Karine dans son bain

Karine est dans ma baignoire, rêvassant, en me frottant avec douceur le corps. Le gant, enduit de gel parfumé, glisse sur sa peau douce. Ses frottements ressemblent à des caresses. Les nombreux passages du gant sur ses seins font dresser ses mamelons. Les caresses sont si douces que la coquine insiste. Petit à petit, la tension monte dans son corps. Elle delaisse ses seins pour se frotter le ventre et ses parties intimes. Elle s'amuse à faire glisser Le gant de crin sur sa fente, jusqu'à son anus. Ce petit jeu fini par lui chauffer les sens. Elle retire le gant et enduit ses mains de gel, ses doigts passent de nombreuses fois sur sa fente avant de s'enfoncer doucement dans la grotte en surchauffe. Karine se fouille avec trois doigts, ses doigts bien lubrifier coulissement facilement dans la gaine que la coquine assouplie pour pouvoir y faire entrer d'autres visiteurs.

De sa main libre, elle saisit son clito et le branle en soufflant comme un animal. Elle bascule sa tête en arrière et ferme les yeux. Elle savoure le bon de la masturbation, en gémissant tendrement. Soudain, elle sursaute, quelqu'un entre dans la salle de bain que Karine avait omis de fermer. Elle écarquille les yeux, elle se retouve face à son nerveux Marc qui est venu passer le week-end chez eux. Le jeune homme de dix-huit ans, sans s'excuser, mate un long moment le corps de sa tante, qui, stoppé net par l'intrusion de son neveu, cesse de se masturber. Le voyeur involontaire dit :

-Alors ma petite tante, on se fait un petit plaisir à ce que je vois !

Puis en ironisant, ajoute :

-Tonton ne te satisfait pas, je peux le suppléer, tu sais ?

Karine reste sans voix un moment, elle est surprise par l'audace de son neveu, réagit très vite en répliquant :

-Aller file gamin, va jouer avec les enfants de ton âge, ne t'occupes pas de la sexualité des adultes !

Marc, un peu vexé, s'approche de la baignoire, il baise son pantalon, exhibe sa queue en disant :

-Et ça, c'est celle d'un gamin, je suis certain qu'elle est plus vigoureuse que celle de tonton !

Karine regarde en écarquillant les yeux la verge molle qui pend sur le bat ventre de son neveu. Elle dit ironiquement :


-Si tu crois que c'est avec ça que tu peux donner du plaisir, j'en doute !


Sans se démonter, Marc commence à se masturber devant sa tante, qui fronce les sourcils d'étonnement. La bite molle du neveu, augmente de volume rapidement. Le bougre la fait grossir au maximum, il serre les dents en continuant de se branler. Karine, inconsciemment, pose sa main sur sa chatte et saisit son clito. Elle aussi se branle sans quitter des yeux la bite de Marc (qui est au top de sa grosseur) que le bougre agite énergiquement. Marc sourit et dit :


-Oui, branle-toi, fais-toi jouir, va plus vite, oh putain ça vient !


Il envoie sur le torse de sa tante une puissante décharge de sperme, suivit immédiatement après d'une autre. Karine regarde la bite, qui laisse encore tomber quelques gouttelettes de sperme. Elle accelere, ses doigts maltraitent son clitoris qui est devenu énorme. Elle serre les dents, se cabre et explose en se mordant la main pour ne pas hurler. Sa jouissance est terrible, Marc pose sa main sur un sein et agace le mamelon. Il dit en souriant :

-Ouah comme tu jouis fort, c'est génial de te voir !

Karine regarde son neveu et demande :

-Maintenant, je prie de sortir de la salle de bain, surtout pas un mot !

Marc range sa queue gluante dans son pantalon et rebrousse chemin. Le reste de la journée se passe comme si de rien n'été. Mais une fois dans son lit, la coquine ne trouve pas le sommeil, elle pense à la bite de son neveu, qui est bien plus grosse que celle de son mari. Doucement, elle glisse sa main sous sa nuisette et commence à se frotter la fente. Elle le fait le plus discrètement possible, elle ne veut pas réveiller son mari qui dort à côté d'elle. La perverse tante parvint à jouir sans réveiller son mari. Mais elle n'arrive toujours pas à trouver le sommeil, car la bite de son neveu la hante. Elle se serre contre son mari, lui saisit la bite et la branle comme elle peut, elle veut qu'il la baise, qu'il éteigne le feu qui lui dévore les entrailles. Le mari dans un état second, ce réveil en marmonnant :

-Mais qu'est-ce qui te prend, tu sais l'heure qu'il est, je suis fatigué, laisse-moi tranquille !

Déçue, Karine renonce à la baise, elle ronge son frein, et passe une bonne partie de la nuit à se masturber avant de parvenir à s'endormir.