Une niéce gourmande 1

Cloé depuis de nombreuses années habite chez sa tante Juliette et son oncle Marc. Depuis, qu'elle à vue à son insu la queue de son oncle, Marc, elle ne pense qu'à elle. Souvent la petite cochonne se masturbe dans son lit en imaginant que son oncle lui fouille les entrailles avec sa queue qu'elle considère énorme. À chaque fois qu'elle le croise, elle lui fait des sourires en le regardant longuement. Marc remarque qu'aux files des années, sa nièce se transforme, elle a maintenant un corps de femme, elle prépare un master en économie. Mais depuis quelque temps, elle se relâche, sa tête est ailleurs.


Il est tard, après sa douche, elle enfile sa nuisette et monte pour rejoindre sa chambre, elle passe près de celle de son oncle, elle entend des gémissements, elle plaque son oreille contre la porte et se met à pousser de gros soupirs, elle sait ce qui se passe derrière la porte. Curieuse, doucement, elle tourne la poignée de la porte, l'entrouvre très doucement.
Il voit son oncle derrière sa tante la prendre en levrette. Juliette ne retient pas ses râles de plaisirs, elle agite sa croupe en grognant comme une bête blessée. La queue puissante de Marc entre et ressort de la vulve dégoulinante de cyprine de sa femme. Le spectacle émoustille la jeunette qui glisse sa main sous sa nuisette et se masturbe en serrant les dents.

Soudain sa tante pousse un hurlement, se cabre et jouit, l'oncle accélère, se raidit et envoie au plus profond du corps de sa femme sa semence épaisse. Cloé craint de se faire surprendre, recule sa tête et ferme discrètement la porte sans bruit. Elle entre dans sa chambre, s'étend sur son lit, retrousse sa nuisette et continue de se masturber, en grinçant les dents, son clito prend rapidement du volume, elle l'enserre entre son pouce et son index et le branle sauvagement. De sa main libre, la coquine s'enfonce trois doigts dans sa gaine brulante et la fouille en gémissant fortement. Il ne faut pas attendre longtemps pour que la petite voyeuse explose de jouissance.

Elle diminue le rythme, elle halète en se caressant lentement, sa vulve est trempée, soudain elle accélère, se cambre et envoie sur le drap un jet abondant de cyprine en murmurant :

-Tonton, tonton, tu me rends folle !



La coquine se met en tête d'aguicher son oncle. Mais cela est une autre histoire