Une belle soeur bien sous tous rapports

C'est au cours d'un mariage qu'Isabelle et son beau-frère Jean se sont rapprochés. Pendant les danses, il ne cesse pas de la draguer. Il se frotte contre elle en la charmant, son mari fait semblant de ne rien voir. Le bougre n'a rien à dire chez lui, c'est isabelle qui décide tout, il ne la baise même plus, faute d'érections.


Pendant la danse, il la serre très fort, les deux se frottent si bien les bas-ventres, que le coquin de Jean en attrape une forte érection. Vicieusement, il se palque plus contre elle, pour qu'elle sente contre son ventre sa bite raide comme du bois, c'est en souriant qu'il lui dit :

-ça doit bien tirer une grande cheminée comme ça !

Il est vrai qu'Isabelle est une grande femme, elle repond en souriant :

-Pourquoi le beau-frère veut y mettre sa buche !

Jean la regarde et dit sans se démonter en la toisant de haut :

-Je crois que tu es une chaude du cul, tu as un regard vicieux qui en dit long, avoue que tu veux de la bite, et que la mienne t'intéresse !


Isabelle se cabre et réplique un peu vexée :

-Si je veux de la bite comme tu dis, je suis assez grande pour en trouver, avec la tienne, je serai peut-être déçue !


Il la regarde et ajoute :

-Je vais te la mettre si profonde dans le cul que tu en redemanderas ma salope !

Elle eclate de rire et répond :

-Pour cela, il faut que je le veuille mon salaud !

La danse se termine, les deux rejoignent leur place, Jean se trouve à gauche d'isabelle, son mari a sa droite. Jean pose sa main sur la cuisse d'Isabelle qui ne la repousse pas. Le dragueur la d=glisse sous la robe et la monte jusqu'à l'entrejambe. Son mari regarde la main qui bouge sous la robe de sa femme, sans dire un mot. Isabelle ouvre largement les cuisses pour faciliter l'accès à la main de son beau-frère. Son mari lui remonte la robe sur le haut des cuisses, il ne veut rien perdre du spectacle. Si elle ne veut plus de sa bite qui monte difficilement, il à des yeux, et il s'en sert pour voir sa femme se faire tripoter pas Jean. Faute de merle comme en dit en mange de la grive


Les doigts agiles de jean passent sur la fente d'Isabelle qui suinte en noyant la culotte. Peur d'être surpris, Jean se ravise. Il retire sa main et dit :


-Tu sort salope !

Elle repond en souriant :

- Oui, mais mon mari vient avec nous !

Jean sursaute et répond :

-Mais pourquoi tu veux être prise en double grosse pute !

Elle lui sourit et répond :

-J'aime comment tu me parles, oui traite-moi de pute, de salope, j'adore !

Jean demande :

-Pourquoi que ton mari doit être là ?

Isabelle répond :

-Parce que je lui ai dit que lorsque je me ferai sauter par un autre, il sera l, allons chez moi, ce n'est pas loin !


Une femme sur place, rapidement, elle se retrouve à poil !

C'est elle qui sort la bite du pantalon de Jean, et commence à la branler de plus en plus vite. La chaudasse en manque de bite, saute sur la bite et l'enfourne au fond de sa bouche, elle suce et tète le gland comme une affamée. Jean gémit de plaisir à chaque succion sur sa queue. Elle regarde son mari et lui dit :

-Toi, au lieu de regarder, rends-toi utile, branle-moi putain, je suis chaude à en exploser !

Le mari, cocu, passe sa main entre les cuisses de sa femme et lui saisit le clito qui semble énorme. Avec violence, le lui branle en serrant les dents pour ne pas rager de l'infidélité de sa femme. Son clito est malmené par les doigts du mari qui veut se venger. Le gredin lui arrache des gémissements terribles, elle cesse de suce la bite de Jean, se cabre et jouit en hurlant. Elle se presse la chatte tellement sa jouissance et intense. Elle prend, appuie, sue la table pour ne pas tomber, son corps tremble. Son mari dit en regardant Jean :

-Lorsqu'elle est comme ça, je te conseil de l'embrocher avec rage, et lui défoncer le cul le plus violemment possible, je la connais bien la salope !

Sans retirer son pantalon, sans préliminaires, Jean lui plante sa bite dans le cul avec une telle violence, qu'Isabelle pousse un hurlement :

-Oui, oui, oh, fait mal à ta pute gros salaud !

Il l'encule jusqu'à plus soif, la salope jouit plusieurs fois, sous les coups brutaux du beau-frère devenu son amant. Il la déboîte en retenant au maximum sa jouissance. Le mari cocu regarde avec satisfaction, sa femme se faire casser le cul. Jean pousse un long gémissement et remplit le cul d'Isabelle avec son sperme épais.La soumise s'écrie :

-Oh oui, c'est bon, c'est bon, défonce-moi la chatte mon chéri !

Avec force, son mari la bascule sur le bord de la table, lui relève les jambes et dit :

-Vas-y, vas-y, fais là gueuler cette chaudasse de pute, éclate lui la chatte !


Jean lui enfonce comme un sauvage sa bite dans la chatte, et il lui bourre le ventre jusqu'à ce qu'elle jouisse. Elle s'agite en couinant comme une truie qu'on égorge. Ses jouissances nombreuses sont magnifiquement explicites, Isabelle Hurle comme une bête en agitant son bassin. Enfin Jean fini par lui déverser dans le ventre sa semence. Il retire sa queue gluante et regarde un moment la chatte recracher le surplus de sperme. Le mari d'Isabelle le repousse brusquement, et commence à lui frapper la chatte avec sa ceinture. C'est incroyable, Isabelle jouit sous les coups de la lanière de cuir. Son mari semble calmé, il jette la ceinture et regarde la chatte atrophiée par les coups, il dit en hochant la tête :

-Isabelle, tu es une sacrée salope, je dois reconnaitre aussi que tu es une jouisseuse exceptionnelle !

Jean pour en finir lui offre sa bite à sucer. Isabelle adore sucer, elle se régale en suçant le manche gluant qui ne tarde pas à gicler de nouveau. L'affamée avale en faisant des hum de bonheur.