je vais la baiser. Elle va se demander ce qui lui arrive, quand je vais lui mettre le compte.
Karim fatigué, décide de se retirer, l'occasion pour moi de discuter seul avec Céline.
Je suis sous le charme, je dévore des yeux son visage bronzé, sa jolie robe rouge qui met en valeur ses formes, son joli décolleté, ses belles jambes... Tout ce que j'aime !
Elle me parle de Karim, me dit qu’il aime bien baiser la femmes des autres, même les plus fidèles, mais m’avoue aussi, qu’il est extrêmement jaloux..
Je délaisse un peu ma copine Lucie, mais vient l'heure fatidique de remballer tout, de recevoir les remerciements de tout le monde. Celui de Céline paraît légèrement plus appuyé, l'alcool lui donne t-il ces yeux pétillants ? Je profite de lui voler une bise pour respirer son parfum envoûtant. Et la voilà partie... Sous mes yeux attristés.
Et puis, Lucie m’interpelle.
- Tiens, elle a oublié ses plats ! Tu les lui ramènes ? Je monte à l’appart’
J'accepte sans me faire prier, et me précipite en trottinant vers la porte de son immeuble qu'elle vient de franchir. Je l'ouvre, franchit le seuil. Je tourne au coin de l'escalier. Elle est là. Elle m'attend avec un grand sourire.
- Ah oui, j'avais oublié ça, dit-elle en prenant les plats...et puis ça aussi, j’avais oublié, ajouta-t-elle en glissant un baiser sur mes lèvres.
Je lui rend ce baiser, et je la vois sourire. Ce baiser se fait plus appuyé.
Sa main libre glisse dans mon dos, me colle à elle. Mes mains caressent ses cheveux, son dos, ses hanches.
Nos respirations se font profondes et essoufflées alors que nos langues se mélangent intensément. Elle me regarde dans les yeux.
- Je dois remonter çà là haut...vous m’accompagnez ?
Comment refuser. Je la laisse prendre les marches, et la suis de près dans la montée d’escaliers, un grand sourire éclairant soudain mon visage.
- Vous en organisez souvent des fête de voisins ?
- Non, c’est la première fois...c’est du travail.
- Je comprends...et avez-vous d’autres activités.
- A part baiser ma copine...non…oh...désolé...
,Alors que nous atteignions les dernières marches, elle me sourit à nouveau..
- Voulez-vous rentrer prendre un verre, il doit faire bon sur la terrasse.
- Je ne voudrais pas que ma copine s’inquiète.
- Mais non... puis vous pourrez la voir en buvant tranquillement vôtre bière.
Je me laisse tenter. Arrivé sur la terrasse, j’aperçois deux paires de jumelles posées sur le petite table. Elle me proposa d’en prendre une, et d’observer ce qui se passait dans la chambre d’en face. Je reçus un choc terrible.
Mon cœur battait à tout rompre, quand je vis Lucie et Karim, entièrement nus, plantés au milieu de la chambre. Cela devait déjà faire quelques temps qu’ils s’embrassaient.
Au début, il me semblait à peine voir leurs ombres, et pourtant je pouvais deviner leurs mouvements. Il me semblait entendre leurs respirations se mélanger, sans parvenir à savoir si Lucie éprouvait le moindre soupçon de culpabilité, à me tromper. Elle était prête à s’offrir, et avait l’air impatiente de profiter de son amant.
Mais que lui avait-elle pris de s’être laissé séduire, par un homme qu’elle n’aimait pas.
Malgré la distance, ses gémissements se faisaient vite entendre, alors que les doigts de Karim se glissaient entre ses lèvres intimes. Ils étaient encore debout, leurs mains se mélangeaient, leurs lèvres se dévoraient, et moi, installé sur la terrasse d’en face avec Céline, certainement complice de ce rendez-vous. Je sentais la douleur prendre le dessus sur l’excitation, mais aussi un certain plaisir à la voir là, possédée par un autre sans que je ne puisse intervenir. Ma vision ne me permettait que de deviner, d'imaginer leurs ébats sans pouvoir rien faire…
Lorsqu'il la poussa sans ménagement sur le lit, je les entendis plus que je ne les vis. Il la fit mettre à quatre pattes en travers du lit, le visage tourné vers moi, et je pu alors croiser son regard, sans qu’elle ne me vit vraiment. J'étais comme hypnotisé en regardant ce visage que je désirais tant pendant qu'il frottait sa queue contre sa chatte. Quand il la pénétra, je vis le visage de Lucie changer, prendre une expression, qui ressemblait à la fois à du plaisir et de la douleur. Avait-elle honte de se faire prendre devant moi ? En tirait-elle un certain plaisir ? Toujours est-il qu'elle gémissait plus fort maintenant sous les coups de queues de Karim, appuyée sur le lit, cambrée pour s’offrir dans une belle levrette que j'aurai tant aimé pratiquer. Il lui tenait les hanches, faisant d'amples vas et viens en elle. Je regardais à peine Karim, je le détestais, autant qu’elle le désirait maintenant. Je voyais ses mouvements imprimer au corps de Lucie un balancier de plaisir. Le claquement de ses cuisses sur ses fesses venait rythmer leur pénétration, et elle continuait à regarder vers moi en prenant du plaisir.
Ma queue, à l’étroit, fut libérée par les mains habiles de Céline, et j'avais honte de ressentir du plaisir entre les doigts agiles de la copine de celui qui baisait la mienne.
En voyant Lucie se faire baiser par un autre, je ne pouvais quitter des yeux son visage, ses seins qui remuait en rythme, la légère ondulation de ses fesses à chaque contact...
Karim se concentrait, jouait avec elle, prenait plaisir à la faire jouir, comme s’il sentait ma présence, il voulut m’humilier d’avantage, en la sodomisant. Lucie hurla, puis gémit, se laissa aller dans la tourmente du plaisir de cette nouvelle pénétration, qu’il lui offrait.
Il se retira d'elle sans prévenir et lui demanda de s'agenouiller devant lui. La salaud, il voulait jouir en elle. Mais savait-il qu’elle n’avait jamais sucé une bite. Il commença à se branler à deux centimètres de ses lèvres, l’obligeait à lui caresser les couilles. Soudain, de puisant jets de sperme giclèrent, il enfonça sa queue dans la bouche de Lucie, qui aussitôt, referma ses lèvres sur le calibre. Je vis ses joues se creuser, déglutir pour avaler le sperme de son amant. Je n’en revenais pas quand je vis la queue se retirer, et sa langue s’enrouler autour de gland pour récupérer les dernières gouttes.
C’est là que je découvrais, qu’en fait, Lucie avait visiblement l’habitude de tailler des pipes, auxquelles moi je n’avais jamais eu droit.
La respiration haletante Karim finit de jouir, tapotant sa queue contre le visage de ma chérie. Elle finit de lui nettoyer le gland, me surprenant par son côté "docile", tranchant avec son image de femme.
- Je vais prendre une douche, tu viens avec moi…
Sans un mot, elle le suivit, de sa démarcha majestueuse. Ils ne prirent même pas la peine de fermer la porte en galandage, comme s’ils voulaient que je suive la poursuite de leurs ébats. Lucie était appuyée contre les faïences, et Karim la prenait par derrière, et par le petit trou. Quand il sentit le désir monter en lui, il lui proposa une nouvelle fois, de se mettre à genoux, et d’avaler son abondante semence.
Je n’en croyais pas mes yeux. Moi, qui m’étais juré de lui mettre le compte, voila que c’est Karim qui venait de le lui mettre. Je voulais sortir au plus vite de ce cauchemar. Seul les doigts de Céline, qui s’amusait à calotter et décalotter, mon gland, me ramenait à la réalité. A ma grande surprise, les doigts furent remplacés par la douceur de ses lèvres. Puis, elle me prit la queue et m’entraîna à la chambre. Après s’être déshabillés, on se jeta sur le lit. Je tenais dans mes bras, le superbe corps de Céline, le corps de tout mes fantasmes, qui me faisait oublier l’infidélité de ma copine.
Je mangeais sa bouche, suçais ses sublime seins au, caressais sa chatte humide. Elle s’occupait de ma queue, la faisait coulisser entre ses doigts, puis roulait sur moi pour la prendre en bouche. Ses hanches pivotaient sur moi, de façon à ce que sa chatte soit sur ma bouche. Là, je me mis à la lécher, passer ma langue sur sa fente, jusqu’au clitoris que j’aspirais de mes lèvres. On gémissait de plaisir tous les deux, à deux doigts de jouir, et enfin l’explosion. Je buvais sa cyprine, comme elle avalait mon sperme. Céline venait de m’offrir la fellation que Lucie n’a jamais voulu ne donner.
Puis on repartit dans une folle relation. Je prenais un réel plaisir de la chevaucher, de l’honorer, Je la pris en missionnaire, en levrette, elle m’autorisa de la sodomiser, puis finir dans sa bouche gourmande. Non content d’être belle, Céline était une experte en sexe. J’ai jouis trois fois, me calquant sur ses trois orgasmes.
- Je n’a jamais autant désiré Karim, comme je t’ai désiré toi, gémit-elle.
Je pensais...moi je savais que Karim baisait ma copine, mais lui, savait-il que je baisais la sienne. Céline me confirma que non, que ça ne lui ferait pas plaisir.
Puis, nous avons éteint la lumière de la chambre, celle d’en face s’est éteinte aussi.
Seul le bruit des soupirs, et les gémissements de nos corps enlacés, brisaient le doux silence de cette nuit torride.
Pendant un instant, j’oubliais que Lucie m’avait trompé dans les bras de Karim.
Finalement, pour nôtre première fête de voisins, ce fut une réussite.















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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : La fête des voisins

Le 02/02/2023 - 14:36 par valeriane
Pas mal j'aime
Le 30/01/2023 - 15:07 par OlgaT
Fête rime ici avec échanges! Excellent!

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